TANTE JEANNE 03
Récit érotique écrit par Fulvia69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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TANTE JEANNE 03
Tante Jeanne 03
Une journée sexuellement bien remplie
Une fois seule, Jeanne entama une toilette intime poussée. Méticuleusement, à l’aide de son index et de son majeur réunis, elle entreprit d’extraire de son vagin souillé, les reliquats de sperme que son neveu avait lâchés à profusion. Puis vêtue du pyjama que Maggy lui avait prêté pour la nuit elle rejoignit la chambre d’amis mis à sa disposition.
Couchée dans le noir, Jeanne songea à cette soirée qu’elle venait de passer avec son neveu et son épouse. Les sens enfin apaisés après l’extraordinaire jouissance que Robert lui avait fait connaître, un sentiment de remords la saisit. Remords tout d’abord vis-à-vis de son époux qu’elle venait de tromper pour la seconde fois en vingt-quatre heures, alors que le malheureux se trouvait alité à l’hôpital. Remords également vis-à-vis de Maggy, la femme de son amant, même si celle-ci, au dire de Robert, refusait toutes relations sexuelles depuis le début de sa grossesse.
Puis ses pensées changèrent de cap comme c’est souvent le cas chez beaucoup d’êtres humains. Passant outre à ses repentances, elle se polarisa sur les problèmes de couple de son neveu et de son épouse. Vu l’âge et l’ardeur de Robert, Maggy, songea-t-elle devait bien penser que ce dernier ne pouvait rester chaste pendant neuf mois ; et que lorsque le désir deviendrait par trop insistant il irait chercher ailleurs l’apaisement de ses sens. Une autre constatation traversa l’esprit de Jeanne. Maggy avait eu de la chance pensa-t-elle, que son époux ait trouvé cet exutoire sexuel avec sa propre tante. Le lien de parenté les unissant, ainsi que leur énorme différence d’âge protégeait en quelque sorte Maggy d’une rupture de son couple. Mais en même temps, Jeanne se rendait bien compte que, tenue de ces différences, la liaison qu’elle entretenait depuis vingt-quatre heures avec son neveu ne pourrait durer bien longtemps. Aussi rejetant loin d’elle ses remords, elle décida de profiter au maximum de cette opportunité que le destin lui offrait, comme un ultime cadeau. Comme si cette décision avait calmé ses angoisses, elle s’endormit enfin, du sommeil du juste…
*
* *
Ouvrant un œil, Robert comprit immédiatement qu’au bas de son ventre, son sexe s’était également réveillé, et peut-être même avant lui. Chaque matin d’ailleurs, depuis que Maggy se refusait à lui dispenser le moindre soulagement sexuel, il se réveillait victime d’une érection phénoménale. Portant une main compatissante à l’encontre de son membre inutilement dressé il le flatta distraitement. Il n’était pas question qu’il demande une aide quelconque à son épouse, celle-ci depuis sa grossesse opposait systématiquement un refus à ses désirs. Même une simple masturbation lui était refusée. Maggy craignait que cette simple caresse ne l’excite de trop, et que dans son désir il ne veuille lui faire l’amour, ce qui d’après elle pourrait faire nuire au bébé qu’elle portait. Au début de cette phobie, il avait pourtant réussi à convaincre son épouse de le branler de temps à autre. Mais affolée à l’idée que ce simple attouchement ne lui suffise pas et qu’il en veuille plus, Maggy se pressait alors de conclure. Elle le masturbait alors avec une telle hâte, qu’elle le faisait décharger si rapidement, qu’il n’en éprouvait pas un réel plaisir. Aussi de lui-même il avait cessé de quémander la moindre caresse à son épouse apeurée, préférant, lorsque le désir devenait trop pressant, se branler lui-même sous la douche lors de sa toilette matinale.
Pourtant, malgré ces déboires sexuels, Robert n’avait jamais songé à tromper sa femme, à aller chercher auprès d’une autre, ce que son épouse lui refusait. Ce qui aurait été des plus naturel, vu l’état dans lequel cette longue abstinence prolongée le mettait. Peut-être restait-il fidèle par amour, car il continuait à éprouver une immense passion pour son épouse, et surtout parce que l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée.
Et puis le destin avait voulu que cette occasion se présente en la personne de sa tante, lors de l’hospitalisation de son oncle, le frère de son père…**
*
* *
Un bruit dans le couloir tira soudain Jeanne de son sommeil qu’elle avait toujours eu léger. Jetant un coup d’œil au réveil lumineux posé sur la table de nuit, elle y lut 7 h 00. Entre les volets entrebâillés, un rai de lumière éclairait faiblement la chambre. Les roucoulements d’une tourterelle faisant écho aux variations mélodiques d’un merle annonçaient une merveilleuse journée de printemps.
Jeanne s’étira voluptueusement entre ses draps, émergeant lentement de sa torpeur. Étendue sur le dos, les bras repliés sous sa nuque, les jambes largement écartées, dans une position qu’elle affectionnait particulièrement, elle se remémora avec émoi la sensuelle soirée qu’elle avait passée la veille. Elle avait encore une fois, connu une jouissance extraordinaire. Son neveu avait de nouveau été un amant fabuleux, lui procurant orgasme sur orgasme, avant de se libérer lui-même à longs jets puissants. Il y avait bien longtemps que ses sens n’avaient été à pareille fête.
Un léger craquement devant la porte de sa chambre alerta soudain Jeanne. Le cœur battant elle espéra la visite de Robert, prête qu’elle était à lui ouvrir ses bras, et surtout ses cuisses. Mais un bruit de dialogue lui apprit que Maggy était elle aussi levée. Déçue, elle se consola en se disant que la journée ne faisait que commencer, et qu’elle aurait bien l’occasion de se retrouver seule avec son jeune amant. N’espérant alors plus rien, elle s’éjecta du lit. Boutonnant la veste du pyjama, trop étroite pour son opulente poitrine, elle descendit rejoindre ses hôtes.
À la cuisine où elle pénétra, Maggy et Robert s’activaient chacun de leur côté à préparer le petit déjeuner. Maggy, qui surveillait la cafetière, était vêtue d’une nuisette décolletée en carré, retenue par deux larges bretelles de dentelle. Par moment, suivant les mouvements qu’effectuait la jeune femme, le dôme laiteux d’un de ses seins apparaissait. La nuisette de soie laissait deviner par transparence les deux larges aréoles foncées des lourdes mamelles gonflées. Robert, de son côté était en pyjama de soie bleu ciel.
-- Bonjour mes chéris ! Déjà debout Maggy ? Tu devrais faire attention… dans ton état…
-- Ne vous inquiétez pas Tantine, je me reposerai lorsque vous irez chercher Tonton.
-- Justement à ce sujet, j’aimerai qu’avant d’aller à l’hôpital, je puisse passer à la maison pour changer de vêtement.
-- Mais bien sur. Vous partirez lorsque vous le désirerez.
-- Ca m’embête de vous créer tout ce tracas…
-- Ne vous inquiétez pas de ça, Robert se fera un plaisir de vous conduire… Vous savez bien combien il vous aime…
« Bien plus que tu ne peux te l’imaginer », songea Jeanne.
Alors que Jeanne s’entretenait avec son épouse, Robert ne put s’empêcher de fixer avec concupiscence la merveilleuse croupe de sa tante, mise en valeur par le pantalon de pyjama trop étroit.
Déjà lorsque Jeanne avait fait son apparition à l’entrée de la cuisine, Robert avait eu son attention attirée par les imposantes bosses qui déformaient la veste de pyjama prêtée par Maggy. La plantureuse poitrine, qu’aucun soutien-gorge ne maintenait, ballottait d’une manière fort sensuelle à chaque mouvement de leur propriétaire.
Laissant la future mère à la préparation du café, Jeanne se retourna alors vers son neveu à qui elle tendit son visage pour un baiser matinal.
Saisissant naturellement sa tante par les hanches, Robert jeta un rapide coup d’œil en direction de son épouse. Celle-ci occupée à surveiller la cafetière où l’eau doucement commençait à mijoter leur tournait le dos, indifférente à ce qui se passait derrière elle. Profitant alors de la situation, Robert remonta rapidement les doigts de sa main droite jusqu’à la lourde poitrine qu’il palpa fiévreusement, éprouvant un plaisir intense à sentir la masse charnue du sein gonflé s’écraser mollement sous sa paume. Immédiatement il sentit son membre se gonfler à l’intérieur de son pantalon de pyjama.
-- Tu as bien dormi, Tantine demanda-t-il avec un sourire complice ?
-- Oui, j’étais vraiment fatiguée, murmura Jeanne sur le même ton alors qu’un frisson érotique la parcourait.
Pressant voluptueusement la volumineuse mamelle de sa main droite, Robert glissa sournoisement la gauche sur une fesse ferme et souple en même temps. Surveillant sa femme occupée à préparer le café, il malaxa avec passion la masse élastique dans laquelle il avait refermé ses doigts. Comme une enfant façonnant sa pâte à modeler ou un boulanger pétrissant sa pâte, il tritura sauvagement la croupe rebondie de sa tante.
Comprenant à l’attitude de son neveu que Maggy ne s’intéressait pas à eux, et ne pouvait deviner ce qui se passait dans son dos, Jeanne osa un geste qu’elle ne se serait jamais permise quelques jours auparavant. Sans se soucier de la présence de la future mère, elle lança une main conquérante en direction du bas-ventre de son neveu et amant. Ses doigts trouvèrent immédiatement ce qu’ils étaient venus chercher ; une raideur d’une dureté incroyable que le fin tissu du pyjama ne parvenait pas à protéger, ni à camoufler vraiment. Les sens soudain en ébullition elle pressa fermement le sexe masculin en érection, amorçant même une rapide masturbation.
Surpris par cette soudaine initiative à laquelle il ne s’attendait pas, Robert n’en demeura pas moins ravi. Jamais il n’aurait imaginé pareille audace de la part de sa tante, même si celle-ci l’avait fort étonnée par ses ardeurs amoureuses deux jours plus tôt. Elle qu’il avait toujours connue si réservée, si effacée même, se conduisait depuis qu’elle lui avait cédé une première fois, en amante passionnée.
Lorsque quarante-huit heures plus tôt elle était devenue sa maîtresse, elle s’était soumise à ses désirs, du fait de l’énorme choc émotionnel qu’elle avait ressenti lors de l’hospitalisation de son époux. Elle avait à cet instant-là, un énorme besoin de tendresse, de quelqu’un avec qui elle puisse communier, sur qui elle puisse s’épancher, quelqu’un qui l’aide à refaire surface. Robert s’était trouvé là au bon moment. Si ce n’avait été lui, s’aurait pu être n’importe qui, pourvu que cette personne ait su se montrer attentionnée et bienveillante.
Ce que Robert par contre ne pouvait savoir, c’est que grâce à lui ou à cause de lui, Jeanne, après les extraordinaires jouissances qu’elle avait connues, avait ressenti au fond d’elle-même un changement notoire : comme si un barrage psychique s’était soudainement brisé, libérant des désirs trop longtemps refoulés. Ces prodigieux orgasmes d’une phénoménale intensité, qu’elle avait connus, l’avaient laissée complètement stupéfaite ; l’avaient sexuellement décoincée. Quarante ans d’éducation judéo-chrétienne avaient fondu comme bulles au soleil, donnant naissance à une femme subitement libérée de ses contraintes bourgeoises. Une nouvelle femme qui se sentait le besoin de profiter de la vie, de rattraper tout ce qu’elle avait perdu pendant ces longues années… ……
-- Ça y est ! C’est bon. Tout le monde à table !
L’appel de Maggy sépara les deux amants. Force fut à Jeanne de lâcher l’imposante virilité qu’elle serrait passionnément.
Chacun se plaça autour de la table de cuisine, face à son bol. Tout en dégustant un croissant réchauffé au four micro-ondes, Robert tenta, comme il l’avait fait la veille, d’aller frôler à l’aide de son pied, le sexe de sa tante. Mais l’étroitesse de la table de cuisine l’empêcha de mener à bien ses manoeuvres érotiques. Tout ce qu’il réussit, pour prouver à sa tante combien il avait envie d’elle, ce fut de lui caresser le mollet de son pied nu. Ce simple attouchement, pourtant bien bénin, réussit cependant à combler Jeanne de bonheur.
Le petit déjeuner avalé, notre trio se reforma comme la veille : Maggy s’attela à la vaisselle, Jeanne l’essuya et Robert se chargea de la ranger. Devant le peu de couverts utilisés, la cuisine fut propre en peu de temps. Alors se posa la question de savoir qui allait utiliser la salle d’eau en premier. Ce fut Maggy qui décida, objectant que Robert, du fait de sa séance de rasage serait le plus long, il se devait s’y rendre en premier. Comme Robert, obéissant se levait pour se rendre à la salle d’eau, Jeanne proposa à Maggy :
-- Nous pourrions ranger ma chambre pendant ce temps.
Tous trois quittèrent la cuisine l’un derrière l’autre pour se rendre à l’étage. En tête, Maggy gravit péniblement les marches de bois, soutenant son gros ventre de ses mains. Derrière elle, Jeanne suivait lentement, précédant Robert. Fermant la marche, celui-ci pouvait suivre intéressé les balancements sensuels des fesses épanouies de sa tante. Cette croupe charnue, qui ondulait d’une façon terriblement érotique à quelques centimètres de son visage, le ravissait sexuellement. Face à ce spectacle exceptionnellement affriolant, il ne put se contenir. Sans hésiter, il tendit ses deux mains, pour crocheter ses doigts dans les masses élastiques, que le pantalon de soie moulait de façon presque indécente. Avec un plaisir évident, il malaxa les fesses aux chairs molles.
Jeanne, qui avait prévu cette attaque de ses arrières, sourit tendrement en sentant les doigts de son pervers neveu lui pincer sournoisement les fesses. Stoppant momentanément sa progression, elle cambra exagérément ses reins, offrant avec un certain plaisir son derrière aux palpations de son jeune amant. Mais alors qu’elle allait reprendre son escalade, elle sentit une des mains se glisser entre ses cuisses. Les doigts impatients vinrent frôler sa longue fente, avant de tenter de s’y enfoncer malgré le tissu du pyjama. Une bouffée de désir monopolisa de nouveau ses entrailles.
Jamais, songea Jeanne, elle n’avait été autant soumise à sa libido. Avant qu’elle ne cède aux désirs lubriques de son pervers neveu, quarante-huit heures plus tôt, ses sens la laissaient en paix entre chaque rapport conjugal. Rapports qui se produisaient en général toutes les deux semaines. Avec le temps, le désir s’était peu à peu émoussé entre Pierre et elle, remplacé par une douce affection, comme c’est le cas dans nombre de vieux couples. Or Robert lui avait fait connaître des orgasmes qu’elle n’avait jamais éprouvés avec son époux. Jamais Pierre n’avait réussi à la faire planer dans cette espèce d’inconscience irréelle, comme l’avait fait Robert. Depuis qu’elle avait découvert que la jouissance pouvait être si violente et si merveilleuse à la fois, sa sensualité s’était bizarrement intensifiée.
Lorsqu’ils parvinrent à l’étage où se trouvaient les chambres et la salle d’eau, le groupe se divisa. Robert se dirigea en direction de la salle de bain. La vulve en émoi, Jeanne suivit Maggy à l’intérieur de la chambre où elle avait passé la nuit. A peine entrée, la future mère se laissa tomber sur le lit en portant ses mains à son ventre avec un petit gémissement.
-- Ça ne va pas, s’inquiéta Jeanne ?
-- Ce n’est rien… Je ne sais pas s’il est pressé de sortir, mais depuis quelques jours il n’arrête pas de me donner des coups de pieds.
Quelque peu inquiète, Jeanne, qui n’avait connu ni les joies, ni les douleurs de l’enfantement, vint s’asseoir à sur le lit, aux côtés de la jeune femme.
-- Tenez ! Sentez !
Retroussant sa chemise de nuit, Maggy s’empara de la main de Jeanne et la posa sur son ventre nu parcouru de légers spasmes. Surprise par l’initiative de la jeune femme, Jeanne ne put s’empêcher de contempler ce ventre pansu à l’intérieur duquel une nouvelle vie avait pris naissance. Son regard accrocha la légère toison blonde qui se détachait en fines bouclettes au bas du pubis. Un frémissement sous sa paume la ramena brutalement à la réalité. Le fœtus venait de se révéler à elle, alors que Maggy poussait de nouveau un petit gémissement.
Soudainement émue et attendrie, Jeanne caressa doucement le ventre rond en tachant de réconforter Maggy qui grimaçait :
-- Là, ce n’est rien… Encore un peu de patience… Ton calvaire va bientôt prendre fin…
-- Vivement que ce soit terminé, gémit Maggy… Je ne peux plus supporter ce gros ventre… J’en ai vraiment marre…
Tendrement, comprenant qu’elle se devait de réconforter la future mère, Jeanne laissa courir sa main sur la peau tendue du ventre frémissant, d’un geste maternel.
-- Tu retrouveras vite ta taille de jeune fille.
Mollement allongée, se détendant au maximum, afin de tenter de calmer les soubresauts du fœtus à l’intérieur de son ventre, Maggy fut surprise de ressentit un étrange bien-être sous le frôlement de la main légère de Jeanne. Etonnée, elle dut s’avouer que les frémissements qui continuaient d’agiter son épiderme n’étaient plus dus aux mouvements désordonnés du bébé. Sous les légères caresses que la tante de son mari dispensait à son ventre gonflé, un savoureux plaisir l’envahissait insidieusement. Depuis quelques jours ses sens, qu’elle s’était forcée à ignorer depuis plusieurs mois, s’étaient soudainement rappelés à elle. Un sournois désir lui irradiait par moment les entrailles. Et cela se produisait n’importe où et à n’importe quel moment. Sans qu’elle ne puisse le contrôler, elle sentait sa vulve s’humidifier abondamment, trempant copieusement l’entrejambe de sa culotte. L’abstinence sexuelle qu’elle s’était imposée depuis six mois commençait réellement à la perturber. Il lui arrivait de plus en plus souvent d’avoir des rêves érotiques qui la réveillaient au milieu de la nuit, le corps moite de désir et la vulve palpitante. Dans ces moments-là, il lui fallait toute sa volonté pour s’empêcher de chevaucher son époux endormi à ses côtés. Bien souvent, pour retrouver un certain calme, elle faisait appel à ses doigts, pour apaiser le brasier qui lui consumait le vagin, retrouvant ses habitudes de collégienne.
La peur, irraisonnée que tout accouplement ne vienne mettre en danger l’évolution de cette vie qui prenait forme dans son ventre, l’avait forcé à refuser tout rapport conjugal à son époux.
Jeanne éprouvait un certain plaisir sensuel à caresser ce ventre que la grossesse distendait. Sans vraiment s’en rendre compte, elle laissa sa main accomplir des cercles de plus en plus grands sur la peau veloutée. Or à un moment, alors que ses doigts s’égaraient par mégarde dans la toison bouclée, qui ornait le pubis dilaté, un brusque tressaillement de Maggy la surprit. Elle immobilisa sa main alors qu’un gémissement s’échappait de la gorge de la jeune femme.
Étonnée par ce sursaut auquel elle ne s’attendait pas, Jeanne interrogea Maggy du regard. Ce qu’elle découvrit alors la stupéfia : la bouche entrouverte sur une respiration accélérée, Maggy la fixait d’un air implorant, les yeux brillant étrangement. Stupéfaite par ce que ce regard exprimait, Jeanne ressentit un étrange frisson la parcourir. Le souvenir de ce que lui avait avoué Robert deux jours plus tôt au sujet de son épouse lui revint en mémoire. Si comme lui avait annoncé son neveu, Maggy se refusait à lui depuis le début de sa grossesse, la jeune femme n’en était pas moins victime de ses sens. Jeanne était suffisamment avertie de ce genre de besoin, pour l’avoir elle-même maintes fois subi. Tout dans l’expression du visage de la future mère, révélait que celle-ci était prête à céder à sa libido enfiévrée, qu’elle implorait même une délivrance. Et que c’était à elle, parce qu’elle était une femme, qu’elle faisait appel.
Doucement, le cœur battant à cent à l’heure, Jeanne entreprit alors d’agiter ses doigts dans la toison dorée. Les yeux fixés sur le ventre incroyablement arrondi, elle s’ingénia à démêler les bouclettes blondes, griffant mesurément la peau sensible du pubis. Ce ventre fabuleusement déformé par la grossesse l’attirait particulièrement, elle que le destin avait privé de cette épreuve.
Seule la respiration saccadée de Maggy troublait le silence de la chambre. Les yeux clos afin de mieux se concentrer sur le plaisir qu’elle espérait, la jeune femme s’offrait sans aucune pudeur. Frémissante d’impatience, elle attendait un apaisement de ses sens, espérant que la tante de son mari puisse apaiser son malaise sexuel. Il y avait trop longtemps qu’elle se privait de jouissance : même si lorsque cela devenait trop difficile à supporter, elle calmait le feu qui lui consumait le vagin, d’un doigt impatient. Mais ce matin, dès son réveil, elle s’était rendue compte qu’elle ne pourrait résister à cet impérieux désir qui s’était propagé dans ses entrailles. Toutes ses résolutions avaient été balayées, dissoutes, par ses sens exacerbés. Le désir, qu’elle se forçait à ignorer depuis un certain temps, s’était soudainement amplifié, prenant le dessus sur sa volonté.
De plus en plus troublée par les frôlements des doigts de Jeanne sur son pubis, Maggy ne put retenir un gémissement d’impatiente sexuel. Dans un sursaut surexcité, elle lança son bas-ventre gonflé au-devant de cette main si douce qui l’affolait.
Le regard fixé sur la toison blonde qu’elle ébouriffait distraitement, Jeanne se remémora avec mélancolie ses soirées passées au pensionnat dirigé par des sœurs où en compagnie de filles de son âge, elle avait découvert là ses premiers émois sexuels.
« Chaque soir, après que la sœur surveillante ait fait son tour dans la chambrée et éteint les lumières, certains lits se vidaient de leurs occupantes. Celles-ci, furtivement se glissaient dans le lit voisin. Là, à l’abri des draps, c’était des baisers et des caresses, qui sans apporter une véritable jouissance aux jeunes filles, apaisaient quand même leurs jeunes sens en plein éveil… Jeanne se souviendrait toujours de cette fille, de deux ans son aînée, qui un jour l’avait entraînée à l’intérieur de la buanderie, déserte à cette heure. Elle l’avait poussé sur un tas de linge, à l’abri d’une haute corbeille... Jeanne ne s’était pas défendue lorsque la fille lui avait retiré sa culotte de coton, toute excitée qu’elle était. Mais quand l’adolescente avait plongé, son visage entre ses cuisses pour lui lécher la fente, elle avait été prise de panique. Son sexe était un endroit tabou, lui avait-on constamment répété. Mais très vite, elle avait été bien obligée de reconnaître qu’une langue prodiguait beaucoup plus de plaisir que les doigts qui l’avaient jusque-là caressée. À quatorze ans, elle avait connu sa première vraie jouissance… Quelques semaines plus tard, son initiatrice s’était fait surprendre dans le lit d’une soeur. Les deux coupables avaient alors disparu du couvent. Personne n’avait jamais su ce qu’elles étaient devenues… »
Un brusque sursaut de Maggy ramena Jeanne à la réalité. Sa main avait insidieusement glissé du pubis, où elle caressait tendrement la légère fourrure dorée, jusqu’à l’entrecuisse moite de la future mère. ; ce qui avait déclenché ce tressaillement chez Maggy. Prenant conscience de ce que la jeune femme attendait de sa part, Jeanne se décida alors d’assumer ce rôle de sexologue.
Se penchant sur ce sexe que la future mère lui offrait complaisamment, Jeanne fit délicatement glisser son pouce le long des lèvres sexuelles roses et luisantes de cyprine. Habilement, par petites touches précises, elle chercha à dénicher le clitoris qui se cachait encore dans les replis de la vulve. Très vite, sous les effleurements dont il était l’objet, le sensible bourgeon émergea d’entre les commissures des grandes lèvres sexuelles : petit bouton de chair rose, magique berlingot, épicentre du plaisir féminin que Jeanne s’activa à agacer. Les soupirs de Maggy se firent aussitôt plus pressants.
Tout en frottant de son pouce le clitoris qui avait atteint sa taille maximale, Jeanne activa son majeur le long de la fente sexuelle de plus en plus humide. Sachant par expérience tout le plaisir que l’on pouvait ressentir sous ce genre d’attouchement, Jeanne fit naviguer son doigt, de la vulve palpitante à l’anus resserré. Passant méthodiquement d’un orifice à l’autre, elle s’ingénia à recueillir un peu de liqueur amoureuse à l’orée de la vulve humide, pour ensuite en humecter l’orifice anal.
Sous ces différents attouchements terriblement voluptueux que lui prodiguait sa tante par alliance, Maggy se sentit peu à peu submergée par un indicible langueur voluptueuse. Avec un gémissement étouffé, elle se cambra, péniblement du fait de son gros ventre, pour s’abandonner alors sans retenues aux caresses de sa complice, lui offrant son sexe enflammé.
Se rendant compte combien ses effleurements sexuels affolaient Maggy, Jeanne qui depuis le matin éprouvait un certain désir, s’appliqua alors à contenter la jeune épouse de son neveu.… Tout en continuant à agacer le clitoris extraordinairement dilaté de son pouce, elle positionna son majeur à l’entrée de la longue fente ; brèche rose et luisante au milieu d’une abondante toison dorée. Avec beaucoup de délicatesse, elle enfonça son doigt à l’intérieur de la vulve moite d’une liqueur onctueuse.
N’ayant jamais eu de réelles relations homosexuelles, autres que celles pratiquées du temps de son adolescence, dans le secret des dortoirs du pensionnat, Jeanne s’évertua à procurer à Maggy, ce plaisir auquel la jeune femme aspirait.
Sans cesser de lutiner le fabuleux bouton de chair, qui avait jailli de son abri dès les premiers attouchements, Jeanne agita son majeur à l’intérieur de la chatte moelleuse. Comme son doigt, compte tenu de son diamètre, ne pouvait concurrencer un membre viril gonflé par le désir, elle remédia à cet handicap en ajoutant son index à son majeur. Maggy secrétait une telle abondance de cyprine que les deux doigts n’eurent aucune difficulté à se glisser dans la moule extrêmement élargie de la future mère. Alors, en un lent va-et-vient, Jeanne entreprit de pistonner le vagin torride de sa jeune partenaire largement offerte à ses attouchements, tachant de simuler les mouvements alternatifs d’un membre viril lors d’un accouplement.
À chaque pénétration au fond de la vulve accueillante, Jeanne prenait un plaisir évident à frotter de ses phalanges, les chaudes parois ruisselantes… Un râle sourd s’échappant de la gorge de Maggy ne tarda pas à la récompenser de ses efforts. Subjuguée par cet encouragement diffus, Jeanne jeta un coup d’œil en direction du visage de sa partenaire. Ce qu’elle y découvrit l’affola étrangement : Maggy, les mains pressant ses gros seins, la fixait avec un regard exalté. Jamais encore elle n’avait découvert une telle sensualité sur un visage féminin.
Les seins fiévreusement malaxés laissaient échapper des perles de lait, qui suintant des tétines érigées, s’écoulaient le long des lourdes mamelles en sillons blanchâtres. N’ayant pas eu la chance de connaître ce genre de bonheur lors de sa jeunesse, Jeanne éprouva soudain le désir impérieux de goûter à ce lait nutritif. D’un doigt curieux, elle recueillit, à même le mamelon tuméfié un peu de cette liqueur sirupeuse, qu’elle porta à sa bouche. La saveur qu’elle découvrit en léchant son index ne fit que renforcer son envie d’aller recueillir à même la source le divin nectar. Sans réfléchir à ce que son geste pouvait avoir d’étrange vis-à-vis de Maggy, elle se pencha alors sur l’un des seins gonflés. Avec émoi elle aspira la large aréole brune et boursouflée, qu’elle pressa de ses lèvres pour en faire jaillir le chaud liquide nourricier. Ivre de luxure, elle s’acharna sur le mamelon congestionné, le forçant à libérer sa sève onctueuse qu’elle avala avec une réelle gourmandise.
Sous cette succion, à laquelle elle ne s’attendait pas, Maggy ressentit une nouvelle onde de plaisir lui parcourir le corps. Dès qu’elle avait commencé à allaiter, elle s’était refusée à ce que Robert ne vienne se désaltérer à ses outres de chair copieusement gonflées. Or, Jeanne, lui faisait découvrir combien une bouche aspirant ses mamelons pouvait lui apporter du plaisir. Un sourd gémissement lui échappa. Dans un geste déjà maternel, elle referma sa main sur la nuque de sa sensuelle parente, lui pressant le visage sur son sein, comme elle l’aurait fait avec un nourrisson affamé.
Comprenant que cette pression sur son cou était en fait un encouragement à continuer ses cajoleries sensuelles, Jeanne accentua sa prestation érotique. Sans pour autant cesser de titiller d’un doigt expert le clitoris enflé, elle s’ingénia à sucer alternativement les tétons ruisselants de lait, pressant les mamelons afin de les faire dégorger de leur liqueur chaude et nourrissante. Goulûment elle s’abreuva ainsi aux deux seins gonflés, passant alternativement de l’un à l’autre.
Sous les différents attouchements, terriblement affolants, que lui dispensait la tante de son mari, Maggy ne tarda pas à ressentir dans tout son corps, les prémices d’une jouissance proche. Des ondes voluptueuses, de plus en plus intenses, lui irradiaient le bas-ventre, tandis que des torrents de laves bouillonnantes s’échappaient de son sexe habilement fouillé. Incapable de résister à cet afflux de plaisir, la jeune femme se laissa emporter par les vagues successives, qui naissant au plus profond de ses entrailles venaient mourir au creux de sa poitrine. Cette houle érotique se faisant de plus en plus impétueuse au fil des secondes, Maggy s’abandonna à ce raz de marée sexuel. Ivre de plaisir, elle se sentit brusquement emporter dans un tourbillon d’une sensualité extrême. Tout ce qui l’entourait disparut au profit d’une immense lueur, tandis que dans sa poitrine son cœur cessait de battre un court instant avant de s’emballer soudainement. Malgré son ventre proéminent, ses reins se creusèrent dans un spasme impulsif. Un orgasme d’une violence démesuré l’emporta dans un tourbillon phénoménal, la pétrifia arc-boutée sur sa couche. Les doigts crochetés dans la chevelure de sa sensuelle partenaire, occupée à lui mordiller les tétons, Maggy dut faire un incroyable effort pour étouffer le cri de jouissance qu’elle sentait monter au plus profond de sa gorge.
Pendant plusieurs minutes, la jeune femme demeura le corps arqué, reposant uniquement sur la nuque et les talons, les cuisses tétanisées enserrant cette main qui l’avait si bien amenée à la jouissance. Puis d’un coup, comme une baudruche se dégonflant subitement, elle retomba sur le dos, anéantie, le souffle précipité.
Émue par ce spectacle, Jeanne contempla affectueusement sa jeune complice, tout en retirant délicatement ses doigts de la vulve encore palpitante :
-- Ça va mieux ma chérie, murmura-t-elle en essuyant tendrement la sueur érotique qui trempait le front de la jeune femme ?...
-- C’était merveilleux, murmura doucement Maggy… Il y a longtemps……
Bien qu’ayant compris ce à quoi, la future mère faisait allusion, Jeanne décida de pousser cette dernière à plus de confidences :
-- Comment, tu veux dire qu’avec Robert tu n’éprouves plus de plaisir ?
-- C'est-à-dire que… Il ne t’a rien dit, tenta de murmurer Maggy…
-- Qui ?... Robert ?... Non... Qu’est-ce qu’il aurait dû me dire ?
-- Eh bien, voila… je… enfin, nous…
Devant les difficultés que semblait éprouver Maggy à se confesser, Jeanne tenta de l’aider :
-- Est-ce si dure à dire ?... Tu sais si tu ne veux rien me dire, je comprendrais…
-- Si, si... Eh bien, voila...Mais vous me promettez de garder ça pour vous…
-- Je te le promet, se parjura Jeanne.
-- Robert ne m’a pas touché depuis quelques mois déjà, lança précipitamment Maggy, comme pressée de se libérer d’un secret.
-- Tu veux dire que Robert ne t’a pas fait l’amour depuis plusieurs mois ?
Jeanne éprouva un plaisir pervers à insister sur le problème du couple, dont elle n’ignorait rien.
-- C'est-à-dire, tantine que c’est plutôt moi qui lui refuse de me toucher… J’ai tellement peur… que lorsqu’il me… pénètre, il fasse du mal au bébé…
Comprenant alors les craintes, irraisonnées, de la future mère, Jeanne décida de rassurer cette dernière :
-- Tu n’as pas à t’inquiéter ainsi, ma chérie… Ton bébé ne risque rien… D’ailleurs, si cela peut te rassurer, il existe certaines positions où tu peux faire l’amour sans risque pour ton bébé… Par exemple… la position de la levrette… Tu connais ?
-- Ah non !... Je ne suis pas une chienne !... C’est bon pour les animaux !...
Jeanne demeura sans voix devant ce refus outré. Que pouvait-elle répondre à de pareils arguments.
-- Tu n’as pas peur que Robert aille chercher auprès d’une autre femme ce que tu lui refuses, tenta-t-elle de plaider.
-- Bien sur que j’y pense, pleurnicha Maggy… Mais je ne peux me résoudre à ce qu’il me fasse l’amour… La peur est trop forte…
-- Tu pourrais peut-être accepter qu’il te prenne autrement… Nous avons un autre orifice qui peut se prêter à une pénétration…
-- Oh, s’exclama Maggy !... Vous voulez dire que je dois accepter que Robert m’enfonce son membre dans le… le…
-- Eh oui ! Dans le cul !... N’ayons pas peur des mots… Tu sais cela se fait couramment… Robert n’a jamais essayé ?
-- Heu… Si une fois, mais… je n’ai pas voulu… … Tante, il est monté comme un mulet votre cher neveu… Il m’aurait déchiré…
Jeanne ne put s’empêcher de songer avec émoi au membre fabuleux de son neveu. Il est vrai qu’elle-même avait été extrêmement ahurie lorsqu’elle avait découvert l’imposante verge qui se dressait au bas du ventre de son neveu. Un moment même, elle avait craint que le long dard de chair ne puisse pénétrer entièrement dans son vagin.
-- Tu sais, tenta-t-elle de convaincre, ton petit trou est extrêmement élastique… Je ne connais pas le volume du membre de ton mari, mentit-elle, mais bien lubrifiée je suis certaine que tu n’aurais pas trop mal à l’accepter… Et tu ne peux pas imaginer comme c’est extraordinaire de ce coté là…
-- Vous voulez dire que l’on peut éprouver du plaisir de ce coté là ?... Vous… Vous avez déjà fait l’amour comme ça ?...
-- Bien sur, plusieurs fois… Et je peux t’assurer que j’y ai toujours pris énormément de plaisir… C’est différent d’une pénétration normale, mais c’est vraiment sublime…
Devant l’air septique de Maggy, Jeanne décida de prouver ses affirmations. Comme sa main, après la jouissance de la jeune femme, était restée posée sur le bas-ventre de celle-ci, elle glissa doucement ses doigts le long de la fente sexuelle trempée. Frottant son majeur à la chaude liqueur qui suintait encore de la chatte béante, elle en posa ensuite l’extrémité copieusement humidifiée contre la rosace fripée de l’anus. Délicatement, avec beaucoup de douceur elle caressa la corolle qu’elle sentit frémir sous sa phalange.
Comprenant que sa sensuelle partenaire désirait lui faire connaître cette pénétration quelque peu spéciale, et à laquelle elle s’était toujours refusée, Maggy s’abandonna toute, curieuse. Relâchant au maximum ses muscles fessiers, ainsi que son anus, elle polarisa toute son attention sur les sensations qu’allait lui apporter cette découverte. Sans trop d’émoi, elle sentit tout d’abord un des doigts de Jeanne forcer l’ouverture de son orifice secondaire pour s’y agiter doucement. Attentive à ce que pouvait lui apporter cette nouvelle pénétration, Maggy dut reconnaître que le massage des parois de ses intestins par ce doigt indiscret lui procurait un certain bien être. Rassurée par ce début, par ma fois, prometteur, la jeune femme s’abandonna alors complètement aux attouchements de son initiatrice.
Les deux mains refermées sur ses volumineux seins gonflés, elle ferma les yeux afin de mieux savourer ce plaisir diffus qui se répandait dans ses entrailles. Les secondes s’écoulèrent dans un silence religieux.
Le bruit soudain de la porte de la salle d’eau ramena brusquement les deux complices à la réalité. Jeanne retira vivement son doigt du cul accueillant et se redressa rapidement. Tendant la main à Maggy qui du fait de son gros ventre éprouvait un certain mal à se relever, elle l’aida à reprendre une position plus correcte.
Maggy eut juste le temps de rabattre sa nuisette sur ses cuisses avant que Robert fasse son apparition dans la chambre :
-- Voila, c’est terminé pour moi, lança-t-il à la cantonade… Au suivant !
-- Allez-y Tante, décida Maggy... Moi j’irais lorsque vous serez partis…
Récupérant ses vêtements de la veille, Jeanne se dirigea en direction de la salle de bain, abandonnant les deux époux.
*
* *
« A suivre »
** Lire « Tante Jeanne 1 et 2 »
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Merci.
Fulvia69 @neuf.fr
Une journée sexuellement bien remplie
Une fois seule, Jeanne entama une toilette intime poussée. Méticuleusement, à l’aide de son index et de son majeur réunis, elle entreprit d’extraire de son vagin souillé, les reliquats de sperme que son neveu avait lâchés à profusion. Puis vêtue du pyjama que Maggy lui avait prêté pour la nuit elle rejoignit la chambre d’amis mis à sa disposition.
Couchée dans le noir, Jeanne songea à cette soirée qu’elle venait de passer avec son neveu et son épouse. Les sens enfin apaisés après l’extraordinaire jouissance que Robert lui avait fait connaître, un sentiment de remords la saisit. Remords tout d’abord vis-à-vis de son époux qu’elle venait de tromper pour la seconde fois en vingt-quatre heures, alors que le malheureux se trouvait alité à l’hôpital. Remords également vis-à-vis de Maggy, la femme de son amant, même si celle-ci, au dire de Robert, refusait toutes relations sexuelles depuis le début de sa grossesse.
Puis ses pensées changèrent de cap comme c’est souvent le cas chez beaucoup d’êtres humains. Passant outre à ses repentances, elle se polarisa sur les problèmes de couple de son neveu et de son épouse. Vu l’âge et l’ardeur de Robert, Maggy, songea-t-elle devait bien penser que ce dernier ne pouvait rester chaste pendant neuf mois ; et que lorsque le désir deviendrait par trop insistant il irait chercher ailleurs l’apaisement de ses sens. Une autre constatation traversa l’esprit de Jeanne. Maggy avait eu de la chance pensa-t-elle, que son époux ait trouvé cet exutoire sexuel avec sa propre tante. Le lien de parenté les unissant, ainsi que leur énorme différence d’âge protégeait en quelque sorte Maggy d’une rupture de son couple. Mais en même temps, Jeanne se rendait bien compte que, tenue de ces différences, la liaison qu’elle entretenait depuis vingt-quatre heures avec son neveu ne pourrait durer bien longtemps. Aussi rejetant loin d’elle ses remords, elle décida de profiter au maximum de cette opportunité que le destin lui offrait, comme un ultime cadeau. Comme si cette décision avait calmé ses angoisses, elle s’endormit enfin, du sommeil du juste…
*
* *
Ouvrant un œil, Robert comprit immédiatement qu’au bas de son ventre, son sexe s’était également réveillé, et peut-être même avant lui. Chaque matin d’ailleurs, depuis que Maggy se refusait à lui dispenser le moindre soulagement sexuel, il se réveillait victime d’une érection phénoménale. Portant une main compatissante à l’encontre de son membre inutilement dressé il le flatta distraitement. Il n’était pas question qu’il demande une aide quelconque à son épouse, celle-ci depuis sa grossesse opposait systématiquement un refus à ses désirs. Même une simple masturbation lui était refusée. Maggy craignait que cette simple caresse ne l’excite de trop, et que dans son désir il ne veuille lui faire l’amour, ce qui d’après elle pourrait faire nuire au bébé qu’elle portait. Au début de cette phobie, il avait pourtant réussi à convaincre son épouse de le branler de temps à autre. Mais affolée à l’idée que ce simple attouchement ne lui suffise pas et qu’il en veuille plus, Maggy se pressait alors de conclure. Elle le masturbait alors avec une telle hâte, qu’elle le faisait décharger si rapidement, qu’il n’en éprouvait pas un réel plaisir. Aussi de lui-même il avait cessé de quémander la moindre caresse à son épouse apeurée, préférant, lorsque le désir devenait trop pressant, se branler lui-même sous la douche lors de sa toilette matinale.
Pourtant, malgré ces déboires sexuels, Robert n’avait jamais songé à tromper sa femme, à aller chercher auprès d’une autre, ce que son épouse lui refusait. Ce qui aurait été des plus naturel, vu l’état dans lequel cette longue abstinence prolongée le mettait. Peut-être restait-il fidèle par amour, car il continuait à éprouver une immense passion pour son épouse, et surtout parce que l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée.
Et puis le destin avait voulu que cette occasion se présente en la personne de sa tante, lors de l’hospitalisation de son oncle, le frère de son père…**
*
* *
Un bruit dans le couloir tira soudain Jeanne de son sommeil qu’elle avait toujours eu léger. Jetant un coup d’œil au réveil lumineux posé sur la table de nuit, elle y lut 7 h 00. Entre les volets entrebâillés, un rai de lumière éclairait faiblement la chambre. Les roucoulements d’une tourterelle faisant écho aux variations mélodiques d’un merle annonçaient une merveilleuse journée de printemps.
Jeanne s’étira voluptueusement entre ses draps, émergeant lentement de sa torpeur. Étendue sur le dos, les bras repliés sous sa nuque, les jambes largement écartées, dans une position qu’elle affectionnait particulièrement, elle se remémora avec émoi la sensuelle soirée qu’elle avait passée la veille. Elle avait encore une fois, connu une jouissance extraordinaire. Son neveu avait de nouveau été un amant fabuleux, lui procurant orgasme sur orgasme, avant de se libérer lui-même à longs jets puissants. Il y avait bien longtemps que ses sens n’avaient été à pareille fête.
Un léger craquement devant la porte de sa chambre alerta soudain Jeanne. Le cœur battant elle espéra la visite de Robert, prête qu’elle était à lui ouvrir ses bras, et surtout ses cuisses. Mais un bruit de dialogue lui apprit que Maggy était elle aussi levée. Déçue, elle se consola en se disant que la journée ne faisait que commencer, et qu’elle aurait bien l’occasion de se retrouver seule avec son jeune amant. N’espérant alors plus rien, elle s’éjecta du lit. Boutonnant la veste du pyjama, trop étroite pour son opulente poitrine, elle descendit rejoindre ses hôtes.
À la cuisine où elle pénétra, Maggy et Robert s’activaient chacun de leur côté à préparer le petit déjeuner. Maggy, qui surveillait la cafetière, était vêtue d’une nuisette décolletée en carré, retenue par deux larges bretelles de dentelle. Par moment, suivant les mouvements qu’effectuait la jeune femme, le dôme laiteux d’un de ses seins apparaissait. La nuisette de soie laissait deviner par transparence les deux larges aréoles foncées des lourdes mamelles gonflées. Robert, de son côté était en pyjama de soie bleu ciel.
-- Bonjour mes chéris ! Déjà debout Maggy ? Tu devrais faire attention… dans ton état…
-- Ne vous inquiétez pas Tantine, je me reposerai lorsque vous irez chercher Tonton.
-- Justement à ce sujet, j’aimerai qu’avant d’aller à l’hôpital, je puisse passer à la maison pour changer de vêtement.
-- Mais bien sur. Vous partirez lorsque vous le désirerez.
-- Ca m’embête de vous créer tout ce tracas…
-- Ne vous inquiétez pas de ça, Robert se fera un plaisir de vous conduire… Vous savez bien combien il vous aime…
« Bien plus que tu ne peux te l’imaginer », songea Jeanne.
Alors que Jeanne s’entretenait avec son épouse, Robert ne put s’empêcher de fixer avec concupiscence la merveilleuse croupe de sa tante, mise en valeur par le pantalon de pyjama trop étroit.
Déjà lorsque Jeanne avait fait son apparition à l’entrée de la cuisine, Robert avait eu son attention attirée par les imposantes bosses qui déformaient la veste de pyjama prêtée par Maggy. La plantureuse poitrine, qu’aucun soutien-gorge ne maintenait, ballottait d’une manière fort sensuelle à chaque mouvement de leur propriétaire.
Laissant la future mère à la préparation du café, Jeanne se retourna alors vers son neveu à qui elle tendit son visage pour un baiser matinal.
Saisissant naturellement sa tante par les hanches, Robert jeta un rapide coup d’œil en direction de son épouse. Celle-ci occupée à surveiller la cafetière où l’eau doucement commençait à mijoter leur tournait le dos, indifférente à ce qui se passait derrière elle. Profitant alors de la situation, Robert remonta rapidement les doigts de sa main droite jusqu’à la lourde poitrine qu’il palpa fiévreusement, éprouvant un plaisir intense à sentir la masse charnue du sein gonflé s’écraser mollement sous sa paume. Immédiatement il sentit son membre se gonfler à l’intérieur de son pantalon de pyjama.
-- Tu as bien dormi, Tantine demanda-t-il avec un sourire complice ?
-- Oui, j’étais vraiment fatiguée, murmura Jeanne sur le même ton alors qu’un frisson érotique la parcourait.
Pressant voluptueusement la volumineuse mamelle de sa main droite, Robert glissa sournoisement la gauche sur une fesse ferme et souple en même temps. Surveillant sa femme occupée à préparer le café, il malaxa avec passion la masse élastique dans laquelle il avait refermé ses doigts. Comme une enfant façonnant sa pâte à modeler ou un boulanger pétrissant sa pâte, il tritura sauvagement la croupe rebondie de sa tante.
Comprenant à l’attitude de son neveu que Maggy ne s’intéressait pas à eux, et ne pouvait deviner ce qui se passait dans son dos, Jeanne osa un geste qu’elle ne se serait jamais permise quelques jours auparavant. Sans se soucier de la présence de la future mère, elle lança une main conquérante en direction du bas-ventre de son neveu et amant. Ses doigts trouvèrent immédiatement ce qu’ils étaient venus chercher ; une raideur d’une dureté incroyable que le fin tissu du pyjama ne parvenait pas à protéger, ni à camoufler vraiment. Les sens soudain en ébullition elle pressa fermement le sexe masculin en érection, amorçant même une rapide masturbation.
Surpris par cette soudaine initiative à laquelle il ne s’attendait pas, Robert n’en demeura pas moins ravi. Jamais il n’aurait imaginé pareille audace de la part de sa tante, même si celle-ci l’avait fort étonnée par ses ardeurs amoureuses deux jours plus tôt. Elle qu’il avait toujours connue si réservée, si effacée même, se conduisait depuis qu’elle lui avait cédé une première fois, en amante passionnée.
Lorsque quarante-huit heures plus tôt elle était devenue sa maîtresse, elle s’était soumise à ses désirs, du fait de l’énorme choc émotionnel qu’elle avait ressenti lors de l’hospitalisation de son époux. Elle avait à cet instant-là, un énorme besoin de tendresse, de quelqu’un avec qui elle puisse communier, sur qui elle puisse s’épancher, quelqu’un qui l’aide à refaire surface. Robert s’était trouvé là au bon moment. Si ce n’avait été lui, s’aurait pu être n’importe qui, pourvu que cette personne ait su se montrer attentionnée et bienveillante.
Ce que Robert par contre ne pouvait savoir, c’est que grâce à lui ou à cause de lui, Jeanne, après les extraordinaires jouissances qu’elle avait connues, avait ressenti au fond d’elle-même un changement notoire : comme si un barrage psychique s’était soudainement brisé, libérant des désirs trop longtemps refoulés. Ces prodigieux orgasmes d’une phénoménale intensité, qu’elle avait connus, l’avaient laissée complètement stupéfaite ; l’avaient sexuellement décoincée. Quarante ans d’éducation judéo-chrétienne avaient fondu comme bulles au soleil, donnant naissance à une femme subitement libérée de ses contraintes bourgeoises. Une nouvelle femme qui se sentait le besoin de profiter de la vie, de rattraper tout ce qu’elle avait perdu pendant ces longues années… ……
-- Ça y est ! C’est bon. Tout le monde à table !
L’appel de Maggy sépara les deux amants. Force fut à Jeanne de lâcher l’imposante virilité qu’elle serrait passionnément.
Chacun se plaça autour de la table de cuisine, face à son bol. Tout en dégustant un croissant réchauffé au four micro-ondes, Robert tenta, comme il l’avait fait la veille, d’aller frôler à l’aide de son pied, le sexe de sa tante. Mais l’étroitesse de la table de cuisine l’empêcha de mener à bien ses manoeuvres érotiques. Tout ce qu’il réussit, pour prouver à sa tante combien il avait envie d’elle, ce fut de lui caresser le mollet de son pied nu. Ce simple attouchement, pourtant bien bénin, réussit cependant à combler Jeanne de bonheur.
Le petit déjeuner avalé, notre trio se reforma comme la veille : Maggy s’attela à la vaisselle, Jeanne l’essuya et Robert se chargea de la ranger. Devant le peu de couverts utilisés, la cuisine fut propre en peu de temps. Alors se posa la question de savoir qui allait utiliser la salle d’eau en premier. Ce fut Maggy qui décida, objectant que Robert, du fait de sa séance de rasage serait le plus long, il se devait s’y rendre en premier. Comme Robert, obéissant se levait pour se rendre à la salle d’eau, Jeanne proposa à Maggy :
-- Nous pourrions ranger ma chambre pendant ce temps.
Tous trois quittèrent la cuisine l’un derrière l’autre pour se rendre à l’étage. En tête, Maggy gravit péniblement les marches de bois, soutenant son gros ventre de ses mains. Derrière elle, Jeanne suivait lentement, précédant Robert. Fermant la marche, celui-ci pouvait suivre intéressé les balancements sensuels des fesses épanouies de sa tante. Cette croupe charnue, qui ondulait d’une façon terriblement érotique à quelques centimètres de son visage, le ravissait sexuellement. Face à ce spectacle exceptionnellement affriolant, il ne put se contenir. Sans hésiter, il tendit ses deux mains, pour crocheter ses doigts dans les masses élastiques, que le pantalon de soie moulait de façon presque indécente. Avec un plaisir évident, il malaxa les fesses aux chairs molles.
Jeanne, qui avait prévu cette attaque de ses arrières, sourit tendrement en sentant les doigts de son pervers neveu lui pincer sournoisement les fesses. Stoppant momentanément sa progression, elle cambra exagérément ses reins, offrant avec un certain plaisir son derrière aux palpations de son jeune amant. Mais alors qu’elle allait reprendre son escalade, elle sentit une des mains se glisser entre ses cuisses. Les doigts impatients vinrent frôler sa longue fente, avant de tenter de s’y enfoncer malgré le tissu du pyjama. Une bouffée de désir monopolisa de nouveau ses entrailles.
Jamais, songea Jeanne, elle n’avait été autant soumise à sa libido. Avant qu’elle ne cède aux désirs lubriques de son pervers neveu, quarante-huit heures plus tôt, ses sens la laissaient en paix entre chaque rapport conjugal. Rapports qui se produisaient en général toutes les deux semaines. Avec le temps, le désir s’était peu à peu émoussé entre Pierre et elle, remplacé par une douce affection, comme c’est le cas dans nombre de vieux couples. Or Robert lui avait fait connaître des orgasmes qu’elle n’avait jamais éprouvés avec son époux. Jamais Pierre n’avait réussi à la faire planer dans cette espèce d’inconscience irréelle, comme l’avait fait Robert. Depuis qu’elle avait découvert que la jouissance pouvait être si violente et si merveilleuse à la fois, sa sensualité s’était bizarrement intensifiée.
Lorsqu’ils parvinrent à l’étage où se trouvaient les chambres et la salle d’eau, le groupe se divisa. Robert se dirigea en direction de la salle de bain. La vulve en émoi, Jeanne suivit Maggy à l’intérieur de la chambre où elle avait passé la nuit. A peine entrée, la future mère se laissa tomber sur le lit en portant ses mains à son ventre avec un petit gémissement.
-- Ça ne va pas, s’inquiéta Jeanne ?
-- Ce n’est rien… Je ne sais pas s’il est pressé de sortir, mais depuis quelques jours il n’arrête pas de me donner des coups de pieds.
Quelque peu inquiète, Jeanne, qui n’avait connu ni les joies, ni les douleurs de l’enfantement, vint s’asseoir à sur le lit, aux côtés de la jeune femme.
-- Tenez ! Sentez !
Retroussant sa chemise de nuit, Maggy s’empara de la main de Jeanne et la posa sur son ventre nu parcouru de légers spasmes. Surprise par l’initiative de la jeune femme, Jeanne ne put s’empêcher de contempler ce ventre pansu à l’intérieur duquel une nouvelle vie avait pris naissance. Son regard accrocha la légère toison blonde qui se détachait en fines bouclettes au bas du pubis. Un frémissement sous sa paume la ramena brutalement à la réalité. Le fœtus venait de se révéler à elle, alors que Maggy poussait de nouveau un petit gémissement.
Soudainement émue et attendrie, Jeanne caressa doucement le ventre rond en tachant de réconforter Maggy qui grimaçait :
-- Là, ce n’est rien… Encore un peu de patience… Ton calvaire va bientôt prendre fin…
-- Vivement que ce soit terminé, gémit Maggy… Je ne peux plus supporter ce gros ventre… J’en ai vraiment marre…
Tendrement, comprenant qu’elle se devait de réconforter la future mère, Jeanne laissa courir sa main sur la peau tendue du ventre frémissant, d’un geste maternel.
-- Tu retrouveras vite ta taille de jeune fille.
Mollement allongée, se détendant au maximum, afin de tenter de calmer les soubresauts du fœtus à l’intérieur de son ventre, Maggy fut surprise de ressentit un étrange bien-être sous le frôlement de la main légère de Jeanne. Etonnée, elle dut s’avouer que les frémissements qui continuaient d’agiter son épiderme n’étaient plus dus aux mouvements désordonnés du bébé. Sous les légères caresses que la tante de son mari dispensait à son ventre gonflé, un savoureux plaisir l’envahissait insidieusement. Depuis quelques jours ses sens, qu’elle s’était forcée à ignorer depuis plusieurs mois, s’étaient soudainement rappelés à elle. Un sournois désir lui irradiait par moment les entrailles. Et cela se produisait n’importe où et à n’importe quel moment. Sans qu’elle ne puisse le contrôler, elle sentait sa vulve s’humidifier abondamment, trempant copieusement l’entrejambe de sa culotte. L’abstinence sexuelle qu’elle s’était imposée depuis six mois commençait réellement à la perturber. Il lui arrivait de plus en plus souvent d’avoir des rêves érotiques qui la réveillaient au milieu de la nuit, le corps moite de désir et la vulve palpitante. Dans ces moments-là, il lui fallait toute sa volonté pour s’empêcher de chevaucher son époux endormi à ses côtés. Bien souvent, pour retrouver un certain calme, elle faisait appel à ses doigts, pour apaiser le brasier qui lui consumait le vagin, retrouvant ses habitudes de collégienne.
La peur, irraisonnée que tout accouplement ne vienne mettre en danger l’évolution de cette vie qui prenait forme dans son ventre, l’avait forcé à refuser tout rapport conjugal à son époux.
Jeanne éprouvait un certain plaisir sensuel à caresser ce ventre que la grossesse distendait. Sans vraiment s’en rendre compte, elle laissa sa main accomplir des cercles de plus en plus grands sur la peau veloutée. Or à un moment, alors que ses doigts s’égaraient par mégarde dans la toison bouclée, qui ornait le pubis dilaté, un brusque tressaillement de Maggy la surprit. Elle immobilisa sa main alors qu’un gémissement s’échappait de la gorge de la jeune femme.
Étonnée par ce sursaut auquel elle ne s’attendait pas, Jeanne interrogea Maggy du regard. Ce qu’elle découvrit alors la stupéfia : la bouche entrouverte sur une respiration accélérée, Maggy la fixait d’un air implorant, les yeux brillant étrangement. Stupéfaite par ce que ce regard exprimait, Jeanne ressentit un étrange frisson la parcourir. Le souvenir de ce que lui avait avoué Robert deux jours plus tôt au sujet de son épouse lui revint en mémoire. Si comme lui avait annoncé son neveu, Maggy se refusait à lui depuis le début de sa grossesse, la jeune femme n’en était pas moins victime de ses sens. Jeanne était suffisamment avertie de ce genre de besoin, pour l’avoir elle-même maintes fois subi. Tout dans l’expression du visage de la future mère, révélait que celle-ci était prête à céder à sa libido enfiévrée, qu’elle implorait même une délivrance. Et que c’était à elle, parce qu’elle était une femme, qu’elle faisait appel.
Doucement, le cœur battant à cent à l’heure, Jeanne entreprit alors d’agiter ses doigts dans la toison dorée. Les yeux fixés sur le ventre incroyablement arrondi, elle s’ingénia à démêler les bouclettes blondes, griffant mesurément la peau sensible du pubis. Ce ventre fabuleusement déformé par la grossesse l’attirait particulièrement, elle que le destin avait privé de cette épreuve.
Seule la respiration saccadée de Maggy troublait le silence de la chambre. Les yeux clos afin de mieux se concentrer sur le plaisir qu’elle espérait, la jeune femme s’offrait sans aucune pudeur. Frémissante d’impatience, elle attendait un apaisement de ses sens, espérant que la tante de son mari puisse apaiser son malaise sexuel. Il y avait trop longtemps qu’elle se privait de jouissance : même si lorsque cela devenait trop difficile à supporter, elle calmait le feu qui lui consumait le vagin, d’un doigt impatient. Mais ce matin, dès son réveil, elle s’était rendue compte qu’elle ne pourrait résister à cet impérieux désir qui s’était propagé dans ses entrailles. Toutes ses résolutions avaient été balayées, dissoutes, par ses sens exacerbés. Le désir, qu’elle se forçait à ignorer depuis un certain temps, s’était soudainement amplifié, prenant le dessus sur sa volonté.
De plus en plus troublée par les frôlements des doigts de Jeanne sur son pubis, Maggy ne put retenir un gémissement d’impatiente sexuel. Dans un sursaut surexcité, elle lança son bas-ventre gonflé au-devant de cette main si douce qui l’affolait.
Le regard fixé sur la toison blonde qu’elle ébouriffait distraitement, Jeanne se remémora avec mélancolie ses soirées passées au pensionnat dirigé par des sœurs où en compagnie de filles de son âge, elle avait découvert là ses premiers émois sexuels.
« Chaque soir, après que la sœur surveillante ait fait son tour dans la chambrée et éteint les lumières, certains lits se vidaient de leurs occupantes. Celles-ci, furtivement se glissaient dans le lit voisin. Là, à l’abri des draps, c’était des baisers et des caresses, qui sans apporter une véritable jouissance aux jeunes filles, apaisaient quand même leurs jeunes sens en plein éveil… Jeanne se souviendrait toujours de cette fille, de deux ans son aînée, qui un jour l’avait entraînée à l’intérieur de la buanderie, déserte à cette heure. Elle l’avait poussé sur un tas de linge, à l’abri d’une haute corbeille... Jeanne ne s’était pas défendue lorsque la fille lui avait retiré sa culotte de coton, toute excitée qu’elle était. Mais quand l’adolescente avait plongé, son visage entre ses cuisses pour lui lécher la fente, elle avait été prise de panique. Son sexe était un endroit tabou, lui avait-on constamment répété. Mais très vite, elle avait été bien obligée de reconnaître qu’une langue prodiguait beaucoup plus de plaisir que les doigts qui l’avaient jusque-là caressée. À quatorze ans, elle avait connu sa première vraie jouissance… Quelques semaines plus tard, son initiatrice s’était fait surprendre dans le lit d’une soeur. Les deux coupables avaient alors disparu du couvent. Personne n’avait jamais su ce qu’elles étaient devenues… »
Un brusque sursaut de Maggy ramena Jeanne à la réalité. Sa main avait insidieusement glissé du pubis, où elle caressait tendrement la légère fourrure dorée, jusqu’à l’entrecuisse moite de la future mère. ; ce qui avait déclenché ce tressaillement chez Maggy. Prenant conscience de ce que la jeune femme attendait de sa part, Jeanne se décida alors d’assumer ce rôle de sexologue.
Se penchant sur ce sexe que la future mère lui offrait complaisamment, Jeanne fit délicatement glisser son pouce le long des lèvres sexuelles roses et luisantes de cyprine. Habilement, par petites touches précises, elle chercha à dénicher le clitoris qui se cachait encore dans les replis de la vulve. Très vite, sous les effleurements dont il était l’objet, le sensible bourgeon émergea d’entre les commissures des grandes lèvres sexuelles : petit bouton de chair rose, magique berlingot, épicentre du plaisir féminin que Jeanne s’activa à agacer. Les soupirs de Maggy se firent aussitôt plus pressants.
Tout en frottant de son pouce le clitoris qui avait atteint sa taille maximale, Jeanne activa son majeur le long de la fente sexuelle de plus en plus humide. Sachant par expérience tout le plaisir que l’on pouvait ressentir sous ce genre d’attouchement, Jeanne fit naviguer son doigt, de la vulve palpitante à l’anus resserré. Passant méthodiquement d’un orifice à l’autre, elle s’ingénia à recueillir un peu de liqueur amoureuse à l’orée de la vulve humide, pour ensuite en humecter l’orifice anal.
Sous ces différents attouchements terriblement voluptueux que lui prodiguait sa tante par alliance, Maggy se sentit peu à peu submergée par un indicible langueur voluptueuse. Avec un gémissement étouffé, elle se cambra, péniblement du fait de son gros ventre, pour s’abandonner alors sans retenues aux caresses de sa complice, lui offrant son sexe enflammé.
Se rendant compte combien ses effleurements sexuels affolaient Maggy, Jeanne qui depuis le matin éprouvait un certain désir, s’appliqua alors à contenter la jeune épouse de son neveu.… Tout en continuant à agacer le clitoris extraordinairement dilaté de son pouce, elle positionna son majeur à l’entrée de la longue fente ; brèche rose et luisante au milieu d’une abondante toison dorée. Avec beaucoup de délicatesse, elle enfonça son doigt à l’intérieur de la vulve moite d’une liqueur onctueuse.
N’ayant jamais eu de réelles relations homosexuelles, autres que celles pratiquées du temps de son adolescence, dans le secret des dortoirs du pensionnat, Jeanne s’évertua à procurer à Maggy, ce plaisir auquel la jeune femme aspirait.
Sans cesser de lutiner le fabuleux bouton de chair, qui avait jailli de son abri dès les premiers attouchements, Jeanne agita son majeur à l’intérieur de la chatte moelleuse. Comme son doigt, compte tenu de son diamètre, ne pouvait concurrencer un membre viril gonflé par le désir, elle remédia à cet handicap en ajoutant son index à son majeur. Maggy secrétait une telle abondance de cyprine que les deux doigts n’eurent aucune difficulté à se glisser dans la moule extrêmement élargie de la future mère. Alors, en un lent va-et-vient, Jeanne entreprit de pistonner le vagin torride de sa jeune partenaire largement offerte à ses attouchements, tachant de simuler les mouvements alternatifs d’un membre viril lors d’un accouplement.
À chaque pénétration au fond de la vulve accueillante, Jeanne prenait un plaisir évident à frotter de ses phalanges, les chaudes parois ruisselantes… Un râle sourd s’échappant de la gorge de Maggy ne tarda pas à la récompenser de ses efforts. Subjuguée par cet encouragement diffus, Jeanne jeta un coup d’œil en direction du visage de sa partenaire. Ce qu’elle y découvrit l’affola étrangement : Maggy, les mains pressant ses gros seins, la fixait avec un regard exalté. Jamais encore elle n’avait découvert une telle sensualité sur un visage féminin.
Les seins fiévreusement malaxés laissaient échapper des perles de lait, qui suintant des tétines érigées, s’écoulaient le long des lourdes mamelles en sillons blanchâtres. N’ayant pas eu la chance de connaître ce genre de bonheur lors de sa jeunesse, Jeanne éprouva soudain le désir impérieux de goûter à ce lait nutritif. D’un doigt curieux, elle recueillit, à même le mamelon tuméfié un peu de cette liqueur sirupeuse, qu’elle porta à sa bouche. La saveur qu’elle découvrit en léchant son index ne fit que renforcer son envie d’aller recueillir à même la source le divin nectar. Sans réfléchir à ce que son geste pouvait avoir d’étrange vis-à-vis de Maggy, elle se pencha alors sur l’un des seins gonflés. Avec émoi elle aspira la large aréole brune et boursouflée, qu’elle pressa de ses lèvres pour en faire jaillir le chaud liquide nourricier. Ivre de luxure, elle s’acharna sur le mamelon congestionné, le forçant à libérer sa sève onctueuse qu’elle avala avec une réelle gourmandise.
Sous cette succion, à laquelle elle ne s’attendait pas, Maggy ressentit une nouvelle onde de plaisir lui parcourir le corps. Dès qu’elle avait commencé à allaiter, elle s’était refusée à ce que Robert ne vienne se désaltérer à ses outres de chair copieusement gonflées. Or, Jeanne, lui faisait découvrir combien une bouche aspirant ses mamelons pouvait lui apporter du plaisir. Un sourd gémissement lui échappa. Dans un geste déjà maternel, elle referma sa main sur la nuque de sa sensuelle parente, lui pressant le visage sur son sein, comme elle l’aurait fait avec un nourrisson affamé.
Comprenant que cette pression sur son cou était en fait un encouragement à continuer ses cajoleries sensuelles, Jeanne accentua sa prestation érotique. Sans pour autant cesser de titiller d’un doigt expert le clitoris enflé, elle s’ingénia à sucer alternativement les tétons ruisselants de lait, pressant les mamelons afin de les faire dégorger de leur liqueur chaude et nourrissante. Goulûment elle s’abreuva ainsi aux deux seins gonflés, passant alternativement de l’un à l’autre.
Sous les différents attouchements, terriblement affolants, que lui dispensait la tante de son mari, Maggy ne tarda pas à ressentir dans tout son corps, les prémices d’une jouissance proche. Des ondes voluptueuses, de plus en plus intenses, lui irradiaient le bas-ventre, tandis que des torrents de laves bouillonnantes s’échappaient de son sexe habilement fouillé. Incapable de résister à cet afflux de plaisir, la jeune femme se laissa emporter par les vagues successives, qui naissant au plus profond de ses entrailles venaient mourir au creux de sa poitrine. Cette houle érotique se faisant de plus en plus impétueuse au fil des secondes, Maggy s’abandonna à ce raz de marée sexuel. Ivre de plaisir, elle se sentit brusquement emporter dans un tourbillon d’une sensualité extrême. Tout ce qui l’entourait disparut au profit d’une immense lueur, tandis que dans sa poitrine son cœur cessait de battre un court instant avant de s’emballer soudainement. Malgré son ventre proéminent, ses reins se creusèrent dans un spasme impulsif. Un orgasme d’une violence démesuré l’emporta dans un tourbillon phénoménal, la pétrifia arc-boutée sur sa couche. Les doigts crochetés dans la chevelure de sa sensuelle partenaire, occupée à lui mordiller les tétons, Maggy dut faire un incroyable effort pour étouffer le cri de jouissance qu’elle sentait monter au plus profond de sa gorge.
Pendant plusieurs minutes, la jeune femme demeura le corps arqué, reposant uniquement sur la nuque et les talons, les cuisses tétanisées enserrant cette main qui l’avait si bien amenée à la jouissance. Puis d’un coup, comme une baudruche se dégonflant subitement, elle retomba sur le dos, anéantie, le souffle précipité.
Émue par ce spectacle, Jeanne contempla affectueusement sa jeune complice, tout en retirant délicatement ses doigts de la vulve encore palpitante :
-- Ça va mieux ma chérie, murmura-t-elle en essuyant tendrement la sueur érotique qui trempait le front de la jeune femme ?...
-- C’était merveilleux, murmura doucement Maggy… Il y a longtemps……
Bien qu’ayant compris ce à quoi, la future mère faisait allusion, Jeanne décida de pousser cette dernière à plus de confidences :
-- Comment, tu veux dire qu’avec Robert tu n’éprouves plus de plaisir ?
-- C'est-à-dire que… Il ne t’a rien dit, tenta de murmurer Maggy…
-- Qui ?... Robert ?... Non... Qu’est-ce qu’il aurait dû me dire ?
-- Eh bien, voila… je… enfin, nous…
Devant les difficultés que semblait éprouver Maggy à se confesser, Jeanne tenta de l’aider :
-- Est-ce si dure à dire ?... Tu sais si tu ne veux rien me dire, je comprendrais…
-- Si, si... Eh bien, voila...Mais vous me promettez de garder ça pour vous…
-- Je te le promet, se parjura Jeanne.
-- Robert ne m’a pas touché depuis quelques mois déjà, lança précipitamment Maggy, comme pressée de se libérer d’un secret.
-- Tu veux dire que Robert ne t’a pas fait l’amour depuis plusieurs mois ?
Jeanne éprouva un plaisir pervers à insister sur le problème du couple, dont elle n’ignorait rien.
-- C'est-à-dire, tantine que c’est plutôt moi qui lui refuse de me toucher… J’ai tellement peur… que lorsqu’il me… pénètre, il fasse du mal au bébé…
Comprenant alors les craintes, irraisonnées, de la future mère, Jeanne décida de rassurer cette dernière :
-- Tu n’as pas à t’inquiéter ainsi, ma chérie… Ton bébé ne risque rien… D’ailleurs, si cela peut te rassurer, il existe certaines positions où tu peux faire l’amour sans risque pour ton bébé… Par exemple… la position de la levrette… Tu connais ?
-- Ah non !... Je ne suis pas une chienne !... C’est bon pour les animaux !...
Jeanne demeura sans voix devant ce refus outré. Que pouvait-elle répondre à de pareils arguments.
-- Tu n’as pas peur que Robert aille chercher auprès d’une autre femme ce que tu lui refuses, tenta-t-elle de plaider.
-- Bien sur que j’y pense, pleurnicha Maggy… Mais je ne peux me résoudre à ce qu’il me fasse l’amour… La peur est trop forte…
-- Tu pourrais peut-être accepter qu’il te prenne autrement… Nous avons un autre orifice qui peut se prêter à une pénétration…
-- Oh, s’exclama Maggy !... Vous voulez dire que je dois accepter que Robert m’enfonce son membre dans le… le…
-- Eh oui ! Dans le cul !... N’ayons pas peur des mots… Tu sais cela se fait couramment… Robert n’a jamais essayé ?
-- Heu… Si une fois, mais… je n’ai pas voulu… … Tante, il est monté comme un mulet votre cher neveu… Il m’aurait déchiré…
Jeanne ne put s’empêcher de songer avec émoi au membre fabuleux de son neveu. Il est vrai qu’elle-même avait été extrêmement ahurie lorsqu’elle avait découvert l’imposante verge qui se dressait au bas du ventre de son neveu. Un moment même, elle avait craint que le long dard de chair ne puisse pénétrer entièrement dans son vagin.
-- Tu sais, tenta-t-elle de convaincre, ton petit trou est extrêmement élastique… Je ne connais pas le volume du membre de ton mari, mentit-elle, mais bien lubrifiée je suis certaine que tu n’aurais pas trop mal à l’accepter… Et tu ne peux pas imaginer comme c’est extraordinaire de ce coté là…
-- Vous voulez dire que l’on peut éprouver du plaisir de ce coté là ?... Vous… Vous avez déjà fait l’amour comme ça ?...
-- Bien sur, plusieurs fois… Et je peux t’assurer que j’y ai toujours pris énormément de plaisir… C’est différent d’une pénétration normale, mais c’est vraiment sublime…
Devant l’air septique de Maggy, Jeanne décida de prouver ses affirmations. Comme sa main, après la jouissance de la jeune femme, était restée posée sur le bas-ventre de celle-ci, elle glissa doucement ses doigts le long de la fente sexuelle trempée. Frottant son majeur à la chaude liqueur qui suintait encore de la chatte béante, elle en posa ensuite l’extrémité copieusement humidifiée contre la rosace fripée de l’anus. Délicatement, avec beaucoup de douceur elle caressa la corolle qu’elle sentit frémir sous sa phalange.
Comprenant que sa sensuelle partenaire désirait lui faire connaître cette pénétration quelque peu spéciale, et à laquelle elle s’était toujours refusée, Maggy s’abandonna toute, curieuse. Relâchant au maximum ses muscles fessiers, ainsi que son anus, elle polarisa toute son attention sur les sensations qu’allait lui apporter cette découverte. Sans trop d’émoi, elle sentit tout d’abord un des doigts de Jeanne forcer l’ouverture de son orifice secondaire pour s’y agiter doucement. Attentive à ce que pouvait lui apporter cette nouvelle pénétration, Maggy dut reconnaître que le massage des parois de ses intestins par ce doigt indiscret lui procurait un certain bien être. Rassurée par ce début, par ma fois, prometteur, la jeune femme s’abandonna alors complètement aux attouchements de son initiatrice.
Les deux mains refermées sur ses volumineux seins gonflés, elle ferma les yeux afin de mieux savourer ce plaisir diffus qui se répandait dans ses entrailles. Les secondes s’écoulèrent dans un silence religieux.
Le bruit soudain de la porte de la salle d’eau ramena brusquement les deux complices à la réalité. Jeanne retira vivement son doigt du cul accueillant et se redressa rapidement. Tendant la main à Maggy qui du fait de son gros ventre éprouvait un certain mal à se relever, elle l’aida à reprendre une position plus correcte.
Maggy eut juste le temps de rabattre sa nuisette sur ses cuisses avant que Robert fasse son apparition dans la chambre :
-- Voila, c’est terminé pour moi, lança-t-il à la cantonade… Au suivant !
-- Allez-y Tante, décida Maggy... Moi j’irais lorsque vous serez partis…
Récupérant ses vêtements de la veille, Jeanne se dirigea en direction de la salle de bain, abandonnant les deux époux.
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« A suivre »
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