Tante Lorie - histoire érotique

Lorie depuis que son mari est en déplacement, On peut dire qu'elle est devenue experte en masturbation. Mais au fil des jours, elle commence à être saturée de ces plaisirs solitaires. Mais comme elle n'a le choix, elle se contente de ce qu'elle a.

Soudain la sonnette de la porte d'entrée resonne, elle va ouvrir. Elle sursaute, c'est son neveu Stephan. Le bougre part en vacances, mais comme il passe non loin de cher eux, il a décidé de faire un petit crochet pour venir leur faire un petit coucou.

Les embrassades sont interminables, il cherche du regard son oncle, mais Lorie lui annonce qu'il est à l'étranger depuis plusieurs jours, et qu'il n'est pas prêt de rentrer. Elle lui offre à boire et lui propose même, de dormir cette nuit là. Un peu confus, il hésite. Lorie insiste tellement qu'il cède, il se dit qu'une bonne nuit de repos ne lui fera pas de mal, car le trajet a été long.

Ils parlent de la famille, boivent plusieurs verres, l'alcool commence à agir, Lorie évoquent les bêtises qu'elle a fait avant de connaitre son mari. D'après ses dires, elle n'avait pas froid aux yeux la coquine. Stephan la regarde d'un autre yeux, il est vrai que la tante malgré son âge a de beaux restes. Les deux rient aux éclats aux anecdotes croustillantes que narre Lorie.

Stephan la regarde droit dans les yeux et lui dit en lui faisant un large sourire :

-Eh bien tante je m'aperçois que tu étais une chaudasse, est-ce que c'est encore le cas aujourd'hui !

Elle éclate de rire et dit :

- Tu es bien curieux petit vicieux, eh bien avec ton oncle oui, il me faut ma dose de jouissance chaque jour !


Stephan lui demande :

-Mais pendant son absence comment tu fais !

Elle hausse les épaules et répond en montrant ses mains :

-J'ai ça, oui ca ne vaut pas une bonne queue, mais on fait avec ce que l'on a !

Elle éclate de rire et resserre un verre. L'heure tourne, elle dit :

-Je faire le diner !

Stephan se lève et dit :

-Je vais t'aider tante, ça m'occupera !

Les deux entrent dans la cuisine, Stephan parle toujours de sexe, cela ne semble pas déplaire à la tante qui en rajoute une couche. Il épluchent les légumes, font chauffer les casseroles. Puis Lorie se penche sur l'évier pour nettoyer les ustensiles qu'ils ont utilisés. Gilles commence à faire beaucoup d'effets, il l'enlace, se plaque contre elle et lui murmure à l'oreille en se raclant la gorge :

- Hum, oh toi tante si j'osais !

Elle pousse un soupir sans le repousser elle répond :

-Je suis beaucoup trop vieille pour toi Stephan et en plus je suis ta tante !

Sans la lâcher, il se frotte contre son fessier, en lui donnant de petits baisers sur la nuque et le cou, elle frissonne, sa respiration s'accélère. En sentant sur sa nuque, le souffle chaud de son neveu, elle devient fébrile. Son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Elle pousse de nombreux soupirs très bruyants. Le coquin donne quelques petits coup de reins, en simulant un accouplement. Sa verge est gonflée de désir, Lorie sent contre ses fesses, le manche épais qui cherche à coulisser entre ses lobes charnus.

Lorie habilement se dégage et en laissant en plan le jeune excité, va mettre les couverts, ses yeux brillent. Stephan la rejoint et lui, aussi dresse la table. Lorie regarde la bosse énorme, qui déforme le pantalon de son neveu, que le coquin, ne peut cacher. Elle fait une moue et en haussant la tête dit :

-Eh bien mon cochon tu bandes, c'est ta tante qui te fait cette effet !

Il s'approche d'elle, la serre contre son corps et en se frottant contre son bas-ventre dit avec une pointe d'ironie :

-Je ne vois que toi ici... donc, oui c'est pour toi que je bande !

Elle ne peut ignorer la bite raide qui coulisse sur son ventre. Inconsciemment sa chatte se met à suinter, sa culotte s'humidifie. Elle respire mal, elle ne sait si elle doit fuir ou pas. Plus le bougre se frotte contre elle plus sa verge prend du volume. Elle pose ses mains sur les épaules de son neveu, lui la tient par les hanches. Elle défaille, ne se sent pas bien, sa respiration est saccadée. Le Neveu s'enhardit, il pose ses lèvres sur les siennes, elle est sans volonté, voire même sans forces.


Elle veut balbutier quelques mots, Stephan en profite pour insérer sa langue dans la bouche de sa tante. Complétement déstabilisée, elle ne repousse pas. La langue agile se noue à la sienne, elle reçoit au même moment, un flot de liquide un peu salé, au goût suave. En soupirant fortement, elle passe ses bras autour du cou du neveu intrépide, leur langues se nouent comme deux serpents qui s'accouplent. Le baiser dure longtemps, les respirations s'accélèrent.


Enfin le baiser cesse, une odeur de brûlé vient de la cuisine. Lorie se rue et sauve se qu'elle peut du diner. Les deux éclatent de rire. Enfin après un tri, les deux se mettent à table et dinent, les morceaux non calcinés ont un gout de cramer, mais à la guerre comme à la guerre.

Pendant le repas, les deux ne cessent de se sourire. Quelques clins d'œil de Stephan font serrer les dents à la tante, qui commence émerger eh oui l'alcool commence à se dissiper. Après le repas, Lorie débarrasse la table, elle est soucieuse. Stephan la rejoint et se plaque contre elle, il glisse ses mains sous la jupe et les monte le long des cuisses. Un frisson incontrôlable s'empare du corps de Lorie, elle serre les poings. les mains habiles glissent sur le ventre, passent sur l'entrejambe le tissu est encore humide. La tante se raidit, elle sent la verge qui commence à avoir une bonne érection. Soudain elle reprend ses esprits, se retourne et en soupirant dit :

-Non Stephan, c'est impossible restant en là !

Très déçu, mais avant d'obéir, le jeune homme lui presse la chatte. Lorie se cabre, en poussant un terrible soupir, et en baissant la tête dit faiblement :

-Non, non, Stephan je t'en prie !


Stephan va s'assoir sur le canapé. Sa tante sans dire un mot, va prendre sa douche et se prépare pour la nuit. Elle réapparait en nuisette, elle est nue en dessous. Les yeux de Stephan ne quittent pas la touffe de poil que le tissu cache mal. Elle n'ose pas le regarder dans les yeux, elle lui donne un baiser sur la joue, et monte dans sa chambre. Stephan reste un moment devant la télé, puis monte à son tour, il frappe à la porte de la chambre de sa tante, elle l'invite à entrer. Il lui demande :

-Tante, je dors ou ?

Lorie entendue sur son lit, à les yeux pleins de larmes, en reniflant elle répond :

-La chambre juste à côté, Stephan !

Il s'approche vers elle est s'assied sur le bord de son lit, il la regarde et avec douceur, il lui demande :

-Ca ne va pas tante, qu'est-ce que tu as, c'est pas à cause de moi, j'espère ?

Elle répond en s'essuyant les yeux d'un revers de la main :

-Non c'est juste un petit un coup de fatigue, surement l'alcool, je n'ai pas l'habitude de boire !

Mais elle ment, la réalité, c'est que son neveu l'a excité, et elle à faillit lui céder, et cela la trouble énormément. Il lui prend la main et lui donne plusieurs petits baisers dessus. Les lèvres chaudes de son neveu sur sa peau, la font frémir. Stephan remarque le trouble de sa tante, comme pour la rassurer, il lui, caresse doucement la main et, l'avant- bras. Il lui dit :

-C'est un peu de ma faute si tu as bu, car si je n'étais pas venu, cela ne serait pas arrivé !

Elle lui sourit et se plaque contre lui. Elle lui parle de l'absence de son mari, qui devient pesante. Pendant qu'elle se blottit contre lui, il lui caresse la cuisse. La main passe sous le fin tissu, et longe la cuisse jusqu'à l'aine. Le bout de ses doigts touchent le haut de la fine toison. la tante ne réagit pas, ou ne le veut pas.

lentement, deux doigts glissent dessus, passent plusieurs fois sur la fente, les lèvres semblent frémir au passage des intrus sur elles. Le corps de Lorie frissonne, sa peau est parcourue de petites vagues. Sa respiration s'accélère, elle lève la tête vers lui, ses yeux humides semblent implorer le neveu.

Le jeune coquin appuie doucement sur le bouton d'amour, la réaction est immédiate. La tante se cabre en poussant un gros soupir, et commence à trembler de tous ses membres. Sans retirer sa main, de l'autre il lui relève le menton et dépose sur ses lèvres un baiser bruyant.
Doucement il la bascule sur le lit. Sa main remonte la courte nuisette jusque sur le haut des cuisses, en découvrant la vulve. Ses doigts la caressent, monte et descendent sur la fente qui s'humidifie de plus en plus.

Lorie semble sur un nuage, elle ronronne comme une chatte que l'on flatte de la main. Stephan enfonce un doigt dans la cavité vaginale, Lorie pousse un petit gémissement. Avec douceur il ramone le conduit qui se met à faire un bruit de clapotis, une deuxième visiteurs et nécessaire pour faire geindre encore plus fort la tante. Le ramonage est très, très, lent. Doucement il retire les intrus, prend entre son pouce et son index la boule de chair qui ne cesse de grossir, et commence un doux branlage.

Lorie geint en agitant doucement son bassin, Stephan cesse de branler, La tante est déçue. Brusquement il déchire la nuisette, il découvre la poitrine généreuse de sa tante soumise. Il commence à malaxer les lobes, à les pétrir. Il enfonce généreusement ses doigts dans la chair tendre, sa tante serre les dents mais ne refuse pas cet attouchement un peu brutal.

Les doigts agiles, roulent les mamelons en les pressant fortement, les bougres, s'épaississent encore plus. Stephan prend un certain plaisir en les étirant au maximum, tous cela pour faire gémir sa tante. Il plaque sa bouche dessus et le suce si fort que Lorie grimace en geignant.

Comme un affamé Stephan suce et tète les bouts épais, qui ne cessent de grossir. Lorie gémit, elle est en plein délire. La bouche descend sur son corps en le léchant, et se plaque contre sa chatte dégoulinante. Ses coups de langue font défaillir Lorie qui geint, en appuyant su la tête de son amant. La bouche avide aspire la boule magique, dans un cabrage extraordinaire, la tante pousse un gémissement d'enfer. Elle se tortille en geignant comme une bête malade.


Le clito est devenu monstrueux, Stephan le mordille, l'étire, une jouissance terrible la fait cabrer. Elle le repousse, lui attrape brutalement la verge, la décalotte et la suce comme une affamée. Le neveu en reste baba, car maintenant c'est elle qui prend l'initiative. Elle suce comme une vorace, sa bouche voyage sur la hampe, descend jusqu'aux couilles pour les aspirer une à une. Stephan grimace, mais dès que sa tante lui aspire à nouveau le gland, pour lui c'est un soulagement. La bouche de Lorie est magique, le neveu gémissant, se cabre et envoie dans la gorge de sa tante, un flot de semence, que la coquine s'empresse d'avaler.

Les deux se regardent un bon moment, puis avec souplesse, Lorie enjambe son neveu et s'empale sur sa queue gluante. Elle s'agite en geignant de plaisir. C'est elle qui donne le rythme, en montant et descendant sur la verge épaisse de Stephan. Il ne faut pas attendre longtemps pour que la cavalière jouisse fortement. Mais elle continue, avec un rythme plus lentement l'ascension du mat. Stephan, tire sur les hanches de sa tante et déverse dans son ventre gourmand, une puissante décharge de sperme suivit de deux moins importantes. Les deux restent soudés un long moment avant de se désaccoupler.