Tapage nocturne = activités douteuses - histoire érotique

Après un divorce tumultueux Océane reprend peu a peu gout a la vie, quinze ans de mariages ne s’effacent pas d’un revers de main, ‘il’ là baisait pourtant bien, ‘il’ était bien monté, elle jouissait quasiment a chaque rapports, mais a quarante ans le démon de midi l’a chopé,’il’ est parti avec une lolita de dix neuf ans …

Deux ans qu’elle vit seule dans son appartement du troisième étage après la vente de leur villa, ne pas recevoir de monde, le plus dur est ne pas compter sur la présence d’un homme pour différentes choses de la vie, et surtout : le sexe, même si elle ne veut pas se l’avouer le manque commence sérieusement à lui peser, ses doigts pourtant agiles ne suffisent plus a calmer sa chatte brulante de désir, ainsi que le gode improvisé par un manche de brosse a cheveux, sans parler du pommeau de douche enfoncé dans la chatte, mais qui n’est pas bon pour la flore vaginale

Ce vendredi soir d’aout est suffoquant, à vingt deux heures elle est assise, ou plutôt avachie dans une chaise, en slip, terrassée par la chaleur devant sa fenêtre grande ouverte, lumière éteinte une bouteille de Perrier posée sur la table basse, la sueur lui dégouline entre ses seins qu’elle désespère de voir s’affaisser petit a petit, elle rêvasse quand des éclats de voix venus de l’étage juste au dessus lui parviennent … elle ne connaît pas cette famille pourtant d’habitude discrète, océane se fiant aux expressions comprend que ce sont des garçons, deux ? trois ? invités chez Enzo, elle connait son prénom pour l’avoir entendu et qu’elle a surement croisé dans le hall ignorant son visage, tien, il y a aussi une fille qui piaille et ricane bêtement, le temps passant et sans doutes les boissons aidant font que les conversations deviennent infernales et surtout triviales, comme dans toutes les réunions réunissant des garçons les fanfaronnades concernant leurs conquêtes et inévitablement la taille de leurs pénis pleuvent, c’est a qui auras le plus gros et plus performant

Soudain la conversation dévie sur le ou les piercings de la fille, son copain lui demande en insistant lourdement de les montrer a ses potes, celui de la langue et les autres …

- Tu déconne ? voilà pour ma langue, vaaaaaaaaaaaaaaaah, les autres sont placés sur des parties trop intimes de mon corps
- Tu parles ! ce ne sont que des nichons !
- Et l’autre ?
- Ha oui, c’est vrai, juste au dessus du clitoris, bah ils en ont vus d’autre, aller fais moi plaisir chaton ensuite je te ferais tout ce que tu voudras
- Si je montre tout vous me faites voir vos zizis
- Ok les gars ? vous ne vous dégonflez pas ?
- Ça marche pour moi
- Moi, aussi, à poil Nina
- Ça fait du bien pour les pipes son truc sur la langue ?
- Devine !

Piquée au vif et se surprenant à tendre l’oreille océane rectifie sa position sur sa chaise, elle sent sa vulve lâcher quelques gouttes de cyprine lorsque des sifflements confirment la nudité de la fille, les voix s’apaisent quand elle insiste pour que les mecs en fassent autant, un instant de calme… puis des pouffements émit par la fille

- Alors ? qui l’à la plus grosse ?
- Incontestablement Enzo !
- Bah ! tu ne nous a pas vus en érection !
- Alors qu’attendez-vous pour bander ?
- Que tu nous suces pardi !
- Je ne suis pas jaloux, vas-y minou astique-les
- Tous les trois ? vous êtes fous ?
- Allons dans la chambre et ferme-la, ont va tous te passer dessus ok ?
- Je veux bien mais soyez doux

Zut ! mon spectacle auditif est terminé, dommage, tout ce que ça m’a amené c’est une forte envie de me caresser, de toute façon il se fait tard, je vais au lit sans oublier ma bouteille de Perrier encore embuée de fraicheur, je la passe entre mes seins avant de la poser sur la table de nuit, d’ôter mon slip et de m’allonger nue sur le draps, je remonte mes talons et ouvre le compas qui cache ma toison drue, a quoi bon entretenir cette touffe de poils si je ne me fais pas sauter ?
Par contre sous cette touffe un volcan est prêt à cracher sa lave, je sépare mes lèvres et plonge deux doigts qui font jaillir la source, mon clitoris gonflé est très sensible tant il a besoin d’être caressé, après quelques aller-retour il me faut autre chose, je ne veux pas jouir du clito mais du vagin comme si une bonne bite me pénétrais... ce soir le manche de la brosse ne suffira pas, d’un trait je vide la bouteille en verre bien ventrue encore froide et cuisse ouvertes a l’extrême je la présente sur mon vagin, en tournant mes lèvres s’écartent , la fraicheur fait du bien a mes muqueuses, je force … wouuuaaaaaaaahhhhhhh ……in-extrémis je la retiens par le goulot avant qu’elle ne disparaisse dans mon ventre, je la retire et la laisse repartir … mmmmmmmuuuuuuuuuummmmmmmmm que du bonheur !!!! Cinq fois ont suffit avant que je n’explose dans un orgasme dévastateur et dans un hurlement à faire pâlir mes petits voisins du dessus !

Au fait ? que deviennent-ils ? ha non ! ça recommence ! ce ne sont plus des paroles mais des onomatopées mêlées a des réflexions dignes d’un film de cul ! apparemment la petite ‘ramasse ‘ un max avec trois mâles a sa disposition, meeeeerde ! moi qui suis juste apaisée de la chatte ils me pourrissent la vie et m’empêchent de dormir durant deux heures, je ne me sens pas le courage d’aller sonner mais promis, demain ce fils de bourgeois va m’entendre !


Je me suis réveillée tard encore épuisée de la veille, je reconnais que les jeunes y sont pour quelque chose mais ma formidable jouissance m’a bien terrassée, en repensant a ce que la jeune a dût prendre cette nuit mon corps réclame encore sa part, je passe mes mains sur ma poitrine les cuisses serrées pour réveiller mon clitoris, d’une main je tire un sein vers ma bouche pour happer le téton tandis que mon autre main glisse sur mon ventre, les doigts démêlent ma toison souillée et collée par les sécrétions de la veille avant de s’enfouir en moi , je tressaille de la tête aux pieds lorsque mon point G est sollicité , c’est le ventre arqué que je me branle jusqu'à la jouissance, puis je retombe lourdement, essoufflée, de nouveau apaisée je rêvasse

C’est encore des bruits mais de meubles déplacés venus du dessus qui m’ont tirée de ma douce torpeur, c’en est trop, ma colère remonte a la surface pire qu’hier, je passe devant la glace, j’ai les cheveux en batailles mon rimmel a coulé, qu’importe ce n’est pas une visite de courtoisie, je suis tellement hors de moi que ne pense même pas a enfiler un slip, c’est nue sous ma grande robe de chambre que je monte quatre a quatre a l’étage , je laisse le doigt sur la sonnette tant que je n’entend pas la clé tourner dans la serrure, et là … je me retrouve devant un éphèbe en bermuda, torse nu, des pectoraux saillants et luisant de sueur, des yeux magnifiques, tout a coup mon ardeur retombe d’un cran , je dois quand même le sermonner que diable !

- Qu’est-ce c’est ?
- C’est la voisine du dessous qui en à ras le bol du bordel que vous foutez, je n’ai pas fermé l’œil de la nuit, vos parents sont là ? je dois leur parler
- Ha non, que lundi, excusez nous pour le dérangement que nous vous avons causé, mais je vous en prie ne dite rien a mes parents
- J’espère au moins que la fille était consentante
- Nina ? ha oui bien sûr ! son copain est partageur et c’est une fille très accueillante
- Je me doute ! elle devait être épuisée ! trois hommes pour elle seule …quelle chance …
- Heeeuuuuu, je vois que vous venez de vous réveiller, voulez vous un café madame ?
- Après tout ce n’est pas de refus, il est bon au moins ?
- Pur arabica
- Alors j’accepte, mais vite fait
- Il est chaud j’allais le prendre, asseyez vous madame ?
- Océane
- Océane ? quel beau prénom, votre mari doit être furax pour cette nuit
- Je vis seule …
- Ah …cela ne doit pas être facile tous les jours
- Je vous le confirme, de plus hier avec la chaleur j’étais dans un état déplorable
- Je comprends …
- Non, vous ne pouvez pas comprendre
- Même si je suis jeune je sais ce dont a besoin une femme seule et normalement constituée pour son équilibre

Et là je remarque que son bermuda prend de l’embonpoint, je me souviens alors des paroles de la jeune fille : - c’est incontestablement Enzo qui l’à la plus grosse …

- Ben oui … une femme a parfois besoin d’un homme, je dois y aller, a l’avenir faites moins de bruit
- Et si nous faisions du bruit tous les deux ?

Assis a mon coté, j’ai a peine sursauté lorsqu’il a posé sa main sur ma cuisse recouverte par le coton épais, mais ça ne l’a pas découragé, il a cherché le pan pour s’infiltrer dessous, comment lui dire que je n’ai pas pris de douche… je dois le prévenir de l’état de ma chatte

- Arrêtez Enzo ! je ne suis pas présentable
- Laissez vous aller Océane, vous êtes très belle les cheveux en bataille, et si vous êtes célibataire votre sexe doit être propre ?
- Je suis sale, très sale, hier soir je me suis caressée exagérément en vous écoutant
- C’est vrai ? moi aussi je n’ai pas encore pris ma douche

Malgré mes molles protestations la main glisse jusqu'à mon entrejambes tellement odorant que je le sens d’ici, mes genoux s’ouvrent malgré moi, les doigts fins et très longs fouillent parmi mes poils pour trouver la faille qui s’est remise à couler, je ferme les yeux et mord ma lèvre inférieure pour ne pas hurler de plaisir lorsqu’il dégage mon clitoris gorgé de sang, sans crier gare il sort ses doigts de ma chatte et les portent a ses narines pour les humer longuement avant de les lécher


- Vous êtes effectivement très humide, votre suc de femme mure est succulent, levez vous Océane …

Ce faisant il se dresse devant moi et fait glisser son bermuda qui est très tendu devant, son sexe libéré se plaque contre son ventre, ma robe de chambre quitte mon corps comme par magie, nous nous enlaçons comme deux amants de longue date, sa main triture mon nichon, l’autre retrouve le chemin de mon entrecuisse largement ouvert, rien n’aurait put m’arrêter lorsque que je me suis agenouillée pour me saisir de sa bite et l’ingurgiter littéralement, elle est tellement bonne encore enduite des sécrétions multiples de la veille, je lèche tout ce que je ne peux avaler jusqu’aux bourses velues, puis, je le pompe comme une malade en malaxant ses couilles comme pour faire cracher instantanément son sirop épais qui ne tarde d’ailleurs pas a envahir délicieusement ma gorge

- A mon tour de vous honorer comme vous le méritez
- Si tu savais comme je suis en manque de verges Enzo, je me ferais volontiers tringler par un régiment de sénégalais
- Je n’ai pas ça sous la main mais je peux faire venir mes potes ? nous ne serons pas trop de trois pour rappeler à ta chatte ce qu’est une bonne pine
- J’ai honte, je suis une vielle bique a coté de vous
- La vielle bique va se faire saillir par trois boucs vaillants, je les appelle, nous allons commencer, ils seront là pour prendre la suite, assied toi les cuisses écartées que je puis laper ta moule

Jamais mon ex ne m’a léchée avec autant de vigueur, sa langue est a la fois un aspirateur une queue et une pince a clito, même mon petit trou est lessivé, sans doute pour le préparer a une pénétration future… j’ai jouis rapidement sous ses coups de menton virils, mais ça n’a pas calmé mon vagin en jachères, pendant qu’il s’essuie le visage je me penche sur l’accoudoir du divan lui exposant ma cramouille en chaleur
Je n’ai attendu que dix secondes avant qu’il ne me fourre sa trique jusqu’aux couilles d’un seul coup de reins, se maintenant collé a moi il ondule du bassin pour faire tournoyer sa manthule dans mon fourreau et déployer enfin ma matrice depuis trop longtemps au repos, ceci fait, il alterne les allers-retours lents et doux aux coups secs et brutaux mais tellement jouissifs qui font virevolter mes seins et mes sens, ma vue se brouille de larmes de joie , ma chatte pisse pour la même raison !
Enzo déclenche mon orgasme en m’enfonçant deux doigts dans mon p’tit trou, lui aussi bien sevré, le souffle court, à moitié dans les vapes, j’entends un brouhaha confus, a peine le temps de réaliser que ce sont ses potes qui viennent d’arriver que je suis réinvestie par une queue bien raide qui refoule dans un bruit d’évier le foutre récemment déposé

- Tien ! Prend ça dans les miches la mémé ! Nous allons te faire voir des étoiles
- Ne traite pas Océane de mémé, elle est plus vaillante que ta pute de Nina !
- Excuse moi, c’est vrai qu’elle a une chatte qui se resserre bien sur mon manche
- Elle pourrait casser une noix avec sa cramouille, toi, là, au lieu de te branler présente lui ton dard à sucer, elle va t’aspirer les amygdales !
- Après on la fait s’allonger sur toi pour profiter de tout ses trous
- Trois pines, trois trous, le compte est bon ! ne perds pas de temps pendant que tu la baise élargis-lui l’anus
- Défoncez-moi tous les trous les gamins, je veux me rappeler de cette matinée toute ma vie
- Nous viendront te la rappeler tous les samedi soir si tu veux

Ces jeunes vigoureux m’ont littéralement perforée, défoncée et définitivement réconciliée avec le sexe, comment expliquer aux voisins le bruit que nous allons faire samedi prochain en explorant le kamasoutra ?????