tata chérie!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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tata chérie!
Christiane est ma tante, celle-là même qui m’a dépucelé un beau jour d’été dans son grenier. Dont j’en garde un excellent souvenir. Qu’il m’arrive même, encore aujourd’hui, de m’offrir une caresse solitaire tout en me remémorant ces instants là.
Donc, c’est avec grand plaisir que j’ai appris qu’elle venait passée quelques jours chez sa sœur, soit ma mère. Et il m’était donc difficile à ne pas l’invité à dîner à la maison. J’en fis même part à ma femme qu’elle accepta sans soucis.
D’ailleurs pour sa part, ma tante a tout de suite accepté l’invitation, sans prendre la peine d’en parler à son compagnon du moment.
Le dîner se déroule de la meilleure des façons possibles. Chacun autour de la table, allant à son couplet de souvenir de vacance. Qui avait à cette époque pour effet de réunir toute la famille au complet. Je garde de toute cet période, d’excellent souvenir. Surtout de sexe !
C’est alors que je sens soudain une main se plaquer contre la braguette de mon pantalon. Pas besoin de l’inspecteur Colombo pour savoir qui est le responsable de ce méfait. Surtout que bien plus tôt, lors des attributions des places autour de la table, ma tante avait fortement insisté pour s’installer à mes côtés.
Et comme un fait exprès, cette dernière tourne son regard vers moi, et me sourie affablement. Puis l’air de rien, la voilà qu’elle porte son verre à ses lèvres et boit une gorgée de vin. Loin d’être contrarié, je fais de même, faussement décontracté. Très vite mon esprit s’embrume au point d’oublier les convives.
Et la coquine ne se limite plus qu’à me serrer le sexe. La voilà maintenant, qu’elle me le masse magnifiquement. Faisant prolonger mon érection. Je suis de plus en plus fragilisé par le bien que me procure sa caresse. Ma verge devenant gluante de sécrétions
Et cela, malgré la situation somme toute, assez risquée, comme vous pouvez le concevoir. Qu’heureusement, le fait de dîner aux chandelles, minimise les risques de se faire surprendre. Et qu’hormis les têtes, les autres parties de nos corps sont dans le noir le plus total.
Au fil des secondes, elle module diaboliquement sa masturbation, entretenant à son maximum l’excitation de mon membre, sans jamais lui laisser atteindre sa conclusion. Elle n’a pas perdu la main, la tata ! Je prends sur moi pour ne pas extériorisé mon bien être. Mais c’est très difficile.
Je me mets même à m’imaginer, les mille plaisirs que je prendrais, si seulement je pouvais me retrouver seul avec elle. Avec tout ça, mes couilles commencent à être douloureuses. Une nécessité d’éjaculer se répand peu à peu dans mon esprit, mais je combats, comme je sais le faire !
D’ailleurs des spasmes agréables me traversent par intermittence, et je surprends d’étranges pensées parcourir mon esprit. Comme celui de fourrer ma main dans la culotte de ma tante. Surtout elle est en jupe courte ce soir. Mais je me retiens.
Près d’une heure s’est à présent écoulée depuis le début de ce céleste manège. Je ne me sens comme dans un état second. Comme si l’alcool s’était emparé de moi. Mes tempes bourdonnent, ma bouche est sèche, et toutes sortes de sensations s’empilent dans mon corps. Inutile de préciser que je ne prête que peu d’intérêt sur ce qui se passe autour de moi. Participant le moins possible aux conversations environnantes. Au point de me demandé si j’étais souffrant ! J’ai prétendu, avoir une méchante migraine. Aimablement, ma femme s’est même dévouer à me ramener un comprimé pour la tête.
Mon plaisir est extrêmement intense et je doute de ne plus pouvoir me retenir encore longtemps. Alors je me laisse aller, et voilà que ma propre jouissance explose. Le mot est faible, et cela dans mon slip. J’éjacule abondamment et avec force. Un peu honteusement, et en me demandant si je n’allais pas être démasqué avec la tache qu’avait provoqué ma jouissance à mon pantalon, je pris le risque de quitter ma place. Merci les chandelles.
A mon retour, je ne sais pourquoi je me penche à la hauteur de l’oreille de Christiane, et je lui dis :
-Merci… tata… c’est… J’ai… j’ai encore plus envie de toi…
Elle me gratifie d’un large sourire. Son regard est intense. Elle colle à son tour sa bouche à mon oreille et laisse tomber un :
-Arrange-toi d’être seul demain après quinze heures. Je sais maintenant où tu habites.
Le rendez-vous était pris.
Le lendemain, à peine franchit la porte d’entrée de ma maison, la voilà qui déboutonne son chemisier et m’exhibe ses seins.
-Dépêchons-nous, je n’ai pas beaucoup de temps.
Je prends tout de même le temps à admirer sa poitrine. Ses mamelons sont restés comme jadis, à de grosses tétines marron et ses tétons érigés, à deux grains de café. Sans perdre de temps, je pose mes mains dessus et la malaxe sans retenue. La chair est élastique et ferme à la fois.
-Lève ta jambe, et pose ton pied sur la chaise. Lui fais-je.
Elle s’exécute. Je remarque tout de suite, qu’elle a omis de se passer une culotte. Je peux toucher à mon aise sa chatte baveuse. J’empaume le pubis et caresse son triangle dru qui le recouvre. Mes doigts rencontrent plus bas la chair molle et chaude du sexe gluant de mouille.
Je fais passer et repassent mes mains sur le haut des cuisses, sur les fesses et les reins de tata, qui semble comme naguère, apprécier cette douceur. C’est même pour cela qu’elle est là. J’approche sa bouche et embrasse par petites touches ses fesses. J’inonde de baisers humides et doux ses fesses. Avant de faufiler ma langue entre ses fesses, qui à chaque fois se cambre pour se faire plus profonde. Ma langue frétille entre ses lèvres sous ses gémissements.
Ma tante donne quelques coups de hanches. J’ai devant mes yeux sa toison qui danse. Tout en mangeant sa fente, mes mains pétrissent ses fesses. J’écarte à l’aide de ma langue les lèvres brunes et l’insinue effrontément dans son nid d’amour pour ensuite titiller le clitoris tout rose.
D’un coup tata Christiane fait demi-tour sur elle-même. Et toujours au-dessus de ma bouche, elle me tourne maintenant le dos. Elle se penche en avant pour mieux s’offrir sans retenue à ma langue qui la fouille goulûment. J’introduis une fois encore ma langue dans la fente ouverte, et j’entends tata gémir joliment. Je lèche, je suce, je mordille les petites lèvres brunes et réintroduit le bout de ma langue dans la fente qui s’élargit au milieu de tant de désir.
La coquine continue à frotter sa vieille chatte sur ma bouche tout en respirant vite. Je lèche de haut en bas, du clitoris au périnée et de temps en temps m’attarde sur le petit cul qui palpite un peu. Faisant pénétrer le bout de ma langue profondément dans tous les orifices, alors qu’elle se trémousse gracieusement. J’ai l’impression, d’avoir rajeunie de quelques années. Je ferme les yeux, et je me revoie dans son grenier. Je suis bien, je veux que tout ça se prolonge jusqu’à la nuit !
Mais c’est sans compter sur Christiane, qui comme une mort de faim je jette sur ma braguette et libère pas sans mal mon sexe dur qui trépignait depuis trop de temps dans son refuge. Elle me branle lentement, en s’attardant parfois sur le gland.
J’interrompre quelques instants sa caresse pour l’attirer jusqu’à la cuisine. Dans un mouvement coordonné, je m’allonge sur la table, elle au dessus de moi. Très vite ma bouche prend le chemin de sa chatte. De son côté elle reprend sa caresse sur mon sexe dressé et dur. Du bout d’un doigt, je caresse l’entrée du vagin tout en tétant avec amour le clitoris qui grossit de bonheur. Pendant ce temps, elle m’embrasse le sexe qui frétille dans sa main, de baisers en petits coups de langue, elle se met à lécher de bas en haut ma colonne dure. D’un coup, elle prend le gland dans sa bouche et aspire lentement.
Elle fait faire un petit mouvement de va-et-vient du sexe dans sa bouche tout en le caressant de sa main. Soupirant de bonheur, je continue de lécher encore plus profondément tata. Ma langue fouille la fente pendant qu’un de mes doigts pénètre discrètement l’anneau étroit qui se libère petit à petit sous ma caresse.
D’un coup, tata me reprend sa chatte de ma bouche et se positionne face à moi. Doucement, elle s’assoit sur mon sexe. En un instant, le bâton brûlant pénètre jusqu’au fond de la chatte de tata qui respire un grand coup. Je tiens de mes deux mains ses fesses qui commencent à monter et descendre sur ma verge. Les mains posées sur ma poitrine, Christiane ferme les yeux par moments, comme pour se laisser encore plus aller à cette profondeur. Je caresse les fesses arrondies tout en couvrant de baisers brûlants ses seins dressés.
Christiane fait danser sa croupe sur ma queue. Balançant des coups de hanches d’avant en arrière, des coups de hanches qui, à chaque fois, font se planter plus vigoureusement encore mon sexe dur. Chaque coup de hanches correspond à un gémissement de plus en plus sonore de tata.
-Tu vas me faire partir ! Dit-elle d’une voix sourde.
Je serre mes mains sur ses reins comme pour renforcer encore plus son désir qui se laisse glisser doucement. D’un coup, un râle rauque sort de sa bouche. Elle s’arc-boute ses bras sur ma poitrine. Une succession de tremblements traverse son corps, qui crie entre ses lèvres toute sa jouissance. Tout son corps se tend. Un dernier cri sort de sa bouche alors que son corps s’effondre sur le mien. Sa respiration est encore sonore dans mon oreille, alors que je continue lentement à voyager ma queue dans son vagin.
Dans une manœuvre d’acrobate, je tiens ma tante dans mes bras et change de position sans jamais la quitter du fond d’elle-même. Ma tante est maintenant sur le dos les cuisses écartées et relevées, mon corps penché en avant, face à ma tante.
Je continue à aller et venir au fond de sa chatte. Ma tante jouit une deuxième fois tout en profondeur. J’accélère le va-et-vient. Christiane relève son derrière. Je sors de sa chatte tout en la frottant de mon gland. Les cuisses en l’air, les genoux sur les seins, tata se tient offerte à mon envie. Je frotte mon sexe entre ses fesses, mon gland entre les lèvres, entre les fesses, contre l’anneau étroit. De bas en haut, je frotte mon gland contre l’anneau étroit et sombre qui se fait plus accueillant. Palpitant, le petit trou serré se fait plus large, je force mon gland pour entrer entre les fesses de tata, qui, dans un gémissement sourd, ferme les yeux.
Je pousse mon sexe, lequel entre dans le derrière de moins en moins étroit de tata qui remonte ses cuisses ouvertes sur ses seins. Je commence un va-et-vient dans le cul de plus en plus souple de Christiane tout en caressant son bouton rose qui joint ses lèvres brunes ouvertes.
J’accélère mon va-et-vient dans son cul, tout en tenant ses genoux dans les mains. Le sexe entre et sort doucement entre ses fesses écartées, alors qu’elle gémit de plus en plus fort. Très vite je sens les premières prédises d’une prochaine jouissance. Alors j’accélère mon mouvement entre les fesses de tata et d’un coup mon corps est comme transpercé d’une pulsion qui me pousse au fond du cul de plus en plus accueillant de tata. Dans un cri et un mouvement fort, je crache ma semence au fond des fesses de tata qui, se laisse aller à ma jouissance.
Après quelques coups de reins de plus en plus doux, je me retire d’entre ses fesses douces tout en gémissant de plaisir.
-Tu ne peux pas savoir comment tu m’as manqué ! Me dit-elle.
-Moi aussi, tata chérie !
Donc, c’est avec grand plaisir que j’ai appris qu’elle venait passée quelques jours chez sa sœur, soit ma mère. Et il m’était donc difficile à ne pas l’invité à dîner à la maison. J’en fis même part à ma femme qu’elle accepta sans soucis.
D’ailleurs pour sa part, ma tante a tout de suite accepté l’invitation, sans prendre la peine d’en parler à son compagnon du moment.
Le dîner se déroule de la meilleure des façons possibles. Chacun autour de la table, allant à son couplet de souvenir de vacance. Qui avait à cette époque pour effet de réunir toute la famille au complet. Je garde de toute cet période, d’excellent souvenir. Surtout de sexe !
C’est alors que je sens soudain une main se plaquer contre la braguette de mon pantalon. Pas besoin de l’inspecteur Colombo pour savoir qui est le responsable de ce méfait. Surtout que bien plus tôt, lors des attributions des places autour de la table, ma tante avait fortement insisté pour s’installer à mes côtés.
Et comme un fait exprès, cette dernière tourne son regard vers moi, et me sourie affablement. Puis l’air de rien, la voilà qu’elle porte son verre à ses lèvres et boit une gorgée de vin. Loin d’être contrarié, je fais de même, faussement décontracté. Très vite mon esprit s’embrume au point d’oublier les convives.
Et la coquine ne se limite plus qu’à me serrer le sexe. La voilà maintenant, qu’elle me le masse magnifiquement. Faisant prolonger mon érection. Je suis de plus en plus fragilisé par le bien que me procure sa caresse. Ma verge devenant gluante de sécrétions
Et cela, malgré la situation somme toute, assez risquée, comme vous pouvez le concevoir. Qu’heureusement, le fait de dîner aux chandelles, minimise les risques de se faire surprendre. Et qu’hormis les têtes, les autres parties de nos corps sont dans le noir le plus total.
Au fil des secondes, elle module diaboliquement sa masturbation, entretenant à son maximum l’excitation de mon membre, sans jamais lui laisser atteindre sa conclusion. Elle n’a pas perdu la main, la tata ! Je prends sur moi pour ne pas extériorisé mon bien être. Mais c’est très difficile.
Je me mets même à m’imaginer, les mille plaisirs que je prendrais, si seulement je pouvais me retrouver seul avec elle. Avec tout ça, mes couilles commencent à être douloureuses. Une nécessité d’éjaculer se répand peu à peu dans mon esprit, mais je combats, comme je sais le faire !
D’ailleurs des spasmes agréables me traversent par intermittence, et je surprends d’étranges pensées parcourir mon esprit. Comme celui de fourrer ma main dans la culotte de ma tante. Surtout elle est en jupe courte ce soir. Mais je me retiens.
Près d’une heure s’est à présent écoulée depuis le début de ce céleste manège. Je ne me sens comme dans un état second. Comme si l’alcool s’était emparé de moi. Mes tempes bourdonnent, ma bouche est sèche, et toutes sortes de sensations s’empilent dans mon corps. Inutile de préciser que je ne prête que peu d’intérêt sur ce qui se passe autour de moi. Participant le moins possible aux conversations environnantes. Au point de me demandé si j’étais souffrant ! J’ai prétendu, avoir une méchante migraine. Aimablement, ma femme s’est même dévouer à me ramener un comprimé pour la tête.
Mon plaisir est extrêmement intense et je doute de ne plus pouvoir me retenir encore longtemps. Alors je me laisse aller, et voilà que ma propre jouissance explose. Le mot est faible, et cela dans mon slip. J’éjacule abondamment et avec force. Un peu honteusement, et en me demandant si je n’allais pas être démasqué avec la tache qu’avait provoqué ma jouissance à mon pantalon, je pris le risque de quitter ma place. Merci les chandelles.
A mon retour, je ne sais pourquoi je me penche à la hauteur de l’oreille de Christiane, et je lui dis :
-Merci… tata… c’est… J’ai… j’ai encore plus envie de toi…
Elle me gratifie d’un large sourire. Son regard est intense. Elle colle à son tour sa bouche à mon oreille et laisse tomber un :
-Arrange-toi d’être seul demain après quinze heures. Je sais maintenant où tu habites.
Le rendez-vous était pris.
Le lendemain, à peine franchit la porte d’entrée de ma maison, la voilà qui déboutonne son chemisier et m’exhibe ses seins.
-Dépêchons-nous, je n’ai pas beaucoup de temps.
Je prends tout de même le temps à admirer sa poitrine. Ses mamelons sont restés comme jadis, à de grosses tétines marron et ses tétons érigés, à deux grains de café. Sans perdre de temps, je pose mes mains dessus et la malaxe sans retenue. La chair est élastique et ferme à la fois.
-Lève ta jambe, et pose ton pied sur la chaise. Lui fais-je.
Elle s’exécute. Je remarque tout de suite, qu’elle a omis de se passer une culotte. Je peux toucher à mon aise sa chatte baveuse. J’empaume le pubis et caresse son triangle dru qui le recouvre. Mes doigts rencontrent plus bas la chair molle et chaude du sexe gluant de mouille.
Je fais passer et repassent mes mains sur le haut des cuisses, sur les fesses et les reins de tata, qui semble comme naguère, apprécier cette douceur. C’est même pour cela qu’elle est là. J’approche sa bouche et embrasse par petites touches ses fesses. J’inonde de baisers humides et doux ses fesses. Avant de faufiler ma langue entre ses fesses, qui à chaque fois se cambre pour se faire plus profonde. Ma langue frétille entre ses lèvres sous ses gémissements.
Ma tante donne quelques coups de hanches. J’ai devant mes yeux sa toison qui danse. Tout en mangeant sa fente, mes mains pétrissent ses fesses. J’écarte à l’aide de ma langue les lèvres brunes et l’insinue effrontément dans son nid d’amour pour ensuite titiller le clitoris tout rose.
D’un coup tata Christiane fait demi-tour sur elle-même. Et toujours au-dessus de ma bouche, elle me tourne maintenant le dos. Elle se penche en avant pour mieux s’offrir sans retenue à ma langue qui la fouille goulûment. J’introduis une fois encore ma langue dans la fente ouverte, et j’entends tata gémir joliment. Je lèche, je suce, je mordille les petites lèvres brunes et réintroduit le bout de ma langue dans la fente qui s’élargit au milieu de tant de désir.
La coquine continue à frotter sa vieille chatte sur ma bouche tout en respirant vite. Je lèche de haut en bas, du clitoris au périnée et de temps en temps m’attarde sur le petit cul qui palpite un peu. Faisant pénétrer le bout de ma langue profondément dans tous les orifices, alors qu’elle se trémousse gracieusement. J’ai l’impression, d’avoir rajeunie de quelques années. Je ferme les yeux, et je me revoie dans son grenier. Je suis bien, je veux que tout ça se prolonge jusqu’à la nuit !
Mais c’est sans compter sur Christiane, qui comme une mort de faim je jette sur ma braguette et libère pas sans mal mon sexe dur qui trépignait depuis trop de temps dans son refuge. Elle me branle lentement, en s’attardant parfois sur le gland.
J’interrompre quelques instants sa caresse pour l’attirer jusqu’à la cuisine. Dans un mouvement coordonné, je m’allonge sur la table, elle au dessus de moi. Très vite ma bouche prend le chemin de sa chatte. De son côté elle reprend sa caresse sur mon sexe dressé et dur. Du bout d’un doigt, je caresse l’entrée du vagin tout en tétant avec amour le clitoris qui grossit de bonheur. Pendant ce temps, elle m’embrasse le sexe qui frétille dans sa main, de baisers en petits coups de langue, elle se met à lécher de bas en haut ma colonne dure. D’un coup, elle prend le gland dans sa bouche et aspire lentement.
Elle fait faire un petit mouvement de va-et-vient du sexe dans sa bouche tout en le caressant de sa main. Soupirant de bonheur, je continue de lécher encore plus profondément tata. Ma langue fouille la fente pendant qu’un de mes doigts pénètre discrètement l’anneau étroit qui se libère petit à petit sous ma caresse.
D’un coup, tata me reprend sa chatte de ma bouche et se positionne face à moi. Doucement, elle s’assoit sur mon sexe. En un instant, le bâton brûlant pénètre jusqu’au fond de la chatte de tata qui respire un grand coup. Je tiens de mes deux mains ses fesses qui commencent à monter et descendre sur ma verge. Les mains posées sur ma poitrine, Christiane ferme les yeux par moments, comme pour se laisser encore plus aller à cette profondeur. Je caresse les fesses arrondies tout en couvrant de baisers brûlants ses seins dressés.
Christiane fait danser sa croupe sur ma queue. Balançant des coups de hanches d’avant en arrière, des coups de hanches qui, à chaque fois, font se planter plus vigoureusement encore mon sexe dur. Chaque coup de hanches correspond à un gémissement de plus en plus sonore de tata.
-Tu vas me faire partir ! Dit-elle d’une voix sourde.
Je serre mes mains sur ses reins comme pour renforcer encore plus son désir qui se laisse glisser doucement. D’un coup, un râle rauque sort de sa bouche. Elle s’arc-boute ses bras sur ma poitrine. Une succession de tremblements traverse son corps, qui crie entre ses lèvres toute sa jouissance. Tout son corps se tend. Un dernier cri sort de sa bouche alors que son corps s’effondre sur le mien. Sa respiration est encore sonore dans mon oreille, alors que je continue lentement à voyager ma queue dans son vagin.
Dans une manœuvre d’acrobate, je tiens ma tante dans mes bras et change de position sans jamais la quitter du fond d’elle-même. Ma tante est maintenant sur le dos les cuisses écartées et relevées, mon corps penché en avant, face à ma tante.
Je continue à aller et venir au fond de sa chatte. Ma tante jouit une deuxième fois tout en profondeur. J’accélère le va-et-vient. Christiane relève son derrière. Je sors de sa chatte tout en la frottant de mon gland. Les cuisses en l’air, les genoux sur les seins, tata se tient offerte à mon envie. Je frotte mon sexe entre ses fesses, mon gland entre les lèvres, entre les fesses, contre l’anneau étroit. De bas en haut, je frotte mon gland contre l’anneau étroit et sombre qui se fait plus accueillant. Palpitant, le petit trou serré se fait plus large, je force mon gland pour entrer entre les fesses de tata, qui, dans un gémissement sourd, ferme les yeux.
Je pousse mon sexe, lequel entre dans le derrière de moins en moins étroit de tata qui remonte ses cuisses ouvertes sur ses seins. Je commence un va-et-vient dans le cul de plus en plus souple de Christiane tout en caressant son bouton rose qui joint ses lèvres brunes ouvertes.
J’accélère mon va-et-vient dans son cul, tout en tenant ses genoux dans les mains. Le sexe entre et sort doucement entre ses fesses écartées, alors qu’elle gémit de plus en plus fort. Très vite je sens les premières prédises d’une prochaine jouissance. Alors j’accélère mon mouvement entre les fesses de tata et d’un coup mon corps est comme transpercé d’une pulsion qui me pousse au fond du cul de plus en plus accueillant de tata. Dans un cri et un mouvement fort, je crache ma semence au fond des fesses de tata qui, se laisse aller à ma jouissance.
Après quelques coups de reins de plus en plus doux, je me retire d’entre ses fesses douces tout en gémissant de plaisir.
-Tu ne peux pas savoir comment tu m’as manqué ! Me dit-elle.
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