Technologie traître - Et autres histoires
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 201 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Technologie traître - Et autres histoires
Quelques épisodes de « Dialogues Interdits », ma série de petites histoires complètes (allant de cinq lignes à… dix pages) ayant pour particularité de ne contenir aucune narration. A découvrir ou redécouvrir ici, semaine après semaine. Humour, drame, sensualité et tabous brisés.
Technologie traître
— Est-ce qu’on serait pas devenus des zombies serviles avec toutes ces applications iPhone ?
— Je sais pas… dans quel cas par exemple ?
— Quand on suit aveuglément la Maps à sa voix. Qui nous indique le trajet… « tournez à droite », « tournez à gauche »… A obéir sans jamais faire gaffe, et à la moindre erreur de l’appli on peut être jeté dans un précipice.
— Ah, oui ! Tu as raison. D’ailleurs je me demande si c’est pas déjà arrivé.
— Moi il m’est arrivé moins dramatique mais bien plus gênant. Avec Google Earth et sa vue satellite… et le fait de pouvoir repérer des petits coins discrets. Sauf que c’est pas en temps réel ! La mise à jour est régulière sans être immédiate. Un coup de manque de chance et… tu te retrouves à baiser au beau milieu d’une toute petite plage déserte avec ton copain, et seulement après avoir joui tu vois qu’une colonie de vacances vient d’ouvrir juste à côté… et que vingt paires de yeux te matent. Un bâtiment tout fraîchement éclos, apparaissant pas du tout sur les images de Google !
— Ça t’apprendra à te faire sauter comme une zombie. Au moins avec toi plus besoin de faire venir des intervenants pour l’éducation sexuelle !
— Oui et non. On avait pas mis de capote… Bon, en même temps vu la posture et la profondeur je pense pas qu’ils aient remarqué.
–-–-
Prétexte et cigarette
— Tiens Franck, qu’est-ce que tu fais si tôt dans la rue ?
— Je file à l’anglaise.
— Comment ça ?
— Tu connais la chanson de Jane Birkin ? « Il est parti chercher des cigarettes… en faite… il est parti ».
— Tu veux dire que t’as passé la nuit avec une fille d’un soir ?
— Oui.
— Que tu regrettes, et que tu préfères utiliser un prétexte pour te sauver ? Genre que tu vas racheter du café, ou prendre des croissants, ou des cigarettes ?
— Oui.
— En lui faisant croire que tu reviens dans cinq minutes ?
— C’est ça.
— Heu… Franck, comment te dire.
— Quoi, ça te choque ?
— Tu sors de chez toi là mec.
–-–-
Sans rien au soleil
— Tu me crois vraiment pas quand je te dis que je bronze en intégral ?
— Je sais pas, je suis pas sûr…
— Allez allez… Tout ça pour que j’ai envie de te le prouver et que je me mette nue devant toi ! Pas la peine de chercher un prétexte… Viens me déshabiller, et vérifie par toi-même…
–-–-
Forme de bouche
— Ça t’arrive jamais de te demander, la première fois que tu vois une nana, de quelle façon ça s’emboîterait ?
— Tu parles de pipes ou de pelles ?
— On passe pas de la pipe à la pelle, plutôt de la pelle à la pipe. Quand j’étais jeune, je me posais la même question pour les pelles. Deux bouches sont pas forcément moulées l’une pour l’autre, certaines morphologies collent mieux ensemble, d’autres non. Et en grandissant la question s’est posée pour les pipes. J’y peux rien, au bout de quelques minutes d’échanges l’image s’impose à mon esprit : ses lèvres, ma bite. Et je me demande si ça fonctionnerait bien ou pas.
— Y a des formes de bouches très différentes. Mais les formes de bites sont toutes un peu les mêmes.
— Oh, quand même !
— Ça diffère par la taille et la grosseur, mais la forme reste la même ! C’est ce qui est merveilleux avec la fellation : au fond, toute bouche de femme est conçue pour s’emboîter avec tout membre d’homme. Là où c’est plus compliqué entre deux bouches. Dans le cas où le baiser fonctionne mal, la pipe sera forcément réussie !
— Sauf si elle suce mal.
— Non, mais même. Ma bite dans une bouche c’est forcément une réussite.
–-–-
Atmosphère
— J’adore cette soirée. Je sais pas pourquoi ! Tout y est top. L’ambiance, la musique, les garçons…
— T’as jeté ton dévolu sur quelqu’un ?
— Sur un peu tout le monde en fait ! J’y peux rien c’est comme ça.
— T’avais jamais été dans une soirée d’étudiants en biologie ?
— Non, et je pensais pas que ce serait si bien. Du coup j’ai plus qu’une envie : donner mon corps à la science. Mais cette nuit, et de mon vivant !
–-–-
A une lettre près
— Non, c’est pas du tout parce que j’ai des infos sur mon voisin qui gruge ses impôts que je vais aller le dire.
— T’en es bien certaine ?
— Sûre et certaine. La délation c’est pas mon truc, sauf si on remplace le son « D » par autre chose.
–-–-
Séchage suspect
— C’est marrant, quand tu sors de l’eau tu prends jamais de serviette. Même pas pour t’allonger !
— J’adore laisser le soleil me sécher doucement, moi nue allongée sur les galets…
— Pas trop dur ?
— On s’y fait. Puis ce sont que des galets ronds, ça donne un effet massant.
— T’as de la chance que cet endroit tolère la nudité.
— Oh, à partir du moment où la baigneuse est une jeune fille bien roulée, on trouve beaucoup, beaucoup d’endroits soudainement très tolérants sur ce point.
— Et quand la baigneuse est baiseuse, encore plus !
— Le mode séchage me sert aussi pour ça. Hier je suis sortie d’un buisson et suis allée me faire sécher au soleil, comme d’habitude : personne n’a vu que ce qui séchait sur mon corps c’était pas de l’eau mais de la sueur masculine, de la salive et du sperme.
— T’es pas allée te rincer !?
— Tu rigoles ? Alors que je peux prolonger le plaisir d’une baise pendant plusieurs heures, en sentant et ressentant en permanence l’empreinte de trois garçons sur ma peau ?
–-–-
Passer à la casserole
— Tu crois pas que ce garçon cherche à te manipuler ?
— De quelle façon ?
— De toutes les façons possibles.
— Et dans quel but ?
— T’attraper. Là encore, de toutes les façons possibles. Tu connais la technique de la grenouille dans la casserole ?
— Ah oui, ce truc de la plonger dans l’eau froide. Si tu tentes de la mettre dans l’eau bouillante, elle s’échappe. Dans l’eau froide en faisant grimper la température peu à peu, elle se laisse tranquillement cuire sans s’apercevoir de rien. C’est ça ?
— C’est ça.
— Et je te donne l’air d’être la grenouille dans la casserole ?
— Un peu, un peu…
— Tu le trouves pervers alors.
— Malin en tout cas. Qu’est-ce que t’en penses ?
— Que tu as raison au fond. Que oui, je suis bel et bien une grenouille. Une grenouille perverse. Une grenouille parfaitement consciente d’être dans une casserole, et ravie de sentir la température me cuire peu à peu…
–––––
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plume-interdite.com
Technologie traître
— Est-ce qu’on serait pas devenus des zombies serviles avec toutes ces applications iPhone ?
— Je sais pas… dans quel cas par exemple ?
— Quand on suit aveuglément la Maps à sa voix. Qui nous indique le trajet… « tournez à droite », « tournez à gauche »… A obéir sans jamais faire gaffe, et à la moindre erreur de l’appli on peut être jeté dans un précipice.
— Ah, oui ! Tu as raison. D’ailleurs je me demande si c’est pas déjà arrivé.
— Moi il m’est arrivé moins dramatique mais bien plus gênant. Avec Google Earth et sa vue satellite… et le fait de pouvoir repérer des petits coins discrets. Sauf que c’est pas en temps réel ! La mise à jour est régulière sans être immédiate. Un coup de manque de chance et… tu te retrouves à baiser au beau milieu d’une toute petite plage déserte avec ton copain, et seulement après avoir joui tu vois qu’une colonie de vacances vient d’ouvrir juste à côté… et que vingt paires de yeux te matent. Un bâtiment tout fraîchement éclos, apparaissant pas du tout sur les images de Google !
— Ça t’apprendra à te faire sauter comme une zombie. Au moins avec toi plus besoin de faire venir des intervenants pour l’éducation sexuelle !
— Oui et non. On avait pas mis de capote… Bon, en même temps vu la posture et la profondeur je pense pas qu’ils aient remarqué.
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Prétexte et cigarette
— Tiens Franck, qu’est-ce que tu fais si tôt dans la rue ?
— Je file à l’anglaise.
— Comment ça ?
— Tu connais la chanson de Jane Birkin ? « Il est parti chercher des cigarettes… en faite… il est parti ».
— Tu veux dire que t’as passé la nuit avec une fille d’un soir ?
— Oui.
— Que tu regrettes, et que tu préfères utiliser un prétexte pour te sauver ? Genre que tu vas racheter du café, ou prendre des croissants, ou des cigarettes ?
— Oui.
— En lui faisant croire que tu reviens dans cinq minutes ?
— C’est ça.
— Heu… Franck, comment te dire.
— Quoi, ça te choque ?
— Tu sors de chez toi là mec.
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Sans rien au soleil
— Tu me crois vraiment pas quand je te dis que je bronze en intégral ?
— Je sais pas, je suis pas sûr…
— Allez allez… Tout ça pour que j’ai envie de te le prouver et que je me mette nue devant toi ! Pas la peine de chercher un prétexte… Viens me déshabiller, et vérifie par toi-même…
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Forme de bouche
— Ça t’arrive jamais de te demander, la première fois que tu vois une nana, de quelle façon ça s’emboîterait ?
— Tu parles de pipes ou de pelles ?
— On passe pas de la pipe à la pelle, plutôt de la pelle à la pipe. Quand j’étais jeune, je me posais la même question pour les pelles. Deux bouches sont pas forcément moulées l’une pour l’autre, certaines morphologies collent mieux ensemble, d’autres non. Et en grandissant la question s’est posée pour les pipes. J’y peux rien, au bout de quelques minutes d’échanges l’image s’impose à mon esprit : ses lèvres, ma bite. Et je me demande si ça fonctionnerait bien ou pas.
— Y a des formes de bouches très différentes. Mais les formes de bites sont toutes un peu les mêmes.
— Oh, quand même !
— Ça diffère par la taille et la grosseur, mais la forme reste la même ! C’est ce qui est merveilleux avec la fellation : au fond, toute bouche de femme est conçue pour s’emboîter avec tout membre d’homme. Là où c’est plus compliqué entre deux bouches. Dans le cas où le baiser fonctionne mal, la pipe sera forcément réussie !
— Sauf si elle suce mal.
— Non, mais même. Ma bite dans une bouche c’est forcément une réussite.
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Atmosphère
— J’adore cette soirée. Je sais pas pourquoi ! Tout y est top. L’ambiance, la musique, les garçons…
— T’as jeté ton dévolu sur quelqu’un ?
— Sur un peu tout le monde en fait ! J’y peux rien c’est comme ça.
— T’avais jamais été dans une soirée d’étudiants en biologie ?
— Non, et je pensais pas que ce serait si bien. Du coup j’ai plus qu’une envie : donner mon corps à la science. Mais cette nuit, et de mon vivant !
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A une lettre près
— Non, c’est pas du tout parce que j’ai des infos sur mon voisin qui gruge ses impôts que je vais aller le dire.
— T’en es bien certaine ?
— Sûre et certaine. La délation c’est pas mon truc, sauf si on remplace le son « D » par autre chose.
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Séchage suspect
— C’est marrant, quand tu sors de l’eau tu prends jamais de serviette. Même pas pour t’allonger !
— J’adore laisser le soleil me sécher doucement, moi nue allongée sur les galets…
— Pas trop dur ?
— On s’y fait. Puis ce sont que des galets ronds, ça donne un effet massant.
— T’as de la chance que cet endroit tolère la nudité.
— Oh, à partir du moment où la baigneuse est une jeune fille bien roulée, on trouve beaucoup, beaucoup d’endroits soudainement très tolérants sur ce point.
— Et quand la baigneuse est baiseuse, encore plus !
— Le mode séchage me sert aussi pour ça. Hier je suis sortie d’un buisson et suis allée me faire sécher au soleil, comme d’habitude : personne n’a vu que ce qui séchait sur mon corps c’était pas de l’eau mais de la sueur masculine, de la salive et du sperme.
— T’es pas allée te rincer !?
— Tu rigoles ? Alors que je peux prolonger le plaisir d’une baise pendant plusieurs heures, en sentant et ressentant en permanence l’empreinte de trois garçons sur ma peau ?
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Passer à la casserole
— Tu crois pas que ce garçon cherche à te manipuler ?
— De quelle façon ?
— De toutes les façons possibles.
— Et dans quel but ?
— T’attraper. Là encore, de toutes les façons possibles. Tu connais la technique de la grenouille dans la casserole ?
— Ah oui, ce truc de la plonger dans l’eau froide. Si tu tentes de la mettre dans l’eau bouillante, elle s’échappe. Dans l’eau froide en faisant grimper la température peu à peu, elle se laisse tranquillement cuire sans s’apercevoir de rien. C’est ça ?
— C’est ça.
— Et je te donne l’air d’être la grenouille dans la casserole ?
— Un peu, un peu…
— Tu le trouves pervers alors.
— Malin en tout cas. Qu’est-ce que t’en penses ?
— Que tu as raison au fond. Que oui, je suis bel et bien une grenouille. Une grenouille perverse. Une grenouille parfaitement consciente d’être dans une casserole, et ravie de sentir la température me cuire peu à peu…
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