TED 09 LES JOURS SUIVANTS 2
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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TED 09 LES JOURS SUIVANTS 2
TED 09LES JOURS SUIVANTS 2
Ted est devenu bien plus câlin à partir de ce jour. Le reste de la journée il était d'une grande douceur, chaque fois qu'il me touchait ou me frôlait c'était avec tendresse. En plus il ne s'en privait pas.
Nous avons d'abord pris une douche, il me frottait le dos, glissait un doigt entre mes fesses. Puis il me frottait le torse et longuement, ça l'amusait de me tripoter les couilles, il les savonnait longuement, les massait avec douceur.
Il me serrait fort dans ses bras avant de sortir de la douche …
Ted : Tu peux le garder combien de temps ton truc ?
Moi : Je ne sais pas ! En théorie il n'y a pas de limite …Ted : Pas de limite ?
Moi : Non je peux assurer l'hygiène par les trous d'aération, le truc est parfaitement ajusté, il est à la bonne taille … Donc …Ted : Donc dans les pub de la PK c'est pas des conneries ? Il disent qu'on peut porter leur truc sans aucune limite dans le temps.
Moi : Oui mais leurs trucs ils sont en titane, ils sont garantis sans aucune réaction au contacte prolongé avec la peau.
Ted : Et ton truc à toi ?
Moi : En théorie le matériaux est neutre, donc ça devrait être pareil.
Ted : Et tu l'as gardé combien de temps … Au plus long …Moi : Quatre semaines !
Ted : Non stop ?
Moi : Non stop !
Ted : Et là tu prévoyais combien de temps !
Moi : Le mois de Septembre n'est pas fini, si on rajoute Octobre, ça fera six.
Ted : Ou plus …Moi : Ou plus ?
Ted : Plus !
Je me demandais ce qu'il me réservais l'animal, il avait une idée dans la tête.
Moi : Et tu veux me coacher ?
Ted : Je vais t'encourager !
Il me donnait encore un baiser plein de passion, je sentais déjà ma queue protester dans sa prison, pourtant ça ne faisait pas longtemps. Je mesurais déjà la durée que ça représentait, six, sept, dix semaines … Il n'aime pas me voir bander, c'est pas rassurant ça !
Moi : Au fait j'ai pas d'autres clés …Ted : Ne t'inquiète pas elles sont en sécurité, je les garde …Moi : Ouai ! Mais non ! C'est que ! C'est pas ça mais !
Il me prenait dans ses bras, je sentais ses muscles qui me serraient fort contre lui, Ted dégageait une force incroyable mais aussi une grande douceur. Je ne me sentais pas écrasé dans ses bras, je m'y sentais bien, je m'y blottissait.
Ted : Alors doudou, tu disais quoi au juste ?
C'était la première fois qu'il m'appelait doudou ! Je craquais … Je sentais ma queue se révolter dans sa cage, mon dispositif se relevait avec force, des bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération, ça formait des sortes de boules, c'était rigolo, pas vraiment désagréable, pas vraiment confortable non plus mais à part ça, ça allait !
Il m'avait appelé Doudou, je fondais, je me laissais faire, je le laissais faire, je renonçais à résister …
Ted : Je prends la direction des opérations ?
Je faisais oui de la tête.
Moi : Il faudra tout de même me libérer de temps en temps. Histoire de s'assurer que tout va bien … Et c'est pour la tête aussi …
Il me faisait oui de la tête et me donnait un baiser sur les lèvres. Il est câlin mon Doudou ! Maintenant Ted c'est mon Doudou et je crois que je deviens accro à mon Doudou.
Dans le reste de la journée on faisait un peu de sport, on allait courir à la plage, il ne faisait pas beau mais … Enfin, il ne faisait pas beau pour se baigner, il n'y avait plus de soleil, le ciel était couvert, on ne pourrait pas bronzer mais il ne faisait pas encore froid. Le midi on s'est arrêté dans une crêperie et le reste de la journée on a fait un peu de tourisme.
J'ai fait plein de photo de Ted ce jour là.
Le soir, en arrivant à la maison je bandais comme un fou. Là je ne contrôlais plus rien. Ma queue poussait de toutes ses forces contre ma cage. C'est normal, à chaque fois que j'ai mis ce truc ça m'a fait la même chose mais il me semble que ce jour là c'était plus violent. Il y avait Ted !
Il y avait le contacte de sa main, il y avait son corps que je heurtais souvent avec douceur, il y avait un caresse dans le dos, dans mon dos ou dans son dos … Il y avait les baisers que nous échangions régulièrement. Il y avait sa main qui souvent prenait la mienne et se laissait faire quand c'est moi qui la prenait.
La dernière fois il n'y avait pas tout ça. Et pourtant si je me souviens bien, déjà la dernière fois les premiers jours n'étaient pas beaucoup plus faciles. A chaque fois je bandais. C'est dans les heures qui suivaient que c'était le plus dur, c'était dans les jours qui suivaient que j'avais le plus envie de retirer mon dispositif. Ensuite je me suis habitué !
Je me suis habitué, tous les week-end Ted et moi les passions ensemble. Il était toujours aussi câlin, viril mais câlin.
Il était viril quand il me prenait dans ses bras, il était viril quand il me serrait contre lui. Viril quand il bandait contre moi, quand il me laissait lui faire plaisir. Je n'arrivais pas à me prendre sa queue en entier dans la bouche et je n'y parviens toujours pas mais c'est pas grave, ça lui fait tout de même plaisir. Et dans mon cul elle rentre.
Il faut bien lubrifier, il faut pousser un peu, il faut forcer … Mais quand elle entre, je ne sens plus que cela. La peur a disparu, mais il me reste toujours cette étrange sensation dans mon estomac au moment ou il se prépare, pendant ces quelques instants je n'ai rien à faire, rien d'autre que de le regarder, l’appréhension a tout le temps de monter et de m'envahir. Je me demande à chaque fois dans quelle position il va vouloir me prendre ? C'est lui qui décide de cela aussi. Il décide quand et comment.
Il y a des positions moins faciles que d'autre. Il peut me replier sur moi même, les chevilles sur ses épaules. Il peut aussi, toujours en me repliant en deux, serrer mes deux chevilles l'une contre l'autre, mettre mes deux chevilles sur une seule épaules. Mon cul est alors plus resserré, mes sensations et les siennes ne sont que plus fortes. Il écarte aussi mes jambes, sur le dos je peux plus facilement le caresser quand il se penche sur moi. Je referme alors mes jambes dans son dos.
De temps en temps, il aime aussi m'allonger sur le dos, les jambes bien jointes, il place alors ses genoux à l'extérieur des mes cuisses et au moment ou il me pénétre … Je ne vous dis pas … Là c'est pas pour les débutants ...
Mon cœur bat toujours très fort au moment ou je sens son gland contre mon cul. Ma queue pousse toujours de toutes ses forces contre ma cage à ce moment également.
Il me caresse doucement les couilles, joue un peu avec ma cage puis il pousse lentement mais fermement. Mon cul se dilate alors, c'est violent, c'est intense. C'est à la limite entre la douleur et l'extase, même si la douleur n'est quelquefois pas si loin de l'extase. S'il force trop ou trop vite, la douleur devient insupportable. Mais il sait faire Ted, il sait faire et ne force pas trop. Enfin le plus souvent il ne force pas trop …
Le plus souvent c'est une extase affolante. Affolante oui, toujours l'impression que ça pourrait déchirer, même si je m'habitue à ses dimensions. Ce n'est pas seulement une impression, s'il y allait un peu trop fort, il pourrait réellement me blesser mais si je me suis habitué à ses dimensions, lui connaît mes limites et il prend le plus grand soin pour ne pas les atteindre.
Quelquefois au moment ou il joui dans mon cul, un geste lui échappe, un mouvement de son bassin plus violent qu'il ne le voulait m'arrache un cri, un hurlement. Là il me fait vraiment mal, là je cri et ce n'est pas de plaisir. Mais le plus souvent c'est bon, c'est tellement bon !
Les semaines ont passé. L'Ocktober s'est déroulé dans les règles, comme il convient … Six semaines s'étaient écoulées … Un soir, Ted, toujours aussi câlin était allongé à côté de moi.
Ted : Tu as battu ton record !
Moi : Ouai !
Ted : Tu m'avais demandé de te libérer de temps, tu te souviens ?
Moi : Bein oui, j'ai pas oublié, ça ne risque pas !
Ted : On joue les prolongations ?
Moi : Je m'attendais à ce que tu me propose une pause !
Ted : Tu m'as l'air bien … Dans ta tête je veux dire, tout se passe bien de toutes évidences … Et dans ta cage il me semble que c'est pareil …Moi : Donc pour moi c'est ceinture !
Ted : Ça me fait plaisir que le prenne bien !
C'était reparti pour le No-vember. Pfff … Encore une de ces traditions nouvelles dans un certain milieu. Pfff … J'avais rien à dire !
Il faut reconnaître que en effet, tout se passait bien. J'avais toujours des érections, plusieurs fois par jour quelquefois. Quand je sentais Ted contre moi, ça pouvait même durer un long moment à chaque fois.
Il m'offrait, j'avais renoncé à lui en faire la demande, une semaine de liberté pour Noël. J'avais gardé mon dispositif quinze semaines non stop, c'était un record pour moi, un record que je ne pensais pas pourvoir atteindre seul, il m'avait bien encouragé ... Je vous confirme que tout allait bien dans ma tête autant que dans ma queue.
Ted est devenu bien plus câlin à partir de ce jour. Le reste de la journée il était d'une grande douceur, chaque fois qu'il me touchait ou me frôlait c'était avec tendresse. En plus il ne s'en privait pas.
Nous avons d'abord pris une douche, il me frottait le dos, glissait un doigt entre mes fesses. Puis il me frottait le torse et longuement, ça l'amusait de me tripoter les couilles, il les savonnait longuement, les massait avec douceur.
Il me serrait fort dans ses bras avant de sortir de la douche …
Ted : Tu peux le garder combien de temps ton truc ?
Moi : Je ne sais pas ! En théorie il n'y a pas de limite …Ted : Pas de limite ?
Moi : Non je peux assurer l'hygiène par les trous d'aération, le truc est parfaitement ajusté, il est à la bonne taille … Donc …Ted : Donc dans les pub de la PK c'est pas des conneries ? Il disent qu'on peut porter leur truc sans aucune limite dans le temps.
Moi : Oui mais leurs trucs ils sont en titane, ils sont garantis sans aucune réaction au contacte prolongé avec la peau.
Ted : Et ton truc à toi ?
Moi : En théorie le matériaux est neutre, donc ça devrait être pareil.
Ted : Et tu l'as gardé combien de temps … Au plus long …Moi : Quatre semaines !
Ted : Non stop ?
Moi : Non stop !
Ted : Et là tu prévoyais combien de temps !
Moi : Le mois de Septembre n'est pas fini, si on rajoute Octobre, ça fera six.
Ted : Ou plus …Moi : Ou plus ?
Ted : Plus !
Je me demandais ce qu'il me réservais l'animal, il avait une idée dans la tête.
Moi : Et tu veux me coacher ?
Ted : Je vais t'encourager !
Il me donnait encore un baiser plein de passion, je sentais déjà ma queue protester dans sa prison, pourtant ça ne faisait pas longtemps. Je mesurais déjà la durée que ça représentait, six, sept, dix semaines … Il n'aime pas me voir bander, c'est pas rassurant ça !
Moi : Au fait j'ai pas d'autres clés …Ted : Ne t'inquiète pas elles sont en sécurité, je les garde …Moi : Ouai ! Mais non ! C'est que ! C'est pas ça mais !
Il me prenait dans ses bras, je sentais ses muscles qui me serraient fort contre lui, Ted dégageait une force incroyable mais aussi une grande douceur. Je ne me sentais pas écrasé dans ses bras, je m'y sentais bien, je m'y blottissait.
Ted : Alors doudou, tu disais quoi au juste ?
C'était la première fois qu'il m'appelait doudou ! Je craquais … Je sentais ma queue se révolter dans sa cage, mon dispositif se relevait avec force, des bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération, ça formait des sortes de boules, c'était rigolo, pas vraiment désagréable, pas vraiment confortable non plus mais à part ça, ça allait !
Il m'avait appelé Doudou, je fondais, je me laissais faire, je le laissais faire, je renonçais à résister …
Ted : Je prends la direction des opérations ?
Je faisais oui de la tête.
Moi : Il faudra tout de même me libérer de temps en temps. Histoire de s'assurer que tout va bien … Et c'est pour la tête aussi …
Il me faisait oui de la tête et me donnait un baiser sur les lèvres. Il est câlin mon Doudou ! Maintenant Ted c'est mon Doudou et je crois que je deviens accro à mon Doudou.
Dans le reste de la journée on faisait un peu de sport, on allait courir à la plage, il ne faisait pas beau mais … Enfin, il ne faisait pas beau pour se baigner, il n'y avait plus de soleil, le ciel était couvert, on ne pourrait pas bronzer mais il ne faisait pas encore froid. Le midi on s'est arrêté dans une crêperie et le reste de la journée on a fait un peu de tourisme.
J'ai fait plein de photo de Ted ce jour là.
Le soir, en arrivant à la maison je bandais comme un fou. Là je ne contrôlais plus rien. Ma queue poussait de toutes ses forces contre ma cage. C'est normal, à chaque fois que j'ai mis ce truc ça m'a fait la même chose mais il me semble que ce jour là c'était plus violent. Il y avait Ted !
Il y avait le contacte de sa main, il y avait son corps que je heurtais souvent avec douceur, il y avait un caresse dans le dos, dans mon dos ou dans son dos … Il y avait les baisers que nous échangions régulièrement. Il y avait sa main qui souvent prenait la mienne et se laissait faire quand c'est moi qui la prenait.
La dernière fois il n'y avait pas tout ça. Et pourtant si je me souviens bien, déjà la dernière fois les premiers jours n'étaient pas beaucoup plus faciles. A chaque fois je bandais. C'est dans les heures qui suivaient que c'était le plus dur, c'était dans les jours qui suivaient que j'avais le plus envie de retirer mon dispositif. Ensuite je me suis habitué !
Je me suis habitué, tous les week-end Ted et moi les passions ensemble. Il était toujours aussi câlin, viril mais câlin.
Il était viril quand il me prenait dans ses bras, il était viril quand il me serrait contre lui. Viril quand il bandait contre moi, quand il me laissait lui faire plaisir. Je n'arrivais pas à me prendre sa queue en entier dans la bouche et je n'y parviens toujours pas mais c'est pas grave, ça lui fait tout de même plaisir. Et dans mon cul elle rentre.
Il faut bien lubrifier, il faut pousser un peu, il faut forcer … Mais quand elle entre, je ne sens plus que cela. La peur a disparu, mais il me reste toujours cette étrange sensation dans mon estomac au moment ou il se prépare, pendant ces quelques instants je n'ai rien à faire, rien d'autre que de le regarder, l’appréhension a tout le temps de monter et de m'envahir. Je me demande à chaque fois dans quelle position il va vouloir me prendre ? C'est lui qui décide de cela aussi. Il décide quand et comment.
Il y a des positions moins faciles que d'autre. Il peut me replier sur moi même, les chevilles sur ses épaules. Il peut aussi, toujours en me repliant en deux, serrer mes deux chevilles l'une contre l'autre, mettre mes deux chevilles sur une seule épaules. Mon cul est alors plus resserré, mes sensations et les siennes ne sont que plus fortes. Il écarte aussi mes jambes, sur le dos je peux plus facilement le caresser quand il se penche sur moi. Je referme alors mes jambes dans son dos.
De temps en temps, il aime aussi m'allonger sur le dos, les jambes bien jointes, il place alors ses genoux à l'extérieur des mes cuisses et au moment ou il me pénétre … Je ne vous dis pas … Là c'est pas pour les débutants ...
Mon cœur bat toujours très fort au moment ou je sens son gland contre mon cul. Ma queue pousse toujours de toutes ses forces contre ma cage à ce moment également.
Il me caresse doucement les couilles, joue un peu avec ma cage puis il pousse lentement mais fermement. Mon cul se dilate alors, c'est violent, c'est intense. C'est à la limite entre la douleur et l'extase, même si la douleur n'est quelquefois pas si loin de l'extase. S'il force trop ou trop vite, la douleur devient insupportable. Mais il sait faire Ted, il sait faire et ne force pas trop. Enfin le plus souvent il ne force pas trop …
Le plus souvent c'est une extase affolante. Affolante oui, toujours l'impression que ça pourrait déchirer, même si je m'habitue à ses dimensions. Ce n'est pas seulement une impression, s'il y allait un peu trop fort, il pourrait réellement me blesser mais si je me suis habitué à ses dimensions, lui connaît mes limites et il prend le plus grand soin pour ne pas les atteindre.
Quelquefois au moment ou il joui dans mon cul, un geste lui échappe, un mouvement de son bassin plus violent qu'il ne le voulait m'arrache un cri, un hurlement. Là il me fait vraiment mal, là je cri et ce n'est pas de plaisir. Mais le plus souvent c'est bon, c'est tellement bon !
Les semaines ont passé. L'Ocktober s'est déroulé dans les règles, comme il convient … Six semaines s'étaient écoulées … Un soir, Ted, toujours aussi câlin était allongé à côté de moi.
Ted : Tu as battu ton record !
Moi : Ouai !
Ted : Tu m'avais demandé de te libérer de temps, tu te souviens ?
Moi : Bein oui, j'ai pas oublié, ça ne risque pas !
Ted : On joue les prolongations ?
Moi : Je m'attendais à ce que tu me propose une pause !
Ted : Tu m'as l'air bien … Dans ta tête je veux dire, tout se passe bien de toutes évidences … Et dans ta cage il me semble que c'est pareil …Moi : Donc pour moi c'est ceinture !
Ted : Ça me fait plaisir que le prenne bien !
C'était reparti pour le No-vember. Pfff … Encore une de ces traditions nouvelles dans un certain milieu. Pfff … J'avais rien à dire !
Il faut reconnaître que en effet, tout se passait bien. J'avais toujours des érections, plusieurs fois par jour quelquefois. Quand je sentais Ted contre moi, ça pouvait même durer un long moment à chaque fois.
Il m'offrait, j'avais renoncé à lui en faire la demande, une semaine de liberté pour Noël. J'avais gardé mon dispositif quinze semaines non stop, c'était un record pour moi, un record que je ne pensais pas pourvoir atteindre seul, il m'avait bien encouragé ... Je vous confirme que tout allait bien dans ma tête autant que dans ma queue.
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