Téléphone
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Téléphone
TELEPHONNE
Dring……..Dring……Dring…….
Le téléphone sonne sur la ligne privée. C'est un intime, surtout pour nous déranger un dimanche matin.
- M. tu vas répondre !……….
.
- Oui…. (au son de sa voix je sais que cela l'énerve).
- Ah! Bonjour V.
- ………..
- Oui très bon.
- ………..
- Non pas fatigué, j'ai bien dormi dans l'avion.
- ………….
- Oui nous partons dans la matinée, le rendez-vous avec mon avocat est pris pour la fin d'après midi….
- Tu veux que je te passe Florence ? (En fait il n'attend que çà, pour lui le téléphone est fait pour être utile et pas pour le bla bla que les filles affectionnent).
- Allô! Ma chérie je ne te dérange pas.
Si elle me dérange, je suis entrain de lire sur mon kobo un bouquin de cul des plus captivants, mais je suis hypocrite dans l'âme!!!
- Pas du tout Val., (M. lève les yeux au ciel car il a les diminutifs en sainte horreur).
- Comme R. va à New York avec ton mari j'ai pensé que nous pourrions nous faire une sortie entre filles ? (Tu parles une sortie suivie d'une baise serait plus exacte).
- Excellente idée.
- On fera du shopping et ensuite on pourrait dîner ensemble ? (La carte bleue de R. va en prendre un coup!!!).
- Tout à fait d'accord.
- …………………………….(silence).
- Que ce passe-t-il ? Tu es toujours là ?
- Oui c'est R. qui fait l'âne, il me prend en photo pendant que je me fais les ongles sur le lit. Il dit qu'il va te les envoyer.
- J'espère quelles sont suggestives ?
- Tu verras.
- Je demande à Benoît de passer te prendre en rentrant du Bourget.
- Ok ça marche.
- Bisous.
- Bisous.
Le plus beau c'est que M. a eu le culot de me dire, mais avec plein d'ironie dans la voix :
- J'imagine bien le tableau, pendant que R. et moi bosserons comme des damnés vous allez péter le fric et ensuite aller dîner dans un resto hors de prix pour terminer dans le lit qui ne sera pas assez grand pour vos ébats cochons !!!!
- Tu es gonflé, car quand tu fais du trekking sur mon corps, dont tu commences à connaître en détail tous les sommets, certes pas très hauts et ses grottes les plus profondes, le lit est-il assez large ?
Nous avons éclaté de rire et nous sommes roulés dans le stupre.
Lundi donc, après le départ de M. j'ai décidé de me faire belle pour V. et pour moi aussi. Chemisier blanc, largement ouvert sur ma poitrine, dans lequel mes seins s'ébattaient librement, un pantalon de même couleur qui laissait deviner un string transparent et très minimaliste puisque le haut de mon ticket en débordait.
V. est arrivée vers 14 heures, son joli corps couvert d'une très jolie robe blanche arrivant à la moitié de ses belles cuisses bronzées. J'étais prête à parier qu'elle était nue dessous mais je savais avoir tout le temps de vérifier.
Nous papotions de tout et de rien en buvant un café. Elle a beaucoup ri quand je lui ai raconté que M. avait flashé sur une pilote de l'équipage de son avion mais que je ne savais pas encore s'il avait pu vérifier si elle était ou non épilée!!!
Comme l'heure avançait nous sommes parties pour descendre la rue de Rennes jusqu'à Saint Germain des Prés où nous arriverions pour l'apéritif vu le nombre de boutiques dans lesquelles V. s'arrêtait!!!
Vers dix neuf heures nous avions atteint le boulevard St. Germain et ne sachant pas où nos poser ? J'ai opté pour la Rhumerie, il fallait prendre des forces pour les activités que nous allions faire !!!
Tranquillement installées, au soleil, sur la terrasse, nous nous remettions de notre marche et nous avons remarqué à la table à coté de nous deux garçons entre trente cinq et quarante ans qui n'arrêtaient de nous dévisager….
Leur manège nous faisait sourire et nous ne faisions rien pour éviter leur regard.
Immanquablement et comme je fumais l'un des deux s'est penché pour me demander du feu ce que je fis bien volontiers tout en étant persuadée qu'il avait un briquet dans sa poche. Bref ils n'ont pas tardé à nous faire la conversation et à nous draguer effrontément.
Vicieusement nous sommes entrées dans le jeu et à en juger par leur sourire "colgate" ils pensaient ne pas passer la soirée seuls !
Après une demi-heure environ je me suis levée pour aller aux toilettes où j'ai demandé à Benoît de venir nous chercher. Je me suis assise de nouveau et manifestement ils se creusaient la tête pour savoir comment nous faire accepter leur compagnie plus longtemps. A ce moment là une Jaguar est venue se positionner en double fil.
L'un dit à l'autre :
- Voila tout à fait la voiture qu'il nous faudrait quand on est accompagné de jolies femmes.
- Tout à fait dis-je, mais c'est ma voiture et pas la votre.
Sur ces bonnes paroles j'ai pris la bouche de V. pour y déposer un baiser langoureux qui ne laissait aucun doute sur notre style de relation et nous sommes levées pour rejoindre le véhicule plantant là les deux don Juan en herbe.
Comme nous avions eu chaud, d'un commun accord nous sommes retournées chez moi pour prendre une douche méritée……
Je lui tenais la portière quand elle s'est assise et j'ai eu la confirmation, comme je le pensais, qu'elle ne portait pas de culotte sous sa robe. En revanche j'étais étonnée de voir un fil pendre de ses lèvres…
Nous nous sommes tenues sages pendant le court trajet jusqu'à la maison, mais à peine dans l'ascenseur ses lèvres sont venues se coller aux miennes et elle m'a enlacé en pressant ses seins et son pubis contre les miens. Immédiatement j'ai senti une bien agréable humidité commencer à mouiller mon string.
Dès qu'elle fût dans l'appartement elle se débarrassât de sa robe en me demandant :
- Je te plais toujours.
- Bien sur V. J'aime ton corps couleur miel et tes petits seins dont les bouts pointent effrontément. Mais dis moi, c'est quoi cette ficelle qui pend de tes lèvres au milieu de ta toison ? Un tampax ?
- Devines ?
- Je donne ma langue au chat et j'en ai même très envie.
- Viens la tirer tu verras !
Je m'exécutais et à ma grande surprise une boule, rose fluo, suivie d'une deuxième puis d'une troisième firent leur apparition en dilatant les jolies lèvres brunes.
Elle avait porté tout l'après midi des boules de geisha !!!
- Tu es une vraie petite salope vicieuse !!!
- Pour ton plus grand plaisir ma belle et le mien aussi…..
- Bon on est rentrées pour prendre une douche ? Que fais-tu encore habillée ?
Me dit-elle en venant faire sauter les boutons de mon chemisier. Ce que je faisais ? Tout simplement je suçais les boules pour me délecter d'un avant goût de sa cyprine et n'avait qu'une hâte, aller la boire à la source et m'enivrer de l'odeur de ses poils pleins de mouille, mais il fallait que j'aille vite avant que l'eau de la douche n'ait fait disparaître ces senteurs exquises !!!!
Elle avait fini de déboutonner mon chemisier que j'ai envoyé valser et me suis agenouillée devant elle. Sa jolie touffe était juste à hauteur de ma bouche.
J'ai avancé ma bouche d'où une langue, mutine, pointait et mue par un mouvement incontrôlable voulait écarter les lèvres intimes de V. afin d'aller découvrir la perle cachée en haut de son coquillage au senteurs iodées.
Le résultat en a été que la vanne du nectar s'est ouverte en grand et que ma bouche fût inondée de sa mouille délectable. Pendant ce temps V. se caressait d'une main la pointe des seins et de l'autre appuyait sur ma tête pour bien la coller à sa perle à plaisir. J'étais moi-même très humide et un index s'est porté sur mon clitoris pour lui apporter le soulagement attendu…
L'orgasme montait mais d'un commun accord nous arrêtâmes nos jeux car notre intention était de prendre une douche.
Dans la salle de bain j'ai fait couler un bain et pendant qu'il se remplissait nous sommes, ensemble, passées sous la douche dans le seul but était de nous rafraîchir.
Nous avons été très sages et ne faisant que nous passer une éponge sur le corps, certes en insistant sur les zones "sensibles"….
Le bain étant prêt et la baignoire vaste, nous nous sommes glissées dans l'eau mousseuse et parfumée en nous installant face à face. Nous savourions ce moment de détente mais très vite j'ai senti un pied se glisser entre mes cuisses et un orteil venir écarter les lèvres de mon trésor que les jeunes "filles bien" se doivent de garder caché !
Ne voulant pas être en reste, je fis de même mais très vite nous avons décidé qu'un doigt serait plus agile qu'un orteil et nous sommes rapprochées pour procéder à une exploration plus détaillée et nos langues jouant un ballet des plus pervers entre elles.
Nous nous masturbions avec douceur mais le plaisir commençait à venir. Sensation merveilleuse que celle de sentir cette onde de chaleur se diffusant dans le corps en partant de nos pubis faisant durcir nos seins, ériger les pointes, pour revenir crescendo dans nos vulves, nos respirations devenir haletantes pour exploser dans un cri de plaisir salvateur.
Notre intention première était de sortir au restaurant mais en fait nous avons décidé de faire venir des plats d'un excellent restaurant chinois situé à côté.
Benoît est donc parti les chercher, après que nous ayons fait nos choix sur le site du dit restaurant.
V. s'était drapée dans la serviette de bain, pour ma part j'avais passé une tunique, en voile, transparente sous laquelle j'étais nue. L'odeur des plats nous chatouillait agréablement et les narines. Je trouvais la tenue de V. très érotique en effet les pans s'ouvraient à chacun de ses pas découvrant sa jolie toison. J'étais assise en tailleur devant la table basse et elle fit de même non s'en m'avoir gratifié d'un tendre baiser avec lequel je me suis délectée de son haleine mentholée.
Face à face nous avons pris nos baquettes pour faire honneur aux mets orientaux. Mais j'étais distraite par son peignoir ouvert car je savais ce que me cachait la table!
Je voyais son regard hypnotisé par mes seins, le mien par le joli gazon que je savais être en haut de ses cuisses et qui pour le moment m'était caché par la table. J'ai donc décidé de me déplacer en bout de table. Avantage sa toison m'étais bien visible, dévoilée par l'ouverture du peignoir, inconvénient j'étais beaucoup plus distraite pour me concentrer sur le maniement des baguettes et un certain nombre de catastrophes arrivèrent dont ma tunique fît les frais. Je n'avais plus qu'une hâte, terminer mes plats et l'allonger sur le tapis pour lui prodiguer de tendres caresses et sentir sa bouche parcourir mon corps de la tête aux pieds et vice versa !
- Pourquoi me regardes-tu comme cela Florence ?
- Parce que j'ai envie de toi ma belle !
- Mais nous n'avons pas fini de dîner !
- Gardons ce qui reste pour plus tard, nous en aurons besoin !
Dans le même temps je la basculais sur la moquette et commençais à faire courir ma main sur son corps. C'était plus des effleurements que des caresses ; mais je prenais garde à éviter ses zones trop directement érogènes mais en avait-elle ?
Parcourue de frissons elle fermait les yeux et sa respiration devenait plus sifflante. C'est à ce moment que je stoppais mes gammes sur sa peau de soie et lui dis :
- Viens faire de même mais avec tes lèvres.
- Je vais commencer comme tu me le demandes cependant j'ai une petite idée.
Qu'avait-elle inventé ?
Elle a commencé par mon front, mes paupières, mon ventre, mon nombril pour descendre sur mes cuisses, mes genoux, mes mollets. Pourquoi avait-elle évité mes seins leurs aréoles et mon pubis? J'ai vite compris car arrivée à mes pieds elle m'a chevauché et à repris sa lente ascension mais en remplaçant ses lèvres par sa courte toison. L'effet était extraordinaire ! Ma grotte intime commençait à s'humidifier et j'étais sure que lorsqu'elle l'attendrait mon miel ferait briller sa douce pilosité. Ma prédiction s'est avérée exacte et les traces laissées sur mon ventre en étaient la preuve. Là où sa caresse est devenue presque intolérable c'est en arrivant à mes seins et écartant de deux doigts l'ouverture de son beau coquillage elle a commencé à se frotter sur leurs pointes qui ont durci instantanément pour agir sur son bouton d'amour aussi bien que mon ou son doigt l'aurait fait.
Elle a commencé à les inonder d'une cyprine qui coulait d'abondance et faisait luire mes aréoles. J'étais tellement excitée que j'ai commencé à caresser mon clitoris devenu douleureux d'attendre le plaisir !
J'avais hâte que son sexe atteigne mes lèvres afin de m'abreuver, jusqu'à plus soif, à cette fontaine d'amour.
Ma langue est entrée en action pour faire durcir encore, si cela était possible, son rose clitoris. Mes lèvres l'emprisonnèrent pour le déguster comme un bonbon au goût suave. Aux spasmes et gémissements qu'elle avait, je savais que son orgasme venait, ayant envie d'en avoir un en même temps j'avais deux doigts dans ma fente, l'un pour ma perle d'amour l'autre à la recherche de mon point G, (que je n'ai jamais trouvé de ma vie !).
Au moment où elle jouissait dans un cri déchirant ses glandes de Skene sont entrées en action et mon visage ainsi que ma poitrine furent inondés par un flux puissant de liquide divin !
Il en fût de même pour moi et une large flaque s 'est formée sur la moquette.
Étendues sur le dos, les yeux clos, la main de l'une posée sur la toison de l'autre nous laissions les vagues de plaisir se calmer.
A nous voir gésir pareillement on aurait pu croire que nous étions mortes….
Après un temps indéfini nous sommes tombées d'accord pour dire que si ce fut divin, le lit serait plus confortable pour continuer nos ébats, la moquette étant un peu trop rêche.
Comme deux zombies nous avons gagné la chambre en passant par la cuisine pour nous désaltérer et moi rafler une bouteille de champagne dans le réfrigérateur pour qu'elle nous tienne compagnie.
Installées confortablement sur le lit, assises en tailleur face à face, nous avons commencé à nous caresser, plus exactement à nous effleurer tout en nous embrassant langoureusement. Sa langue s'enroulait autour de la mienne, nos salives se mêlaient et nos mains parcouraient le corps de l'autre en s'attardant sur les aréoles avant de titiller les pointes pour les faire durcir.
J'aime cette position face à face elle permet de lire sur le visage de l'autre la montée du plaisir. Mais assises en tailleur n'était pas la position parfaite, nous avions envie de frotter nos pubis pour que nos odeurs se mêlent. Nous avons donc imbriqué nos jambes, ainsi nous étions vraiment bien pour pouvoir nous embrasser, frotter nos seins, les caresser et coller nos touffes l'une à l'autre, ses poils excitaient délicieusement mon clitoris et je lui rendais la pareil avec délectation. Après avoir insinué nos mains entre nos torses pour masser nos pointes de sein, enflammées de jouissance, elles descendirent en un lent frôlement jusqu'à nos fentes luisantes de nos miel. Nous nous sommes pénétrées, d'un doigt inquisiteur, pour l'enduire de nos cyprines abondantes et ensuite faire sucer à l'autre le délicieux cocktail de nos mouilles mélangées. Nous savions faire des poses pour ne pas être submergées par un violent orgasme. Mais la montée du plaisir était trop intense, nous devions jouir…
Je l'ai basculé sur le dos pour venir sur elle en 69, nos langues s'insinuèrent dans nos fentes écartant nos lèvres, brillantes d'un jus que nous aspirions avec délice, cherchant nos clitoris pour les faire saillir un maximum afin de pouvoir les mordiller, avec toutes les caresses déjà supportées ils étaient ultra sensibles et même douloureux. Nos orgasmes se sont déclenchés en même temps, nous nous sommes délectées de nos éjaculations simultanées qui inondèrent nos bouches.
Ayant perdu le sens des réalités pour cause d'excès de plaisir nous nous sentions épuisées, pour ma part il restera dans ma mémoire comme l'un des plus intense que j'ai ressenti. Je me suis glissée contre elle pour lui donner un baiser plein de ses saveurs acides et iodées et sentir aussi les miennes. Blotties l'une contre l'autre, ma tête au creux de son épaule, ma main sur un de ses seins pendant qu'elle peignait ses poils détrempés, le sommeil nous a gagné, nous nous y sommes abandonnées pour reprendre des forces en prévision d'autres joutes torrides. La nuit était bien avancée mais la journée du lendemain serait toute à nous…….
Dring……..Dring……Dring…….
Le téléphone sonne sur la ligne privée. C'est un intime, surtout pour nous déranger un dimanche matin.
- M. tu vas répondre !……….
.
- Oui…. (au son de sa voix je sais que cela l'énerve).
- Ah! Bonjour V.
- ………..
- Oui très bon.
- ………..
- Non pas fatigué, j'ai bien dormi dans l'avion.
- ………….
- Oui nous partons dans la matinée, le rendez-vous avec mon avocat est pris pour la fin d'après midi….
- Tu veux que je te passe Florence ? (En fait il n'attend que çà, pour lui le téléphone est fait pour être utile et pas pour le bla bla que les filles affectionnent).
- Allô! Ma chérie je ne te dérange pas.
Si elle me dérange, je suis entrain de lire sur mon kobo un bouquin de cul des plus captivants, mais je suis hypocrite dans l'âme!!!
- Pas du tout Val., (M. lève les yeux au ciel car il a les diminutifs en sainte horreur).
- Comme R. va à New York avec ton mari j'ai pensé que nous pourrions nous faire une sortie entre filles ? (Tu parles une sortie suivie d'une baise serait plus exacte).
- Excellente idée.
- On fera du shopping et ensuite on pourrait dîner ensemble ? (La carte bleue de R. va en prendre un coup!!!).
- Tout à fait d'accord.
- …………………………….(silence).
- Que ce passe-t-il ? Tu es toujours là ?
- Oui c'est R. qui fait l'âne, il me prend en photo pendant que je me fais les ongles sur le lit. Il dit qu'il va te les envoyer.
- J'espère quelles sont suggestives ?
- Tu verras.
- Je demande à Benoît de passer te prendre en rentrant du Bourget.
- Ok ça marche.
- Bisous.
- Bisous.
Le plus beau c'est que M. a eu le culot de me dire, mais avec plein d'ironie dans la voix :
- J'imagine bien le tableau, pendant que R. et moi bosserons comme des damnés vous allez péter le fric et ensuite aller dîner dans un resto hors de prix pour terminer dans le lit qui ne sera pas assez grand pour vos ébats cochons !!!!
- Tu es gonflé, car quand tu fais du trekking sur mon corps, dont tu commences à connaître en détail tous les sommets, certes pas très hauts et ses grottes les plus profondes, le lit est-il assez large ?
Nous avons éclaté de rire et nous sommes roulés dans le stupre.
Lundi donc, après le départ de M. j'ai décidé de me faire belle pour V. et pour moi aussi. Chemisier blanc, largement ouvert sur ma poitrine, dans lequel mes seins s'ébattaient librement, un pantalon de même couleur qui laissait deviner un string transparent et très minimaliste puisque le haut de mon ticket en débordait.
V. est arrivée vers 14 heures, son joli corps couvert d'une très jolie robe blanche arrivant à la moitié de ses belles cuisses bronzées. J'étais prête à parier qu'elle était nue dessous mais je savais avoir tout le temps de vérifier.
Nous papotions de tout et de rien en buvant un café. Elle a beaucoup ri quand je lui ai raconté que M. avait flashé sur une pilote de l'équipage de son avion mais que je ne savais pas encore s'il avait pu vérifier si elle était ou non épilée!!!
Comme l'heure avançait nous sommes parties pour descendre la rue de Rennes jusqu'à Saint Germain des Prés où nous arriverions pour l'apéritif vu le nombre de boutiques dans lesquelles V. s'arrêtait!!!
Vers dix neuf heures nous avions atteint le boulevard St. Germain et ne sachant pas où nos poser ? J'ai opté pour la Rhumerie, il fallait prendre des forces pour les activités que nous allions faire !!!
Tranquillement installées, au soleil, sur la terrasse, nous nous remettions de notre marche et nous avons remarqué à la table à coté de nous deux garçons entre trente cinq et quarante ans qui n'arrêtaient de nous dévisager….
Leur manège nous faisait sourire et nous ne faisions rien pour éviter leur regard.
Immanquablement et comme je fumais l'un des deux s'est penché pour me demander du feu ce que je fis bien volontiers tout en étant persuadée qu'il avait un briquet dans sa poche. Bref ils n'ont pas tardé à nous faire la conversation et à nous draguer effrontément.
Vicieusement nous sommes entrées dans le jeu et à en juger par leur sourire "colgate" ils pensaient ne pas passer la soirée seuls !
Après une demi-heure environ je me suis levée pour aller aux toilettes où j'ai demandé à Benoît de venir nous chercher. Je me suis assise de nouveau et manifestement ils se creusaient la tête pour savoir comment nous faire accepter leur compagnie plus longtemps. A ce moment là une Jaguar est venue se positionner en double fil.
L'un dit à l'autre :
- Voila tout à fait la voiture qu'il nous faudrait quand on est accompagné de jolies femmes.
- Tout à fait dis-je, mais c'est ma voiture et pas la votre.
Sur ces bonnes paroles j'ai pris la bouche de V. pour y déposer un baiser langoureux qui ne laissait aucun doute sur notre style de relation et nous sommes levées pour rejoindre le véhicule plantant là les deux don Juan en herbe.
Comme nous avions eu chaud, d'un commun accord nous sommes retournées chez moi pour prendre une douche méritée……
Je lui tenais la portière quand elle s'est assise et j'ai eu la confirmation, comme je le pensais, qu'elle ne portait pas de culotte sous sa robe. En revanche j'étais étonnée de voir un fil pendre de ses lèvres…
Nous nous sommes tenues sages pendant le court trajet jusqu'à la maison, mais à peine dans l'ascenseur ses lèvres sont venues se coller aux miennes et elle m'a enlacé en pressant ses seins et son pubis contre les miens. Immédiatement j'ai senti une bien agréable humidité commencer à mouiller mon string.
Dès qu'elle fût dans l'appartement elle se débarrassât de sa robe en me demandant :
- Je te plais toujours.
- Bien sur V. J'aime ton corps couleur miel et tes petits seins dont les bouts pointent effrontément. Mais dis moi, c'est quoi cette ficelle qui pend de tes lèvres au milieu de ta toison ? Un tampax ?
- Devines ?
- Je donne ma langue au chat et j'en ai même très envie.
- Viens la tirer tu verras !
Je m'exécutais et à ma grande surprise une boule, rose fluo, suivie d'une deuxième puis d'une troisième firent leur apparition en dilatant les jolies lèvres brunes.
Elle avait porté tout l'après midi des boules de geisha !!!
- Tu es une vraie petite salope vicieuse !!!
- Pour ton plus grand plaisir ma belle et le mien aussi…..
- Bon on est rentrées pour prendre une douche ? Que fais-tu encore habillée ?
Me dit-elle en venant faire sauter les boutons de mon chemisier. Ce que je faisais ? Tout simplement je suçais les boules pour me délecter d'un avant goût de sa cyprine et n'avait qu'une hâte, aller la boire à la source et m'enivrer de l'odeur de ses poils pleins de mouille, mais il fallait que j'aille vite avant que l'eau de la douche n'ait fait disparaître ces senteurs exquises !!!!
Elle avait fini de déboutonner mon chemisier que j'ai envoyé valser et me suis agenouillée devant elle. Sa jolie touffe était juste à hauteur de ma bouche.
J'ai avancé ma bouche d'où une langue, mutine, pointait et mue par un mouvement incontrôlable voulait écarter les lèvres intimes de V. afin d'aller découvrir la perle cachée en haut de son coquillage au senteurs iodées.
Le résultat en a été que la vanne du nectar s'est ouverte en grand et que ma bouche fût inondée de sa mouille délectable. Pendant ce temps V. se caressait d'une main la pointe des seins et de l'autre appuyait sur ma tête pour bien la coller à sa perle à plaisir. J'étais moi-même très humide et un index s'est porté sur mon clitoris pour lui apporter le soulagement attendu…
L'orgasme montait mais d'un commun accord nous arrêtâmes nos jeux car notre intention était de prendre une douche.
Dans la salle de bain j'ai fait couler un bain et pendant qu'il se remplissait nous sommes, ensemble, passées sous la douche dans le seul but était de nous rafraîchir.
Nous avons été très sages et ne faisant que nous passer une éponge sur le corps, certes en insistant sur les zones "sensibles"….
Le bain étant prêt et la baignoire vaste, nous nous sommes glissées dans l'eau mousseuse et parfumée en nous installant face à face. Nous savourions ce moment de détente mais très vite j'ai senti un pied se glisser entre mes cuisses et un orteil venir écarter les lèvres de mon trésor que les jeunes "filles bien" se doivent de garder caché !
Ne voulant pas être en reste, je fis de même mais très vite nous avons décidé qu'un doigt serait plus agile qu'un orteil et nous sommes rapprochées pour procéder à une exploration plus détaillée et nos langues jouant un ballet des plus pervers entre elles.
Nous nous masturbions avec douceur mais le plaisir commençait à venir. Sensation merveilleuse que celle de sentir cette onde de chaleur se diffusant dans le corps en partant de nos pubis faisant durcir nos seins, ériger les pointes, pour revenir crescendo dans nos vulves, nos respirations devenir haletantes pour exploser dans un cri de plaisir salvateur.
Notre intention première était de sortir au restaurant mais en fait nous avons décidé de faire venir des plats d'un excellent restaurant chinois situé à côté.
Benoît est donc parti les chercher, après que nous ayons fait nos choix sur le site du dit restaurant.
V. s'était drapée dans la serviette de bain, pour ma part j'avais passé une tunique, en voile, transparente sous laquelle j'étais nue. L'odeur des plats nous chatouillait agréablement et les narines. Je trouvais la tenue de V. très érotique en effet les pans s'ouvraient à chacun de ses pas découvrant sa jolie toison. J'étais assise en tailleur devant la table basse et elle fit de même non s'en m'avoir gratifié d'un tendre baiser avec lequel je me suis délectée de son haleine mentholée.
Face à face nous avons pris nos baquettes pour faire honneur aux mets orientaux. Mais j'étais distraite par son peignoir ouvert car je savais ce que me cachait la table!
Je voyais son regard hypnotisé par mes seins, le mien par le joli gazon que je savais être en haut de ses cuisses et qui pour le moment m'était caché par la table. J'ai donc décidé de me déplacer en bout de table. Avantage sa toison m'étais bien visible, dévoilée par l'ouverture du peignoir, inconvénient j'étais beaucoup plus distraite pour me concentrer sur le maniement des baguettes et un certain nombre de catastrophes arrivèrent dont ma tunique fît les frais. Je n'avais plus qu'une hâte, terminer mes plats et l'allonger sur le tapis pour lui prodiguer de tendres caresses et sentir sa bouche parcourir mon corps de la tête aux pieds et vice versa !
- Pourquoi me regardes-tu comme cela Florence ?
- Parce que j'ai envie de toi ma belle !
- Mais nous n'avons pas fini de dîner !
- Gardons ce qui reste pour plus tard, nous en aurons besoin !
Dans le même temps je la basculais sur la moquette et commençais à faire courir ma main sur son corps. C'était plus des effleurements que des caresses ; mais je prenais garde à éviter ses zones trop directement érogènes mais en avait-elle ?
Parcourue de frissons elle fermait les yeux et sa respiration devenait plus sifflante. C'est à ce moment que je stoppais mes gammes sur sa peau de soie et lui dis :
- Viens faire de même mais avec tes lèvres.
- Je vais commencer comme tu me le demandes cependant j'ai une petite idée.
Qu'avait-elle inventé ?
Elle a commencé par mon front, mes paupières, mon ventre, mon nombril pour descendre sur mes cuisses, mes genoux, mes mollets. Pourquoi avait-elle évité mes seins leurs aréoles et mon pubis? J'ai vite compris car arrivée à mes pieds elle m'a chevauché et à repris sa lente ascension mais en remplaçant ses lèvres par sa courte toison. L'effet était extraordinaire ! Ma grotte intime commençait à s'humidifier et j'étais sure que lorsqu'elle l'attendrait mon miel ferait briller sa douce pilosité. Ma prédiction s'est avérée exacte et les traces laissées sur mon ventre en étaient la preuve. Là où sa caresse est devenue presque intolérable c'est en arrivant à mes seins et écartant de deux doigts l'ouverture de son beau coquillage elle a commencé à se frotter sur leurs pointes qui ont durci instantanément pour agir sur son bouton d'amour aussi bien que mon ou son doigt l'aurait fait.
Elle a commencé à les inonder d'une cyprine qui coulait d'abondance et faisait luire mes aréoles. J'étais tellement excitée que j'ai commencé à caresser mon clitoris devenu douleureux d'attendre le plaisir !
J'avais hâte que son sexe atteigne mes lèvres afin de m'abreuver, jusqu'à plus soif, à cette fontaine d'amour.
Ma langue est entrée en action pour faire durcir encore, si cela était possible, son rose clitoris. Mes lèvres l'emprisonnèrent pour le déguster comme un bonbon au goût suave. Aux spasmes et gémissements qu'elle avait, je savais que son orgasme venait, ayant envie d'en avoir un en même temps j'avais deux doigts dans ma fente, l'un pour ma perle d'amour l'autre à la recherche de mon point G, (que je n'ai jamais trouvé de ma vie !).
Au moment où elle jouissait dans un cri déchirant ses glandes de Skene sont entrées en action et mon visage ainsi que ma poitrine furent inondés par un flux puissant de liquide divin !
Il en fût de même pour moi et une large flaque s 'est formée sur la moquette.
Étendues sur le dos, les yeux clos, la main de l'une posée sur la toison de l'autre nous laissions les vagues de plaisir se calmer.
A nous voir gésir pareillement on aurait pu croire que nous étions mortes….
Après un temps indéfini nous sommes tombées d'accord pour dire que si ce fut divin, le lit serait plus confortable pour continuer nos ébats, la moquette étant un peu trop rêche.
Comme deux zombies nous avons gagné la chambre en passant par la cuisine pour nous désaltérer et moi rafler une bouteille de champagne dans le réfrigérateur pour qu'elle nous tienne compagnie.
Installées confortablement sur le lit, assises en tailleur face à face, nous avons commencé à nous caresser, plus exactement à nous effleurer tout en nous embrassant langoureusement. Sa langue s'enroulait autour de la mienne, nos salives se mêlaient et nos mains parcouraient le corps de l'autre en s'attardant sur les aréoles avant de titiller les pointes pour les faire durcir.
J'aime cette position face à face elle permet de lire sur le visage de l'autre la montée du plaisir. Mais assises en tailleur n'était pas la position parfaite, nous avions envie de frotter nos pubis pour que nos odeurs se mêlent. Nous avons donc imbriqué nos jambes, ainsi nous étions vraiment bien pour pouvoir nous embrasser, frotter nos seins, les caresser et coller nos touffes l'une à l'autre, ses poils excitaient délicieusement mon clitoris et je lui rendais la pareil avec délectation. Après avoir insinué nos mains entre nos torses pour masser nos pointes de sein, enflammées de jouissance, elles descendirent en un lent frôlement jusqu'à nos fentes luisantes de nos miel. Nous nous sommes pénétrées, d'un doigt inquisiteur, pour l'enduire de nos cyprines abondantes et ensuite faire sucer à l'autre le délicieux cocktail de nos mouilles mélangées. Nous savions faire des poses pour ne pas être submergées par un violent orgasme. Mais la montée du plaisir était trop intense, nous devions jouir…
Je l'ai basculé sur le dos pour venir sur elle en 69, nos langues s'insinuèrent dans nos fentes écartant nos lèvres, brillantes d'un jus que nous aspirions avec délice, cherchant nos clitoris pour les faire saillir un maximum afin de pouvoir les mordiller, avec toutes les caresses déjà supportées ils étaient ultra sensibles et même douloureux. Nos orgasmes se sont déclenchés en même temps, nous nous sommes délectées de nos éjaculations simultanées qui inondèrent nos bouches.
Ayant perdu le sens des réalités pour cause d'excès de plaisir nous nous sentions épuisées, pour ma part il restera dans ma mémoire comme l'un des plus intense que j'ai ressenti. Je me suis glissée contre elle pour lui donner un baiser plein de ses saveurs acides et iodées et sentir aussi les miennes. Blotties l'une contre l'autre, ma tête au creux de son épaule, ma main sur un de ses seins pendant qu'elle peignait ses poils détrempés, le sommeil nous a gagné, nous nous y sommes abandonnées pour reprendre des forces en prévision d'autres joutes torrides. La nuit était bien avancée mais la journée du lendemain serait toute à nous…….
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Les avis des lecteurs
vous lire au réveil (tout en vous regardant) est un éveil au plaisir matinal des plus agréable...