Tennis - histoire érotique

Moi, c’est Mathilde, jeune fille de 22 ans. Blonde, yeux bleus et tout ce qu’il faut là où il faut ! Depuis toute petite j’ai une passion : le tennis. Arrivée à un bon niveau, je peu désormais donner des cours particuliers, ce qui m’arrange bien pour payer mes études.


Tout les samedi à 14 heures, j’ai à donner mon cour le plus agréable de la semaine à Joffrey, un garçon de 17 ans, beau comme un dieu. Grand et baraqué, des yeux charmeurs, il a tout pour me plaire… Sauf qu’il a une copine qui n’a pas l’air de vouloir partager ! Chaque samedi elle est présente à surveiller son mec. Je pense que son intuition féminine lui font penser que je peu être un danger pour leur couple.


La semaine dernière pour une raison que je ne connais pas nous avons du décaler le cour au dimanche matin 9 heures.


A cette heure là il n’y a encore personne au club de tennis, je me dis qu’enfin je vais pouvoir être seule avec Joffrey. Ce n’est pas mon style de piquer le mec à d’autres filles, mais avec lui je ne sais pas pourquoi c’est différent, je me sens très attirée et prête à tout ! La leçon commence, je fais d’abord exprès de prendre des poses suggestives, je cambre bien les fesses quand je ramasse une balle, je fais tournoyer exagérément ma jupette pour qu’il ait une vue imprenable sur ma culotte, Je lui souris, je minaude…


Le garçon semble très intéressé par mon manège et je vois bien que je suis loin de lui être indifférente. Seulement voilà, alors qu’il commence à mordre à l’hameçon, j’entends derrière mon dos un bonjour un peu froid. Je me tourne et me retrouve nez à nez avec Noemi, la petite amie jalouse de Joffrey.


A son regard, je vois bien qu’elle a tout vue de mon manège ! Mais plutôt que faire un esclandre, elle se dirige vers son mec et l’ambrasse goulûment.


La leçon se passe ensuite comme d’habitude et nous finissons en sueur se bon entraînement.
Pendant que je range les balles, les deux amoureux s’éclipsent vers le vestiaire. Je repense à l’incident de tout à l’heure et espère que je ne vais pas perdre mon élève sous la pression de la jalousie.


Je rentre à mon tour dans les vestiaires pour prendre une douche. Je rentre dans la cabine en face de celle qu’occupe Joffrey quand j’entends malgré le bruit de l’eau des soupirs qui s’en échappent. Manifestement, le jeune homme n’est pas seul ! ! !


Quel culot, Noemi pour me faire bien comprendre à qui est Joffrey fait l’amour à celui-ci de façon bruyante en sachant très bien que je suis là.


Curieuse, je tends tout de même l’oreille.


Les soupirs se font plus forts, se transformant en râles. Je perçois aussi l’eau qui claque sur leurs corps. Bientôt c’est carrément la voix de Noemi qui s’élève :


Oh oui, oui Joffrey… Tu me fais du bien ! Oh Joffrey, qu’elle est grosse, que tu l’as dure !


J’entends les clapotis que font leurs corps qui s’entrechoquent et se frottent. Jalouse et en colère contre cette fille, je sens poindre tout de même une excitation malsaine…


Ah oh, vas y, bien profond, saute moi, empale moi…


Mon entrecuisse s’humidifie, malgré moi je pose un doigt sur mon minou et le caresse.
Noemi cri fort, elle semble ne plus contenir son plaisir.


Bourre moi, fout moi comme une salope, prend moi comme ta pute… C’est moi ta putain adorée, celle que tu adores choper…


Je sentais bien que ses paroles m’étaient aussi adressées, mais loin de me faire du mal, désormais elles m’excitaient.


Ahhhhhh oui je jouis, oh mon salop, qu’est ce que tu m’as mis !


Zut… Moi qui viens juste de commencer à me masturber, voilà qu’elle a déjà fini !


Chéri, j’aimerai que tu me prennes le petit trou !


Ah non ! Manifestement, Joffrey n’a pas éjaculé et la cochonne en redemande ! Et par derrière en plus !


Doucement mon amour… Oh… Tu sais que tu l’as grosse et que tu dois y aller prudemment de ce côté-là de mon anatomie.


Frustrée de ne pouvoir voir la scène, je me l’imagine avec dans le rôle de la fille moi-même ! D’ailleurs pour ressentir encore mieux la situation, je me fourre un doigt dans l’anus tandis qu’avec mon autre main je me masturbe énergiquement le clitoris.


Ah…. Ca y est, tu m’encules… Oh….Aaaaah que c’est bon…


Les soupirs et cris de Noemi n’en finissent plus, je sens de mon côté que l’orgasme est proche…


Vas y Joffrey plus fort, tronche moi à fond…. Oh je vais venir…Ah…


J’entends alors pour la première fois la voix de Joffrey qui se mêle aux cris de sa copine :


Oh… Ca y est…. Je jouis…


D’entendre sa voix me fit à mon tour orgasmer puissamment.


Je reste un moment sous le jet de la douche, cela me permet de me calmer et de reprendre mes esprits. Pendant ce temps, le couple sort de leur cabine et s’en va.


Un petit moment après alors que je regagne ma voiture, je croise Noemi qui me lance un sourire narquois… Décidément je déteste cette fille… Mais je n’ai pas dit mon dernier mot… !