Tes parents vont s’inquiéter, je pense…

- Par l'auteur HDS lelivredejeremie -
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Récit libertin : Tes parents vont s’inquiéter, je pense… Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tes parents vont s’inquiéter, je pense…
‘Quand je dirai à maman que mon ancien bahut m’a invité pour présenter des options d’études à la fac, moi, l’ancien élève juste moyen, ça la fera marrer’ avais-je pensé cet après-midi, en mettant la touche finale au look d’étudiant cool qui devait créer la complicité avec les merdeux de l’actuelle terminale : pantacourt, tee-shirt Big Bang Theory, mes vieilles Chuck Taylor vraiment trop usées, portées pieds nus, les lunettes rondes de ma période lycéen geek… Parfait !

C’était sans compter sur l’orage qui m’a trempé comme une soupe sur la traversée de la cour du bahut, le con dans la Tesla vert-beurk qui a roulé dans le caniveau alors que je repassais les grilles, et la semelle trouée que j’ai ensuite posée dans une flaque sur le trottoir. ‘Et merde !’ ai-je grogné, avant de tracer pour aller me réfugier au nouveau bar gay qui aurait ouvert à cinq cent mètres, et tenter de sauver la soirée pourrie.
Loi de Murphy, on dira, pas de lumière, et une affiche ‘ouverture reportée’ sur la porte, pfff !
En revenant sur mes pas, j’ai entendu une voiture démarrer derrière moi, remonter la rue jusqu’à ma hauteur et s’arrêter, fenêtre baissée sur un quarantenaire pas trop moche. ‘’Besoin d’un lift ?’’
- Oh ! Mais c’est vous qui m’avez éclaboussé devant… ai-je grogné en reconnaissant la Tesla.
- … Devant le lycée, oui, navré, j’ai vu trop tard, laisse-moi te ramener pour me faire pardonner… Bien, mets ta ceinture… J’ai été surpris, moi aussi, en arrivant au Gaypard, mais tu n’aurais pas pu entrer, ce genre de bar est mineurs non admis de toute façon. Sinon, Malraux ? J’y suis également allé, il y a… quelques années, on dira. Tu es en terminale, j’imagine ? Moi, c’est Patrick, au fait.
‘Hein ? Quel âge me donne-t-il ?’ me suis-je demandé, avant de réaliser que mon look, et surtout le tee collé à mon torse maigre… Voyons jusqu’où je peux le bobarder, ça peut être marrant.
- Jérémie… Et oui, c’est ça… terminale… L.
- On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans, hahaha… Tu dois souvent l’entendre, ça, non ? Tu en sors tard, tu as été retenu par un prof, ou un autre élève ?
- Oui, mon cop… un copain… Louis.
- Héhéhé… On s’amuse toujours dans les toilettes du deuxième ? Ou dans les vestiaires ?
- Euh…
- Je ne veux pas te mettre mal à l’aise, on y a tous joué, hein ! C’était bien ? Il est assez endurant ?
Il me chauffe, là… Pas gêné de dragouiller un supposé ado, lui. Bon, timide et candide, on a dit…
- Je sais pas, ça doit être ma faute, il fait tout bien, il tient trois minutes, comme dans les vidéos.
- Tu sais, le porno, pénétration, la baise vite fait, éjac’ et orgasme, c’est juste pas réaliste, faut plus de stimulation pour avoir du plaisir. Pour ça que je parle d’endurance, ça vient avec l’âge…
- Vraiment ? Oh… ai-je fait mine de m’étonner. ‘’Je devrai attendre, alors.’’
- Ça dépend... Tu es pressé ? Tes parents t’attendent peut-être.
- Non, mais je suis grand, j’ai plus de couvre-feu, ai-je assuré, d’un air faussement bravache.
Un regard discret à gauche m’a assuré que je ne suis pas le seul à s’être fringué plus jeune, son slim cache difficilement une bite épaisse, même au repos…

- Viens, a-t-il soufflé avec un clin d’œil complice, déchausse-toi dans l’entrée, s’il te plait.
À peine avais-je posé les pieds nus sur le carrelage, il m’a embrassé. J’ai simulé un soupir d’aise, et il m’a doucement poussé jusqu’à séjour. ‘’Installe-toi, tu veux boire quelque chose ?’’
J’ai secoué la tête et il s’est agenouillé devant moi. ‘’Je soupçonne ton pote… Louis de ne pas être très expérimenté, peut-être un peu bourrin, je me trompe ? Il est ton premier mec ? Je m’en doutais. Tu es tellement innocent, c’est adorable… Enlève ton t-shirt, il est trempé… T’a-t-il fait ceci ?’’ a-t-il dit, en soulevant ma jambe gauche pour me lécher les orteils… J’ai doucement gémi comme si je découvrais seulement la caresse d’une langue qui remontait mon mollet puis ma cuisse jusqu’au bas de mon pantacourt.
‘Trois, deux, un… Bingo ! Tellement prévisible’ ai-je pensé, lorsqu’il m’a suggéré de me défaire du vêtement, ‘’Je voudrais découvrir… enfin, te faire découvrir ton corps comme il se doit… Retire ton boxer qui cache un trésor de délicatesse, c’est sûr.’’ Pour museler mon rire, j’ai forcé un sourire timide et papillonné des yeux.
Sa langue s’est faite bien moins légère entre mes fesses, il a lapé ma raie comme un mort de faim, dardant la pointe sur mon petit cercle de muscles, avant de s’interrompre et de murmurer. ‘’Tu es propre, et visiblement, ton pote maladroit était tout de même couvert… Il t’aura préparé mais je vais tout de même prendre du lubrifiant.’’
Il est revenu une minute plus tard en agitant un tube de gel Manix, à poil, la bite à demi-dressée et, surprise appréciable, circoncise, j’adore ! Pas trop la vision, il manque vraiment un truc, mais côté sensations… Des années de frottement sur les sous-vêtements épaississent la peau, et durcissent la couronne, c’est le Graal pour les mecs comme moi, à la prostate réactive… ‘’Je vais entrer en toi doucement, fais-moi confiance’’ a-t-il dit en appliquant le lubrifiant sur mon intimité et sur sa hampe, heureusement pas trop longue, mais bien épaisse. ‘’Je suis clean, tu peux me croire, et comme tu es pratiquement… Respire à fond, et… pousse, comme quand tu…’’
- Aaah ! Ça fait maaal… Doucement… Vous êtes bien plus épais que lui… Oooh ! Arrêteeez !
- Oh non, ne me fais pas ça, Jérémie, tu es si désirable, j’ai tellement envie de te prendre… Mais, sens, je suis entré, là, le plus dur est fait. Et oui, ça fait mal au début, mais je vais venir lentement.
Il est arrivé où je voulais, déjà physiquement, avec cinq ou six centimètres de queue en moi, soit contre ma petite glande, mais surtout psychologiquement, il a maintenant une mission sacrée, faire jouir pour la première fois le puceau innocent qu’il voit en moi des lentes pénétrations retenues mais de plus en plus profondes qu’il entame…
- Oh… oooh… c’est… oui, là, juste lààà… Oooooh !
- C’est une zone très particulière de l’anatomie masculine que tu découvres…
Comme si tu étais le premier à me stimuler la prostate, mec !
- Regarde ton sexe, a-t-il murmuré, en attirant mon regard sur ma mi-molle, mon gland partiellement décalotté, et mon méat dont suint un filet de pré-sperme. ‘’Liquide pré-éjaculatoire, c’est le massage de ta prostate, agréable, non ?’’
‘Quel abruti pompeux’ ai-je pensé, ‘mais j’avoue que sa bite est plutôt bien calibrée pour moi…’
Son gland a lentement avancé dans mon rectum, par légers à-coups, plusieurs fois freinés par mes gémissements de douleur simulée, laissant mon conduit lentement s’habituer à son invasion.
- Je suis entièrement en toi, tu le sens ?
- Oui… ouiiiii… ça va loiiiiin… oooooh !
- Abandonne-toi au plaisir, aux sensations, laisse-toi aller, je vais veiller à ton plaisir, Jérémie.
Bon, pour le coup, il n’avait pas menti, il est endurant, l’animal, je l’ai récompensé en nouant mes jambes sur sa taille et mes bras sur sa nuque, pour caler mon visage dans son cou… ‘’Venez…’’
S’il a tenu bien plus longtemps que beaucoup de mecs, ça ne pouvait pas durer indéfiniment, bien sûr. Il s’est un peu redressé, a posé les doigts sur mon sexe bandé et a soufflé ‘’Ton érection est suffisante, tu es raide, touche-toi… Oui, ainsi, fais monter le plaisir…’’
J’ai bien un peu exagéré l’expression d’extase en rejetant la tête en arrière pour éructer un long gémissement mais le plaisir était déjà bien là lorsque j’ai éjaculé, projetant quatre traits de sperme sur mon ventre.
- Tu es si beau quand tu jouis, a-t-il dit, en continuant ses pénétrations profondes qui ont provoqué les répliques de mon plaisir, toujours croissantes, jusqu’à ce qu’un orgasme anal inattendu me terrasse, le corps arqué sous le sien, incapable de retenir un long gémissement.
- Tellement beau, mais je ne vais plus tenir, je v… je vais… Aaah !’’, avant de s’écrouler sur moi.
J’ai lentement déplié les jambes, et il s’est retiré.
- Oh ! Vous avez… en moi ? j’ai dit, en passant un doigt sur mon sphincter tuméfié et béant.
- Oui, je n’ai pas pu… Peu de mecs me font autant d’effet, mais regarde, toi aussi, tu as joui.
- Je n’avais jamais… autant, l’ai-je complimenté, ‘‘je n’aurais jamais imaginé… C’était… juste fantastique… oooh… je veux ça, souvent !’’
- À ton service mais il faut me laisser récupérer, j’ai plus dix-sept ans, moi…

‘Putain, ce qu’il m’a mis, lui ! Ça n’arrête pas de couler… En même temps, c’est la mesure de son désir pour mon… euh… délicieux corps juvénile, comme il l’a dit, et en proportion avec l’éjac’ de plusieurs secondes, ponctuée par les poussées plus brusques de sa bite au fond de mon rectum, et de grognements dignes d’un documentaire animalier sur le rut des tortues des Galapagos. Et c’est pas fini, il a dû m’en foutre jusque derrière le coude du côlon… Après, je suis pas plus fan des litres de sperme dans mon cul que de la légère agressivité, mais c’est sa récompense pour m’avoir mis un orgasme anal pas si fréquent… Un bon coup, je vais tenter de me le garder un moment.’
- Quand auras-tu dix-huit ans ?
Dix…. Huit, oui, le 25 juin, je suis de… 2007, ai-je menti.
- Ton anniversaire tombera aux environs de ton bac.
- Mon… ? Aaah, oui, tout à fait, ai-je assuré, à temps pour bien confirmer que je suis ce qu’il croit et rester dans le personnage. C’est la bonne date, mais pas l’année, toujours garder un fond de vérité.
Mais non, c’est bon, le mec limite pédo reste persuadé qu’il s’est garanti l’accès à un petit cul serré qu’il s’imagine avoir défloré, jusqu’à… fin juin, je pense, trois ans plus tard, je me rappelle à peine.
- Je veux te revoir, tu es vraiment joli, et très réactif, j’ai vu ton plaisir… et je l’ai senti, on ne te l’a forcément pas encore dit, mais ton sphincter palpite quand tu jouis.
Sauf que oui, mec, je le sais depuis mon premier mec, ça, je m’en souviens bien mieux que du bac.
- Tes parents vont s’inquiéter, je pense, je vais te ramener, ok ?
- Oui, merci, monsieur.
- Arrête, moi, c’est Patrick, ‘monsieur’, ça donne l’impression que je pourrais être ton père, hahaha.
Ben ouais, mec, les quarante que je te donne, moins mes vingt-et-un, techniquement… N’empêche, je prendrais presque goût aux matures, déjà pour l’endurance avérée, et aussi pour l’attention qu’il a mise à donner un plaisir ‘inédit’ au soi-disant petit puceau innocent. ‘’Dis… vendredi prochain, je peux venir te chercher au bahut à la fin des cours ? Vu qu’après avoir goûté la mienne, la petite bite de ton pote t’intéressera moins, j’imagine, non ?
Et pourquoi pas ? Je peux bien rater le cours magistral de stats, le prof se fout des présences…

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