Testeur malgré moi
Récit érotique écrit par Romaric180 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Testeur malgré moi
Yves me laissa à peine le temps de le saluer que déjà il fermait la porte.
- On va faire une course, ne perdons pas de temps.
Je dévalais donc l’escalier à sa suite, me demandant ce qu’il y avait de si urgent à faire alors que, pour une fois, j’étais disponible pour lui.
Nous sommes arrivés devant la boutique d’un cordonnier, l’un des rares restants avec ce savoir-faire.
Yves est entré le premier, a salué et a demandé :
- C’est prêt ?
- Oui, je l’ai terminé hier soir, vous allez me dire si cela vous convient.
Il nous a fait passer dans la petite arrière-boutique toute encombrée de sacs, chaussures et morceaux de cuir. Il ouvrit un tiroir et en sortit quelque chose que je ne pouvais voir, Yves étant devant moi.
- Cela me semble parfait, dit-il, mais il faudrait essayer.
- Il y a un peu de place dans le coin, répondit le cordonnier.
Yves me prit par les épaules et m’amena dans le coin de cette arrière-boutique. Il me montra ce qu’il tenait en main : un martinet fait artisanalement ! Je n’étais pas très chaud pour faire un essai devant un inconnu de cet instrument dont je n’ignorais pas la destination.
Je le dis à Yves pendant que le cordonnier retournait dans sa boutique.
- Tu deviens pudique maintenant ? Tu as peur qu’on voit tes fesses, dit-il en riant ? Ne t’inquiète pas, il en a vu d’autres à son âge. Baisse ton pantalon et penche-toi en avant.
Le ton sur lequel il me donna cet ordre ne laissait aucun doute sur sa détermination, il ne me restait plus qu’à m’exécuter.
Je défis donc mon pantalon et me penchais en avant, mains sur les genoux.
- Non, tu te fous de moi, cul nu sinon tu vas t’en souvenir !
Je baissais donc mon slip et libérais ainsi mes fesses.
Un premier coup cingla mon postérieur, me faisant pousser un petit cri, puis un autre. Je n’osais crier de peur d’attirer l’attention d’un client ou du cordonnier. Celui-ci revint et dit :
- J’ai fermé pour être plus tranquille.
J’étais donc pantalon et slip baissé, penché en avant, les fesses rougies devant mon ami et cet inconnu.
- Vous n’êtes pas bien installés, dit le cordonnier, venez par ici.
Il dégagea le dessus d’une table et me fit approcher.
- Il peut tout enlever, on ne sera pas dérangé.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il souleva l’une de mes jambes puis l’autre pour dégager les vêtements devenus inutiles. La chemise suivit et je me retrouvais entièrement nu devant ces hommes.
- Vous permettez, demanda-t-il à Yves ?
Il me pencha en avant, plaquant mon torse sur la table, et me fit écarter un peu plus les jambes.
- Il bouge beaucoup ? Ai-je besoin de l’attacher ?
- Pourquoi pas, comme ça il ne nous embêtera pas, répondit Yves.
Le cordonnier lia mes chevilles aux pieds de la table ainsi que mes poignets. Je ne pouvais plus bouger, j’étais offert à leur bon vouloir.
- Comment trouvez-vous le manche, demanda-t-il ?
- Il tient bien en main, c’est parfait.
Un coup cinglant frappa mes fesses sur la largeur me faisant pousser un cri.
- J’ai ce qu’il faut !
Je me retrouvais alors bâillonné.
- Et les lanières, pas trop longues ?
Un autre coup, suivi d’un second et d’un troisième furent la réponse.
- Elles ont l’air d’aller.
- Vous permettez, demanda le cordonnier ?
Je reçus alors un coup à la jointure des cuisses ce qui me fit me cabrer autant que mes liens le permettaient. Puis un autre en travers des cuisses puis de nouveau sous les fesses. Dans la position dans laquelle j’étais, ma queue et mes couilles étaient aussi offertes et ces coups ne les épargnaient pas.
- Oui, ça semble aller, je n’avais pas pu l’essayer en vrai faute d’une cible…
Yves reprit l’instrument et m’en administra dix coups de suite, sans violence mais avec application. Je sentais mon postérieur en feu et j’avais hâte que ce jeu cesse, la honte s’ajoutant à la douleur.
- Il faudrait que vous me l’ameniez la prochaine fois que j’aurai un instrument à faire ! Au fait, si vous permettez, j’ai quelque chose à vous montrer.
Il ouvrit un tiroir et en sortit un objet que je ne pouvais voir mais qui me fis néanmoins frissonner.
- C’est un beau cuir pour une strap, vous en utilisez une ?
- Parfois, répondit Yves, mais celle-ci me semble parfaite.
- Allez-y, ne vous gênez pas, si vous en voulez une, il doit me rester du cuir
L’instrument s’abattit sur mes fesses en un claquement, me faisant sursauter. Puis un nouveau coup, suivi d’un autre.
- Si vous permettez, vous devriez faire ainsi.
Le cordonnier prit l’instrument et frappa quatre coups qui me mirent les larmes aux yeux.
Mes fesses n’étaient plus qu’une brulure, une main se posa dessus, massant doucement puis se dirigea vers mon entrejambes et s’attarda sur mes couilles. Elle remonta ensuite le sillon et s’arrêta quelques secondes sur mon œillet.
- C’est un beau cul, vous avez de la chance de pouvoir l’utiliser comme bon vous semble.
- Je peux être partageur, dit Yves en riant !
- Je peux ?
- Avec protection, évidemment !
Le cordonnier s’éloigna puis revint. Il posa un doigt sur mon trou, je sentis quelque chose de froid. Il fit pénétrer son doigt, enduisant comme il le fallait l’entrée de l’endroit où il prendrait son plaisir. J’entendis le bruit d’une ceinture qu’on défait, puis un vêtement qui tombe avant de percevoir celui d’un préservatif qu’on met en place.
Les mains du cordonnier m’agrippèrent les hanches, sa queue pointant contre mon anus. Une poussée et le voici qui entre en moi, lentement, jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis contre mes fesses en feu. Il commença des mouvements rapides qui me faisaient mal car le devant de mes cuisses appuyait contre le rebord de la table. Yves s’était mis devant moi, m’enleva le bâillon et m’offrit sa queue à sucer.
Ils jouirent tous les deux à quelques secondes d’intervalle, me laissant épuisé ainsi offert.
Le cordonnier se rajusta, défit les attaches de mes chevilles et de mes poignets et me libéra de ma position inconfortable. Je me rhabillais, le tissu sur mes fesses accentuant la douleur. Yves régla son achat, remercia le commerçant qui nous lança « A un de ces jours ! » en partant.
Je n’ai pas reçu de nouvelle punition depuis ce jour mais je sais qu’Yves a très envie d’une strap comme celle qu’il a pu essayer. Je risque de redevenir testeur malgré moi.
- On va faire une course, ne perdons pas de temps.
Je dévalais donc l’escalier à sa suite, me demandant ce qu’il y avait de si urgent à faire alors que, pour une fois, j’étais disponible pour lui.
Nous sommes arrivés devant la boutique d’un cordonnier, l’un des rares restants avec ce savoir-faire.
Yves est entré le premier, a salué et a demandé :
- C’est prêt ?
- Oui, je l’ai terminé hier soir, vous allez me dire si cela vous convient.
Il nous a fait passer dans la petite arrière-boutique toute encombrée de sacs, chaussures et morceaux de cuir. Il ouvrit un tiroir et en sortit quelque chose que je ne pouvais voir, Yves étant devant moi.
- Cela me semble parfait, dit-il, mais il faudrait essayer.
- Il y a un peu de place dans le coin, répondit le cordonnier.
Yves me prit par les épaules et m’amena dans le coin de cette arrière-boutique. Il me montra ce qu’il tenait en main : un martinet fait artisanalement ! Je n’étais pas très chaud pour faire un essai devant un inconnu de cet instrument dont je n’ignorais pas la destination.
Je le dis à Yves pendant que le cordonnier retournait dans sa boutique.
- Tu deviens pudique maintenant ? Tu as peur qu’on voit tes fesses, dit-il en riant ? Ne t’inquiète pas, il en a vu d’autres à son âge. Baisse ton pantalon et penche-toi en avant.
Le ton sur lequel il me donna cet ordre ne laissait aucun doute sur sa détermination, il ne me restait plus qu’à m’exécuter.
Je défis donc mon pantalon et me penchais en avant, mains sur les genoux.
- Non, tu te fous de moi, cul nu sinon tu vas t’en souvenir !
Je baissais donc mon slip et libérais ainsi mes fesses.
Un premier coup cingla mon postérieur, me faisant pousser un petit cri, puis un autre. Je n’osais crier de peur d’attirer l’attention d’un client ou du cordonnier. Celui-ci revint et dit :
- J’ai fermé pour être plus tranquille.
J’étais donc pantalon et slip baissé, penché en avant, les fesses rougies devant mon ami et cet inconnu.
- Vous n’êtes pas bien installés, dit le cordonnier, venez par ici.
Il dégagea le dessus d’une table et me fit approcher.
- Il peut tout enlever, on ne sera pas dérangé.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il souleva l’une de mes jambes puis l’autre pour dégager les vêtements devenus inutiles. La chemise suivit et je me retrouvais entièrement nu devant ces hommes.
- Vous permettez, demanda-t-il à Yves ?
Il me pencha en avant, plaquant mon torse sur la table, et me fit écarter un peu plus les jambes.
- Il bouge beaucoup ? Ai-je besoin de l’attacher ?
- Pourquoi pas, comme ça il ne nous embêtera pas, répondit Yves.
Le cordonnier lia mes chevilles aux pieds de la table ainsi que mes poignets. Je ne pouvais plus bouger, j’étais offert à leur bon vouloir.
- Comment trouvez-vous le manche, demanda-t-il ?
- Il tient bien en main, c’est parfait.
Un coup cinglant frappa mes fesses sur la largeur me faisant pousser un cri.
- J’ai ce qu’il faut !
Je me retrouvais alors bâillonné.
- Et les lanières, pas trop longues ?
Un autre coup, suivi d’un second et d’un troisième furent la réponse.
- Elles ont l’air d’aller.
- Vous permettez, demanda le cordonnier ?
Je reçus alors un coup à la jointure des cuisses ce qui me fit me cabrer autant que mes liens le permettaient. Puis un autre en travers des cuisses puis de nouveau sous les fesses. Dans la position dans laquelle j’étais, ma queue et mes couilles étaient aussi offertes et ces coups ne les épargnaient pas.
- Oui, ça semble aller, je n’avais pas pu l’essayer en vrai faute d’une cible…
Yves reprit l’instrument et m’en administra dix coups de suite, sans violence mais avec application. Je sentais mon postérieur en feu et j’avais hâte que ce jeu cesse, la honte s’ajoutant à la douleur.
- Il faudrait que vous me l’ameniez la prochaine fois que j’aurai un instrument à faire ! Au fait, si vous permettez, j’ai quelque chose à vous montrer.
Il ouvrit un tiroir et en sortit un objet que je ne pouvais voir mais qui me fis néanmoins frissonner.
- C’est un beau cuir pour une strap, vous en utilisez une ?
- Parfois, répondit Yves, mais celle-ci me semble parfaite.
- Allez-y, ne vous gênez pas, si vous en voulez une, il doit me rester du cuir
L’instrument s’abattit sur mes fesses en un claquement, me faisant sursauter. Puis un nouveau coup, suivi d’un autre.
- Si vous permettez, vous devriez faire ainsi.
Le cordonnier prit l’instrument et frappa quatre coups qui me mirent les larmes aux yeux.
Mes fesses n’étaient plus qu’une brulure, une main se posa dessus, massant doucement puis se dirigea vers mon entrejambes et s’attarda sur mes couilles. Elle remonta ensuite le sillon et s’arrêta quelques secondes sur mon œillet.
- C’est un beau cul, vous avez de la chance de pouvoir l’utiliser comme bon vous semble.
- Je peux être partageur, dit Yves en riant !
- Je peux ?
- Avec protection, évidemment !
Le cordonnier s’éloigna puis revint. Il posa un doigt sur mon trou, je sentis quelque chose de froid. Il fit pénétrer son doigt, enduisant comme il le fallait l’entrée de l’endroit où il prendrait son plaisir. J’entendis le bruit d’une ceinture qu’on défait, puis un vêtement qui tombe avant de percevoir celui d’un préservatif qu’on met en place.
Les mains du cordonnier m’agrippèrent les hanches, sa queue pointant contre mon anus. Une poussée et le voici qui entre en moi, lentement, jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis contre mes fesses en feu. Il commença des mouvements rapides qui me faisaient mal car le devant de mes cuisses appuyait contre le rebord de la table. Yves s’était mis devant moi, m’enleva le bâillon et m’offrit sa queue à sucer.
Ils jouirent tous les deux à quelques secondes d’intervalle, me laissant épuisé ainsi offert.
Le cordonnier se rajusta, défit les attaches de mes chevilles et de mes poignets et me libéra de ma position inconfortable. Je me rhabillais, le tissu sur mes fesses accentuant la douleur. Yves régla son achat, remercia le commerçant qui nous lança « A un de ces jours ! » en partant.
Je n’ai pas reçu de nouvelle punition depuis ce jour mais je sais qu’Yves a très envie d’une strap comme celle qu’il a pu essayer. Je risque de redevenir testeur malgré moi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré, bravo , très excitant...sourire; si cette histoire est réelle, tu es un petit veinard, à tous points de vue:d'abord le cordonnier, ensuite d'avoir un super martinet, et enfin, d'avoir un ami qui t'aime assez pour t'offrir ce genre de "distractions"...que tu devais certainement mériter non?