Teub épisode 2

- Par l'auteur HDS Jacques59 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Teub épisode 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2003 dans la catégorie En solitaire
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Teub épisode 2
<p>Comme Jacques le fataliste avait son maître (Diderot) le monde a aussi son maître qui le mène.
Depuis qu'Adam a osé croquer la pomme et qu'Eve a osé se saisir du serpent, le pénis (ou la verge ou la queue ou le zob ou ...la teub en verlan) dirige les hommes (et les femmes) et l'histoire du monde.
Les mosaïques de Pompéi prouvent que de tout temps elle était à l'honneur ; le Vert Galant (Henri IV), Louis XIV, Napoléon... étaient de fervents adeptes.
Le Président de la République française L ..., le cardinal D... sont morts en épectase (terme inventé pour la circonstance par la curie).
Combien de papes, et d'autres gens d'église, se sont adonnés au plaisir...
Bref la bite dirige le monde.
Les textes qui suivent sont de mon invention et ne font appel (ou rappel) à personne d'existant (ou disparu) ni à quelque fait réel (même si ce peut être vrai ou plausible ou vérifié).
Tout à votre plaisir de lecteur.
Jacques59
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Mon développement. .

Or donc mon maître, depuis qu'il a découvert ce plaisir me caresse tous les jours, parfois plusieurs fois par jour, et je ne me lasse pas de le satisfaire en faisant la fière : toute droite, toute raide de plaisir, toute gorgée de vie, toujours prête à cracher un liquide onctueux quand mon maître veut se soulager. Et il me soigne aux petits oignons. Un jour il a même osé me sortir en public. C'était au club de foot après un match. Nous étions trempés et boueux.
Avant de reprendre sa voiture mon maître a voulu prendre une douche dans les vestiaires des joueurs pour nous rendre une apparence honorable. Et l'apparence fut honorable. C'était une salle collective et il a bien fallu que nous nous douchions tous ensemble. Bref nous voici sous l'eau chaude et que mon maître se savonne, se frotte, se tortille dans tous les sens pour se décrasser jusqu'à passer la main sur moi et mes deux orphelines. Mais ne voici pas que le contact de l'eau chaude me fait me mettre en forme devant tous les autres joueurs. Certains en profitent pour complimenter mon maître sur ma vigueur et mon ardeur à l'ouvrage. Il m'empoigne alors et m'agite violemment. Je ne veux pas le décevoir et me raidis un peu plus encore. Il est content de moi et me flatte d'un geste ample. Puis il se sèche et en profite pour me flatter avec la serviette.
Quelques instants plus tard il reste seul à discuter avec un copain : assis sur un banc ils commencent à se rhabiller mais le copain ose avancer la main vers moi et il me saisit rapidement d'une poigne ferme mais tendre.

" Alors ma grosse on se rendort , fait-il en riant.
- Oh elle ne demande qu'à servir la coquine ! réplique mon maître.
- Alors allons-y gaiement ! profitons-en !

Et que je me retrouve cajolée, caressée, bougée dans tous les sens. Je regonfle et m'allonge à nouveau sous ce traitement de choc. Il me semble que mon maître a saisi lui-aussi ma concurrente. Debout tous les deux ils nous frottent et nous activent.

- Je suis plus grosse que toi ! vais-je dire à ma voisine.
- Oui mais moi je suis plus longue !
- Je parie que je crache plus loin que toi !
- Et moi plus que toi !

Là-dessus nos maîtres nous branlent énergiquement chacun celle de l'autre car le temps passe et voici que ma voisine se met à expulser son jus à grande force qui retombe aux pieds de son maître. Je ne peux me retenir davantage : par quatre jets violents et longs je lance ma semence à plus d'un mètre de mon maître puis le reste coule lentement sur moi.

- Tu vois, dit mon maître, je tire plus loin que toi !
- C'est vrai ! mais moi j'en ai plus que toi ; tu vois je coule encore !
- Nous avons chacun nos particularités et c'est tant mieux ! "

Nos maîtres se rajustent, nous rangent bien au chaud et au propre et nous regagnons nos chaumières. Le soir dans le lit mon maître m'a flatté et remercié de l'avoir soulagé en me caressant de nouveau mais je n'en pouvais plus. Je suis restée lovée bien au calme toute la nuit. Enfin presque car je me suis ravigotée trois ou quatre fois au cours du sommeil de mon maître qui ne s'est aperçu de rien tant il était fatigué.
A suivre



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Texte coquin : Teub épisode 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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