Thalassothérasex

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
  • • 292 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
  • • L'ensemble des récits érotiques de Micky ont reçu un total de 2 717 073 visites.
Récit libertin : Thalassothérasex Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2025 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 103 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Thalassothérasex
‌Depuis son divorce, Maud n'allait pas bien et le virage de la quarantaine s'annonçait mal. Alertée par son état, Magali, sa mère, décida de prendre le taureau par les cornes.
- Il faut que tu te remettes en forme et que tu te changes les idées. Je t'offre trois jours avec moi en thalassothérapie, nourrie et logée à l'hôtel. Tu pourrais suivre en protocole de soins que je connais, "zen", qui te ferais le plus grand bien.
Surprise par cette proposition aussi généreuse qu'inattendue, Maud réfléchit quelques secondes. Sa dernière fille, celle qui vivait encore avec elle, pourrait se faire héberger par son père, hors conventions. Et la thalasso, elle en conservait un souvenir agréable quelques années auparavant, lorsqu'elle était encore mariée. Elle accepta et un mois plus tard, Magali et elle faisaient leur entrée à l'hôtel avant de passer dans le secteur réservé aux soins.

La question du maillot de bain provoqua un petit débat en chambre entre la mère et la fille. Maud avait opté pour son une pièce échancré aux hanches, se jugeant plutôt sexy parce que mettant en valeur ses longues jambes. Mais quand elle découvrit la tenue balnéaire de sa mère, elle ressentit un petit choc. Le "maillot" se réduisait à quatre triangles retenus par des cordons : deux pour masquer les aréoles des seins, deux pour le pubis et la raie des fesses, le reste étant largement découvert.
- Tu ne vas pas te pointer avec ça ! Ce n'est plus de ton âge, maman ! protesta la fille.
- Comment ça, plus de mon âge ? La nature m'a fait la grâce d'un joli corps et je ne vois pas pourquoi je ne le mettrais pas en valeur. C'est plutôt toi qui fait ringarde avec ton une pièce, alors que tu pourrais te permettre beaucoup mieux.

De la discussion animée qui suivit, Maud dut admettre qu'en effet, bien que sexagénaire avec des cheveux partiellement argentés qu'elle nouait souvent en chignon ou en queue de cheval, Magali bénéficiait d'un format menu l'autorisant à porter un bikini minimaliste que d'autres femmes bien plus jeunes auraient été incapables de revêtir sans être ridicules. Mais devant l'insistance de sa mère à se débarrasser de son maillot jugé "ringard", Maud accepta le deux pièces de rechange qu'elle lui proposait, tout aussi réduit et peinant à contenir ses rondeurs quadragénaires au point d'exercer une dangereuse tension sur les cordons.
- Je suis totalement indécente, commenta la fille en se regardant dans la glace.
- Non, tu es désirable et j'espère bien que tu seras désirée ici même. Il y aura sûrement de beaux mecs disponibles et tu ne sortiras pas d'ici sans savoir baisé.
- Maman ! Qu'est-ce que tu racontes ! C'est une thalasso, pas un lupanar;
- Tu verras par toi-même et si tu veux faire ta chochotte, ne viens pas te plaindre de ta situation. Regarde-moi. J'ai aussi connu le divorce et si j'ai pu m'épanouir ensuite, ce n'est pas parce que j'ai gardé les cuisses fermées. J'ai toujours entretenu ma libido et fait en sorte de ne pas avoir le vagin asséché par l'abstinence. Continue comme ça et tu seras décrépite. Baiser, c'est le moyen de rester jeune.

Maud avait beau être habituée au langage cru de sa mère, ses propos la décontenancèrent. Elle savait qu'elle rencontrait des hommes, pas toujours les mêmes, ce qui l'avait choquée au début mais elle avait fini par l'admettre parce que ça la conservait manifestement en bonne santé. Cela étant, elle fut bien obligée de lui concéder le point. Elle dépérissait. Mais elle persista dans le déni.
- Je ne veux plus entendre parler des hommes, j'ai donné merci. Ma liberté me plait.
- Mais qui te parle de concubinage ou je ne sais quoi ? Il s'agit juste de s'envoyer en l'air de temps en temps pour les hormones. Allez, montre-toi avec ce maillot et tu vas faire un tabac. Et profite de la thalasso.

Elle finit par se rendre à l'avis de sa mère, revêtit comme elle le peignoir blanc siglé, et descendit dans l'espace des soins avec son programme de demi-journée.
Elles passèrent auparavant à la piscine chauffée, histoire de se mettre en train dans un environnement de bulles. Quand elles accrochèrent leur peignoir aux patères et se déchaussèrent avant d'entrer dans l'eau, un certain mouvement se fit parmi les éléments mâles, tant au bord du bassin qu'à l'intérieur. Les deux maillots ridiculement réduits et aussi sexuellement portés ne pouvaient pas passer inaperçus. Cette femme menue mais bien proportionnée aux cheveux grisonnants attachés en catogan, petits seins, petit cul, petites jambes tranchait avec la blonde élancée à la croupe généreuse à peine couverte et au buste fier menaçant de jaillir du soutif. Sur sa chaise, le maitre nageur en fut tout retourné, lui qui se contentait d'observer avec ennui les matrones qui pataugeaient dans le bassin. A l'intérieur de celui-ci, des hommes regrettaient d'être venus avec leur épouse.

La sortie de l'eau, la croupe très succinctement couverte, des deux apparitions réajustant leur slip en ondulant, provoqua un véritable émoi, bien perçu par Magali qui pouffa dans le couloir :
- Je crois qu'on a produit notre petit effet. Si on ne baise pas pendant ces trois jours, c'est vraiment qu'on est sottes.
Maud resta coite. Que sa mère envisage un rapport sexuel pour elle-même la laissa encore plus muette que si elle l'avait envisagé pour sa fille. Elle n'était peut-être pas venue seulement pour elle. Mais elle se rappela en même temps que cela faisait plusieurs mois que son corps n'avait pas exulté. L'atmosphère chaude et moite de la thalasso commençait déjà à agir, tout autant que le désir qu'elle avait provoqué à en croire Magali.
Pendant les trois soins de l'après-midi, qui firent tant de bien à son corps, elle se remémora son dernier rapport sexuel avec son ex, si décevant, au point qu'elle n'avait plus voulu "coucher". Mais elle fut surprise de constater que sous l'effet des massages aquatiques, son bas-ventre se rappelait à elle avec une impression de vide. A combler.
******
Au cours du dîner au restaurant de l'hôtel, un sémillant quinquagénaire s'avança près de leur table, tout sourire. Il connaissait manifestement Magali, qu'il avait rencontrée dans les salles d'attente des soins.
- Je te présente Jean-Noël, dit-elle à sa fille. On a papoté en attendant de se faire masser. Venez-donc vous joindre à nous, Jean-Noël, au lieu de diner seul.
L'homme ne se fit pas prier et se révéla enjoué et bavard. Cadre dans une grande entreprise, divorcé, il venait se remettre en forme après une dure année de travail pour combattre son surmenage. Sa complicité avec Magali était manifeste et Maud en connut une pointe de jalousie. Après le dîner, elle s'en ouvrit à sa mère :
- Il te drague, ce type, ou quoi ?
- Peut-être bien. C'est flatteur, non ? Il a dix ans de moins que moi.
- Tu vas coucher avec lui ?
- On verra. Pourquoi, il te plait ?
- Je préfèrerais plus jeune.
- Bon, alors j'ai le champ libre.
*****
Maud en resta là mais Jean-Noël proposa une sortie aux deux femmes dans la ville balnéaire, suggérant un bar musical de sa connaissance. Maud déclina. La thalasso du premier jour l'avait crevée. Mais Magali accepta, si bien que le lendemain matin au réveil, sa fille ne fut pas vraiment surprise de constater que le lit jumeau du sien était vide. Sa mère avec découché. Maud était sous la douche quand Magali revint à la chambre et se mit nue pour la remplacer sous le jet.
- Ouh là là ! Je suis naze. J'ai mal partout, je ne sais même pas si je vais pouvoir m'asseoir. Ce Jean-Noël, quel baiseur ! Tu ne sais pas ce que tu as perdu.

Ces allusions directes à la nature très concrète du coït de sa mère firent rosir Maud. Elle n'avait décidément aucun tabou. Elle la vit plus tard dans la matinée ronfler sur le bain de soleil de la piscine entre deux soins tandis qu'elle même nageottait dans le bassin. C'est dans ce moment que le maitre-nageur s'approcha d'elle pour engager la conversation. Maud regarda ce brun athlétique d'une trentaine d'années qui lui sortait des banalités de dragueur. En d'autres temps, elle l'aurait rembarré sèchement. Mais elle joua le jeu et le rejoignit même sur sa chaise d'observateur du bassin pour poursuivre la conversation avant de poursuivre son protocole de soins. Il lui proposa de prendre un café à la pause pendant la fermeture de la piscine mais elle déclina pour déjeuner avec sa mère. Informée, celle-ci lui fit la leçon :
- Tu es bête ou quoi ? Je t'aurais laissée la chambre. Arrête de jouer les mijaurées comme une ado attardée. A force de laisser passer les occasions de t'éclater, tu vas finir rombière.
Maud encaissa sans rien dire. Elle se sentait de plus en plus nunuche en comparaison de sa mère, si libre de corps et d'esprit.

Le soir, Magali dormit avec sa fille, visiblement soucieuse de récupérer des folies érotiques de la nuit précédente. Maud dormit mal. Elle se rendait compte qu'elle avait besoin de sexe mais sa tête ne suivait pas son corps. Et le lendemain matin, avant de suivre le protocole de soins de l'après-midi, elle se rendit à la piscine. Et accepta cette fois le rendez-vous du maitre-nageur "pour un café" le lendemain. Il s'appelait Mario.
*****
Le dernier jour de soins était arrivé pour la matinée. Comme promis, Maud accorda le rendez-vous à Mario pour le café. Elle sauterait donc le déjeuner et voulut alerter sa mère, mais ne la trouva pas dans le dédale de la thalasso. En fait, elle n'avait pas tellement envie d'un café. Ce maitre-nageur dragueur lui plaisait de plus en plus, elle en avait rêvé la nuit. A sa manière, sa mère avait réveillé sa libido. Et une fois au bar de l'hôtel, lorsqu'elle le vit, une onde de chaleur parcourut son bas-ventre. Elle avait quarante ans, après tout. Elle n'était plus une midinette qui fait des manières. Avec une audace qui la surprit elle-même, alors que le maitre-nageur s'apprêtait à commander, elle lui dit mezzo voce :
- Et si on allait dans ma chambre ?

Le garçon sourit et lui prit la main pour l'embrasser. Et la garda pour la conduire à l'ascenseur.
Maud mit sa clé dans la porte, l'ouvrit et ô stupeur ! Sur le lit jumeau du sien, Magali nue chevauchait Jean-Noël avec toute l'ardeur de son petit cul. Découvrant sa fille, elle ne se démonta pas et demeura dans la même position, le sexe de son amant bien enfoncé en elle :
- Excuse-nous ma chérie mais Jean-Noël avait déjà rendu sa clé et on a fait une petite prolongation avant de se quitter. Ne vous gênez pas pour nous, faites vos petites affaires, vous serez dans l'ambiance.

Maud, médusée, n'avait pas envisagé ce scénario. Déjà, baiser avec un inconnu ou presque ne tombait pas sous le sens après une longue période d'abstinence mais le faire à quelques centimètres de sa mère, elle-même en pleine action, il y avait de quoi être déstabilisée. Mais Mario, comprenant la situation, ne la laissa pas fuir. Il la poussa sur le lit et entreprit de l'embrasser tout en la caressant :
- Laisse-toi faire, ça va bien se passer, tu en as envie autant que moi.

Sentant le sexe de l'homme tendu contre sa cuisse, Maud faiblit et rendit les armes. Tout en la bécotant, Mario la déshabilla vêtement par vêtement et quand elle fut nue, elle ouvrit les cuisses, comme par réflexe, pensant à la réflexion de sa mère qui refusait de les "garder fermées". Maud ne pensait même plus à elle, qui continuait de cavaler en haletant sur son amant allongé, imposant son rythme et son plaisir. Mario dégustait la quadragénaire de sa langue, visiblement peu pressé de la pénétrer alors qu'elle n'attendait plus que ça. Son corps avait rarement autant réclamé une visite dure, massive, profonde. C'était comme si la thalasso, en réveillant ses tissus intimes, l'avait préparée à ce corps à corps entre mâle en rut et femelle en chaleur.

Enfin, il releva son visage d'entre ses cuisses et exhiba son sceptre avec une fierté manifeste, tout en le gainant de latex, ce qui la rassura. Quand elle l'encercla de ses longues jambes, elle mélangea son regard au sien et ne s'aperçut pas que sur le lit voisin, le couple s'était interrompu pour observer l'opération. Magali fut satisfaite de voir que sa fille s'abandonner, les chevilles croisées sur les reins de son amant, en appui, ses mains griffant les épaules musclées, et vocalisant des "ah oh oui" attestant de son adhésion. Mario se régalait du mouvement de ses seins en la pilonnant, fier de baiser une belle femme aussi chaude, l'important étant de ne pas s'emballer pour faire durer le plaisir.

Puis Maud sembla sortir de son extase quand elle entendit sa mère dire à son amant :
- Prends-moi par derrière maintenant.
Cette fois, ce fut au couple plus jeune de se désunir. Maud découvrit sa mère à quatre pattes en travers du lit, Jean-Noël debout fiché en elle en train de la secouer de sa queue. Le spectacle de Magali les cheveux défaits, le rictus aux lèvres, la croupe alerte, fit enfin prendre conscience à sa fille qu'elle vivait un moment érotique d'une transgression totale. Jamais elle n'imaginé voir sa mère en train de baiser, surtout à un âge où la plupart des femmes rendent les armes, le vagin sec. Mais elle y prenait visiblement un tel plaisir, à preuve ces "oui c'est bon comme ça continue", dans un bruit mouillé de sexes clapotant, que Maud ravala ses tabous et se mit elle aussi à quatre pattes en travers du lit, face à elle. Mario comprit l'intention, la prit par les hanches et lui aussi debout, s'enfonça résolument, rythmant ses coups de bite sur ceux de son vis à vis, trop heureux lui aussi de vivre un moment érotique peu fréquent malgré son expérience de tringleur.
Magali et Maud se dévisageaient tout en allant chercher l'organe mâle à coups de fesses et la voix rauque de la mère se mêla au bruit du choc des peaux :
- Ah quel pied ! Tu la sens bien ?
- Mmmmmh Mmmmh...
- Dis-le ! Tu l'aimes sa bite ?
- Mmmmmhh ouiii ouiii !
- Tu vas te remettre à baiser, hein ?

Maud releva la nuque, bouche béante, seins pendants, croupe tendue, et répondit par une exclamation, la pénétration en levrette ayant atteint une zone quasiment vierge depuis des lustres. Elle se cambra, en proie à un orgasme violent qui la défigura et elle s'effondra en travers du lit, son amant toujours en érection.
Dans un état second, Maud vit Jean-Noël affalé sur le petit corps allongé de Magali, posé sur ses avant-bras, museau contre museau, vrillant sa croupe comme pour la visiter de fond en comble, aidé par sa partenaire qui se tenait les chevilles écartées comme pour aider son exploration, miaulant son extase et gémissant un "viens viens maintenant" qui libéra le quinquagénaire de sa tension. Ils se désunirent prestement et elle le finit à la bouche.
- Suce-moi aussi, entendit Maud de la bouche de Mario.
Sa fellation passionnée aboutit au même résultat et l'homme gicla dans sa gorge un sperme épais qui la fit tousser et cracher. Et la tension retomba dans la chambre.
Un peu groggy, Maud se précipita dans les toilettes puis sous la douche pendant que Magali papotait tranquillement avec les deux hommes, le corps alangui, satisfait, le sourire aux lèvres, la chevelure recoiffée en catogan.
- On a bien baisé, on a fini la cure en beauté, plaisanta-t-elle avant de projeter son petit corps vers la douche, d'un pas alerte. Les deux hommes se rhabillèrent, quittèrent les deux femmes d'une bise et chacun se prépara à prendre le chemin du retour.
****
En route vers le bercail, alors que Maud était au volant, Magali lui tint conversation non sans s'être assoupie un moment sur le siège passager.
- Bon, maintenant, j'espère que tu vas réagir et sortir de ton marasme, dit-elle à sa fille.
- Je ne veux pas me remettre en ménage. Mais tu m'as fait renouer avec le sexe. Je n'aurais jamais cru que tu sois aussi cochonne.
- Alors, sois-le aussi et tu baiseras encore dans vingt ans.
Les rires emplirent l'habitacle. Jamais la mère et la fille n'avaient atteint une telle complicité. Magie de la thalassothérasex...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky que dire après Didier et Olga si on qu’encore une fois ton récit était parfait et les protagonistes genials dans leurs ebats. Merci Daniel

Histoire Erotique
Micky,
c'est encore la un magnifique récit que vous nous livrez.
Oui avec cette thalassothérasex, où le proverbe "telle mère telle fille" totalement inapproprié au début prend tout son sens à la fin avec la "libération" sexuelle de Maud sur les conseils et l'exemple de sa mère Magali.
Excellent
Didier

Voilà, chère Micky, une histoire revivifiante, avec une mère attentionnée, qui veille à l'équilibre, au plaisir et, disons-le, au bonheur de sa quadra de fille.
J'aime beaucoup ce traitement de choc!



Texte coquin : Thalassothérasex
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Micky

Coïts à Marrakech (1) - Récit érotique publié le 30-03-2025
L'immobilier mène à tout - Récit érotique publié le 12-03-2025
Thalassothérasex - Récit érotique publié le 03-03-2025
Mateurs et acteurs en même temps - Récit érotique publié le 16-02-2025
Un symposium érotique - Récit érotique publié le 11-02-2025
Le goût des femmes mûres (2/2) - Récit érotique publié le 22-01-2025
Le goût des femmes mûres (1/2) - Récit érotique publié le 11-01-2025
Les joies cachées du camping car - Récit érotique publié le 09-01-2025
Un échange coloré - Récit érotique publié le 30-12-2024
Comme on connait ses seins on les honore - Récit érotique publié le 07-12-2024