The girl next door 6
Récit érotique écrit par LECOURBE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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The girl next door 6
The girl next door 6
Quatre semaines ont passé depuis cette nuit mémorable. J'ai conscience que l'emprise sur moi d’Élodie – mais aussi celle de Lola, il me faut bien l'avouer – a pris une dimension supplémentaire. Accroc mais heureux de l'être, je ne me suis jamais senti aussi bien dans une relation avec une femme...pardon deux. C'est sans doute la seule chose qui me tracasse. Élodie a pourtant bien fixé les limites. Pas de cachotterie et si mon envie de la rousse incendiaire dépasse le cadre du sexfriend, on devra en parler. Impossible de ne pas y voir un attachement important de sa part mais je sais qu'elle n'avouera rien... même sous la torture, elle adore ça ! Néanmoins, impossible de faire disparaître la belle Lola de mes pensées et c'est la seule chose qui m'inquiète par moment dans notre aventure. Au moins, la plongée au cœur du microcosme libertin de cette boite m'a-t-il permis de définitivement tourner la page avec mon ex et ça, ce n'est pas rien.
On a tous les trois des vies professionnelles intenses et pas question d'abandonner nos amis. Alors depuis notre partie à trois si torride, on a pas pu se retrouver pour reprendre là où nous avions stoppé. J'ai vu le regard sourcilleux d’Élodie me sonder, lorsqu'il y a quelques jours, je lui en ai reparlé. Une confirmation, s'il m'en fallait, qu'elle a conscience que son canon de copine ne me laisse pas indifférent. J'ai joué l'innocent, déclarant que je voulais juste savoir ce qu'elle avait décidé puisque ce que j'avais fait subir à Lola cette nuit là était tout sauf une punition. J'allais même jusqu'à lui demander si elle n'avait pas déjà mis les compteurs à zéro durant ma récente escapade aux States pour le boulot. Elle me confirma d'un air mi-figue mi-raisin que le gage de Lola était toujours valide et qu'elle songeait effectivement à quelque chose qui pourrait bien me plaire aussi. En tentant de rester neutre pour ne pas montrer ma joie intérieure d'être à nouveau intégré à leurs jeux, je creusai un peu le sujet.
- Tu penses à un scénario particulier ?
- Peut-être, mais j'ai peur d'aller trop loin, ajoute Élodie dubitative.
Mon impatience à vraiment connaître son plan devait être tellement visible que ma crainte de la voir mal interpréter ma demande me taraudait. Malgré tout, je poursuivis sur ma lancée.
Dis-m'en davantage. Tu m'as prévu un rôle ? Tu sais, je comprendrai que tu préfères me laisser à l'écart, cette fois.
Non, non... au contraire. Mais pour que ça soit top, il va falloir que tu t'entraînes sérieusement si je reste sur mon idée ! Avant, j'ai pas mal de choses à vérifier. Fais-moi confiance et dis-moi juste si tu me suis dans mon délire... car c'en est bien un !
En guise de réponse, je m'approchai d'elle et posai mes lèvres au bas de son cou en lui glissant à l'oreille la réponse, tellement évidente. Lorsque j'ajoutai en la basculant sur mes genoux qu'elle avait de bien vilaines idées en voulant punir sa belle copine, elle fit glisser legging et culotte avant de réclamer d'un regard implorant la sévère fessée qu'elle méritait à coup sûr. Lorsque je cessai de claquer ses jolies fesses, ma main me brûlait terriblement. Le cul de ma belle soumise était écarlate mais ses gémissements durant l'exercice furent bien loin d'être synonyme de douleur brute. Mes doigts qui fourragèrent allègrement son entre-jambes ressortirent couverts de cyprine et elle s'empala sans effort sur mon sexe dressé, dos tourné. Mes mains malaxèrent avec force les deux globes fermes, libérés d'un geste, en s'attardant sans ménagement sur des tétons érigés. Un espace où seul le plaisir règne en maître nous emporta tous les deux.
Élodie eut besoin de quelques confirmations mais voilà, aujourd'hui, elle vient de me dire que c'est calé et elle m'explique les grandes lignes de ce qui est prévu. La vache ! Incroyable ! Sûr que le risque que Lola pète les plombs avant la fin est bien réel. Pourtant, elle se veut rassurante. Elle la connaît si bien. D'après elle, une fois le scénario engagé, Lola va tellement kiffer qu'à la fin des réjouissances, elle la remerciera... et moi aussi par la même occasion. Enfin quand elle me parle de réjouissances, j'avoue qu'après l'avoir écoutée notre jolie rousse devra avoir quelques fantasmes à réaliser pour rester zen durant la partie ! Mais, à coup sûr, Élodie a eu droit à certaines confidences pour qu'elle aille aussi loin. Reste que, de mon côté, vu le rôle qu'elle m'a réservé, j'ai du pain sur la planche pour être à la hauteur. Heureusement que ma belle voisine va guider ma préparation. N'empêche, j'ai une sacrée pression maintenant que j'en sais davantage !
Il m'a fallu pas moins d'un mois pour arriver à un résultat satisfaisant. Franchement, ce ne fut pas évident mais le jeu en valait la chandelle. Je sais que, le jour J, j'aurai le trac mais je ne reculerai pas. Je dois être honnête, j'adore l'idée ! Les heures passées furent juste un peu dures à dégager mais quand on veut, on peut ! Inutile de préciser que question motivation j'étais au top. Du côté d’Élodie, même chose, elle est excitée comme une puce et tout est prêt. Elle m'assure qu'elle a trouvé le lieu parfait même si ce n'est pas tout près. Évidemment, elle n'a eu aucun mal à convaincre Lola de bloquer son week-end pour nous accompagner dans cette petite virée !
Lorsqu'elle nous rejoint dans la voiture avec sa petite valise, je vois dans ses yeux rieurs qu'elle n'est pas dupe. Elle imagine certainement qu'on ne part pas tous les trois pour faire d'interminables parties de cartes ou uniquement profiter des curiosités touristiques du fin fond de la Sologne. Je crois tout de même qu'elle n'a pas la moindre idée de ce qui va arriver. Moi si et j'en frémis déjà à l'avance. C'est fou l'effet que me fait cette fille magnifique même quand elle arrive comme ça, décontractée, dans une tenue plus adaptée à la cueillette des champignons qu'à faire tourner des têtes dans une soirée sexy. Dès qu'elle est là, un truc se passe et l'excitation me gagne irrémédiablement. Je me concentre à nouveau sur le GPS en écoutant les rires et les exclamations des deux minettes qui n'arrêtent pas de papoter. On s'enfonce dans la campagne profonde et les kilomètres défilent.
Au moins cinq bornes sans voir la moindre demeure et puis un panneau qui nous invite à prendre un chemin vers de grandes grilles ouvertes. Depuis un bon moment, rien que des bois, des forêts et quelques animaux sauvages qui semblaient s'être donnés le tour pour saluer notre arrivée. Et maintenant, ces hauts murs d'enceinte juste percés par une entrée monumentale. J'ai l'impression que nous avons quitté la civilisation ! Une vraie ambiance de film d'horreur où des bûcherons cauchemardesques rivaliseraient d'imagination pour nous découper à coups de tronçonneuses ! Élodie a choisi avec soin le décor mais, tout comme Lola, elle a l'air impressionnée par le lieu. Le propriétaire lui a donné toutes les consignes du fait de son absence et nous devrions trouver les clés de la partie du manoir qu'elle a loué dans un petit boîtier à ouvrir avec un code. Après une interminable allée encadrée d'arbres plus que centenaires, je me gare devant la façade de ce bâtiment magnifique qui a dû connaître les fastes de chasses privées dans un passé pas si lointain.
Tout est bien entretenu mais l'entrée principale austère de la bâtisse n'est pas très accueillante. Nous nous dirigeons vers la droite où ce qui devait être d'anciennes écuries a bénéficié d'une très belle rénovation. C'est bien là qu'on va loger. Joli mais un poil lugubre avec ce silence qui nous englue littéralement. D'un geste de victoire, Élodie exhibe la clé qu'elle vient de récupérer et on la suit pour visiter notre home sweet home du week-end. Lola plaisante en lui disant qu'elle aurait pu trouver plus calme comme destination... L'intérieur est chaleureux et luxueux à souhait avec une très grande pièce ornée d'une énorme cheminée. Seul l'énorme lustre ancien suspendu semble décalé. La décoration est design et, à l'étage les chambres avec chacune une belle salle de bains complètent le tableau. Je suis sûr que Lola, avec sa remarque en entrant, doit commencer à se demander ce qu'on est venu foutre dans ce trou du cul du monde ! Je secoue un peu la morosité que je sens poindre et en voyant la nuit tomber et je me propose d'allumer une belle flambée dans le salon en les laissant investir à leur guise les pièces du haut. Quand elles me rejoignent, elle se sont changées et, température fort agréable aidant, leurs tenues rivalisent d'audace, comme pour me mettre en condition...
Bizarrement, alors que je m'attends à entendre Lola réclamer des infos sur le programme de ces deux jours qu'elle pourrait imaginer un peu terne côté animation à en juger par les apparences, elle semble sereine et ravie de s'étaler dans l'immense canapé face à la cheminée après avoir mis un peu de musique pour accompagner notre apéro. Élodie m'entraîne un instant à l'étage et un doigt sur les lèvres, elle me montre la porte qui se trouve au fond du couloir. De toute évidence, cette issue établit une relation avec la demeure principale et je comprends en la voyant sortir une clé cachée dans un renfoncement que c'est de ce côté que les affaires vont se corser tout à l'heure. C'est vrai que je ne voyais pas bien comment notre scénario prendrait forme dans ce logement, bien trop classique dans son aménagement. Je lui souris et rassuré, après quelques minutes de rangement, nous rejoignons Lola très occupée par un échange téléphonique animé qui éveille en moi ce qui ressemble bien à une pointe de jalousie. Mes questions sur son interlocuteur la font rire et elle s'amuse de ma curiosité. Le regard acéré que m'adresse Élodie me montre aussitôt que, de son côté, cette inquisition est tout autrement interprétée.
On vient d'entamer une seconde bouteille de blanc. Délicieux avec ces planches de charcuterie. L'alcool commence à faire son effet. Lola est maintenant complètement allongée et ses yeux brillent. J'ai un peu de mal à détacher mes yeux de sa poitrine, libre sous la mince étoffe rouge de sa robe. Ses seins parfaits ont quelque peu tendance à vouloir s'échapper par les échancrures latérales dans cette position. Élodie reste, elle, d'un calme olympien. Je l'ai vu regarder sa montre à plusieurs reprises et elle ramène les parts de pizza qu'elle vient de réchauffer. 22 heures30, on entre dans le vif du sujet et elle se lance. Lola n'attendait visiblement que ça. Connaître le programme de la soirée. Elle se redresse d'un coup confirmant, par la même occasion, que ses mamelons sont particulièrement proéminents ce soir.
Élodie a bien préparé son affaire. Sans trop dévoiler de l'aventure, elle nous met sur la piste. A partir de 23 heures, nous aurons au maximum 4 heures pour résoudre des énigmes qui vont se succéder dans des pièces du manoir, juste à côté.
- Ouah ! Un escape game, j'adore, s'exclame aussitôt Lola. Y aura d'autres participants ?
- Tu verras bien. Je sais juste où est l'entrée, après c'est la grande inconnue. Aucune idée sur ce qui nous attend.
Tu parles d'un mensonge. Mais plus c'est gros et mieux ça marche ! De toute façon, Lola est déjà si bourrée que, même en lui racontant la vérité, elle foncerait tête baissée dans le guet-apens! Je joue bien sûr le jeu de celui qui découvre tout et qui se fait un plaisir de les accompagner.
- J'adore ça moi aussi et puis Élodie est super forte en énigmes, on va s'éclater !
- Alors si tout le monde est ok, un café et on pousse la porte, ajoute Élodie satisfaite de la voir entrer dans le jeu aussi facilement.
La première porte, celle de notre couloir, vient de se refermer sur nous dans un claquement sec. De faibles éclairages latéraux se sont aussitôt allumés. La pièce est petite et aveugle. Les murs et le plafond sont noir. En se retournant, comme moi, Lola a remarqué que, derrière nous, aucune poignée ne permet de faire machine arrière mais elle conserve son sourire, impatiente de jouer. Une voix déformée électroniquement retentit et un premier défi nous est lancé. Il nous faut trouver la porte dérobée qui se cache dans la pièce, enfin surtout le mécanisme qui va permettre de l'ouvrir. En cas d'échec au bout de 10 minutes, l'un de nous sera immédiatement emprisonné. Mes deux complices explorent les parois avec attention sans résultat. Tout est lisse et parfaitement peint. Impossible qu'une porte y soit planquée. Mes yeux se concentrent donc plutôt sur le plafond aussi homogène à première vue mais je suis attiré par une petite aspérité. Je soulève Élodie par les hanches pour qu'elle puisse vérifier. Sitôt enfoncé, ce bouton caché actionne un mécanisme ingénieux qui ouvre une trappe d'où descend lentement une échelle. Nous scrutons tous les trois l'orifice mais l'obscurité totale qui y règne ne laisse rien transparaître. Je me dis simplement que nous venons sans doute d'accéder au premier étage de la belle mais inquiétante bâtisse.
Lola passe en tête, me donnant une vue imprenable sur son petit cul musclé et sur l'adorable string qui ne masque que bien peu de son intimité. Élodie grimpe aux barreaux en dernier et nous nous retrouvons dans une grande pièce qui s'éclaire à notre arrivée. Ce devait être une grande bibliothèque. Des rayonnages vides couvrent tous les murs. Aucun meuble à l'exception d'un antique bureau d'écolier placé au centre. Incliné avec les emplacements des encriers, le plateau ciré est couvert des vestiges du passage des élèves avec des inscriptions gravées dans le bois. Élodie et Lola, assises sur les deux sièges reliés, s'amusent à décrypter les messages pas toujours très académiques lorsque la même voix nasillarde s'élève à nouveau.
Pas joli, joli ce que vous avez écrit petits galopins ! Vous abîmez le matériel et en plus vous vous moquez du maître ! Je crois qu'une bonne correction sera nécessaire si vous voulez aller loin dans la vie... et donc dans notre jeu ce soir ! Lorsque vous aurez décidé qui mérite la punition et, si cette personne accepte le verdict, alors la porte que vous voyez au fond s'ouvrira. Possible de partager avec un complice si vous préférez, le troisième évidemment sera le maître...ou la maîtresse. Si vous ne parvenez pas à vous mettre d'accord ou que le ou les coupables demandent grâce avant la fin alors l'un d'entre vous sera définitivement exclu du jeu. Il vous suffit de soulever le bureau et vous comprendrez mieux.
Lola est interloquée. Je crois qu'elle vient de percuter. Tu parles d'un escape game ! Version épicée très orientée! Mais sans rien dire, elle soulève doucement le plateau pour en ressortir une canne en rotin et le dessin d'un écolier déculotté, mains appuyées sur le bord du bureau et fessé par son maître. Dessous est souligné de rouge un énorme point d'interrogation. Élodie joue aussi la surprise mais très vite ses yeux joueurs se posent sur Lola...Elle s'apprête à parler quand de nouveau la voix retentit.
- Regardez maintenant vers la porte. Une ardoise d'écolier y est accrochée. Au dos y est inscrit le nombre de coups de cannes décidés par le maître. A vous de l'estimer. Si vous êtes en dessous alors celui qui jouera le rôle du bourreau sera emprisonné. Je vous conseille de ne pas mégoter. La faute est grave ! Et attention soyez certain que je vois tout. Pas de tricherie ou de faux-semblants si vous voulez avancer !
- Merde, c'est qui lui ? lance Lola.
- Je suis le maître du jeu, évidemment petite impertinente, reprend la voix avec autorité, et puisque c'est ainsi vous serez obligatoirement punie dans cette épreuve. Ne perdez pas de temps...vous avez 20 minutes avant l'élimination!
Quelle cachottière cette Élodie ! En me donnant ses explications, elle avait soigneusement omis de me parler du contenu des épreuves précédant celle où je serai très impliqué. Bien joué, de fait, moi aussi, je me retrouve dans l'inconnu. Enfin, ce qui est sûr, c'est que pour cette épreuve, je n'ai aucune envie de me faire marquer les fesses à coup de badine ! Heureusement, Élodie lève les yeux vers moi d'un air rassurant et prend les mains de Lola, toujours assise à côté d'elle.
- Allez, t'inquiète, je m'y colle avec toi, annonce la blonde à mon grand soulagement. On ne va quand même pas abandonner si tôt !
- On partage alors ? demande Lola, un peu décontenancée par la tournure des événements.
- Oui, mais le nombre ? On n'a pas intérêt à se planter. Toi Marc, t'en pense quoi ?
Inutile de dire qu'une certaine excitation me gagne et je fais un peu durer avant de leur proposer 40 comme verdict. Les yeux de Lola semblent s'agrandir en entendant ce nombre. Je sais qu'elle n'aime pas trop la canne qu'elle trouve vraiment trop mordante à son goût. Élodie réagit la première.
- Non 50, c'est plus sûr ! Allez ma belle, j'en prends 35 et à toi le reste ! D'accord ?
- Hum...Je déteste ça mais puisqu'il le faut, admet Lola à contrecœur en se tournant vers moi, comme pour implorer ma clémence.
- Allez Marc, à toi de jouer, conclut Élodie. Commence par Lola et n'oublie pas, si tu fais semblant ça ne marchera pas. J'ai l'impression qu'il y des caméras bien cachées partout !
Voir mes deux belles, culotte sur les chevilles, s'installer chacune d'un côté du bureau, penchées en avant mains posées à plat après avoir relevé leurs robes bien haut sur les reins est aussi délicieux que douloureux car mon sexe se sent bien trop à l'étroit dans mon jean. L'instrument est vraiment redoutable et chaque coup porté laisse une marque rouge bien nette. Lola ne retient pas ses cris mais elle tient bon. Son cul est littéralement strié et je vois les larmes couler à partir du dixième. La douleur tord son beau visage et, même si j'essaie de retenir mon bras, elle s'écroule au sol, brisée, lorsque le sifflement du dernier coup retentit. Je ne peux m'empêcher de venir la cajoler doucement avant de me placer derrière Élodie qui cambre les reins comme pour mieux offrir ses deux fesses rondes et lisses au supplice.
L'éclairage met en évidence une fine pellicule de sueur qui couvre le bas de son dos largement découvert. Elle a beau me regarder avec assurance, je sais qu'elle n'en mène pas large. 35 coups ! Je vais lui mettre les fesses en feu. Pourvu que je parvienne à éviter de trop ravager ce corps que j'aime tant. Malgré mes scrupules à la frapper avec ce terrible instrument de punition, je prends un malin plaisir à cingler la belle sous les yeux de Lola qui a renoncé à replacer sa culotte et est venue tenir les mains de son amie de toujours. Élodie résiste avec courage malgré la douleur mais les 15 derniers coups lui arrachent des cris déchirants. Obligé de viser maintenant le haut de ses cuisses en voyant son cul entièrement couvert de boursouflures rouges, la fin de la punition s'avère terrible et il nous faut quelques minutes avec Lola pour lui permettre de reprendre ses esprits. Elle trouve enfin la force d'un sourire quand, comme Lola, elle me confie sa jolie culotte en dentelle avant de s'avancer jusqu'à la porte. Elle s'empare de l'ardoise et la retourne en faisant le V de la victoire. Y figure un énorme 45 écrit à la craie. C'était moins une !
Aussitôt, la bruit de l'ouverture de la porte se fait entendre. En silence, nous avançons dans un long couloir sombre. Au fond, une porte entrouverte laisse filtrer la lumière. Trop tard pour reculer...
( à suivre.... )
Quatre semaines ont passé depuis cette nuit mémorable. J'ai conscience que l'emprise sur moi d’Élodie – mais aussi celle de Lola, il me faut bien l'avouer – a pris une dimension supplémentaire. Accroc mais heureux de l'être, je ne me suis jamais senti aussi bien dans une relation avec une femme...pardon deux. C'est sans doute la seule chose qui me tracasse. Élodie a pourtant bien fixé les limites. Pas de cachotterie et si mon envie de la rousse incendiaire dépasse le cadre du sexfriend, on devra en parler. Impossible de ne pas y voir un attachement important de sa part mais je sais qu'elle n'avouera rien... même sous la torture, elle adore ça ! Néanmoins, impossible de faire disparaître la belle Lola de mes pensées et c'est la seule chose qui m'inquiète par moment dans notre aventure. Au moins, la plongée au cœur du microcosme libertin de cette boite m'a-t-il permis de définitivement tourner la page avec mon ex et ça, ce n'est pas rien.
On a tous les trois des vies professionnelles intenses et pas question d'abandonner nos amis. Alors depuis notre partie à trois si torride, on a pas pu se retrouver pour reprendre là où nous avions stoppé. J'ai vu le regard sourcilleux d’Élodie me sonder, lorsqu'il y a quelques jours, je lui en ai reparlé. Une confirmation, s'il m'en fallait, qu'elle a conscience que son canon de copine ne me laisse pas indifférent. J'ai joué l'innocent, déclarant que je voulais juste savoir ce qu'elle avait décidé puisque ce que j'avais fait subir à Lola cette nuit là était tout sauf une punition. J'allais même jusqu'à lui demander si elle n'avait pas déjà mis les compteurs à zéro durant ma récente escapade aux States pour le boulot. Elle me confirma d'un air mi-figue mi-raisin que le gage de Lola était toujours valide et qu'elle songeait effectivement à quelque chose qui pourrait bien me plaire aussi. En tentant de rester neutre pour ne pas montrer ma joie intérieure d'être à nouveau intégré à leurs jeux, je creusai un peu le sujet.
- Tu penses à un scénario particulier ?
- Peut-être, mais j'ai peur d'aller trop loin, ajoute Élodie dubitative.
Mon impatience à vraiment connaître son plan devait être tellement visible que ma crainte de la voir mal interpréter ma demande me taraudait. Malgré tout, je poursuivis sur ma lancée.
Dis-m'en davantage. Tu m'as prévu un rôle ? Tu sais, je comprendrai que tu préfères me laisser à l'écart, cette fois.
Non, non... au contraire. Mais pour que ça soit top, il va falloir que tu t'entraînes sérieusement si je reste sur mon idée ! Avant, j'ai pas mal de choses à vérifier. Fais-moi confiance et dis-moi juste si tu me suis dans mon délire... car c'en est bien un !
En guise de réponse, je m'approchai d'elle et posai mes lèvres au bas de son cou en lui glissant à l'oreille la réponse, tellement évidente. Lorsque j'ajoutai en la basculant sur mes genoux qu'elle avait de bien vilaines idées en voulant punir sa belle copine, elle fit glisser legging et culotte avant de réclamer d'un regard implorant la sévère fessée qu'elle méritait à coup sûr. Lorsque je cessai de claquer ses jolies fesses, ma main me brûlait terriblement. Le cul de ma belle soumise était écarlate mais ses gémissements durant l'exercice furent bien loin d'être synonyme de douleur brute. Mes doigts qui fourragèrent allègrement son entre-jambes ressortirent couverts de cyprine et elle s'empala sans effort sur mon sexe dressé, dos tourné. Mes mains malaxèrent avec force les deux globes fermes, libérés d'un geste, en s'attardant sans ménagement sur des tétons érigés. Un espace où seul le plaisir règne en maître nous emporta tous les deux.
Élodie eut besoin de quelques confirmations mais voilà, aujourd'hui, elle vient de me dire que c'est calé et elle m'explique les grandes lignes de ce qui est prévu. La vache ! Incroyable ! Sûr que le risque que Lola pète les plombs avant la fin est bien réel. Pourtant, elle se veut rassurante. Elle la connaît si bien. D'après elle, une fois le scénario engagé, Lola va tellement kiffer qu'à la fin des réjouissances, elle la remerciera... et moi aussi par la même occasion. Enfin quand elle me parle de réjouissances, j'avoue qu'après l'avoir écoutée notre jolie rousse devra avoir quelques fantasmes à réaliser pour rester zen durant la partie ! Mais, à coup sûr, Élodie a eu droit à certaines confidences pour qu'elle aille aussi loin. Reste que, de mon côté, vu le rôle qu'elle m'a réservé, j'ai du pain sur la planche pour être à la hauteur. Heureusement que ma belle voisine va guider ma préparation. N'empêche, j'ai une sacrée pression maintenant que j'en sais davantage !
Il m'a fallu pas moins d'un mois pour arriver à un résultat satisfaisant. Franchement, ce ne fut pas évident mais le jeu en valait la chandelle. Je sais que, le jour J, j'aurai le trac mais je ne reculerai pas. Je dois être honnête, j'adore l'idée ! Les heures passées furent juste un peu dures à dégager mais quand on veut, on peut ! Inutile de préciser que question motivation j'étais au top. Du côté d’Élodie, même chose, elle est excitée comme une puce et tout est prêt. Elle m'assure qu'elle a trouvé le lieu parfait même si ce n'est pas tout près. Évidemment, elle n'a eu aucun mal à convaincre Lola de bloquer son week-end pour nous accompagner dans cette petite virée !
Lorsqu'elle nous rejoint dans la voiture avec sa petite valise, je vois dans ses yeux rieurs qu'elle n'est pas dupe. Elle imagine certainement qu'on ne part pas tous les trois pour faire d'interminables parties de cartes ou uniquement profiter des curiosités touristiques du fin fond de la Sologne. Je crois tout de même qu'elle n'a pas la moindre idée de ce qui va arriver. Moi si et j'en frémis déjà à l'avance. C'est fou l'effet que me fait cette fille magnifique même quand elle arrive comme ça, décontractée, dans une tenue plus adaptée à la cueillette des champignons qu'à faire tourner des têtes dans une soirée sexy. Dès qu'elle est là, un truc se passe et l'excitation me gagne irrémédiablement. Je me concentre à nouveau sur le GPS en écoutant les rires et les exclamations des deux minettes qui n'arrêtent pas de papoter. On s'enfonce dans la campagne profonde et les kilomètres défilent.
Au moins cinq bornes sans voir la moindre demeure et puis un panneau qui nous invite à prendre un chemin vers de grandes grilles ouvertes. Depuis un bon moment, rien que des bois, des forêts et quelques animaux sauvages qui semblaient s'être donnés le tour pour saluer notre arrivée. Et maintenant, ces hauts murs d'enceinte juste percés par une entrée monumentale. J'ai l'impression que nous avons quitté la civilisation ! Une vraie ambiance de film d'horreur où des bûcherons cauchemardesques rivaliseraient d'imagination pour nous découper à coups de tronçonneuses ! Élodie a choisi avec soin le décor mais, tout comme Lola, elle a l'air impressionnée par le lieu. Le propriétaire lui a donné toutes les consignes du fait de son absence et nous devrions trouver les clés de la partie du manoir qu'elle a loué dans un petit boîtier à ouvrir avec un code. Après une interminable allée encadrée d'arbres plus que centenaires, je me gare devant la façade de ce bâtiment magnifique qui a dû connaître les fastes de chasses privées dans un passé pas si lointain.
Tout est bien entretenu mais l'entrée principale austère de la bâtisse n'est pas très accueillante. Nous nous dirigeons vers la droite où ce qui devait être d'anciennes écuries a bénéficié d'une très belle rénovation. C'est bien là qu'on va loger. Joli mais un poil lugubre avec ce silence qui nous englue littéralement. D'un geste de victoire, Élodie exhibe la clé qu'elle vient de récupérer et on la suit pour visiter notre home sweet home du week-end. Lola plaisante en lui disant qu'elle aurait pu trouver plus calme comme destination... L'intérieur est chaleureux et luxueux à souhait avec une très grande pièce ornée d'une énorme cheminée. Seul l'énorme lustre ancien suspendu semble décalé. La décoration est design et, à l'étage les chambres avec chacune une belle salle de bains complètent le tableau. Je suis sûr que Lola, avec sa remarque en entrant, doit commencer à se demander ce qu'on est venu foutre dans ce trou du cul du monde ! Je secoue un peu la morosité que je sens poindre et en voyant la nuit tomber et je me propose d'allumer une belle flambée dans le salon en les laissant investir à leur guise les pièces du haut. Quand elles me rejoignent, elle se sont changées et, température fort agréable aidant, leurs tenues rivalisent d'audace, comme pour me mettre en condition...
Bizarrement, alors que je m'attends à entendre Lola réclamer des infos sur le programme de ces deux jours qu'elle pourrait imaginer un peu terne côté animation à en juger par les apparences, elle semble sereine et ravie de s'étaler dans l'immense canapé face à la cheminée après avoir mis un peu de musique pour accompagner notre apéro. Élodie m'entraîne un instant à l'étage et un doigt sur les lèvres, elle me montre la porte qui se trouve au fond du couloir. De toute évidence, cette issue établit une relation avec la demeure principale et je comprends en la voyant sortir une clé cachée dans un renfoncement que c'est de ce côté que les affaires vont se corser tout à l'heure. C'est vrai que je ne voyais pas bien comment notre scénario prendrait forme dans ce logement, bien trop classique dans son aménagement. Je lui souris et rassuré, après quelques minutes de rangement, nous rejoignons Lola très occupée par un échange téléphonique animé qui éveille en moi ce qui ressemble bien à une pointe de jalousie. Mes questions sur son interlocuteur la font rire et elle s'amuse de ma curiosité. Le regard acéré que m'adresse Élodie me montre aussitôt que, de son côté, cette inquisition est tout autrement interprétée.
On vient d'entamer une seconde bouteille de blanc. Délicieux avec ces planches de charcuterie. L'alcool commence à faire son effet. Lola est maintenant complètement allongée et ses yeux brillent. J'ai un peu de mal à détacher mes yeux de sa poitrine, libre sous la mince étoffe rouge de sa robe. Ses seins parfaits ont quelque peu tendance à vouloir s'échapper par les échancrures latérales dans cette position. Élodie reste, elle, d'un calme olympien. Je l'ai vu regarder sa montre à plusieurs reprises et elle ramène les parts de pizza qu'elle vient de réchauffer. 22 heures30, on entre dans le vif du sujet et elle se lance. Lola n'attendait visiblement que ça. Connaître le programme de la soirée. Elle se redresse d'un coup confirmant, par la même occasion, que ses mamelons sont particulièrement proéminents ce soir.
Élodie a bien préparé son affaire. Sans trop dévoiler de l'aventure, elle nous met sur la piste. A partir de 23 heures, nous aurons au maximum 4 heures pour résoudre des énigmes qui vont se succéder dans des pièces du manoir, juste à côté.
- Ouah ! Un escape game, j'adore, s'exclame aussitôt Lola. Y aura d'autres participants ?
- Tu verras bien. Je sais juste où est l'entrée, après c'est la grande inconnue. Aucune idée sur ce qui nous attend.
Tu parles d'un mensonge. Mais plus c'est gros et mieux ça marche ! De toute façon, Lola est déjà si bourrée que, même en lui racontant la vérité, elle foncerait tête baissée dans le guet-apens! Je joue bien sûr le jeu de celui qui découvre tout et qui se fait un plaisir de les accompagner.
- J'adore ça moi aussi et puis Élodie est super forte en énigmes, on va s'éclater !
- Alors si tout le monde est ok, un café et on pousse la porte, ajoute Élodie satisfaite de la voir entrer dans le jeu aussi facilement.
La première porte, celle de notre couloir, vient de se refermer sur nous dans un claquement sec. De faibles éclairages latéraux se sont aussitôt allumés. La pièce est petite et aveugle. Les murs et le plafond sont noir. En se retournant, comme moi, Lola a remarqué que, derrière nous, aucune poignée ne permet de faire machine arrière mais elle conserve son sourire, impatiente de jouer. Une voix déformée électroniquement retentit et un premier défi nous est lancé. Il nous faut trouver la porte dérobée qui se cache dans la pièce, enfin surtout le mécanisme qui va permettre de l'ouvrir. En cas d'échec au bout de 10 minutes, l'un de nous sera immédiatement emprisonné. Mes deux complices explorent les parois avec attention sans résultat. Tout est lisse et parfaitement peint. Impossible qu'une porte y soit planquée. Mes yeux se concentrent donc plutôt sur le plafond aussi homogène à première vue mais je suis attiré par une petite aspérité. Je soulève Élodie par les hanches pour qu'elle puisse vérifier. Sitôt enfoncé, ce bouton caché actionne un mécanisme ingénieux qui ouvre une trappe d'où descend lentement une échelle. Nous scrutons tous les trois l'orifice mais l'obscurité totale qui y règne ne laisse rien transparaître. Je me dis simplement que nous venons sans doute d'accéder au premier étage de la belle mais inquiétante bâtisse.
Lola passe en tête, me donnant une vue imprenable sur son petit cul musclé et sur l'adorable string qui ne masque que bien peu de son intimité. Élodie grimpe aux barreaux en dernier et nous nous retrouvons dans une grande pièce qui s'éclaire à notre arrivée. Ce devait être une grande bibliothèque. Des rayonnages vides couvrent tous les murs. Aucun meuble à l'exception d'un antique bureau d'écolier placé au centre. Incliné avec les emplacements des encriers, le plateau ciré est couvert des vestiges du passage des élèves avec des inscriptions gravées dans le bois. Élodie et Lola, assises sur les deux sièges reliés, s'amusent à décrypter les messages pas toujours très académiques lorsque la même voix nasillarde s'élève à nouveau.
Pas joli, joli ce que vous avez écrit petits galopins ! Vous abîmez le matériel et en plus vous vous moquez du maître ! Je crois qu'une bonne correction sera nécessaire si vous voulez aller loin dans la vie... et donc dans notre jeu ce soir ! Lorsque vous aurez décidé qui mérite la punition et, si cette personne accepte le verdict, alors la porte que vous voyez au fond s'ouvrira. Possible de partager avec un complice si vous préférez, le troisième évidemment sera le maître...ou la maîtresse. Si vous ne parvenez pas à vous mettre d'accord ou que le ou les coupables demandent grâce avant la fin alors l'un d'entre vous sera définitivement exclu du jeu. Il vous suffit de soulever le bureau et vous comprendrez mieux.
Lola est interloquée. Je crois qu'elle vient de percuter. Tu parles d'un escape game ! Version épicée très orientée! Mais sans rien dire, elle soulève doucement le plateau pour en ressortir une canne en rotin et le dessin d'un écolier déculotté, mains appuyées sur le bord du bureau et fessé par son maître. Dessous est souligné de rouge un énorme point d'interrogation. Élodie joue aussi la surprise mais très vite ses yeux joueurs se posent sur Lola...Elle s'apprête à parler quand de nouveau la voix retentit.
- Regardez maintenant vers la porte. Une ardoise d'écolier y est accrochée. Au dos y est inscrit le nombre de coups de cannes décidés par le maître. A vous de l'estimer. Si vous êtes en dessous alors celui qui jouera le rôle du bourreau sera emprisonné. Je vous conseille de ne pas mégoter. La faute est grave ! Et attention soyez certain que je vois tout. Pas de tricherie ou de faux-semblants si vous voulez avancer !
- Merde, c'est qui lui ? lance Lola.
- Je suis le maître du jeu, évidemment petite impertinente, reprend la voix avec autorité, et puisque c'est ainsi vous serez obligatoirement punie dans cette épreuve. Ne perdez pas de temps...vous avez 20 minutes avant l'élimination!
Quelle cachottière cette Élodie ! En me donnant ses explications, elle avait soigneusement omis de me parler du contenu des épreuves précédant celle où je serai très impliqué. Bien joué, de fait, moi aussi, je me retrouve dans l'inconnu. Enfin, ce qui est sûr, c'est que pour cette épreuve, je n'ai aucune envie de me faire marquer les fesses à coup de badine ! Heureusement, Élodie lève les yeux vers moi d'un air rassurant et prend les mains de Lola, toujours assise à côté d'elle.
- Allez, t'inquiète, je m'y colle avec toi, annonce la blonde à mon grand soulagement. On ne va quand même pas abandonner si tôt !
- On partage alors ? demande Lola, un peu décontenancée par la tournure des événements.
- Oui, mais le nombre ? On n'a pas intérêt à se planter. Toi Marc, t'en pense quoi ?
Inutile de dire qu'une certaine excitation me gagne et je fais un peu durer avant de leur proposer 40 comme verdict. Les yeux de Lola semblent s'agrandir en entendant ce nombre. Je sais qu'elle n'aime pas trop la canne qu'elle trouve vraiment trop mordante à son goût. Élodie réagit la première.
- Non 50, c'est plus sûr ! Allez ma belle, j'en prends 35 et à toi le reste ! D'accord ?
- Hum...Je déteste ça mais puisqu'il le faut, admet Lola à contrecœur en se tournant vers moi, comme pour implorer ma clémence.
- Allez Marc, à toi de jouer, conclut Élodie. Commence par Lola et n'oublie pas, si tu fais semblant ça ne marchera pas. J'ai l'impression qu'il y des caméras bien cachées partout !
Voir mes deux belles, culotte sur les chevilles, s'installer chacune d'un côté du bureau, penchées en avant mains posées à plat après avoir relevé leurs robes bien haut sur les reins est aussi délicieux que douloureux car mon sexe se sent bien trop à l'étroit dans mon jean. L'instrument est vraiment redoutable et chaque coup porté laisse une marque rouge bien nette. Lola ne retient pas ses cris mais elle tient bon. Son cul est littéralement strié et je vois les larmes couler à partir du dixième. La douleur tord son beau visage et, même si j'essaie de retenir mon bras, elle s'écroule au sol, brisée, lorsque le sifflement du dernier coup retentit. Je ne peux m'empêcher de venir la cajoler doucement avant de me placer derrière Élodie qui cambre les reins comme pour mieux offrir ses deux fesses rondes et lisses au supplice.
L'éclairage met en évidence une fine pellicule de sueur qui couvre le bas de son dos largement découvert. Elle a beau me regarder avec assurance, je sais qu'elle n'en mène pas large. 35 coups ! Je vais lui mettre les fesses en feu. Pourvu que je parvienne à éviter de trop ravager ce corps que j'aime tant. Malgré mes scrupules à la frapper avec ce terrible instrument de punition, je prends un malin plaisir à cingler la belle sous les yeux de Lola qui a renoncé à replacer sa culotte et est venue tenir les mains de son amie de toujours. Élodie résiste avec courage malgré la douleur mais les 15 derniers coups lui arrachent des cris déchirants. Obligé de viser maintenant le haut de ses cuisses en voyant son cul entièrement couvert de boursouflures rouges, la fin de la punition s'avère terrible et il nous faut quelques minutes avec Lola pour lui permettre de reprendre ses esprits. Elle trouve enfin la force d'un sourire quand, comme Lola, elle me confie sa jolie culotte en dentelle avant de s'avancer jusqu'à la porte. Elle s'empare de l'ardoise et la retourne en faisant le V de la victoire. Y figure un énorme 45 écrit à la craie. C'était moins une !
Aussitôt, la bruit de l'ouverture de la porte se fait entendre. En silence, nous avançons dans un long couloir sombre. Au fond, une porte entrouverte laisse filtrer la lumière. Trop tard pour reculer...
( à suivre.... )
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