The girl next door 8
Récit érotique écrit par LECOURBE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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The girl next door 8
The girl next door (8)
Lola fait un caprice à notre retour à Paris. On est garé devant la porte de son immeuble et elle implore Élodie de la laisser venir avec nous. Pas envie de rester toute seule après ce qui s'est passée ! La maligne insiste en disant que si elle vient, elle restera près de la pauvre Yoko, sous-entendant évidemment que ma belle blonde de voisine pourrait profiter pleinement de mon hospitalité... et de bien autre chose évidemment. De son côté, elle pourra prendre soin de la pauvre Yoko, choquée par ce qu'elle a subi et qui est toujours endormie à côté d'elle. Je me garde bien de prendre partie mais, en mon fort intérieur, savoir la jolie rousse juste de l'autre côté de la cloison me plairait assez. Je vois qu’Élodie n'est pas dupe mais elle se laisse convaincre par un dernier argument, imparable. Après tout, c'est vrai ! Lola est sortie grande gagnante de cet escape game si atypique et elle a bien droit à une récompense.
Élodie vient de me retrouver dans mon appartement. Avec l'aide de Lola, elle a tenté de remettre sur pied la pauvre japonaise marquée si durement par le chats à neuf queues au château. Les nœuds régulièrement espacés sur les fines cordelettes maniées avec force par cette black sadique lui ont littéralement déchiré la peau à pas mal d'endroit et elles ont dû user de compresses bien froides pour la soulager et nettoyer les plaies. Je vois à son visage inquiet et un peu pâle quand elle s'adresse à moi que quelque chose ne va pas.
Marc, viens, je crois qu'il faudrait qu'on emmène Yoko aux urgences. Le problème c'est qu'elle ne veut pas. Je crois qu'elle n'est pas tout à fait en règle côté visa...Tu sauras mieux que nous si c'est nécessaire.
Il est où le souci ?
Viens ! Tu verras bien. Et prends ton matos, ajoute Élodie, visiblement préoccupée.
Faut dire qu'elle sait qu'avant de tout plaquer pour bosser dans une toute autre direction, j'ai fait six années de médecine. Plus j'avançais dans ce parcours et plus je me posais des questions. Pas vraiment la vocation ! Et puis il y eut cette altercation avec le ponte qui dirigeait notre internat. Un vrai despote ! Alors quand, lors de la tournée des malades, je l'ai vu ouvertement mettre la main aux fesses de celle qui partageait mon lit à cette époque, j'ai pété un câble et lui c'est son gros pif qui a explosé ! Le comble c'est que ma dulcinée m'a reproché aussitôt de ruiner sa future carrière... Ils n'ont pas eu besoin de me faire passer en commission disciplinaire, le lendemain j'avais démissionné. J'ai tourné la page sans regret mais, évidemment, il me reste quelques compétences, pas inutiles quelques fois.
Je file rejoindre Élodie qui m'a devancée. La rousse et la blonde sont au chevet de Yoko, allongée sur le dos dans le lit, juste recouverte par un drap. Elle sait pour mon passé d'étudiant et a tout de suite accepté que je m'occupe d'elle. Je sens qu'elles sont un peu gênées toutes les trois et j'en comprends vite la raison. Lola s'est rapprochée de moi et m'a glissé à l'oreille que le fouet a méchamment abîmé ses parties intimes. La jolie japonaise avec un timide sourire descend doucement le drap et expose par la même occasion son corps nu ravagé par le fouet. Les multiples marques rouges ont gonflé et, malgré les efforts des filles, du sang coagulé est encore présent au bord de petites plaies. Superficielles d'après ce que je vois mais elles mettront tout de même plusieurs jours pour cicatriser. Les petits seins pointus ont pris cher mais, lorsqu'elle abaisse encore davantage le tissu, je vois que sa tourmenteuse s'est acharnée encore plus sur le ventre et son entre-jambe. Yoko expose sans pudeur un petit minou que j'aurai trouvé adorable en d'autres circonstances car là c'est une vraie boucherie ! En terminant leur course sur le sexe largement ouvert du fait de la position de Yoko sur la croix, les extrémités des cordelettes nouées ont fait du grabuge.
J'ai enfilé des gants et en écartant avec précaution les grandes lèvres, il apparaît évident que quelques points vont être nécessaires. Impossible de laisser ces déchirures sans risquer de voir cette fente si désirable ressembler davantage aux attributs d'un dindon ! J'ai toujours avec moi un petit nécessaire. Poireauter quatre heures, voire plus, aux urgences pour quelques points de suture, très peu pour moi ! Et puis, j'en ai fait un paquet durant mes gardes ! Élodie et Lola, un peu impressionnées par le matériel ont préféré nous laisser. J'avertis Yoko car ce type de soin sur une telle zone particulièrement innervée, ça n'est pas indolore, loin s'en faut !
Tu sais, je n'ai rien pour te faire une anesthésie locale. Tu risques de déguster !
Pas grave, Marc. Et puis j'adore l'idée que ce soit toi qui me répare à cet endroit, ajoute-t-elle avec un sourire mutin craquant. J'ai pas encore testé les aiguilles ! C'est l'occasion rêvée non ?
Je reste sans voix en sentant ses yeux noirs observer ma réaction. J'essaie de donner le change en me concentrant sur des gestes que je veux efficaces. N'empêche, pas très professionnel de sentir une érection terrible venir tandis que mes doigts prennent possession de ce sexe si doux d'une façon bien inhabituelle.
Yoko serre les dents et sa main se crispe sur ma cuisse lorsque j'attaque la couture. Pas évident comme exercice mais je m'en sors plutôt bien avec les deux déchirures les plus longues de chaque côté du vagin. Pour finir, c'est plus compliqué, je suis vraiment très près du clitoris. Pour rapprocher les chairs coupées à cet endroit, la traction que j'exerce décalotte littéralement son petit bouton rose qui ne reste pas insensible et gonfle immédiatement. Je vois tout de suite que mon action ne provoque pas de douleur cette fois et le gémissement que Yoko laisse échapper donne le ton. Je sens d'ailleurs immédiatement les sécrétions de son vagin qui rendent encore plus difficile l'opération. Mes doigts glissent mais je continue en me disant que dès que mon aiguille va œuvrer, la sensation de la belle asiatique va changer du tout au tout. Tu parles ! Son excitation se poursuit et je vois la cyprine humidifier encore davantage sa chatte malgré la douleur intense qui lui fait faire des bonds à chaque percée. Je vais avoir un bleu énorme sur la cuisse, c'est sûr ! Quant à mon sexe complètement tordu, ce n'est guère mieux !
J'ai terminé et Yoko, en apnée par moment, s'est relâchée complètement. Aucun geste pour se couvrir à nouveau et ses deux yeux qui me sondent intensément. Elle sourit en me montrant le doigt luisant qu'elle vient de passer doucement sur son sexe mais ne dit rien, comme pour profiter encore un peu plus de notre complicité. Je n'ose pas me lever. Pas la peine qu'elle remarque la bosse qui déforme toujours mon pantalon et qui peine à disparaître. Quelques conseils pour surveiller l'évolution et vérifier qu'aucune infection ne profite des circonstances et je remonte à regret le drap. Juste à temps, les filles, curieuses, réintègrent la pièce et, heureuses de voir Yoko retrouver de l'allant, elles se mettent à plaisanter sur ma vocation contrariée. Un étrange mélange de sensations et de sentiments rend se moment aussi agréable que troublant et je me laisse bercer par les échanges. Les trois femmes qui m'entourent me font vibrer, chacune d'une manière différente mais si intense que, moi non plus, je ne sors pas indemne de ce week-end...
La coquine Élodie a dû percevoir mon émotion. Malgré le réveil matinal qui nous attend tous les deux demain pour une grosse journée de boulot, à peine entrés dans ma chambre, elle fait étalage de toute sa sensualité. A-t-elle senti mon excitation ? Probable. Mais pas de commentaire quand, à peine étendus nus sur le lit, elle s'empare de mon sexe déjà dressé. Les va-et-vient de sa langue sur mon membre me font frémir et je suis à deux doigts d'exploser bien trop vite. Pas mon habitude ! Et évidemment, une éjaculation aussi rapide ne pourrait que lui mettre encore plus la puce à l'oreille. Avant que sa bouche n'absorbe complètement mon sexe turgescent, je me dégage pour l'allonger sans ménagement en croix sur le dos. Elle se laisse attacher avec les cordes que je viens de sortir de ce tiroir devenu très spécial depuis qu'on se connaît. Moi aussi j'ai mon « coffre » aux surprises désormais. D'ordinaire, je ne la bâillonne jamais mais je n'ai pas envie que Lola ou Yoko nous entendent. Elle accepte sans un mot la boule rouge que je lui enfonce dans la bouche mais grimace un peu lorsque les lanières se referment derrière sa tête. Elle ne me quitte pas des yeux et je vois ses pupilles réagir lorsque je lui présente les deux pinces à seins reliées par une chaînette et la cravache de dressage terminée par une fine mèche de nylon. Ce qu'elle ne peut imaginer c'est que le passage au chevet de Yoko m'a donné des idées...
Elodie se tord sous la morsure subtile de la cravache depuis quelques minutes. Le plaisir semble dominer la douleur car pas un signe de sa part pour indiquer qu'elle veut que je stoppe les cinglons latéraux de plus en plus appuyés qui marquent par de fines stries rouges deux seins ronds sans défense. J'adore le sifflement de cet instrument. Avec autorité, ma main s'égare vers son sexe régulièrement. Aucun doute sur l'effet produit ! Pas de surprise non plus lorsqu'elle me voit saisir les deux pinces et que j'étire ses tétons pour placer les diaboliques petites mâchoires. Deux petits cris aigus accompagnent l'opération mais elle en veut encore. Je sais qu'elle adore ce type de punition surtout lorsqu'à l'aide de la chaîne j'étire cette poitrine pleine et magnifique. Ce jeu pourrait durer des heures sans qu'elle demande grâce. Alors, je note un peu de déception lorsque je la laisse retomber pour reprendre la cravache. Elle voit mes yeux se poser sur le bas de son ventre et un léger tremblement agite les jambes fuselées que je domine de toute ma hauteur, debout sur le lit.
Sans réelle brutalité mais de manière énergique, j'agite depuis un moment entre ses cuisses la fine cravache qui rougit doucement la peau, fine et délicate à cet endroit. Ses gémissements sont plus sonores et je poursuis en cinglant plus fortement le délicieux abricot qu'elle ne parvient pas à protéger même en se tortillant en tout sens. L'extrémité en nylon zèbre encore et encore sans qu'elle ne lâche le mot qui fera s'arrêter son tourment. Elle souffle un grand coup lorsque je cesse pour poser ma bouche sur cette fente offerte et l'état de ce sexe ruisselant me laisse à penser qu'elle a bien plus apprécié que je ne l'imaginais. Est-ce ce vraiment qui s'est passé avec Yoko ou juste une envie subite ? Difficile d'analyser mais ce qui est sûr c'est que mes dents viennent de se fermer doucement sur les lèvres intimes et je mordille maintenant avec voracité cette chatte si appétissante. Élodie se tord dans tous les sens mais me laisse torturer avec avidité son intimité comme jamais je ne l'ai osé. Lorsque je me redresse pour y enfoncer brutalement mon pieu, son cri de plaisir est si fort que j'acquiers la certitude que Lola, à côté, nous a entendus. Incapable de retenir davantage mon orgasme après quelques coups de boutoir, mon sperme chaud inonde le ventre et la poitrine de ma belle voisine dont je vois les spasmes s'estomper progressivement.
Élodie s'est endormie comme une masse dans mes bras. Je crois qu'elle n'en est pas encore revenue. Muette, mais visiblement comblée, elle m'a embrassé avec une sensualité encore plus exacerbée avant de sombrer. Je suis épuisé mais pourtant pas moyen de trouver le sommeil car je ne peux m'empêcher de penser à Lola et Yoko qui sont là, tout près... si près... tellement près !
( à suivre)
Lola fait un caprice à notre retour à Paris. On est garé devant la porte de son immeuble et elle implore Élodie de la laisser venir avec nous. Pas envie de rester toute seule après ce qui s'est passée ! La maligne insiste en disant que si elle vient, elle restera près de la pauvre Yoko, sous-entendant évidemment que ma belle blonde de voisine pourrait profiter pleinement de mon hospitalité... et de bien autre chose évidemment. De son côté, elle pourra prendre soin de la pauvre Yoko, choquée par ce qu'elle a subi et qui est toujours endormie à côté d'elle. Je me garde bien de prendre partie mais, en mon fort intérieur, savoir la jolie rousse juste de l'autre côté de la cloison me plairait assez. Je vois qu’Élodie n'est pas dupe mais elle se laisse convaincre par un dernier argument, imparable. Après tout, c'est vrai ! Lola est sortie grande gagnante de cet escape game si atypique et elle a bien droit à une récompense.
Élodie vient de me retrouver dans mon appartement. Avec l'aide de Lola, elle a tenté de remettre sur pied la pauvre japonaise marquée si durement par le chats à neuf queues au château. Les nœuds régulièrement espacés sur les fines cordelettes maniées avec force par cette black sadique lui ont littéralement déchiré la peau à pas mal d'endroit et elles ont dû user de compresses bien froides pour la soulager et nettoyer les plaies. Je vois à son visage inquiet et un peu pâle quand elle s'adresse à moi que quelque chose ne va pas.
Marc, viens, je crois qu'il faudrait qu'on emmène Yoko aux urgences. Le problème c'est qu'elle ne veut pas. Je crois qu'elle n'est pas tout à fait en règle côté visa...Tu sauras mieux que nous si c'est nécessaire.
Il est où le souci ?
Viens ! Tu verras bien. Et prends ton matos, ajoute Élodie, visiblement préoccupée.
Faut dire qu'elle sait qu'avant de tout plaquer pour bosser dans une toute autre direction, j'ai fait six années de médecine. Plus j'avançais dans ce parcours et plus je me posais des questions. Pas vraiment la vocation ! Et puis il y eut cette altercation avec le ponte qui dirigeait notre internat. Un vrai despote ! Alors quand, lors de la tournée des malades, je l'ai vu ouvertement mettre la main aux fesses de celle qui partageait mon lit à cette époque, j'ai pété un câble et lui c'est son gros pif qui a explosé ! Le comble c'est que ma dulcinée m'a reproché aussitôt de ruiner sa future carrière... Ils n'ont pas eu besoin de me faire passer en commission disciplinaire, le lendemain j'avais démissionné. J'ai tourné la page sans regret mais, évidemment, il me reste quelques compétences, pas inutiles quelques fois.
Je file rejoindre Élodie qui m'a devancée. La rousse et la blonde sont au chevet de Yoko, allongée sur le dos dans le lit, juste recouverte par un drap. Elle sait pour mon passé d'étudiant et a tout de suite accepté que je m'occupe d'elle. Je sens qu'elles sont un peu gênées toutes les trois et j'en comprends vite la raison. Lola s'est rapprochée de moi et m'a glissé à l'oreille que le fouet a méchamment abîmé ses parties intimes. La jolie japonaise avec un timide sourire descend doucement le drap et expose par la même occasion son corps nu ravagé par le fouet. Les multiples marques rouges ont gonflé et, malgré les efforts des filles, du sang coagulé est encore présent au bord de petites plaies. Superficielles d'après ce que je vois mais elles mettront tout de même plusieurs jours pour cicatriser. Les petits seins pointus ont pris cher mais, lorsqu'elle abaisse encore davantage le tissu, je vois que sa tourmenteuse s'est acharnée encore plus sur le ventre et son entre-jambe. Yoko expose sans pudeur un petit minou que j'aurai trouvé adorable en d'autres circonstances car là c'est une vraie boucherie ! En terminant leur course sur le sexe largement ouvert du fait de la position de Yoko sur la croix, les extrémités des cordelettes nouées ont fait du grabuge.
J'ai enfilé des gants et en écartant avec précaution les grandes lèvres, il apparaît évident que quelques points vont être nécessaires. Impossible de laisser ces déchirures sans risquer de voir cette fente si désirable ressembler davantage aux attributs d'un dindon ! J'ai toujours avec moi un petit nécessaire. Poireauter quatre heures, voire plus, aux urgences pour quelques points de suture, très peu pour moi ! Et puis, j'en ai fait un paquet durant mes gardes ! Élodie et Lola, un peu impressionnées par le matériel ont préféré nous laisser. J'avertis Yoko car ce type de soin sur une telle zone particulièrement innervée, ça n'est pas indolore, loin s'en faut !
Tu sais, je n'ai rien pour te faire une anesthésie locale. Tu risques de déguster !
Pas grave, Marc. Et puis j'adore l'idée que ce soit toi qui me répare à cet endroit, ajoute-t-elle avec un sourire mutin craquant. J'ai pas encore testé les aiguilles ! C'est l'occasion rêvée non ?
Je reste sans voix en sentant ses yeux noirs observer ma réaction. J'essaie de donner le change en me concentrant sur des gestes que je veux efficaces. N'empêche, pas très professionnel de sentir une érection terrible venir tandis que mes doigts prennent possession de ce sexe si doux d'une façon bien inhabituelle.
Yoko serre les dents et sa main se crispe sur ma cuisse lorsque j'attaque la couture. Pas évident comme exercice mais je m'en sors plutôt bien avec les deux déchirures les plus longues de chaque côté du vagin. Pour finir, c'est plus compliqué, je suis vraiment très près du clitoris. Pour rapprocher les chairs coupées à cet endroit, la traction que j'exerce décalotte littéralement son petit bouton rose qui ne reste pas insensible et gonfle immédiatement. Je vois tout de suite que mon action ne provoque pas de douleur cette fois et le gémissement que Yoko laisse échapper donne le ton. Je sens d'ailleurs immédiatement les sécrétions de son vagin qui rendent encore plus difficile l'opération. Mes doigts glissent mais je continue en me disant que dès que mon aiguille va œuvrer, la sensation de la belle asiatique va changer du tout au tout. Tu parles ! Son excitation se poursuit et je vois la cyprine humidifier encore davantage sa chatte malgré la douleur intense qui lui fait faire des bonds à chaque percée. Je vais avoir un bleu énorme sur la cuisse, c'est sûr ! Quant à mon sexe complètement tordu, ce n'est guère mieux !
J'ai terminé et Yoko, en apnée par moment, s'est relâchée complètement. Aucun geste pour se couvrir à nouveau et ses deux yeux qui me sondent intensément. Elle sourit en me montrant le doigt luisant qu'elle vient de passer doucement sur son sexe mais ne dit rien, comme pour profiter encore un peu plus de notre complicité. Je n'ose pas me lever. Pas la peine qu'elle remarque la bosse qui déforme toujours mon pantalon et qui peine à disparaître. Quelques conseils pour surveiller l'évolution et vérifier qu'aucune infection ne profite des circonstances et je remonte à regret le drap. Juste à temps, les filles, curieuses, réintègrent la pièce et, heureuses de voir Yoko retrouver de l'allant, elles se mettent à plaisanter sur ma vocation contrariée. Un étrange mélange de sensations et de sentiments rend se moment aussi agréable que troublant et je me laisse bercer par les échanges. Les trois femmes qui m'entourent me font vibrer, chacune d'une manière différente mais si intense que, moi non plus, je ne sors pas indemne de ce week-end...
La coquine Élodie a dû percevoir mon émotion. Malgré le réveil matinal qui nous attend tous les deux demain pour une grosse journée de boulot, à peine entrés dans ma chambre, elle fait étalage de toute sa sensualité. A-t-elle senti mon excitation ? Probable. Mais pas de commentaire quand, à peine étendus nus sur le lit, elle s'empare de mon sexe déjà dressé. Les va-et-vient de sa langue sur mon membre me font frémir et je suis à deux doigts d'exploser bien trop vite. Pas mon habitude ! Et évidemment, une éjaculation aussi rapide ne pourrait que lui mettre encore plus la puce à l'oreille. Avant que sa bouche n'absorbe complètement mon sexe turgescent, je me dégage pour l'allonger sans ménagement en croix sur le dos. Elle se laisse attacher avec les cordes que je viens de sortir de ce tiroir devenu très spécial depuis qu'on se connaît. Moi aussi j'ai mon « coffre » aux surprises désormais. D'ordinaire, je ne la bâillonne jamais mais je n'ai pas envie que Lola ou Yoko nous entendent. Elle accepte sans un mot la boule rouge que je lui enfonce dans la bouche mais grimace un peu lorsque les lanières se referment derrière sa tête. Elle ne me quitte pas des yeux et je vois ses pupilles réagir lorsque je lui présente les deux pinces à seins reliées par une chaînette et la cravache de dressage terminée par une fine mèche de nylon. Ce qu'elle ne peut imaginer c'est que le passage au chevet de Yoko m'a donné des idées...
Elodie se tord sous la morsure subtile de la cravache depuis quelques minutes. Le plaisir semble dominer la douleur car pas un signe de sa part pour indiquer qu'elle veut que je stoppe les cinglons latéraux de plus en plus appuyés qui marquent par de fines stries rouges deux seins ronds sans défense. J'adore le sifflement de cet instrument. Avec autorité, ma main s'égare vers son sexe régulièrement. Aucun doute sur l'effet produit ! Pas de surprise non plus lorsqu'elle me voit saisir les deux pinces et que j'étire ses tétons pour placer les diaboliques petites mâchoires. Deux petits cris aigus accompagnent l'opération mais elle en veut encore. Je sais qu'elle adore ce type de punition surtout lorsqu'à l'aide de la chaîne j'étire cette poitrine pleine et magnifique. Ce jeu pourrait durer des heures sans qu'elle demande grâce. Alors, je note un peu de déception lorsque je la laisse retomber pour reprendre la cravache. Elle voit mes yeux se poser sur le bas de son ventre et un léger tremblement agite les jambes fuselées que je domine de toute ma hauteur, debout sur le lit.
Sans réelle brutalité mais de manière énergique, j'agite depuis un moment entre ses cuisses la fine cravache qui rougit doucement la peau, fine et délicate à cet endroit. Ses gémissements sont plus sonores et je poursuis en cinglant plus fortement le délicieux abricot qu'elle ne parvient pas à protéger même en se tortillant en tout sens. L'extrémité en nylon zèbre encore et encore sans qu'elle ne lâche le mot qui fera s'arrêter son tourment. Elle souffle un grand coup lorsque je cesse pour poser ma bouche sur cette fente offerte et l'état de ce sexe ruisselant me laisse à penser qu'elle a bien plus apprécié que je ne l'imaginais. Est-ce ce vraiment qui s'est passé avec Yoko ou juste une envie subite ? Difficile d'analyser mais ce qui est sûr c'est que mes dents viennent de se fermer doucement sur les lèvres intimes et je mordille maintenant avec voracité cette chatte si appétissante. Élodie se tord dans tous les sens mais me laisse torturer avec avidité son intimité comme jamais je ne l'ai osé. Lorsque je me redresse pour y enfoncer brutalement mon pieu, son cri de plaisir est si fort que j'acquiers la certitude que Lola, à côté, nous a entendus. Incapable de retenir davantage mon orgasme après quelques coups de boutoir, mon sperme chaud inonde le ventre et la poitrine de ma belle voisine dont je vois les spasmes s'estomper progressivement.
Élodie s'est endormie comme une masse dans mes bras. Je crois qu'elle n'en est pas encore revenue. Muette, mais visiblement comblée, elle m'a embrassé avec une sensualité encore plus exacerbée avant de sombrer. Je suis épuisé mais pourtant pas moyen de trouver le sommeil car je ne peux m'empêcher de penser à Lola et Yoko qui sont là, tout près... si près... tellement près !
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