The girl next door 9
Récit érotique écrit par LECOURBE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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The girl next door 9
The girl next door 9
A contre cœur, Lola a repris ses habitudes mais on se voit souvent tous les quatre. A chaque fois, je ressens une vraie excitation. Notre virée en Sologne et son épilogue un peu sportif a encore davantage resserré les liens, enfin si je puis dire car depuis cette dernière épreuve où je l'ai fouettée avec délice, rien de très hot ne s'est passé...enfin sauf dans mes rêves car la belle rousse y tient assez souvent une belle place et ça ne ressemble en rien à des cauchemars !
Yoko loge toujours dans l'appartement d’Élodie. Un peu comme si nos deux logements ne faisaient qu'un, on passe du sien au mieux au gré de nos besoins... et de nos envies car Élodie ne me laisse pas vraiment souffler en ce moment. Je me demande si ce n'est pas lié à la présence de la belle asiatique. On vit quasiment à trois au quotidien et maintenant on sait tout de notre belle japonaise. En fait, franco-japonaise car elle nous a raconté son enfance à Kyoto et je comprends mieux maintenant sa maîtrise de notre langue. Une mère française, très belle, qui avait fait la connaissance d'un beau Yacuza lors d'un simple voyage touristique. Jamais plus elle ne foulera le sol français. Une personne disparue de plus qui avait alimenté la statistique étonnamment élevée de ceux dont on n'entend plus jamais parler. Mais une vraie histoire d'amour. Pas de tout repos dans un milieu où chaque coin de rue pouvait s'avérer fatal tant la concurrence régnait entre les bandes mafieuses.
Yoko n'a aucun souvenir de son père, pas même une photo. Décapité au sabre dans une rixe quand elle avait à peine un an, elle a grandi dans le bordel où sa mère avait trouvé refuge. Pas sans contre-parties, évidemment... Cela dit, la femme qui tenait cet établissement était réglo et toutes les filles adoraient la petite qui passait de bras en bras. Une sorte de cocon dont elle a vite compris le fonctionnement en devenant une jolie petite fille vive et curieuse qui ne manquait jamais une occasion de regarder en cachette ce qui se passait derrière les cloisons. Devenue une jolie adolescente avec un physique de rêve, dans un tel environnement, sa mère savait parfaitement ce qui allait arriver mais elle n'eut pas le temps de mettre son plan à exécution. Quelques semaines avant une fuite qu'elle avait soigneusement organisée avec la complicité d'un client régulier tombé follement amoureux de cette geisha européenne, un cancer foudroyant l'emporta en quelques jours. Yoko échappa tout de même à la prostitution grâce à la générosité de cet homme. Inconsolable après la mort de celle qu'il aimait si fort, sa fortune lui permit de sortir Yoko de cette maison et elle vécut chez lui jusqu'à ses dix-huit ans. Elle devait tout à cet homme. Éducation et surtout des faux-papiers plus vrais que nature qu'il lui avait fait préparés, se sachant lui aussi condamné à court terme par la maladie. Difficile de ne pas rester insensible à un tel destin, chahuté de surcroît par les héritiers officiels du généreux protecteur. Ils virèrent manu militari la pauvre Yoko à peine son bienfaiteur inhumé. Un vol pour Paris pour découvrir le pays de sa mère avec, en poche, une cagnotte planquée puis, au bout de quelques mois, le début de zonages à droite ou à gauche avec des sbires plus ou moins fréquentables, comme ce Pierre qui pensait avoir trouvé la perle rare.
Yoko n'est jamais triste lorsqu'elle évoque avec nous ces moments passés dans une atmosphère où sexe et fantasmes constituaient le quotidien. Elle adore nous raconter des anecdotes du temps où elle espionnait les filles. A dix ans, elle en connaissait déjà plus sur les pratiques sexuelles que beaucoup d'adultes mais elle se souvient tout particulièrement d'un soir où, peu après ses douze ans, elle ressentit une excitation intense en observant deux des plus jolies prostituées en pleine action. L'homme, un japonais fortuné, très classe et vêtu d'un superbe kimono, dominait de toute sa hauteur les deux filles qui lui faisaient face, à genoux sur le tatami. Également couvertes par de somptueux kimonos en soie, elle gardaient les yeux baissés, bras croisés dans le dos. Fesses posées sur les talons, elles conservaient sans broncher cette position, signe évident de soumission. Yoko avait trouvé le tableau très érotique.
Il avait sorti des dizaines de cordes de chanvre avant de les disposer, soigneusement enroulées, devant elles. Yoko nous dit qu'elle a encore en mémoire la délicieuse sensation qu'elle ressentit dans son bas ventre lorsqu'elle vit le martinet noir aux longues lanières de cuir. Le voir caresser leurs corps et leurs visages en laissant glisser doucement l'instrument sans qu'elles n'ébauchent le moindre mouvement l'avait mise dans un état incroyable car le souvenir, un an plus tôt, de la punition d'une des filles par la tenancière lui était revenu aussitôt. La pauvre avait caché de l'argent et elle reçut, devant tout le monde, une volée de coups de bambous qui lui mit le cul à vif. Mais ce dont se souvenait bien plus Yoko, c'était que cette scène, pourtant cruelle, provoqua chez elle la première vraie excitation de sa vie sexuelle. Le bruit et la vue des marques rouges dessinées sur les fesses l'avaient fait mouiller irrésistiblement et, lorsqu'elle se retrouva seule, les doigts qu'elle glissa dans sa fente lui donnèrent immédiatement un plaisir inconnu. Pas encore un vrai orgasme certes, mais bien le début d'une grande découverte. Et ce qu'elle avait vu se dérouler sous ses yeux avec les deux geishas, bien plus expérimentée comme elle l'était à ce moment-là, lui avait mis le feu au ventre.
En surveillant nos réactions, elle poursuit sa description avec un plaisir évident alors que nous sommes allongés tous les trois sur le lit dans l'appartement d’Élodie. Je lis dans ses yeux la certitude que son récit va nous mettre nous aussi dans un état second. En l'écoutant, je surveille ma belle blonde mais je ne parviens pas à décrypter le moindre signe qui me permettrait de savoir si elle est prête à un plan à trois ce soir.
Durant plus d'une heure, le spectacle devant les yeux de Yoko l'avait emmenée dans une sphère nouvelle qui l'avait enchantée. A son signal les deux soumises avaient défait la ceinture de leur vêtement et les kimonos avaient glissé au sol dans un bruissement subtil. Durant plus de trente minutes, elles avaient subi les assauts des cordes savamment maniées par le maître. Un bondage très bien pensé qui les placèrent chacune dans deux positions bien différentes, mais tellement adaptées à ce qui allait suivre. La plus mince des deux s'était retrouvée suspendue à la poutre, basculée en avant sur la pointe des pieds, jambes serrées complètement immobilisées. Ses bras et ses mains, liés dans le dos et reliés à la corde verticale, la maintenaient dans une posture où fesses et seins étaient particulièrement exposés. La seconde avait vu des cordes bloquer ses cuisses l'obligeant à rester à genoux et ses poignets croisés étaient liés à une corde également fixée à la poutre. Un sorte de harnais de cordes avait fait pointer deux superbes seins lourds à larges aréoles et la cambrure de son dos rehaussait une croupe magnifique prête à tous les outrages. Avant de s'emparer du martinet pour caresser de nouveau ses soumises, l'homme leur avait placé des bandeaux noirs sur les yeux. Il avait alors ôté son kimono, dévoilant du même coup une musculature impressionnante et un sexe noueux déjà en pleine érection. Puis la danse du fouet commença. D'abord par des cinglons qui ressemblaient davantage à des caresses mais, petit à petit, les coups se firent plus vifs et plus rapides. La peau si blanche de ces filles qui ne s'exposaient jamais au soleil vira alors au rouge. Des stries écarlates apparurent sans que ni l'une ni l'autre ne laissa échapper la moindre plainte. Pourtant, les larmes se mirent à couler. Yoko nous avoue que son plaisir fut total et bien difficile à maintenir silencieux quand l'homme se déchaîna et qu'il fouetta pour finir à toute volée les pauvres suppliciées en laissant cette fois des traces impressionnantes sur les fesses, les dos et les seins. Toujours sans qu'aucune plainte ne sortent de leurs bouches, une fois détachées, elles se relayèrent pour prendre le sexe de l'homme dans leurs bouches et, agenouillé derrière ces deux croupes marquées si durement, il avait grogné de plaisir en arrosant leur dos après les avoir sodomisées sans ménagement.
Quand Yoko s'arrête, un silence s'installe un moment et je vois dans les yeux d’Élodie une excitation communicative.
- Et toi, à quel moment tu as commencé vraiment à entrer dans la ronde ? interroge-t-elle sans détour.
- En fait, presque tout de suite quand je suis arrivé chez mon père adoptif, j'ai eu mes premiers rapports sexuels. J'avais un peu plus de quatorze ans et j'ai véritablement sauté sur un très beau stagiaire qui passait ses journées près de lui car il avait installé son bureau dans sa maison. Très vite, malgré ses réticences au début, il ne put résister à mes approches. Doux et complètement imberbe, je l'ai dévoré tout cru. Un délice mais j'ai vite senti que ça n'allait pas suffire et puis il n'était pas du tout branché SM... Pire, ça semblait le dégoûter. Lorsque je lui avais demandé de me donner une bonne fessée, il avait refusé tout net. Alors j'ai dû patienter un peu...
- Allez, raconte ! implore Elodie, voyant que la belle Yoko jouait avec notre curiosité. Promis, ensuite, on fait ce que tu veux ! ajoute-t-elle en se glissant tout près de la jolie asiatique.
Évidemment, je la vois venir et cette dernière phrase déclenche chez moi une sensation fort agréable. Yoko ne se fait pas prier bien longtemps et reprend.
- En fait, ce fut dans l'école très privée qui avait bien voulu me prendre en main avec un programme spécial vu mon retard, que l'occasion se présenta. Un homme et deux femmes s'occupaient de moi en alternance et, parmi les trois, dès le début j'avais senti chez la plus âgée bien autre chose que du dévouement professionnel à mon égard. Faut dire que j'avais appris pas mal de choses durant mon enfance au contact des filles et je savais repérer sans coup férir lorsqu'une personne était troublée ou envahie par un désir sexuel. Elle faisait pourtant tout pour le masquer mais moi, à l'inverse, je m'amusais à la provoquer. Surtout par mes tenues ! L'uniforme s'y prêtait bien avec un chemisier blanc sous lequel bien évidemment, le plus souvent, je ne portais rien et la petite jupe très seyante n'arrangeait rien ! Un jour, je voulus la pousser à bout. Je déboutonnais un peu plus le haut mais surtout j'avais fait l'impasse sur la culotte blanche traditionnelle, ôtée dans les toilettes avant son cours. Dès mon entrée, je vis tout de suite un mélange de colère et de désir mais elle résista jusqu'au moment où je m'étais penchée pour ramasser ce stylo tombé malencontreusement. Quand j'avais à nouveau croisé son regard, je sus que j'avais ouvert la boîte de pandore. D'une voix tremblante, avec un regard qu'elle voulut sévère, elle me demanda si j'acceptais d'être punie pour mon comportement. J'avais gagné et après la belle fessée à la main qu'elle m'infligea sur ses genoux ce jour-là, bien d'autres occasions lui permirent de me faire mouiller comme une folle. Elle me retenait souvent après l'heure, pour me faire progresser plus vite, comme elle disait à ses collègues mais dès que nous étions seules, la bad girl que j'étais se voyait soumise à quelques exercices très spéciaux qui me firent entrer définitivement dans le monde du BDSM. Elle m'attachait souvent sur ma chaise ou à plat ventre sur un bureau et son sac regorgeait d'accessoires qui me donnaient à chaque fois une jouissance extrême dès que sa bouche ou ses mains s'emparaient de mon sexe.
- Elle y allait fort ? demande Élodie, passionnée par le récit.
- Pas au début, mais petit à petit, en voyant mon penchant masochiste, elle se dévoila complètement et, plus d'une fois, elle me fit pleurer de douleur. Surtout quand elle jouait avec les pinces à seins ! Elle adorait me torturer à cet endroit et me faire pleurer de douleur avant de sucer mes tétons. Très vite, elle usa de badines, de cannes en rotin et, surtout, elle se rendit compte que le claquement des lanières de cuir des martinets me rendaient folle...Alors, un jour, elle m'emmena à la cave et me fit me déshabiller complètement. Je me rappelle qu'il y faisait froid et je grelottais en la regardant passer une corde dans le crochet du plafond. Mes mamelons étaient durs et dressés. Elle lia mes mains au-dessus de ma tête et lorsqu'elle sortit un long fouet de son sac et qu'elle me le montra, j'ai cru que j'allais défaillir. Aucune peur dans ma réaction, bien au contraire, une envie irrépressible d'aller au bout de ce désir en offrant mon corps à la lanière venimeuse. Je me souviens encore de la brûlure du premier coup de fouet qu'elle me donna et de mon orgasme incroyable quand elle arrêta de zébrer ma peau nue et qu'avec sa langue elle fouilla mon sexe détrempé... Putain que c'était bon !
- Ouah ! lance ma jolie blonde avec des yeux brillants. Ça donne envie non ? ajoute-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
Tu parles. Mon sexe est déjà prêt à sortir de sa boîte et elle le sait la bourrique ! Yoko s'amuse de nous voir ainsi mais elle ne brusque pas la situation.
- Dis, Élodie, tout à l'heure, tu m'as bien promis quelque chose si je vous racontais non ?
- Oui, oui... c'est vrai ! répond aussitôt celle qui partage désormais mon lit. J'ai comme l'impression que tu as une idée...je me trompe ? ajoute-t-elle aussitôt, en posant sa main sur la cuisse de Yoko.
- Oui, mais j'ai peur que tu le prennes mal...
- T'inquiète, si je ne suis pas d'accord, ça ne changera rien entre nous, rassure-toi.
- Ben voilà...depuis le jour où je vous ai rencontrés au château, j'ai envie de faire l'amour avec Marc... Tu vois, c'est pas top comme idée, non ?
- Tu parles d'un scoop ! enchaîne aussitôt Élodie en riant. Depuis que tu es arrivée ici c'est aussi évident que le nez au milieu de la figure... et toi Marc, ne fais pas comme si tu tombais des nues ! Tu en rêves aussi, non ? ajoute-t-elle en me regardant effrontément.
Suis-je donc si transparent ? Elle lit en moi comme dans un livre et n'attend même pas que je confirme l'évidence. Et bien sûr elle s'amuse de nous voir, Yoko et moi, pétrifiés dans l'attente de sa décision.
Élodie profite vraiment de la situation et lorsqu'elle se lève pour filer sans un mot vers son salon, nous ne savons toujours pas comment va finir cette soirée. Une autre histoire et au lit ?... Quelque chose me dit que non ! Yoko me regarde du coin de l’œil d'un air coquin prête à retirer le peu de vêtements qu'elle porte au moindre signe de celle qui mène le bal encore une fois. Je vois les pointes érigés de ses seins sous le caraco de soie qu'elle a emprunté à ma belle voisine et ce n'est pas le petit short en jean qui opposera beaucoup de résistance, le cas échéant. Elle sait que je suis aussi très excité et son regard vers la bosse qui déforme mon jogging est très explicite. Le retour d’Élodie qui s'arrête à l'entrée tombe à point.
- Bon, j'ai bien réfléchi et je suis ok pour que Marc te baise, dit-elle d'un ton inhabituellement cassant. Mais, ajoute-t-elle immédiatement en s'adressant à Yoko, est-ce que tu me laisses carte blanche pendant qu'il s'occupera de toi...ton récit m'a donné des idées à moi aussi ma cocotte !
- Tout ce que tu veux, je suis à vous ce soir...je vous dois bien ça non ?
Elodie vient d'ordonner sèchement à Yoko de se déshabiller. La jolie japonaise s'exécute et, nue, à genoux au milieu du lit, elle regarde avec gourmandise ma jolie voisine enlever un à un mes vêtements avant de prendre mon sexe dur dans ses mains pour le caresser avec sa langue. Elle fait durer la fellation puis se retourne et s'empare de la paire de menottes qu'elle a ramenée pour bloquer les mains de la soumise du soir dans son dos. Après m'avoir guidé au centre du lit pour que je m'allonge sur le dos, elle force Yoko à basculer en avant et sans la moindre préparation lui fait avaler littéralement mon membre en la tenant par les cheveux pour dicter le rythme. La scène est assez violente et, là encore, je ne reconnais pas Élodie dans cette approche. Mais je dois avouer que j'apprécie et voir ma belle voisine prendre des airs de domina sévère qui compte bien faire payer le prix fort au privilège qu'elle accorde à notre petite protégée me donne le frisson. J'espère juste qu'elle va accepter que je pénètre ce corps si beau car j'ai une envie folle de la baiser comme une brute.
Yoko ne faiblit pas le et je profite à fond des caresses de sa langue avec cette sensation extraordinaire quand mon sexe coulisse jusque dans sa gorge. Je vois Élodie sourire tout en se plaçant, entièrement nue, derrière ce cul qui m'inspire et je comprends qu'elle ne va pas laisser Yoko uniquement sur le versant plaisir. La cravache de notre première fois siffle et s'abat brutalement sur la croupe en faisant gémir celle qui ne relâche pourtant pas l'étreinte autour de mon gland turgescent. La force des coups est impressionnante et, lorsqu'elle stoppe pour redresser Yoko et la retourner vers elle, je découvre une dizaine de marques rouges qui ont littéralement tatoué les jolies fesses. Élodie la fait reculer à califourchon sur moi, je comprends où elle veut en venir. Je sens son sexe détrempé se poser sur ma bouche. A mon tour de donner du plaisir à Yoko et ma langue entame un inventaire complet de cette zone si érogène. Des gémissements soudains puis des cris aigus de sa part me font un instant penser que la cicatrisation suite à mes récents travaux de couture n'est pas complètement terminée mais je réalise vite que je ne suis pour rien dans la douleur vive qui est infligée à la jeune femme. Elodie vient de déplacer à nouveau Yoko et, en tenant mon sexe bien droit, elle la force à s'empaler d'un coup. Cette nouvelle position me permet de comprendre les cris. Deux lourdes pinces à seins se sont refermées sur les mamelons et la dominatrice joue avec la chaîne qui les relie. La peste ! Elle a bien intégré le point faible évoqué par Yoko dans son récit et en profite allègrement pendant que je la besogne de plus en plus fort. Élodie s'est maintenant placée de côté et elle m'embrasse langoureusement. Le message est clair et je soulève Yoko pour les prendre toutes les deux, côte à côte, culs offerts, bouches mêlées et corps imbriqués. La petite asiatique est la première à rendre les armes et un orgasme puissant la traverse. Je fais gémir Élodie en la pénétrant de nouveau par derrière et en accélérant mes coups de boutoirs. Elle vient à son tour, bien aidée par Yoko qui a repris ses esprits et prodigue avec sa bouche un traitement beaucoup moins cruel aux deux seins de la jolie blonde. L'entendre à son tour gémir de plaisir me fait exploser et j'arrose du même coup les seins clampés que la coquine Yoko s'est empressée de me présenter.
Longtemps après, on est toujours sur le lit, apaisés. Yoko qui a longuement massé ses tétons enfin libérés avec le liquide chaud et gluant, sans en rajouter, nous a juste embrassés. J'ai lu dans les yeux d’Élodie qu'elle aussi s'était éclatée. Toujours le même principe entre nous. Une absolue sincérité et rien en cachette. J'aurais commis une erreur si j'avais profité d'une de ses absences pour faire l'amour avec Yoko avant ce soir. Ç'aurait été si facile...mais tellement maladroit.
Une image revient en boucle maintenant que je suis dans mon lit, bercé par la respiration régulière d’Élodie. Le visage de Lola... son sourire et ses yeux verts qui m'interrogent. Quand j'ai joui tout à l'heure, elle était déjà là...Pas si simple de s'endormir avec un si beau fantôme qui vous hante...
( à suivre )
A contre cœur, Lola a repris ses habitudes mais on se voit souvent tous les quatre. A chaque fois, je ressens une vraie excitation. Notre virée en Sologne et son épilogue un peu sportif a encore davantage resserré les liens, enfin si je puis dire car depuis cette dernière épreuve où je l'ai fouettée avec délice, rien de très hot ne s'est passé...enfin sauf dans mes rêves car la belle rousse y tient assez souvent une belle place et ça ne ressemble en rien à des cauchemars !
Yoko loge toujours dans l'appartement d’Élodie. Un peu comme si nos deux logements ne faisaient qu'un, on passe du sien au mieux au gré de nos besoins... et de nos envies car Élodie ne me laisse pas vraiment souffler en ce moment. Je me demande si ce n'est pas lié à la présence de la belle asiatique. On vit quasiment à trois au quotidien et maintenant on sait tout de notre belle japonaise. En fait, franco-japonaise car elle nous a raconté son enfance à Kyoto et je comprends mieux maintenant sa maîtrise de notre langue. Une mère française, très belle, qui avait fait la connaissance d'un beau Yacuza lors d'un simple voyage touristique. Jamais plus elle ne foulera le sol français. Une personne disparue de plus qui avait alimenté la statistique étonnamment élevée de ceux dont on n'entend plus jamais parler. Mais une vraie histoire d'amour. Pas de tout repos dans un milieu où chaque coin de rue pouvait s'avérer fatal tant la concurrence régnait entre les bandes mafieuses.
Yoko n'a aucun souvenir de son père, pas même une photo. Décapité au sabre dans une rixe quand elle avait à peine un an, elle a grandi dans le bordel où sa mère avait trouvé refuge. Pas sans contre-parties, évidemment... Cela dit, la femme qui tenait cet établissement était réglo et toutes les filles adoraient la petite qui passait de bras en bras. Une sorte de cocon dont elle a vite compris le fonctionnement en devenant une jolie petite fille vive et curieuse qui ne manquait jamais une occasion de regarder en cachette ce qui se passait derrière les cloisons. Devenue une jolie adolescente avec un physique de rêve, dans un tel environnement, sa mère savait parfaitement ce qui allait arriver mais elle n'eut pas le temps de mettre son plan à exécution. Quelques semaines avant une fuite qu'elle avait soigneusement organisée avec la complicité d'un client régulier tombé follement amoureux de cette geisha européenne, un cancer foudroyant l'emporta en quelques jours. Yoko échappa tout de même à la prostitution grâce à la générosité de cet homme. Inconsolable après la mort de celle qu'il aimait si fort, sa fortune lui permit de sortir Yoko de cette maison et elle vécut chez lui jusqu'à ses dix-huit ans. Elle devait tout à cet homme. Éducation et surtout des faux-papiers plus vrais que nature qu'il lui avait fait préparés, se sachant lui aussi condamné à court terme par la maladie. Difficile de ne pas rester insensible à un tel destin, chahuté de surcroît par les héritiers officiels du généreux protecteur. Ils virèrent manu militari la pauvre Yoko à peine son bienfaiteur inhumé. Un vol pour Paris pour découvrir le pays de sa mère avec, en poche, une cagnotte planquée puis, au bout de quelques mois, le début de zonages à droite ou à gauche avec des sbires plus ou moins fréquentables, comme ce Pierre qui pensait avoir trouvé la perle rare.
Yoko n'est jamais triste lorsqu'elle évoque avec nous ces moments passés dans une atmosphère où sexe et fantasmes constituaient le quotidien. Elle adore nous raconter des anecdotes du temps où elle espionnait les filles. A dix ans, elle en connaissait déjà plus sur les pratiques sexuelles que beaucoup d'adultes mais elle se souvient tout particulièrement d'un soir où, peu après ses douze ans, elle ressentit une excitation intense en observant deux des plus jolies prostituées en pleine action. L'homme, un japonais fortuné, très classe et vêtu d'un superbe kimono, dominait de toute sa hauteur les deux filles qui lui faisaient face, à genoux sur le tatami. Également couvertes par de somptueux kimonos en soie, elle gardaient les yeux baissés, bras croisés dans le dos. Fesses posées sur les talons, elles conservaient sans broncher cette position, signe évident de soumission. Yoko avait trouvé le tableau très érotique.
Il avait sorti des dizaines de cordes de chanvre avant de les disposer, soigneusement enroulées, devant elles. Yoko nous dit qu'elle a encore en mémoire la délicieuse sensation qu'elle ressentit dans son bas ventre lorsqu'elle vit le martinet noir aux longues lanières de cuir. Le voir caresser leurs corps et leurs visages en laissant glisser doucement l'instrument sans qu'elles n'ébauchent le moindre mouvement l'avait mise dans un état incroyable car le souvenir, un an plus tôt, de la punition d'une des filles par la tenancière lui était revenu aussitôt. La pauvre avait caché de l'argent et elle reçut, devant tout le monde, une volée de coups de bambous qui lui mit le cul à vif. Mais ce dont se souvenait bien plus Yoko, c'était que cette scène, pourtant cruelle, provoqua chez elle la première vraie excitation de sa vie sexuelle. Le bruit et la vue des marques rouges dessinées sur les fesses l'avaient fait mouiller irrésistiblement et, lorsqu'elle se retrouva seule, les doigts qu'elle glissa dans sa fente lui donnèrent immédiatement un plaisir inconnu. Pas encore un vrai orgasme certes, mais bien le début d'une grande découverte. Et ce qu'elle avait vu se dérouler sous ses yeux avec les deux geishas, bien plus expérimentée comme elle l'était à ce moment-là, lui avait mis le feu au ventre.
En surveillant nos réactions, elle poursuit sa description avec un plaisir évident alors que nous sommes allongés tous les trois sur le lit dans l'appartement d’Élodie. Je lis dans ses yeux la certitude que son récit va nous mettre nous aussi dans un état second. En l'écoutant, je surveille ma belle blonde mais je ne parviens pas à décrypter le moindre signe qui me permettrait de savoir si elle est prête à un plan à trois ce soir.
Durant plus d'une heure, le spectacle devant les yeux de Yoko l'avait emmenée dans une sphère nouvelle qui l'avait enchantée. A son signal les deux soumises avaient défait la ceinture de leur vêtement et les kimonos avaient glissé au sol dans un bruissement subtil. Durant plus de trente minutes, elles avaient subi les assauts des cordes savamment maniées par le maître. Un bondage très bien pensé qui les placèrent chacune dans deux positions bien différentes, mais tellement adaptées à ce qui allait suivre. La plus mince des deux s'était retrouvée suspendue à la poutre, basculée en avant sur la pointe des pieds, jambes serrées complètement immobilisées. Ses bras et ses mains, liés dans le dos et reliés à la corde verticale, la maintenaient dans une posture où fesses et seins étaient particulièrement exposés. La seconde avait vu des cordes bloquer ses cuisses l'obligeant à rester à genoux et ses poignets croisés étaient liés à une corde également fixée à la poutre. Un sorte de harnais de cordes avait fait pointer deux superbes seins lourds à larges aréoles et la cambrure de son dos rehaussait une croupe magnifique prête à tous les outrages. Avant de s'emparer du martinet pour caresser de nouveau ses soumises, l'homme leur avait placé des bandeaux noirs sur les yeux. Il avait alors ôté son kimono, dévoilant du même coup une musculature impressionnante et un sexe noueux déjà en pleine érection. Puis la danse du fouet commença. D'abord par des cinglons qui ressemblaient davantage à des caresses mais, petit à petit, les coups se firent plus vifs et plus rapides. La peau si blanche de ces filles qui ne s'exposaient jamais au soleil vira alors au rouge. Des stries écarlates apparurent sans que ni l'une ni l'autre ne laissa échapper la moindre plainte. Pourtant, les larmes se mirent à couler. Yoko nous avoue que son plaisir fut total et bien difficile à maintenir silencieux quand l'homme se déchaîna et qu'il fouetta pour finir à toute volée les pauvres suppliciées en laissant cette fois des traces impressionnantes sur les fesses, les dos et les seins. Toujours sans qu'aucune plainte ne sortent de leurs bouches, une fois détachées, elles se relayèrent pour prendre le sexe de l'homme dans leurs bouches et, agenouillé derrière ces deux croupes marquées si durement, il avait grogné de plaisir en arrosant leur dos après les avoir sodomisées sans ménagement.
Quand Yoko s'arrête, un silence s'installe un moment et je vois dans les yeux d’Élodie une excitation communicative.
- Et toi, à quel moment tu as commencé vraiment à entrer dans la ronde ? interroge-t-elle sans détour.
- En fait, presque tout de suite quand je suis arrivé chez mon père adoptif, j'ai eu mes premiers rapports sexuels. J'avais un peu plus de quatorze ans et j'ai véritablement sauté sur un très beau stagiaire qui passait ses journées près de lui car il avait installé son bureau dans sa maison. Très vite, malgré ses réticences au début, il ne put résister à mes approches. Doux et complètement imberbe, je l'ai dévoré tout cru. Un délice mais j'ai vite senti que ça n'allait pas suffire et puis il n'était pas du tout branché SM... Pire, ça semblait le dégoûter. Lorsque je lui avais demandé de me donner une bonne fessée, il avait refusé tout net. Alors j'ai dû patienter un peu...
- Allez, raconte ! implore Elodie, voyant que la belle Yoko jouait avec notre curiosité. Promis, ensuite, on fait ce que tu veux ! ajoute-t-elle en se glissant tout près de la jolie asiatique.
Évidemment, je la vois venir et cette dernière phrase déclenche chez moi une sensation fort agréable. Yoko ne se fait pas prier bien longtemps et reprend.
- En fait, ce fut dans l'école très privée qui avait bien voulu me prendre en main avec un programme spécial vu mon retard, que l'occasion se présenta. Un homme et deux femmes s'occupaient de moi en alternance et, parmi les trois, dès le début j'avais senti chez la plus âgée bien autre chose que du dévouement professionnel à mon égard. Faut dire que j'avais appris pas mal de choses durant mon enfance au contact des filles et je savais repérer sans coup férir lorsqu'une personne était troublée ou envahie par un désir sexuel. Elle faisait pourtant tout pour le masquer mais moi, à l'inverse, je m'amusais à la provoquer. Surtout par mes tenues ! L'uniforme s'y prêtait bien avec un chemisier blanc sous lequel bien évidemment, le plus souvent, je ne portais rien et la petite jupe très seyante n'arrangeait rien ! Un jour, je voulus la pousser à bout. Je déboutonnais un peu plus le haut mais surtout j'avais fait l'impasse sur la culotte blanche traditionnelle, ôtée dans les toilettes avant son cours. Dès mon entrée, je vis tout de suite un mélange de colère et de désir mais elle résista jusqu'au moment où je m'étais penchée pour ramasser ce stylo tombé malencontreusement. Quand j'avais à nouveau croisé son regard, je sus que j'avais ouvert la boîte de pandore. D'une voix tremblante, avec un regard qu'elle voulut sévère, elle me demanda si j'acceptais d'être punie pour mon comportement. J'avais gagné et après la belle fessée à la main qu'elle m'infligea sur ses genoux ce jour-là, bien d'autres occasions lui permirent de me faire mouiller comme une folle. Elle me retenait souvent après l'heure, pour me faire progresser plus vite, comme elle disait à ses collègues mais dès que nous étions seules, la bad girl que j'étais se voyait soumise à quelques exercices très spéciaux qui me firent entrer définitivement dans le monde du BDSM. Elle m'attachait souvent sur ma chaise ou à plat ventre sur un bureau et son sac regorgeait d'accessoires qui me donnaient à chaque fois une jouissance extrême dès que sa bouche ou ses mains s'emparaient de mon sexe.
- Elle y allait fort ? demande Élodie, passionnée par le récit.
- Pas au début, mais petit à petit, en voyant mon penchant masochiste, elle se dévoila complètement et, plus d'une fois, elle me fit pleurer de douleur. Surtout quand elle jouait avec les pinces à seins ! Elle adorait me torturer à cet endroit et me faire pleurer de douleur avant de sucer mes tétons. Très vite, elle usa de badines, de cannes en rotin et, surtout, elle se rendit compte que le claquement des lanières de cuir des martinets me rendaient folle...Alors, un jour, elle m'emmena à la cave et me fit me déshabiller complètement. Je me rappelle qu'il y faisait froid et je grelottais en la regardant passer une corde dans le crochet du plafond. Mes mamelons étaient durs et dressés. Elle lia mes mains au-dessus de ma tête et lorsqu'elle sortit un long fouet de son sac et qu'elle me le montra, j'ai cru que j'allais défaillir. Aucune peur dans ma réaction, bien au contraire, une envie irrépressible d'aller au bout de ce désir en offrant mon corps à la lanière venimeuse. Je me souviens encore de la brûlure du premier coup de fouet qu'elle me donna et de mon orgasme incroyable quand elle arrêta de zébrer ma peau nue et qu'avec sa langue elle fouilla mon sexe détrempé... Putain que c'était bon !
- Ouah ! lance ma jolie blonde avec des yeux brillants. Ça donne envie non ? ajoute-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
Tu parles. Mon sexe est déjà prêt à sortir de sa boîte et elle le sait la bourrique ! Yoko s'amuse de nous voir ainsi mais elle ne brusque pas la situation.
- Dis, Élodie, tout à l'heure, tu m'as bien promis quelque chose si je vous racontais non ?
- Oui, oui... c'est vrai ! répond aussitôt celle qui partage désormais mon lit. J'ai comme l'impression que tu as une idée...je me trompe ? ajoute-t-elle aussitôt, en posant sa main sur la cuisse de Yoko.
- Oui, mais j'ai peur que tu le prennes mal...
- T'inquiète, si je ne suis pas d'accord, ça ne changera rien entre nous, rassure-toi.
- Ben voilà...depuis le jour où je vous ai rencontrés au château, j'ai envie de faire l'amour avec Marc... Tu vois, c'est pas top comme idée, non ?
- Tu parles d'un scoop ! enchaîne aussitôt Élodie en riant. Depuis que tu es arrivée ici c'est aussi évident que le nez au milieu de la figure... et toi Marc, ne fais pas comme si tu tombais des nues ! Tu en rêves aussi, non ? ajoute-t-elle en me regardant effrontément.
Suis-je donc si transparent ? Elle lit en moi comme dans un livre et n'attend même pas que je confirme l'évidence. Et bien sûr elle s'amuse de nous voir, Yoko et moi, pétrifiés dans l'attente de sa décision.
Élodie profite vraiment de la situation et lorsqu'elle se lève pour filer sans un mot vers son salon, nous ne savons toujours pas comment va finir cette soirée. Une autre histoire et au lit ?... Quelque chose me dit que non ! Yoko me regarde du coin de l’œil d'un air coquin prête à retirer le peu de vêtements qu'elle porte au moindre signe de celle qui mène le bal encore une fois. Je vois les pointes érigés de ses seins sous le caraco de soie qu'elle a emprunté à ma belle voisine et ce n'est pas le petit short en jean qui opposera beaucoup de résistance, le cas échéant. Elle sait que je suis aussi très excité et son regard vers la bosse qui déforme mon jogging est très explicite. Le retour d’Élodie qui s'arrête à l'entrée tombe à point.
- Bon, j'ai bien réfléchi et je suis ok pour que Marc te baise, dit-elle d'un ton inhabituellement cassant. Mais, ajoute-t-elle immédiatement en s'adressant à Yoko, est-ce que tu me laisses carte blanche pendant qu'il s'occupera de toi...ton récit m'a donné des idées à moi aussi ma cocotte !
- Tout ce que tu veux, je suis à vous ce soir...je vous dois bien ça non ?
Elodie vient d'ordonner sèchement à Yoko de se déshabiller. La jolie japonaise s'exécute et, nue, à genoux au milieu du lit, elle regarde avec gourmandise ma jolie voisine enlever un à un mes vêtements avant de prendre mon sexe dur dans ses mains pour le caresser avec sa langue. Elle fait durer la fellation puis se retourne et s'empare de la paire de menottes qu'elle a ramenée pour bloquer les mains de la soumise du soir dans son dos. Après m'avoir guidé au centre du lit pour que je m'allonge sur le dos, elle force Yoko à basculer en avant et sans la moindre préparation lui fait avaler littéralement mon membre en la tenant par les cheveux pour dicter le rythme. La scène est assez violente et, là encore, je ne reconnais pas Élodie dans cette approche. Mais je dois avouer que j'apprécie et voir ma belle voisine prendre des airs de domina sévère qui compte bien faire payer le prix fort au privilège qu'elle accorde à notre petite protégée me donne le frisson. J'espère juste qu'elle va accepter que je pénètre ce corps si beau car j'ai une envie folle de la baiser comme une brute.
Yoko ne faiblit pas le et je profite à fond des caresses de sa langue avec cette sensation extraordinaire quand mon sexe coulisse jusque dans sa gorge. Je vois Élodie sourire tout en se plaçant, entièrement nue, derrière ce cul qui m'inspire et je comprends qu'elle ne va pas laisser Yoko uniquement sur le versant plaisir. La cravache de notre première fois siffle et s'abat brutalement sur la croupe en faisant gémir celle qui ne relâche pourtant pas l'étreinte autour de mon gland turgescent. La force des coups est impressionnante et, lorsqu'elle stoppe pour redresser Yoko et la retourner vers elle, je découvre une dizaine de marques rouges qui ont littéralement tatoué les jolies fesses. Élodie la fait reculer à califourchon sur moi, je comprends où elle veut en venir. Je sens son sexe détrempé se poser sur ma bouche. A mon tour de donner du plaisir à Yoko et ma langue entame un inventaire complet de cette zone si érogène. Des gémissements soudains puis des cris aigus de sa part me font un instant penser que la cicatrisation suite à mes récents travaux de couture n'est pas complètement terminée mais je réalise vite que je ne suis pour rien dans la douleur vive qui est infligée à la jeune femme. Elodie vient de déplacer à nouveau Yoko et, en tenant mon sexe bien droit, elle la force à s'empaler d'un coup. Cette nouvelle position me permet de comprendre les cris. Deux lourdes pinces à seins se sont refermées sur les mamelons et la dominatrice joue avec la chaîne qui les relie. La peste ! Elle a bien intégré le point faible évoqué par Yoko dans son récit et en profite allègrement pendant que je la besogne de plus en plus fort. Élodie s'est maintenant placée de côté et elle m'embrasse langoureusement. Le message est clair et je soulève Yoko pour les prendre toutes les deux, côte à côte, culs offerts, bouches mêlées et corps imbriqués. La petite asiatique est la première à rendre les armes et un orgasme puissant la traverse. Je fais gémir Élodie en la pénétrant de nouveau par derrière et en accélérant mes coups de boutoirs. Elle vient à son tour, bien aidée par Yoko qui a repris ses esprits et prodigue avec sa bouche un traitement beaucoup moins cruel aux deux seins de la jolie blonde. L'entendre à son tour gémir de plaisir me fait exploser et j'arrose du même coup les seins clampés que la coquine Yoko s'est empressée de me présenter.
Longtemps après, on est toujours sur le lit, apaisés. Yoko qui a longuement massé ses tétons enfin libérés avec le liquide chaud et gluant, sans en rajouter, nous a juste embrassés. J'ai lu dans les yeux d’Élodie qu'elle aussi s'était éclatée. Toujours le même principe entre nous. Une absolue sincérité et rien en cachette. J'aurais commis une erreur si j'avais profité d'une de ses absences pour faire l'amour avec Yoko avant ce soir. Ç'aurait été si facile...mais tellement maladroit.
Une image revient en boucle maintenant que je suis dans mon lit, bercé par la respiration régulière d’Élodie. Le visage de Lola... son sourire et ses yeux verts qui m'interrogent. Quand j'ai joui tout à l'heure, elle était déjà là...Pas si simple de s'endormir avec un si beau fantôme qui vous hante...
( à suivre )
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