THERMES BELGES Part.2
Récit érotique écrit par Freredecul [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2013 dans la catégorie Plus on est
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THERMES BELGES Part.2
Wilfried a la main sur le dos d’Eline, il commence même à la peloter assez précisément au niveau des fesses sous nos yeux impassibles. C’est très excitant même si après ce que l’on vient de vivre ensemble, on trouve cela naturel. Pour ma part une main parcoure les cuisses de Cécile et négligemment remonte vers son entre-jambes. Elle est la seule à ne pas être indifférente au manège qui se passe sous l’eau car visiblement l’excitation la gagne, elle se penche vers moi et m’embrasse sauvagement. A côté de nous, Eline a pris les choses en main et ce n’est pas qu’une façon de parler, elle a saisi le sexe de Wilfried et commence à le branler vigoureusement. Il ne lui faut que quelques minutes de ce traitement pour être bien dur et de bonne taille.
Retournant à mes activités, je trouve Cécile les yeux rivés sur le sexe de mon pote. Elle n’a pas vu d’aussi près un autre sexe que le mien depuis ces quinze années passé à mes côtés, ce ne sont que les deux doigts que j’introduis entre ses petites lèvres grandes ouvertes qui l’électrisent et qui lui font retrouver ses esprits. Elle glisse alors sa main sur ma cuisse et remontant trouve enfin en chemin mon sexe tendu. Elle l’empoigne sans ménagement et me branle frénétiquement, l’eau et les bulles apaisent sa fougue. Ma main s’agite entre ses cuisses ouvertes, le majeur et l’index fouillant son intimité et mon pouce titillant son clitoris dressé. Mes doigts plutôt longs s’agitent sur son point « G », je l’embrasse fougueusement, nos langues se mélangent. Je sens un orgasme monter rapidement, elle gémit plus fort que tout à l’heure, la gêne d’être proche de nos amis l’a quitté. J’accélère mes caresses pendant que des spasmes la font tressaillir, le plaisir arrive jusqu’à ce qu’elle jouisse brusquement, comme une lame de fond, sans retenir un cri libérateur.
Quand elle ouvre à nouveau les yeux, Wilfried est assis en train de se faire sucer par Eline à genoux dans l’eau, et cette dernière nous offre une vision sur ses fesses superbes et sur ses petites lèvres imberbes. Elle est si proche de nous que Cécile n’aurait qu’à tendre le bras pour pouvoir la parcourir de ses doigts (Cécile m’avoua par la suite qu’après cette séance câline dans le spa, elle aurait adoré se laisser aller à quelques jeux lesbiens avec Eline. Peut-être un jour…). Elle me demande de m’asseoir comme Wilfried et s’installe comme Eline. D’une main elle me masturbe lentement et de l’autre stimule mes testicules, me faisant râler sourdement. Elle en profite pour se rapprocher et saisit de sa bouche ouverte mon gland écarlate. Elle alterne jeux avec sa langue sur ma hampe et petit coup précis sur le pourtour du gland et finit par aspirer ma verge et descend le long de ma tige, profondément.
Elle sent un mouvement derrière elle, se retourne, et voit que nos amis nous laissent le spa et vont s’enlacer sur les matelas de repos près de la piscine. Nous ne les voyons presque plus. Ce surcroît de place nous invite à d’autres expériences et Cécile se positionne en levrette presque hors de l’eau, elle adore cette position, de me sentir taper le fond de sa petite chatte la fait généralement chavirer rapidement. La bite à la main, j’approche mon gland de ses petites lèvres et je n’ai pas besoin de les écarter pour m’introduire. Je le fais d’une seule poussée tellement je suis excité, cela lui arrache un long râle qui me stimule encore plus, elle passe une main entre ses jambes et me triture les bourses, elle sait que j’adore ça et que généralement cela me fait exploser, mais je n’en suis pas encore là. Nous râlons tous les deux à en perdre souffle. Cécile craque la première sous les effets de mes longs et rapides coups de rein, elle tend un bras vers moi et me bloque au plus profond d’elle, les spasmes dans son ventre s’accélèrent autour de ma queue, son orgasme est intense et durable. Je me retire le sexe toujours pleinement érigé, elle reprend lentement ses esprits et s’assoit afin de me reprendre en bouche Face à moi, j’ai une vue très excitante sur Wilfried prenant sauvagement Eline en levrette sur un matelas. D’où nous nous trouvons, nous percevons tout de même les cris de jouissance d’Eline. Le spectacle auquel j’assiste et la fellation endiablée que me fait Cécile vont me faire exploser. Voulant me rapprocher de nos complices de jeux, je demande à Cécile si elle veut refaire une petite séance sur la table, la serviette est toujours en place. Elle me donne son accord du regard et nous traversons la piscine pour rejoindre notre nouvelle aire de jeux.
Elle se couche sur le dos et me fait signe de me mettre sur le côté de la table, elle souhaite, semble-t-il, continuer ses jeux de bouche sur mon sexe dressé. Je n’ai qu’à tendre la main pour parcourir son abricot ouvert et juteux, elle adore se faire doigter, il n’est pas rare lors de nos ébats que, pendant les préliminaires, me voyant inactif sur son petit minou, elle se doigte toute seule, mais la finesse et la longueur de mes doigts ont sa préférence. Les caresses et pénétrations successives me permettent de faire coulisser quatre doigts très facilement, seul le pouce reste dehors mais il s’occupe immédiatement de son petit bouton. Après quelques minutes de ce traitement, je m’écarte de peur d’exploser dans sa bouche, ce n’est pas qu’elle ne l’accepte jamais mais c’est toujours elle qui en décide le moment. Je m’installe entre ses cuisses, et positionne mon sexe tendu à tout rompre, à l’entrée de son petit minou rasé. Je rentre facilement et commence des va-et-vient lents et profonds, je sors volontairement pour cajoler son petit clitoris, je rentre, je sors, je joue avec elle, elle adore cela.
Je positionne brusquement mon sexe à l’entrée de son petit cul serré, mon gland recouvert de sa mouille est déjà à moitié rentré, elle me fait non de la tête. Pourtant son postérieur à l’air d’avancer vers moi car, lorsque je me retire, mon gland avait disparu entre ses fesses. Elle ne veut, je pense, pas montrer ce plaisir qu’elle adore par-dessus tout à nos amis, en tout cas pas encore. Je reprends position dans son vagin, et la pénètre alors vigoureusement, les va-et-vient rapides et soutenus vont nous emporter rapidement dans un plaisir mutuel. Son troisième orgasme m’emporte, les contractions de son vagin sur mon sexe ont raison de moi et je me retire pour inonder son corps tremblant de jets de sperme puissants et abondants.
On se regarde paisiblement, le plaisir que nous venons de prendre était immense et c’est l’un contre l’autre que nous jouons les indiscrets et tournons nos regards vers le dernier acte qui se joue à côté. Le spectacle est magnifique, nous avons pour habitude Cécile et moi de regarder des films lors de nos ébats, mais la scène que nous avons sous les yeux est beaucoup plus jolie que toutes les scènes que l’on a pu voir. La proximité, la tendresse et le réaliste de ce qui ce passe sous nos yeux, va rester marqué à tout jamais dans nos mémoires, notre vie et notre sexualité n’en resteront pas inchangé. Eline est étendue sur le dos, elle est totalement abandonnée au plaisir que Wilfried lui procure ; il lui tient les jambes relevées et très écartées, son sexe est planté dans son vagin, il réalise les mêmes va et vient qui ont déclenché le dernier orgasme de ma douce. Les cris d’Eline et la fougue qu’elle emploie à titiller son clitoris, montre qu’elle est proche de l’orgasme. Elle est ravissante et craquante lorsqu’elle s’abandonne à son plaisir, rien n’est plus beau qu’une femme qui jouit. Wilfried respire fort, son sexe est tendu à tout rompre, il est impressionnant de puissance, ses couilles tapent le petit cul d’Eline, ils sont beau tous les deux — Cécile m’avoua par la suite, le regret qu’elle avait de ne pas avoir osé profiter plus du spectacle, le peu d’image qu’elle a est gravé dans sa mémoire et l’excite au plus haut point. Lors de notre retour à la maison, il n’était pas rare qu’elle me saute dessus car elle repensait à ce que nous avions vécu…
Eline et Wilfried sont au bord de la délivrance, elle ne cache plus son plaisir qui arrive au galop, elle se tend, ses seins pointent vers nous, ils sont magnifiques, elle s’arc-boute et l’orgasme l’envahit, elle crie son plaisir. Wilfried ne tient plus, il sort son sexe turgescent et se branle frénétiquement au-dessus du ventre d’Eline. Quelques secondes suffisent à faire jaillir son plaisir si longtemps contenu.
Nous essuyons les traces de notre plaisir sur le ventre de nos femmes, et nous nous installons tous les quatre sur les matelas de relaxation. La fatigue venant insidieusement sur nos corps repus par tant de plaisirs, brisés mais satisfaits, l’atmosphère s’adoucit et nous profitons paisiblement de ces derniers instants dans ce lieu magnifique seul témoin de nos errements. Quitter cette atmosphère, ne nous enchante pas, mais les deux heures sont presque finies et il est temps de refermer la porte de ce lieu et la porte de nos plaisirs communs par la même occasion. A la réception, lors de la remise des clés, le sourire de la réceptionniste me fait penser qu’elle doit se douter de quelque chose. Il est vrai que de louer un tel espace pour deux couples, si c’est pour barboter dans l’eau pendant deux heures, l’intérêt est minime, elle doit imaginer pleinement ce qu’il se passe de temps en temps. Mais cela ne me gêne pas. Nous montons dans l’aile du château où se trouvent nos deux petites suites. On boit un verre dans notre chambre calmement afin de détendre l’atmosphère entre nous, puis chacun regagne ses appartements pour dormir ou pour autre chose d’ailleurs… Mais ça c’est une autre histoire…
Retournant à mes activités, je trouve Cécile les yeux rivés sur le sexe de mon pote. Elle n’a pas vu d’aussi près un autre sexe que le mien depuis ces quinze années passé à mes côtés, ce ne sont que les deux doigts que j’introduis entre ses petites lèvres grandes ouvertes qui l’électrisent et qui lui font retrouver ses esprits. Elle glisse alors sa main sur ma cuisse et remontant trouve enfin en chemin mon sexe tendu. Elle l’empoigne sans ménagement et me branle frénétiquement, l’eau et les bulles apaisent sa fougue. Ma main s’agite entre ses cuisses ouvertes, le majeur et l’index fouillant son intimité et mon pouce titillant son clitoris dressé. Mes doigts plutôt longs s’agitent sur son point « G », je l’embrasse fougueusement, nos langues se mélangent. Je sens un orgasme monter rapidement, elle gémit plus fort que tout à l’heure, la gêne d’être proche de nos amis l’a quitté. J’accélère mes caresses pendant que des spasmes la font tressaillir, le plaisir arrive jusqu’à ce qu’elle jouisse brusquement, comme une lame de fond, sans retenir un cri libérateur.
Quand elle ouvre à nouveau les yeux, Wilfried est assis en train de se faire sucer par Eline à genoux dans l’eau, et cette dernière nous offre une vision sur ses fesses superbes et sur ses petites lèvres imberbes. Elle est si proche de nous que Cécile n’aurait qu’à tendre le bras pour pouvoir la parcourir de ses doigts (Cécile m’avoua par la suite qu’après cette séance câline dans le spa, elle aurait adoré se laisser aller à quelques jeux lesbiens avec Eline. Peut-être un jour…). Elle me demande de m’asseoir comme Wilfried et s’installe comme Eline. D’une main elle me masturbe lentement et de l’autre stimule mes testicules, me faisant râler sourdement. Elle en profite pour se rapprocher et saisit de sa bouche ouverte mon gland écarlate. Elle alterne jeux avec sa langue sur ma hampe et petit coup précis sur le pourtour du gland et finit par aspirer ma verge et descend le long de ma tige, profondément.
Elle sent un mouvement derrière elle, se retourne, et voit que nos amis nous laissent le spa et vont s’enlacer sur les matelas de repos près de la piscine. Nous ne les voyons presque plus. Ce surcroît de place nous invite à d’autres expériences et Cécile se positionne en levrette presque hors de l’eau, elle adore cette position, de me sentir taper le fond de sa petite chatte la fait généralement chavirer rapidement. La bite à la main, j’approche mon gland de ses petites lèvres et je n’ai pas besoin de les écarter pour m’introduire. Je le fais d’une seule poussée tellement je suis excité, cela lui arrache un long râle qui me stimule encore plus, elle passe une main entre ses jambes et me triture les bourses, elle sait que j’adore ça et que généralement cela me fait exploser, mais je n’en suis pas encore là. Nous râlons tous les deux à en perdre souffle. Cécile craque la première sous les effets de mes longs et rapides coups de rein, elle tend un bras vers moi et me bloque au plus profond d’elle, les spasmes dans son ventre s’accélèrent autour de ma queue, son orgasme est intense et durable. Je me retire le sexe toujours pleinement érigé, elle reprend lentement ses esprits et s’assoit afin de me reprendre en bouche Face à moi, j’ai une vue très excitante sur Wilfried prenant sauvagement Eline en levrette sur un matelas. D’où nous nous trouvons, nous percevons tout de même les cris de jouissance d’Eline. Le spectacle auquel j’assiste et la fellation endiablée que me fait Cécile vont me faire exploser. Voulant me rapprocher de nos complices de jeux, je demande à Cécile si elle veut refaire une petite séance sur la table, la serviette est toujours en place. Elle me donne son accord du regard et nous traversons la piscine pour rejoindre notre nouvelle aire de jeux.
Elle se couche sur le dos et me fait signe de me mettre sur le côté de la table, elle souhaite, semble-t-il, continuer ses jeux de bouche sur mon sexe dressé. Je n’ai qu’à tendre la main pour parcourir son abricot ouvert et juteux, elle adore se faire doigter, il n’est pas rare lors de nos ébats que, pendant les préliminaires, me voyant inactif sur son petit minou, elle se doigte toute seule, mais la finesse et la longueur de mes doigts ont sa préférence. Les caresses et pénétrations successives me permettent de faire coulisser quatre doigts très facilement, seul le pouce reste dehors mais il s’occupe immédiatement de son petit bouton. Après quelques minutes de ce traitement, je m’écarte de peur d’exploser dans sa bouche, ce n’est pas qu’elle ne l’accepte jamais mais c’est toujours elle qui en décide le moment. Je m’installe entre ses cuisses, et positionne mon sexe tendu à tout rompre, à l’entrée de son petit minou rasé. Je rentre facilement et commence des va-et-vient lents et profonds, je sors volontairement pour cajoler son petit clitoris, je rentre, je sors, je joue avec elle, elle adore cela.
Je positionne brusquement mon sexe à l’entrée de son petit cul serré, mon gland recouvert de sa mouille est déjà à moitié rentré, elle me fait non de la tête. Pourtant son postérieur à l’air d’avancer vers moi car, lorsque je me retire, mon gland avait disparu entre ses fesses. Elle ne veut, je pense, pas montrer ce plaisir qu’elle adore par-dessus tout à nos amis, en tout cas pas encore. Je reprends position dans son vagin, et la pénètre alors vigoureusement, les va-et-vient rapides et soutenus vont nous emporter rapidement dans un plaisir mutuel. Son troisième orgasme m’emporte, les contractions de son vagin sur mon sexe ont raison de moi et je me retire pour inonder son corps tremblant de jets de sperme puissants et abondants.
On se regarde paisiblement, le plaisir que nous venons de prendre était immense et c’est l’un contre l’autre que nous jouons les indiscrets et tournons nos regards vers le dernier acte qui se joue à côté. Le spectacle est magnifique, nous avons pour habitude Cécile et moi de regarder des films lors de nos ébats, mais la scène que nous avons sous les yeux est beaucoup plus jolie que toutes les scènes que l’on a pu voir. La proximité, la tendresse et le réaliste de ce qui ce passe sous nos yeux, va rester marqué à tout jamais dans nos mémoires, notre vie et notre sexualité n’en resteront pas inchangé. Eline est étendue sur le dos, elle est totalement abandonnée au plaisir que Wilfried lui procure ; il lui tient les jambes relevées et très écartées, son sexe est planté dans son vagin, il réalise les mêmes va et vient qui ont déclenché le dernier orgasme de ma douce. Les cris d’Eline et la fougue qu’elle emploie à titiller son clitoris, montre qu’elle est proche de l’orgasme. Elle est ravissante et craquante lorsqu’elle s’abandonne à son plaisir, rien n’est plus beau qu’une femme qui jouit. Wilfried respire fort, son sexe est tendu à tout rompre, il est impressionnant de puissance, ses couilles tapent le petit cul d’Eline, ils sont beau tous les deux — Cécile m’avoua par la suite, le regret qu’elle avait de ne pas avoir osé profiter plus du spectacle, le peu d’image qu’elle a est gravé dans sa mémoire et l’excite au plus haut point. Lors de notre retour à la maison, il n’était pas rare qu’elle me saute dessus car elle repensait à ce que nous avions vécu…
Eline et Wilfried sont au bord de la délivrance, elle ne cache plus son plaisir qui arrive au galop, elle se tend, ses seins pointent vers nous, ils sont magnifiques, elle s’arc-boute et l’orgasme l’envahit, elle crie son plaisir. Wilfried ne tient plus, il sort son sexe turgescent et se branle frénétiquement au-dessus du ventre d’Eline. Quelques secondes suffisent à faire jaillir son plaisir si longtemps contenu.
Nous essuyons les traces de notre plaisir sur le ventre de nos femmes, et nous nous installons tous les quatre sur les matelas de relaxation. La fatigue venant insidieusement sur nos corps repus par tant de plaisirs, brisés mais satisfaits, l’atmosphère s’adoucit et nous profitons paisiblement de ces derniers instants dans ce lieu magnifique seul témoin de nos errements. Quitter cette atmosphère, ne nous enchante pas, mais les deux heures sont presque finies et il est temps de refermer la porte de ce lieu et la porte de nos plaisirs communs par la même occasion. A la réception, lors de la remise des clés, le sourire de la réceptionniste me fait penser qu’elle doit se douter de quelque chose. Il est vrai que de louer un tel espace pour deux couples, si c’est pour barboter dans l’eau pendant deux heures, l’intérêt est minime, elle doit imaginer pleinement ce qu’il se passe de temps en temps. Mais cela ne me gêne pas. Nous montons dans l’aile du château où se trouvent nos deux petites suites. On boit un verre dans notre chambre calmement afin de détendre l’atmosphère entre nous, puis chacun regagne ses appartements pour dormir ou pour autre chose d’ailleurs… Mais ça c’est une autre histoire…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire, on attend une suite, avec je l'espère un peu de mélange. Bisous a
vous quatre et profitez bien.
vous quatre et profitez bien.
cette histoire m'excite au plus haut point je m imagine les clitoris en erection et les
tetons tout durs de ces demoiselles ainsi que les verges dressées de leurs
compagnons...hummm j'ai envie de jouir merci encore !!!!
tetons tout durs de ces demoiselles ainsi que les verges dressées de leurs
compagnons...hummm j'ai envie de jouir merci encore !!!!