Thermes Belges - Part.4
Récit érotique écrit par Freredecul [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2013 dans la catégorie Plus on est
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Thermes Belges - Part.4
La petite douche matinale expédiée, nous voilà à crapahuter dans les couloirs de l’hôtel afin de retrouver nos amis pour le petit déjeuner. Nous les apercevons non loin de la porte de leur suite, après s’être excusé de notre retard, en argumentant sur une improbable panne de réveil qui n’a convaincu personne, nous filons tous ensemble vers le restaurant pour reprendre un maximum de vitamine afin de remplir les batteries bien vidées par nos activités de la veille. Tout en profitant des agréables viennoiseries, nos amis nous demandent si la nuit a été bonne, au vue de mon sourire et au fait que je l’avais trouvé un peu courte surtout sur le matin, ils se sont surement douté que les gémissements et les cris de jouissance entendus devaient bien venir de notre chambre.
Rapide passage par nos chambres afin de préparer nos affaires pour les remettre dans la voiture car impossibilité de rester dans ces suites qui n’étaient libre que la nuit passé. Heureusement que j’ai trouvé deux chambres dans un complexe similaire du même groupe non loin d’ici près de Grimbergen, car sinon notre petite escapade nudiste se serait limité à une nuit. Les bagages jetés dans le coffre et nous voilà à déambuler vers les vestiaires afin d’y déposer nos vêtements. Nos peignoirs comme dernier rempart à notre nudité, nous sommes partis vers la partie naturiste des thermes. En arrivant dans la salle de détente, il y a beaucoup plus de monde que la veille, pas mal de couple et beaucoup plus de jeune couple qu’hier, le samedi est plus propice au sortie pour les gens en activité. L’ambiance est un peu différente aussi, moins intime, un peu plus de voyeur car il faut l’avouer beaucoup plus de choses à mater. Cécile et Eline sont ravissantes, et de nombreux regards se posent sur leurs courbes, il faut dire aussi que le peu de pilosité restant sur leurs pubis ne cache rien de leurs trésors. Au cours de cette journée, à plusieurs reprises j’ai croisé des regards quelques fois appuyé sur les renflements de leurs monts de Vénus. Mais les mateurs n’étaient pas que masculin car quelques jeunes femmes ne manquaient pas de laisser trainer quelques regards vers les attributs de Wilfried ou les miens. Ce n’est aucunement gênant car d’une part cela reste rare et très discret et d’autre part nous faisions de même. Nos regards masculins étaient plus insistants sur les jolies jeunes femmes que sur les petites mamies, mais c’est plaisant de découvrir tous ces corps dénudés. Cela permet de se rendre compte à quel point l’épilation intégrale est devenue le standard, très peu de jeune femme avait un pubis non-épilé. De leurs côtés, les filles ne se privaient pas non plus, et les beaux mecs ou les mecs bien montés attiraient plus leurs attentions.
Cette journée fut agrémentés de passage dans les différents Spa, sauna et piscine, elle nous permis surtout de reparler de notre soirée plus qu’agréable dans le Spa privé. Nous sommes à barboter dans la piscine extérieure chauffée et je suis en train de dire à Wilfried que je relouerai bien le complexe privé pour ce soir, les filles sont juste à côté de nous et elles vont dans mon sens, ce qui me surprend qu’à moitié. Il n’y a aucun gêne entre nous, Cécile me dit qu’elle adorerait recommencer ce qui s’est passé la veille et Eline a l’air sur la même longueur d’ondes. Les filles se sont rapprochées de nous et le contact de leur joli petit cul contre nos sexes ne nous laisse pas indifférent. Je demande à Cécile d’arrêter ce petit jeu car mon sexe commence à réagir sérieusement. Elle cambre son fessier et mon sexe s’insinue automatiquement entre ses jambes, je me recule car nous ne sommes pas seul dans la piscine et à moins de cinq mètres, un jeune couple d’une vingtaine d’année nage vers nous. Cécile à le sourire et elle profite bien de la situation, elle se retourne m’embrasse et plonge une main dans l’eau, elle empoigne mon sexe, le décalotte, et me dis que dans cette situation je ne suis pas prêt de sortir de l’eau. Elle n’a pas tort, je bande comme un âne, le gland au vue de tout le monde, et je suis obligé de faire quelques longueurs de bassin afin de faire redescendre la pression. Wilfried me rejoint en nageant lui aussi et il me fait part qu’il est dans le même état que moi et qu’elles sont parties s’installer sur les bains de soleils intérieur. Nous sommes obligés d’attendre un peu pour les rejoindre, nous nous couchons à côtés des filles, c’est vraiment plaisant de se détendre nu dans cet environnement. Les minutes passent, je me suis assoupis, j’ouvre les yeux, mes voisins sont en mode sieste, Cécile qui est proche de moi à entrouvert les jambes pendant son repos et je me délecte les yeux mi-clos, de voir les regards masculins détailler les petites lèvres dépassant de son intimité. Elle est belle dans cette position, nous serions seul, je me régalerai à la réveiller par de tendre coup de langue sur son petit abricot entrouvert. Je refoule ces idées coquines car je sens mon sexe réagir, je ne bande pas mais il a pris des proportions qui ne sont pas sa position habituelle de repos. Je ne pense pas que cela puisse se remarquer et garde les yeux presque fermé afin de regarder discrètement les petits voyeurs. Il n’y a pas que des voyeurs car le groupe de jeune fille passant devant nous à l’air plus attiré par mon sexe et mes testicules fraichement rasées que par le petit minou de Cécile. C’est excitant et flatteur à la fois mais je préfère repartir à ma sieste car je redoute une réaction de mon sexe que je ne pourrai dissimuler. La journée s’est déroulé de cette manière, c’est passé très vite et on s’est vite retrouvé au repas du soir, Wilfried n’est pas en grande forme, le massage de l’après-midi a eu pour effet de réveiller de vieilles douleurs au dos. Nous prenons la voiture et on se dirige vers le deuxième centre thermal situé à Grimbergen. Je dois récupérer les clés de nos chambres à l’accueil et je signale à nos amis qu’ils ont peut-être de la place dans un sauna privé avant d’aller au lit. Une fois notre véhicule stationné, je vais à la réception afin de récupérer les clés de nos chambres et j’en profite pour demander à la jeune hôtesse s’il resterait de la place pour ce soir dans un de leurs espaces privés. Elle me fait part qu’il n’y a aucun espace privé à Grimbergen, je prends les clés non sans une certaine déception et je vais retrouver Cécile et nos amis à l’extérieur.
Sur le chemin de l’hôtel où nous nous rendons à pieds, Cécile ne cache pas sa déception de ne pas pouvoir finir la soirée sur une touche plus érotique et elle demande à nos amis de monter nous rejoindre dans notre chambre afin de prendre un dernier verre. Lors de cette invitation, je me rends compte à quel point, elle s’est débridée, elle ne veut pas en rester là et elle a envie de prolonger la soirée. Nous laissons nos amis prendre possession de leur chambre et montons à l’étage supérieur pour ranger nos petites affaires avant la venue d’Eline et Wilfried. La porte est à peine fermé, j’ai encore les sacs dans les mains, que Cécile me saute dessus et m’embrasse avec fougue, elle glisse sa langue dans ma bouche et l’enroule autour de la mienne. Elle se recule et me dit qu’elle adorerait recommencer ce qui s’est passé dans le Spa hier soir et qu’elle en meurt d’envie. Je lâche les bagages et la bascule sur le lit, je reprends notre baiser où nous l’avions laissé et je glisse une main sous sa robe et découvre un petit string trempé. Elle me repousse en me rappelant qu’ils ne vont pas tarder et qu’elle est déjà assez excité comme ça. Elle m’excite au plus haut point, je ne l’ai jamais vu comme ça. Je lui demande jusqu’où elle veut aller, elle me dit que la seule limite qu’elle s’impose c’est qu’elle ne veut pas de pénétration par un autre que moi et qu’elle meurt d’envie d’embrasser Eline. Ces quelques mots ont raison du peu de calme qu’il me restait et la bosse dans mon jean témoigne de ma forte excitation. Heureusement nos amis toquent à la porte de notre chambre et Cécile leurs ouvre afin qu’ils entrent. Wilfried a mauvaise mine et il nous fait part de ses fortes douleurs au dos. Cécile et Eline s’installent sur le lit et nous prenons les deux chaises qu’il reste pour boire un petit coup. L’état physique de Wilfried fait retomber rapidement l’excitation ambiante et on voit que tout ce qu’il souhaite c’est de filler au lit. On finit tous nos verres et c’est non sans une certaine tristesse que nous voyons nos amis se lever et nous quitter.
La porte à peine fermé que Cécile retire sa robe, elle est là devant moi en string et soutient gorge, elle est belle, elle est magnifique, ses yeux brillent et reflètent le désir. Elle dégrafe son soutient gorge et libère ses seins. Elle les prend à pleine main sans me quitter du regard, elle glisse une main jusqu’à son string et le descend tendrement afin de libérer son abricot brillant. Elle se jette sur moi et se colle à moi, nue, son sexe se frotte à la bosse de mon pantalon. Elle m'embrasse à pleine bouche, sa langue est dure et tendue comme l'est ma verge dans mon caleçon. Elle s'écarte de moi, déboutonne ma chemise rapidement, elle l’envoie à terre, ouvre ma ceinture puis mon pantalon, je ferme les yeux tant je suis excité. Elle sort mon sexe et je sens sa bouche l'engloutir, elle salive, mouille mon gland, le fait entrer et sortir de sa bouche, pose sa main dessus et me masturbe en me regardant. Elle replonge, me suce, ressort mon sexe, vient lécher le méat de sa langue dure. Elle joue avec moi, je suis sa chose et je suis aux anges. Nos galipettes de la veille et du matin me sont bénéfiques car sinon avec ce traitement je n’arriverai pas à tenir longtemps. Elle se redresse, mon sexe coulissant facilement dans sa main par l’abondance de salive et d’excitation. Elle m’ordonne de me laisser faire et que ce soir c’est elle qui prends les choses en main, et au vue de ce qu’elle a dans la main, je n’ai d’autre choix que d’acquiescer. Elle me retire mon pantalon et mon caleçon prend le même chemin. Elle s’installe entre mes jambes et plonge sur mes couilles, elle prend une et l’autre en bouche de manière alterné et joue avec son pouce sur mon gland décalotté. Elle descend et me donne de petit coup de langue entre les couilles et l’anus. Elle remonte, glisse le long de ma verge et me reprend en bouche dans un rythme endiablé. Elle lâche mon sexe et m’embrasse le ventre puis le torse au fur et à mesure qu’elle me chevauche. Elle m’embrasse, je devrais plutôt dire, elle me mange la bouche puis la langue, le gout mélangé de mon sexe et de sa salive me rendent fou. Elle se redresse, soulève son petit cul prends mon sexe et le guide dans sa grotte qui dégouline. Sa respiration s'accélère, ses yeux se ferment, elle a beau vouloir diriger, l’excitation persistante de la journée et de la soirée la bouleverse. Elle redresse ses jambes et ce met à califourchon sur ma queue, elle coulisse sur ma queue à un rythme soutenu je vois à ces yeux qu’elle est au bord de l’orgasme. Elle accélère encore et donne des mouvements plus longs, elle ne me fait plus l’amour mais ce gode franchement sur ma queue, le plaisir est fulgurent, Cécile plaque ses fesses contre mes cuisses, elle pousse un cri, inspire profondément, et s’effondre très rapidement sur moi. Je sens son cœur qui cogne dans sa poitrine. Je lui laisse le temps de reprendre son souffle, elle se redresse, me regarde, les yeux perdus, à demi fermés... Elle se retire et s’installe sur le dos, elle plonge ses yeux dans les miens et me demande de venir, je m’installe entre ses cuisses, elle empoigne ma queue et la dirige entre ses lèvres ouvertes et trempées. Elle ne m’a pas quitté du regard et fini par me dire : « baise-moi ». Je commence mon va et vient, très fort, très long, le corps de ma chérie danse au rythme de mes coups de butoir, je suis excité, je la fixe mais son regard est perdu, sa respiration soutenue. Sa poitrine se soulève, ses seins dansent, son corps se plie doucement comme pour mieux sentir ma queue l'envahir, j’accélère, elle gémit de plus en plus. Je prends ses jambes et les positionnent sur mes épaules, dans cette position je bute au fond de son vagin et elle ne résiste généralement pas longtemps. Elle va jouir, je le sens, je le sais, tout est là. Sa respiration rapide, le rose sur ses joues, la sueur sur son corps, ses seins gonflés, ses cris qu’elle ne dissimule plus du tout. J’accélère encore et elle m’agrippe soudainement, un cri aigu part du fond d’elle-même, son corps est parcouru de spasme, je suis encore en mouvement en elle et je sens que ma jouissance approche. Je regarde ma chérie, le corps plié en deux, elle relève la tête, plisse ses yeux, me regarde, une expression de bonheur inonde son visage. Elle essaie de me sourire sans y parvenir tant elle est rompue de fatigue, inondée de plaisir, je me retire prestement, et me branle face à elle, elle caresse ses seins et mon plaisir me submerge, mon sperme s'écoule de mon sexe par vagues successives, je jouis comme j'ai rarement joui, mon sperme s’étale sur ses seins qu’elle caresse toujours, elle en délaisse un afin de finir de me branler. Je m’effondre contre elle et m’assoupi quelques peu. J’ouvre les yeux, quelques minutes à peine se sont écoulées, je l’observe, elle est belle, rayonnante, j’ai de la chance de l’avoir à mes côtés. Je me lève sans la réveiller et file prendre une bonne douche.
Elle me rejoint dans la salle de bain lorsque je sors de la douche, elle s’approche près de moi et m’embrasse tendrement, elle me dit qu’elle a pris son pied comme une folle et que c’était trop bon, elle saute dans la douche et je rejoins la chambre et m’affale sur le lit. J’aimerai rester éveillé jusqu’à son retour dans le lit mais la fatigue me terrasse…
Rapide passage par nos chambres afin de préparer nos affaires pour les remettre dans la voiture car impossibilité de rester dans ces suites qui n’étaient libre que la nuit passé. Heureusement que j’ai trouvé deux chambres dans un complexe similaire du même groupe non loin d’ici près de Grimbergen, car sinon notre petite escapade nudiste se serait limité à une nuit. Les bagages jetés dans le coffre et nous voilà à déambuler vers les vestiaires afin d’y déposer nos vêtements. Nos peignoirs comme dernier rempart à notre nudité, nous sommes partis vers la partie naturiste des thermes. En arrivant dans la salle de détente, il y a beaucoup plus de monde que la veille, pas mal de couple et beaucoup plus de jeune couple qu’hier, le samedi est plus propice au sortie pour les gens en activité. L’ambiance est un peu différente aussi, moins intime, un peu plus de voyeur car il faut l’avouer beaucoup plus de choses à mater. Cécile et Eline sont ravissantes, et de nombreux regards se posent sur leurs courbes, il faut dire aussi que le peu de pilosité restant sur leurs pubis ne cache rien de leurs trésors. Au cours de cette journée, à plusieurs reprises j’ai croisé des regards quelques fois appuyé sur les renflements de leurs monts de Vénus. Mais les mateurs n’étaient pas que masculin car quelques jeunes femmes ne manquaient pas de laisser trainer quelques regards vers les attributs de Wilfried ou les miens. Ce n’est aucunement gênant car d’une part cela reste rare et très discret et d’autre part nous faisions de même. Nos regards masculins étaient plus insistants sur les jolies jeunes femmes que sur les petites mamies, mais c’est plaisant de découvrir tous ces corps dénudés. Cela permet de se rendre compte à quel point l’épilation intégrale est devenue le standard, très peu de jeune femme avait un pubis non-épilé. De leurs côtés, les filles ne se privaient pas non plus, et les beaux mecs ou les mecs bien montés attiraient plus leurs attentions.
Cette journée fut agrémentés de passage dans les différents Spa, sauna et piscine, elle nous permis surtout de reparler de notre soirée plus qu’agréable dans le Spa privé. Nous sommes à barboter dans la piscine extérieure chauffée et je suis en train de dire à Wilfried que je relouerai bien le complexe privé pour ce soir, les filles sont juste à côté de nous et elles vont dans mon sens, ce qui me surprend qu’à moitié. Il n’y a aucun gêne entre nous, Cécile me dit qu’elle adorerait recommencer ce qui s’est passé la veille et Eline a l’air sur la même longueur d’ondes. Les filles se sont rapprochées de nous et le contact de leur joli petit cul contre nos sexes ne nous laisse pas indifférent. Je demande à Cécile d’arrêter ce petit jeu car mon sexe commence à réagir sérieusement. Elle cambre son fessier et mon sexe s’insinue automatiquement entre ses jambes, je me recule car nous ne sommes pas seul dans la piscine et à moins de cinq mètres, un jeune couple d’une vingtaine d’année nage vers nous. Cécile à le sourire et elle profite bien de la situation, elle se retourne m’embrasse et plonge une main dans l’eau, elle empoigne mon sexe, le décalotte, et me dis que dans cette situation je ne suis pas prêt de sortir de l’eau. Elle n’a pas tort, je bande comme un âne, le gland au vue de tout le monde, et je suis obligé de faire quelques longueurs de bassin afin de faire redescendre la pression. Wilfried me rejoint en nageant lui aussi et il me fait part qu’il est dans le même état que moi et qu’elles sont parties s’installer sur les bains de soleils intérieur. Nous sommes obligés d’attendre un peu pour les rejoindre, nous nous couchons à côtés des filles, c’est vraiment plaisant de se détendre nu dans cet environnement. Les minutes passent, je me suis assoupis, j’ouvre les yeux, mes voisins sont en mode sieste, Cécile qui est proche de moi à entrouvert les jambes pendant son repos et je me délecte les yeux mi-clos, de voir les regards masculins détailler les petites lèvres dépassant de son intimité. Elle est belle dans cette position, nous serions seul, je me régalerai à la réveiller par de tendre coup de langue sur son petit abricot entrouvert. Je refoule ces idées coquines car je sens mon sexe réagir, je ne bande pas mais il a pris des proportions qui ne sont pas sa position habituelle de repos. Je ne pense pas que cela puisse se remarquer et garde les yeux presque fermé afin de regarder discrètement les petits voyeurs. Il n’y a pas que des voyeurs car le groupe de jeune fille passant devant nous à l’air plus attiré par mon sexe et mes testicules fraichement rasées que par le petit minou de Cécile. C’est excitant et flatteur à la fois mais je préfère repartir à ma sieste car je redoute une réaction de mon sexe que je ne pourrai dissimuler. La journée s’est déroulé de cette manière, c’est passé très vite et on s’est vite retrouvé au repas du soir, Wilfried n’est pas en grande forme, le massage de l’après-midi a eu pour effet de réveiller de vieilles douleurs au dos. Nous prenons la voiture et on se dirige vers le deuxième centre thermal situé à Grimbergen. Je dois récupérer les clés de nos chambres à l’accueil et je signale à nos amis qu’ils ont peut-être de la place dans un sauna privé avant d’aller au lit. Une fois notre véhicule stationné, je vais à la réception afin de récupérer les clés de nos chambres et j’en profite pour demander à la jeune hôtesse s’il resterait de la place pour ce soir dans un de leurs espaces privés. Elle me fait part qu’il n’y a aucun espace privé à Grimbergen, je prends les clés non sans une certaine déception et je vais retrouver Cécile et nos amis à l’extérieur.
Sur le chemin de l’hôtel où nous nous rendons à pieds, Cécile ne cache pas sa déception de ne pas pouvoir finir la soirée sur une touche plus érotique et elle demande à nos amis de monter nous rejoindre dans notre chambre afin de prendre un dernier verre. Lors de cette invitation, je me rends compte à quel point, elle s’est débridée, elle ne veut pas en rester là et elle a envie de prolonger la soirée. Nous laissons nos amis prendre possession de leur chambre et montons à l’étage supérieur pour ranger nos petites affaires avant la venue d’Eline et Wilfried. La porte est à peine fermé, j’ai encore les sacs dans les mains, que Cécile me saute dessus et m’embrasse avec fougue, elle glisse sa langue dans ma bouche et l’enroule autour de la mienne. Elle se recule et me dit qu’elle adorerait recommencer ce qui s’est passé dans le Spa hier soir et qu’elle en meurt d’envie. Je lâche les bagages et la bascule sur le lit, je reprends notre baiser où nous l’avions laissé et je glisse une main sous sa robe et découvre un petit string trempé. Elle me repousse en me rappelant qu’ils ne vont pas tarder et qu’elle est déjà assez excité comme ça. Elle m’excite au plus haut point, je ne l’ai jamais vu comme ça. Je lui demande jusqu’où elle veut aller, elle me dit que la seule limite qu’elle s’impose c’est qu’elle ne veut pas de pénétration par un autre que moi et qu’elle meurt d’envie d’embrasser Eline. Ces quelques mots ont raison du peu de calme qu’il me restait et la bosse dans mon jean témoigne de ma forte excitation. Heureusement nos amis toquent à la porte de notre chambre et Cécile leurs ouvre afin qu’ils entrent. Wilfried a mauvaise mine et il nous fait part de ses fortes douleurs au dos. Cécile et Eline s’installent sur le lit et nous prenons les deux chaises qu’il reste pour boire un petit coup. L’état physique de Wilfried fait retomber rapidement l’excitation ambiante et on voit que tout ce qu’il souhaite c’est de filler au lit. On finit tous nos verres et c’est non sans une certaine tristesse que nous voyons nos amis se lever et nous quitter.
La porte à peine fermé que Cécile retire sa robe, elle est là devant moi en string et soutient gorge, elle est belle, elle est magnifique, ses yeux brillent et reflètent le désir. Elle dégrafe son soutient gorge et libère ses seins. Elle les prend à pleine main sans me quitter du regard, elle glisse une main jusqu’à son string et le descend tendrement afin de libérer son abricot brillant. Elle se jette sur moi et se colle à moi, nue, son sexe se frotte à la bosse de mon pantalon. Elle m'embrasse à pleine bouche, sa langue est dure et tendue comme l'est ma verge dans mon caleçon. Elle s'écarte de moi, déboutonne ma chemise rapidement, elle l’envoie à terre, ouvre ma ceinture puis mon pantalon, je ferme les yeux tant je suis excité. Elle sort mon sexe et je sens sa bouche l'engloutir, elle salive, mouille mon gland, le fait entrer et sortir de sa bouche, pose sa main dessus et me masturbe en me regardant. Elle replonge, me suce, ressort mon sexe, vient lécher le méat de sa langue dure. Elle joue avec moi, je suis sa chose et je suis aux anges. Nos galipettes de la veille et du matin me sont bénéfiques car sinon avec ce traitement je n’arriverai pas à tenir longtemps. Elle se redresse, mon sexe coulissant facilement dans sa main par l’abondance de salive et d’excitation. Elle m’ordonne de me laisser faire et que ce soir c’est elle qui prends les choses en main, et au vue de ce qu’elle a dans la main, je n’ai d’autre choix que d’acquiescer. Elle me retire mon pantalon et mon caleçon prend le même chemin. Elle s’installe entre mes jambes et plonge sur mes couilles, elle prend une et l’autre en bouche de manière alterné et joue avec son pouce sur mon gland décalotté. Elle descend et me donne de petit coup de langue entre les couilles et l’anus. Elle remonte, glisse le long de ma verge et me reprend en bouche dans un rythme endiablé. Elle lâche mon sexe et m’embrasse le ventre puis le torse au fur et à mesure qu’elle me chevauche. Elle m’embrasse, je devrais plutôt dire, elle me mange la bouche puis la langue, le gout mélangé de mon sexe et de sa salive me rendent fou. Elle se redresse, soulève son petit cul prends mon sexe et le guide dans sa grotte qui dégouline. Sa respiration s'accélère, ses yeux se ferment, elle a beau vouloir diriger, l’excitation persistante de la journée et de la soirée la bouleverse. Elle redresse ses jambes et ce met à califourchon sur ma queue, elle coulisse sur ma queue à un rythme soutenu je vois à ces yeux qu’elle est au bord de l’orgasme. Elle accélère encore et donne des mouvements plus longs, elle ne me fait plus l’amour mais ce gode franchement sur ma queue, le plaisir est fulgurent, Cécile plaque ses fesses contre mes cuisses, elle pousse un cri, inspire profondément, et s’effondre très rapidement sur moi. Je sens son cœur qui cogne dans sa poitrine. Je lui laisse le temps de reprendre son souffle, elle se redresse, me regarde, les yeux perdus, à demi fermés... Elle se retire et s’installe sur le dos, elle plonge ses yeux dans les miens et me demande de venir, je m’installe entre ses cuisses, elle empoigne ma queue et la dirige entre ses lèvres ouvertes et trempées. Elle ne m’a pas quitté du regard et fini par me dire : « baise-moi ». Je commence mon va et vient, très fort, très long, le corps de ma chérie danse au rythme de mes coups de butoir, je suis excité, je la fixe mais son regard est perdu, sa respiration soutenue. Sa poitrine se soulève, ses seins dansent, son corps se plie doucement comme pour mieux sentir ma queue l'envahir, j’accélère, elle gémit de plus en plus. Je prends ses jambes et les positionnent sur mes épaules, dans cette position je bute au fond de son vagin et elle ne résiste généralement pas longtemps. Elle va jouir, je le sens, je le sais, tout est là. Sa respiration rapide, le rose sur ses joues, la sueur sur son corps, ses seins gonflés, ses cris qu’elle ne dissimule plus du tout. J’accélère encore et elle m’agrippe soudainement, un cri aigu part du fond d’elle-même, son corps est parcouru de spasme, je suis encore en mouvement en elle et je sens que ma jouissance approche. Je regarde ma chérie, le corps plié en deux, elle relève la tête, plisse ses yeux, me regarde, une expression de bonheur inonde son visage. Elle essaie de me sourire sans y parvenir tant elle est rompue de fatigue, inondée de plaisir, je me retire prestement, et me branle face à elle, elle caresse ses seins et mon plaisir me submerge, mon sperme s'écoule de mon sexe par vagues successives, je jouis comme j'ai rarement joui, mon sperme s’étale sur ses seins qu’elle caresse toujours, elle en délaisse un afin de finir de me branler. Je m’effondre contre elle et m’assoupi quelques peu. J’ouvre les yeux, quelques minutes à peine se sont écoulées, je l’observe, elle est belle, rayonnante, j’ai de la chance de l’avoir à mes côtés. Je me lève sans la réveiller et file prendre une bonne douche.
Elle me rejoint dans la salle de bain lorsque je sors de la douche, elle s’approche près de moi et m’embrasse tendrement, elle me dit qu’elle a pris son pied comme une folle et que c’était trop bon, elle saute dans la douche et je rejoins la chambre et m’affale sur le lit. J’aimerai rester éveillé jusqu’à son retour dans le lit mais la fatigue me terrasse…
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