Thermes Belges Part.5
Récit érotique écrit par Freredecul [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 14 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Thermes Belges Part.5
Je ressens des choses bizarres au niveau de mon sexe, est-ce un rêve ou la réalité,
j’entrouvre les yeux difficilement et j’aperçois Cécile me massant les boules. Elle
est nue, encore quelques gouttes d’eau sur sa peau me rappelant qu’elle était sous la
douche. Elle commence à donner des petits coups de langues rapides et réguliers sur
mon gland. Cela me fait frissonner de plaisir. Puis les coups de langue commence à
durer plus longtemps et elle fini par prendre l’extrémité de ma verge dans sa bouche
et l’aspire doucement. Sa main masse toujours mes boules tandis que l’autre me caresse
le bas ventre, elle fait cela tout en continuant à me fixer du regard. Elle est
torride, puis elle ouvre plus grand la bouche pour prendre mon sexe quasi entièrement.
Là débute un mouvement de va-et-vient buccal très plaisant. Elle serre les lèvres sur
mon sexe tout en donnant parfois un tour de langue à ma queue à l’intérieur de sa
bouche. Elle me branle de temps à autre la base de mon sexe en suçant le reste, puis à
plusieurs reprises elle retire sa bouche et me branle bien à fond.
Je lui fais signe de se mettre en 69 pour que je puisse goûter à son minou, elle
pivote et m’enjambe. Je me rends compte qu’elle mouille déjà beaucoup, la fellation
qu’elle me fait semble lui procurer beaucoup de plaisir. Je passe de petit coup de
langue rapide sur ses lèvres et joue un petit peu avec son petit bouton tendu, je
parcours l’intérieur de ses lèvres et plonge ma langue au plus profond. J’introduis
deux doigts dans sa chatte tout en continuant à titiller son clitoris de ma langue. Le
plaisir que cela lui procure et les gémissements qu’elle n’arrive plus à contenir lui
font lâcher mon sexe. J’en profite alors pour l’allonger sur le lit et l’embrasser
tout en la doigtant énergiquement. Puis je m’installe pour la lécher de manière plus
approfondie. Son minou est un vrai régal. Sans trop de problème je peux lui enfoncer
trois doigts tout en continuant de titiller son petit clitoris. Elle gémit et guide
mes initiatives par des sons plus ou moins aigus et répétés. Son ventre se contracte
et elle part dans un orgasme rapide et puissant. Je stoppe mon activité et attend
qu’elle revienne à elle.
Elle ouvre les yeux et se relève légèrement, elle me fixe et me dit « baise-moi ». Sa
voix est sensuelle et chaude. Je m’approche d’elle, et tout en l’embrassant je la
pénètre d’un grand coup de reins. Elle ne proteste pas, bien au contraire, ça semble
lui plaire. Même dans cette position Cécile est tout sauf passive, les images de notre
week-end et les désires qu’elle avait pour la soirée la rende folle. Elle ne peut se
laisser aller et accompagne mes aller-retour de mouvements du bassin. Alors que
j’avais le sentiment de donner des coups de reins assez violents pour faire monter son
plaisir elle me demande de la prendre à quatre pattes. Là elle se met en levrette,
écarte ses fesses et me dit « défonce-moi ». Que faire d’autre, j’obéis immédiatement
à ses ordres. Le bruit de mes couilles retentit de plus en plus fort contre son clito,
Cécile semble apprécier et glisse une main entre ses jambes et titille son petit
bouton. Le rythme est littéralement frénétique, si je n’avais pas éjaculé cinq fois en
vingt-quatre heures, j’aurai déjà rendu les armes.
La vision de son petit cul tendu me rend fou et je commence à lui titiller le petit
trou d’un doigt sec. Puis je le mouille légèrement à l’aide de sa chatte humide et je
recommence. Je mets un peu plus de mouille sur son anus et enfonce un doigt. Ça rentre
sans problème alors j’en mets deux. Puis je retire ma bite de sa chatte et la
présente à l’entrée de son petit trou. Le passage est fait, je pousse légèrement et
mon gland disparaît, je ressors et d’un deuxième coup de reins je rentre entièrement.
Elle m’encourage à aller fort, la taille de mon sexe dans son anus ne semble pas la
gêner, car je sens que les doigts qui titillaient son clitoris tout à l’heure, ont
pris procession de son minou, je suis aux anges, j’ai une vue imprenable sur son cul
dilaté par mon sexe et je ressens la pression de ses doigts à travers la fine paroi
qui nous sépare. Elle crie et hâlette, je la défonce à grands coups de reins, la
sensation dans son anus est incroyable. Pendant dix bonnes minutes je la pistonne à
fond, elle crie de plus en plus fort, elle se tend en arrière et jouis simultanément
du cul et de la chatte. Les contractions de son orgasme m’achèvent et je me retire de
son petit cul et me branle au-dessus de ses fesses. Je gicle sur le bas de son dos et
quelques gouttes coulent entre ses fesses. Elle se laisse tombé d’épuisement, je
retire avec un mouchoir les quelques gouttes sur son corps et me blottît contre elle,
elle dort déjà et je ne vais pas tarder non plus.
La lumière filtrant à travers les rideaux me pousse à entrouvrir les yeux, je suis
entièrement nu contre Cécile qui ne possède aucun vêtement non plus. Nous nous sommes
endormis brutalement après une partie de jambe en l’air extraordinaire. Je l’embrasse
tendrement sur un sein afin de la réveiller, elle grogne un peu et se retourne sur le
côté opposé, je caresse ses cheveux, le haut de son corps, je passe ma main dans son
dos, puis je descends sur ses hanches. Je colle mon corps contre le sien, je passe
l’une de mes jambes entre les siennes, je la désire plus que tout. Mes caresses se
font plus pressantes, je loge des baisers passionnés dans son cou, puis glisse une
main sur son ventre, elle soupire, je remonte jusqu’à ses seins et les masse
tendrement. Les soupires se transforment peu à peu en petits gémissements, cela me
pousse à continuer mon exploration. J’entame une descente progressive vers son
entrejambe, mes doigts titillent son clitoris puis ses lèvres, pendant que je la
caresse, elle glisse une main derrière son dos et saisit mon sexe tendu comme jamais.
Elle me caresse d’abord lentement, puis entame des va-et-vient plus rapide en serrant
ma bite bien fort. Je ferme les yeux de plaisir, je la pénètre avec deux doigts, elle
ne peut retenir un soupir de satisfaction. Son dos se cambre, elle ne contrôle plus
rien. Mes va-et-vient sont plus rapides, je suis au même rythme que le sien sur ma
queue, je sens son plaisir monter mais je sais qu’elle ne jouira que quand je la
pénétrerai, le matin elle garde son plaisir pour la pénétration. Elle est prête à me
recevoir, elle accompagne de sa main mon sexe jusqu’au sien. Le moment approche, nos
sexes se frôlent, je la pénètre avec une infinie douceur, ce matin ce ne sera que
tendresse et amour, elle se cambre aussitôt, retenant un puissant soupir de plaisir.
Je commence des va-et-vient, amples et doux. Je caresse encore et encore ses seins
tendus, j’embrasse son dos et son cou sans fin. Mes mouvements se font plus rapides,
le plaisir ne cesse de monter, elle ne tiens plus, je glisse mon bras sous elle, elle
se redresse sur son coude et donne un angle divin à cette pénétration. Cette position
me permet de caresser un sein d’une main et de glisser l’autre vers son intimité. Je
veux rester doux et tendre, je fais juste rouler deux doigts au niveau de son clitoris
tendu. Elle s’agrippe d’une main au drap et de l’autre serre mon bras, je sens qu’elle
résiste à ce plaisir qui monte en elle, son souffle est quasi coupé. Mes mouvements
sont de plus en plus rapides, je sens l’orgasme qui pointe le bout de son nez au bout
de nombreuses minutes d’intense plaisir. Après quelques mouvements encore, c’est
l’extase la plus totale, ses ongles s’enfoncent dans mon bras, elle lâche un
gémissement libérateur et les spasmes de son vagin m’entraînent vers un orgasme
intense. Des jets puissants se répandent à l’intérieur de ses chairs et elle
s’effondre sur le matelas.
Nous reprenons nos esprits difficilement, je reste contre elle et en elle quelques
minutes encore. Elle relève la tête, se retourne et m’embrasse tendrement, je l’enlace
un long moment, je me sens bien ici avec elle. C’est ce satané réveil qui nous sort de
cet apaisement, l’heure du petit déjeuner approche et un brin de toilette ne nous
ferait pas de mal. Cécile se lève délicatement afin de ne pas répandre sur le plancher
ma semence qui cherche à sortir de son abricot. Je la regarde partir vers la salle de
bain, son petit cul est magnifique et l’image du renflement de ses lèvres fini de me
réveiller. Je saute du lit et prend la suite dans la douche. Nous retrouvons nos amis
en bas de l’hôtel et nous allons prendre notre petit déjeuner tranquillement. Wilfried
à meilleur mine, la douleur qu’il avait dans le dos l’a quitté, ce qui va nous
permettre de nous balader dans Bruxelles cette après-midi.
La balade dans la capitale se passe superbement bien, il fait beau, nous trouvons une
petite brasserie très sympa pour midi. Nous avons prévu d’aller faire un petit tour
vers le Pigalle Bruxellois juste avant de reprendre la route. Le repas expédié, nous
voilà à déambuler devant les sex-shops. L’un d’eux parait plus cool et moins glauques
que les autres et nous décidons d’y entrer, Cécile et moi avions prévu d’agrandir
notre collection de jouet et les marques présentées nous intéressent. L’accueil est
extra, le gérant de l’établissement nous met tout de suite à l’aise et sort des boites
les jouets qui nous plaisent. Wilfried et Eline regardent attentivement le Wevibe2, le
vendeur leur fait l’article et nous en rajoutons une couche en leurs expliquant que
nous l’avons et que le plaisir des vibrations sur le clitoris ainsi que celles sur le
sexe de l’homme lors de la pénétration font montés l’orgasme de la femme très
rapidement. Ils se décident pour ce joujou et notre choix s’arrête sur un œuf vibrant
télécommandé qui nous amuse beaucoup. Nous ressortons de la boutique avec chacun son
petit sachet plastique discret, ce qui est amusant c’est que tous les sex-shops de la
rue distribuent les mêmes sachets à leurs clients, ce qui fait que dans Bruxelles, il
est plutôt facile de retrouver les petits coquins. Le retour vers la France est calme,
tout le monde serait bien resté dans ce délire érotique Belge mais toutes les bonnes
choses ont une fin. Notre séparation devant chez Wilfried et Eline se termine par un
accord commun de repartir dès que possible et surtout de se retrouver régulièrement
via face-time afin de planifier ce prochain week-end et pourquoi pas faire quelques
galipettes devant l’objectif…
j’entrouvre les yeux difficilement et j’aperçois Cécile me massant les boules. Elle
est nue, encore quelques gouttes d’eau sur sa peau me rappelant qu’elle était sous la
douche. Elle commence à donner des petits coups de langues rapides et réguliers sur
mon gland. Cela me fait frissonner de plaisir. Puis les coups de langue commence à
durer plus longtemps et elle fini par prendre l’extrémité de ma verge dans sa bouche
et l’aspire doucement. Sa main masse toujours mes boules tandis que l’autre me caresse
le bas ventre, elle fait cela tout en continuant à me fixer du regard. Elle est
torride, puis elle ouvre plus grand la bouche pour prendre mon sexe quasi entièrement.
Là débute un mouvement de va-et-vient buccal très plaisant. Elle serre les lèvres sur
mon sexe tout en donnant parfois un tour de langue à ma queue à l’intérieur de sa
bouche. Elle me branle de temps à autre la base de mon sexe en suçant le reste, puis à
plusieurs reprises elle retire sa bouche et me branle bien à fond.
Je lui fais signe de se mettre en 69 pour que je puisse goûter à son minou, elle
pivote et m’enjambe. Je me rends compte qu’elle mouille déjà beaucoup, la fellation
qu’elle me fait semble lui procurer beaucoup de plaisir. Je passe de petit coup de
langue rapide sur ses lèvres et joue un petit peu avec son petit bouton tendu, je
parcours l’intérieur de ses lèvres et plonge ma langue au plus profond. J’introduis
deux doigts dans sa chatte tout en continuant à titiller son clitoris de ma langue. Le
plaisir que cela lui procure et les gémissements qu’elle n’arrive plus à contenir lui
font lâcher mon sexe. J’en profite alors pour l’allonger sur le lit et l’embrasser
tout en la doigtant énergiquement. Puis je m’installe pour la lécher de manière plus
approfondie. Son minou est un vrai régal. Sans trop de problème je peux lui enfoncer
trois doigts tout en continuant de titiller son petit clitoris. Elle gémit et guide
mes initiatives par des sons plus ou moins aigus et répétés. Son ventre se contracte
et elle part dans un orgasme rapide et puissant. Je stoppe mon activité et attend
qu’elle revienne à elle.
Elle ouvre les yeux et se relève légèrement, elle me fixe et me dit « baise-moi ». Sa
voix est sensuelle et chaude. Je m’approche d’elle, et tout en l’embrassant je la
pénètre d’un grand coup de reins. Elle ne proteste pas, bien au contraire, ça semble
lui plaire. Même dans cette position Cécile est tout sauf passive, les images de notre
week-end et les désires qu’elle avait pour la soirée la rende folle. Elle ne peut se
laisser aller et accompagne mes aller-retour de mouvements du bassin. Alors que
j’avais le sentiment de donner des coups de reins assez violents pour faire monter son
plaisir elle me demande de la prendre à quatre pattes. Là elle se met en levrette,
écarte ses fesses et me dit « défonce-moi ». Que faire d’autre, j’obéis immédiatement
à ses ordres. Le bruit de mes couilles retentit de plus en plus fort contre son clito,
Cécile semble apprécier et glisse une main entre ses jambes et titille son petit
bouton. Le rythme est littéralement frénétique, si je n’avais pas éjaculé cinq fois en
vingt-quatre heures, j’aurai déjà rendu les armes.
La vision de son petit cul tendu me rend fou et je commence à lui titiller le petit
trou d’un doigt sec. Puis je le mouille légèrement à l’aide de sa chatte humide et je
recommence. Je mets un peu plus de mouille sur son anus et enfonce un doigt. Ça rentre
sans problème alors j’en mets deux. Puis je retire ma bite de sa chatte et la
présente à l’entrée de son petit trou. Le passage est fait, je pousse légèrement et
mon gland disparaît, je ressors et d’un deuxième coup de reins je rentre entièrement.
Elle m’encourage à aller fort, la taille de mon sexe dans son anus ne semble pas la
gêner, car je sens que les doigts qui titillaient son clitoris tout à l’heure, ont
pris procession de son minou, je suis aux anges, j’ai une vue imprenable sur son cul
dilaté par mon sexe et je ressens la pression de ses doigts à travers la fine paroi
qui nous sépare. Elle crie et hâlette, je la défonce à grands coups de reins, la
sensation dans son anus est incroyable. Pendant dix bonnes minutes je la pistonne à
fond, elle crie de plus en plus fort, elle se tend en arrière et jouis simultanément
du cul et de la chatte. Les contractions de son orgasme m’achèvent et je me retire de
son petit cul et me branle au-dessus de ses fesses. Je gicle sur le bas de son dos et
quelques gouttes coulent entre ses fesses. Elle se laisse tombé d’épuisement, je
retire avec un mouchoir les quelques gouttes sur son corps et me blottît contre elle,
elle dort déjà et je ne vais pas tarder non plus.
La lumière filtrant à travers les rideaux me pousse à entrouvrir les yeux, je suis
entièrement nu contre Cécile qui ne possède aucun vêtement non plus. Nous nous sommes
endormis brutalement après une partie de jambe en l’air extraordinaire. Je l’embrasse
tendrement sur un sein afin de la réveiller, elle grogne un peu et se retourne sur le
côté opposé, je caresse ses cheveux, le haut de son corps, je passe ma main dans son
dos, puis je descends sur ses hanches. Je colle mon corps contre le sien, je passe
l’une de mes jambes entre les siennes, je la désire plus que tout. Mes caresses se
font plus pressantes, je loge des baisers passionnés dans son cou, puis glisse une
main sur son ventre, elle soupire, je remonte jusqu’à ses seins et les masse
tendrement. Les soupires se transforment peu à peu en petits gémissements, cela me
pousse à continuer mon exploration. J’entame une descente progressive vers son
entrejambe, mes doigts titillent son clitoris puis ses lèvres, pendant que je la
caresse, elle glisse une main derrière son dos et saisit mon sexe tendu comme jamais.
Elle me caresse d’abord lentement, puis entame des va-et-vient plus rapide en serrant
ma bite bien fort. Je ferme les yeux de plaisir, je la pénètre avec deux doigts, elle
ne peut retenir un soupir de satisfaction. Son dos se cambre, elle ne contrôle plus
rien. Mes va-et-vient sont plus rapides, je suis au même rythme que le sien sur ma
queue, je sens son plaisir monter mais je sais qu’elle ne jouira que quand je la
pénétrerai, le matin elle garde son plaisir pour la pénétration. Elle est prête à me
recevoir, elle accompagne de sa main mon sexe jusqu’au sien. Le moment approche, nos
sexes se frôlent, je la pénètre avec une infinie douceur, ce matin ce ne sera que
tendresse et amour, elle se cambre aussitôt, retenant un puissant soupir de plaisir.
Je commence des va-et-vient, amples et doux. Je caresse encore et encore ses seins
tendus, j’embrasse son dos et son cou sans fin. Mes mouvements se font plus rapides,
le plaisir ne cesse de monter, elle ne tiens plus, je glisse mon bras sous elle, elle
se redresse sur son coude et donne un angle divin à cette pénétration. Cette position
me permet de caresser un sein d’une main et de glisser l’autre vers son intimité. Je
veux rester doux et tendre, je fais juste rouler deux doigts au niveau de son clitoris
tendu. Elle s’agrippe d’une main au drap et de l’autre serre mon bras, je sens qu’elle
résiste à ce plaisir qui monte en elle, son souffle est quasi coupé. Mes mouvements
sont de plus en plus rapides, je sens l’orgasme qui pointe le bout de son nez au bout
de nombreuses minutes d’intense plaisir. Après quelques mouvements encore, c’est
l’extase la plus totale, ses ongles s’enfoncent dans mon bras, elle lâche un
gémissement libérateur et les spasmes de son vagin m’entraînent vers un orgasme
intense. Des jets puissants se répandent à l’intérieur de ses chairs et elle
s’effondre sur le matelas.
Nous reprenons nos esprits difficilement, je reste contre elle et en elle quelques
minutes encore. Elle relève la tête, se retourne et m’embrasse tendrement, je l’enlace
un long moment, je me sens bien ici avec elle. C’est ce satané réveil qui nous sort de
cet apaisement, l’heure du petit déjeuner approche et un brin de toilette ne nous
ferait pas de mal. Cécile se lève délicatement afin de ne pas répandre sur le plancher
ma semence qui cherche à sortir de son abricot. Je la regarde partir vers la salle de
bain, son petit cul est magnifique et l’image du renflement de ses lèvres fini de me
réveiller. Je saute du lit et prend la suite dans la douche. Nous retrouvons nos amis
en bas de l’hôtel et nous allons prendre notre petit déjeuner tranquillement. Wilfried
à meilleur mine, la douleur qu’il avait dans le dos l’a quitté, ce qui va nous
permettre de nous balader dans Bruxelles cette après-midi.
La balade dans la capitale se passe superbement bien, il fait beau, nous trouvons une
petite brasserie très sympa pour midi. Nous avons prévu d’aller faire un petit tour
vers le Pigalle Bruxellois juste avant de reprendre la route. Le repas expédié, nous
voilà à déambuler devant les sex-shops. L’un d’eux parait plus cool et moins glauques
que les autres et nous décidons d’y entrer, Cécile et moi avions prévu d’agrandir
notre collection de jouet et les marques présentées nous intéressent. L’accueil est
extra, le gérant de l’établissement nous met tout de suite à l’aise et sort des boites
les jouets qui nous plaisent. Wilfried et Eline regardent attentivement le Wevibe2, le
vendeur leur fait l’article et nous en rajoutons une couche en leurs expliquant que
nous l’avons et que le plaisir des vibrations sur le clitoris ainsi que celles sur le
sexe de l’homme lors de la pénétration font montés l’orgasme de la femme très
rapidement. Ils se décident pour ce joujou et notre choix s’arrête sur un œuf vibrant
télécommandé qui nous amuse beaucoup. Nous ressortons de la boutique avec chacun son
petit sachet plastique discret, ce qui est amusant c’est que tous les sex-shops de la
rue distribuent les mêmes sachets à leurs clients, ce qui fait que dans Bruxelles, il
est plutôt facile de retrouver les petits coquins. Le retour vers la France est calme,
tout le monde serait bien resté dans ce délire érotique Belge mais toutes les bonnes
choses ont une fin. Notre séparation devant chez Wilfried et Eline se termine par un
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