Thomas(III) Françoise - histoire érotique

Thomas m'emmena chez lui en disant à sa femme Françoise qu'il revenait avec un copain. Un copain qu’il traita comme une maîtresse sur le trajet.
Je découvrais Françoise petite brune fine et sèche. Je me demandais quel numéro elle portait. Nous fîmes les présentations et nous passèrent au salon.

Thomas partit s’entretenir en aparté avec Françoise

-J'ai l’ai retrouvé, nous nous étions pas vus depuis longtemps et nous avons parlé de tout et de rien et lorsque nous avons abordé le sexe, il m'a avoué avoir des penchants pour le travestissement et rêve de s’habiller en soubrette. Je lui dit que pendant un mois il pourrait assouvir son fantasme d'être femme loin de chez lui. Ici chez nous pourrions l'employer comme domestique pendant un mois bénévolement. Je voulais te faire une surprise car cela te déchargerait ; sinon je le ramène illico à la gare. Françoise réfléchit et me rejoignit

-Elle me demanda de me lever et fît le tour. Elle m’interrogea sur ce que je savais faire, j’ai dû avouer que mes qualités en cuisine étaient maigres. Françoise m’avertit qu’il fallait vite apprendre si l’on voulait être employé et donc que je serais ici en formation à l'essai. Elle voulut me voir en tenue de service.

Je revins avec ma petite robe noire et mon chemisier, mes boucles d’oreilles et je baissai les yeux.

-Cela est plus convaincant, déclara-t-elle

-Et bien j’accepte de t’employer à l’essai, mais c’est toi qui me paieras tes heures de travail, sauf si je te prête à quelqu’un d’autre, dans ce cas je les encaisserai alors.

-Il te faudra un autre nom, je propose Anita.

-Tu arrêteras les familiarités, avec Thomas et moi, tu nous vouvoieras et sera Madame et Monsieur.

- Bien Madame

Tout de suite, je me mis au travail domestique.

Je logeais dans la chambre d'amis.

Le lendemain, Françoise voulu que je l’emmène en ville,

-Mets des habits courants pour sortir, tu vas me conduire en ville

j’enfilais un lingins et des petites tennis

-j’ai confisqué toute ta lingerie et ton parfum, on va choisir de quoi t’habiller en dessous : des culottes premier prix et une chemise de nuit en coton, plutôt que du satin. Tu es une domestique à l’essai, ne l’oublie pas !

Puis on entra dans un sex shop, Françoise choisit une cage de chasteté rose, un vagin en plastique, que je devrais plus tard placer entre mes fesses. Je réglai, en tapant mon code sous son regard et nous nous sommes tout de suite compris, Françoise récupéra ma carte bancaire, elle me demanda d’aller en cabine enfiler la cage, je lui répondis qu’il fallait un moment plus solennel. Elle m’assigna deux gifles en public disant

-Voilà !

,et je répondis

-Oui, Madame !

La cage de chasteté me changea, une frustration m’envahit. Je ne pouvais plus toucher mon sexe. Alors, je me caressais les seins, les fesses. J’avais besoin d’une autre présence. Je portais ce vagin en silicone entre mes fesses. Et après une semaine, ce moment arriva, Thomas rentra plus tôt de son travail, j’étais à la cuisine en tenue penché(e) sur l’évier. Il baissa ma culotte, sortit son sexe et l’ introduisit dans le vagin siliconé puis rentra en moi.

-Oh merci, Mon Chéri !
-Tais toi, petite pute !
Répondit-il avec deux claques sur mes fesses
Il me finit en me plaquant sur la table
Je me suis retourné
-Voulez vous me laisser vous nettoyer, Monsieur ?
Dis-je en enfournant son sexe dans ma bouche
-Tu vois, comme tu peux être une bonne petite pute.


Françoise rentra et m’indiqua que nous recevrions à dîner le lendemain. Il fallait que je sois exemplaire. Elle m'envoya chez l'esthéticienne le matin , avec une liste de courses.
-Ne t'inquiète pas, je l'ai appelée et je lui expliqué ce qu'il fallait faire.

Je sortais de chez l'esthéticienne, avec jambes et fesses rigoureusement épilées, un maillot en triangle et une légère touche de maquillage. Ce qui me fit remarquer au supermarché.

Je soignais ma tenue, renonçais au vagin siliconé entre mes fesses, au cas où l’on pu le voir. Je fis briller mes ballerines et repassais mon chemisier.

On sonna à la porte :
-Anita, Va ouvrir !
Me présenter devant un ou une inconnue en tenue, était nouveau ; mais je n’osais pas contredire ma patronne.
Alors que j’attendais un couple, un homme d’une cinquantaine d’années se présenta. Je fis une révérence en baissant les yeux

-Bonsoir Monsieur, je vous prie de vous installer, puis je vous débarrasser ?

Après le dîner, alors que je finissais de ranger la cuisine, Françoise m’appela

-Anita, je me passerai de tes services quelque temps. J’ai préparé ta valise, tu rentreras avec Monsieur ce soir.

L’homme déposa sa veste sur mes épaules, porta la valise, Il m’ouvrit la portière de sa berline. Étais-je en train de changer de statut ?

Sur la route, je remontais un peu ma jupe , il introduisit sa main dessous et me caressa les cuisses...