Tim joue à domicile - histoire érotique

Trois semaines après le fabuleux week end qu’on avait passé avec Tim ( Voir « Tim, la totale »), on reçut un SMS nous invitant à passer un week end chez lui. Précisant que Léa ne serait toujours pas là, retenue à Londres par son séjour professionnel…Paulo étant reparti aux quatre coins de la planète, on décida avec Rémi, d’y aller. Deux heures de voiture et on y est. Tim nous accueille, en slip- brief vermillon, très chouette- très chaleureusement. Sa tenue nous met tout de suite dans l’ambiance ! Leur petite maison est pas mal du tout. Apparemment, il n’a pas l’air trop déçu que Paulo ne soit pas là. Ce qui est cool c’est qu’il n’y a aucune gêne entre nous. La dernière fois, on est allé dans un tel degré d’intimité… De plus, on sait parfaitement tous pourquoi on est là.
Histoire de plomber l’ambiance, Rémi lui demande s’il a parlé avec Léa !
« - J’ai pas encore osé lui en parler directement mais je lui ai déjà fait comprendre que j’avais passé un SUPER week end… Très très chaud… Je sais pas si elle a compris. »Comme l’après midi n’est pas très avancée et qu’il fait super beau, Tim nous demande si ça nous dirait d’aller faire un tour à la plage qui n’est qu’à une petite heure d’ici.
« -Ca nous rappellera des bons souvenirs… » glisse-t-il.
On fonce jusque là et on fille se baigner direct. L’eau est encore chaude de l’été. Il y a un peu de monde mais pas comme en été. Comme des grands gosses- qu’on est encore un peu -, on chahute, on se fait couler, on se caresse sous l’eau…Je crois remarquer que Tim colle pas mal Rémi qui le lui rend bien. On revient se dorer sur nos serviettes, collés l’un à l’autre. Tout ceci commence à nous mettre tous dans un certain état de tension sexuelle. Ca commence à se voir au renflement de nos slips de bain. Des mains s’égarent sous les fesses des uns et des autres. Parfois même, quelques doigts se glissent sous le tissu des maillots, en toute discrétion. En apparence, on est tous les trois entrain de se dorer au soleil.
Pour se refroidir (?), on refile dans l’eau. Là, chacun son tour, on plonge sous l’eau pour venir agacer le slip des deux autres et surtout ce qu’il y a dedans. Super bon. On retourne se sécher au soleil et c’est alors que Tim nous propose :« -Si ça vous dit, je connais un petit coin tranquille pas loin d’ici, dans l’arrière plage… ?
-OK ! »On remballe la serviette et il nous emmène dans de petites dunes, en arrière de la plage. On marche environ dix minutes pour arriver au bout de la plage, à l’écart des chemins d’accès. On s’installe dans un creux de sable, à l’abri de tout regard.
Aussitôt, Rémi et moi, on saute littéralement sur Tim, saturés de désirs trop contenus. On colle nos deux visages sur son slip de bain et on commence à le chauffer sérieux, à travers le tissu même.
« -Pitié ! Enlevez le moi ! » souffle Tim.
Ce qu’on fait, libérant son gourdin qui nous explose au visage. Tiens ! Il s’est rasé entièrement le pubis depuis la dernière fois. Ca fait paraître sa bite encore plus longue ! Pour bien commencer, on le lui lèche à deux, de chaque côté de sa hampe. Il a soulevé son bassin, offert. Il nous a aussi disposés en 69 pour nous avoir à sa main. Il fourrage dans nos slips. Trop bien. A tour de rôle, on va alors le sucer délicatement. En cédant mon tour à Rémi, je remarque une tête qui disparaît sous une crête de sable, non loin de là. Finalement, le coin n’est pas si discret que ça…Je décide de ne rien dire aux autres, émoustillé par le côté voyeur et exhib.
Pour le côté pratique, Rémi propose qu’on se dispose en triangle, chacun suçant et se faisant sucer. Comme il a été à l’origine de l’idée, Rémi se réserve la place de choix, à savoir sucer Tim. Oui, mais ce sera chacun son tour quand même. On passe ainsi un sacré bout de temps, super agréable. C’est Tim qui va nous demander si on ne peut pas explorer « l’autre face ». Sans problème bien sûr. Cette fois, c’est moi qui m’occupe de la raie de Tim. Qui dit raie, dis forcément rondelle. Avec aussi force caresses sur les bites. Trop bon.
Bizarrement, Tim propose alors de se rendre dans la ville toute proche. Pourquoi pas mais on commençait à être bien chauds… Les terrasses sont encore bien remplies. On a du mal à trouver une table pour boire un verre. On hésite entre se faire un resto ou retourner chez Tim. Finalement, Tim insiste pour qu’on rentre chez lui, il a tout prévu, dit-il. Sur la route du retour, je leur dit qu’en fait on a été maté tout le temps qu’on était dans la dune. Tim a l’air surpris, pas nous.
Arrivés chez lui -une petite maison avec un petit jardin -, Tim propose « qu’on se mette à l’aise ». On a compris, ça veut dire en slips, comme lui. On dirait qu’il y a pris goût… Ca permet aussi, mine de rien de se frôler, de se câliner, de se toucher…Tim est raide comme la justice. Nous, ça va encore… N’empêche que Rémi le colle régulièrement par l’arrière en lui agaçant les tétons. Tim nous propose de boire des coups en attendant le repas qu’il a prévu par traiteur. La tension remonte doucement entre nous, à force de se coller cuisse contre cuisse dans le canapé, de se caresser les cheveux, les pecs, les abdos, tout en sirotant nos apéros . On en meurt d’envie mais on fait durer… Rémi a carrément glissé sa main dans le slip de Tim et lui caresse doucement la bite qui tend le tissu à l’extrême. Moi, je passe derrière le canapé et frotte mon slip contre les cheveux de Tim. Bref, on s’agace à qui mieux mieux…Le dîner va être chaud et joyeux. Déjà, il va être trop bon. Tim nous a vraiment gâtés. Les vins sont excellents, eux aussi. L’ambiance est très cosy. Bougies partout, musique douce… Bien que très jeune, Tim sait déjà y faire quant à la manière de recevoir. C’est rare. La conversation roule essentiellement sur le sexe, bien sûr. Tim est avide de détails quant à notre vie à trois. Il veut tout savoir. Il dit aussi qu’il est bluffé par notre manière de voir le truc. Après le dessert, Rémi nous annonce :« -Wouah ! J’ai trop bien mangé, moi. J’ai plus qu’une envie, c’est d’aller dormir ! »Ca fait rigoler tout le monde mais ça donne aussi le signal du départ vers la chambre. Tim et Léa ont, eux aussi un lit king size. On s’y jette et on s’empoigne les uns les autres en roulant sur le lit, cherchant à s’embrasser avec avidité. Rémi, justement, s’est accaparé Tim et n’a pas l’intention de le lâcher de sitôt. Il lui dévore la bouche tout en l’enserrant de ses deux jambes. Hé ! Je me mets où, moi ? Alors, je viens jouer les trouble- fêtes en essayant, moi aussi, de l’embrasser. Comme c’est pas trop ça, je me replie sur l’arrière de son slip… J’y glisse mes deux mains et je commence à lui malaxer le cul. Tim, lui aussi, a un beau cul. Bien rebondi, avec deux beaux globes et une belle raie. Je ne résiste pas au plaisir de faire glisser son slip doucement vers le bas. Pour cela je dois dégager sa bite. J’en profite pour faire glisser celui de Rémi aussi. Direct, je lui caresse le périnée, juste sous ses couilles. Puis je joue avec ses boules, parfaitement rasées. Trop douces. Je ne résiste pas au plaisir de lui lécher la raie tout en lui titillant sa rosette du bout de mon majeur. Il ondule des fesses. Là haut, Rémi et Tim se dévorent la bouche à qui mieux mieux, en se frottant énergiquement, bite contre bite. Je leur « emprunte » de la cyprine sur le bout de leurs glands pour m’en enduire le majeur et commencer ma petite exploration. Je passe mon doigt plus facilement que la première fois. Je me mets à le dilater du mieux possible. J’ai déjà dans l’idée de lui passer un gode dès que je pourrai.
Tim propose alors un changement de position. Un petit 69 ? Un double, alors. Rémi et moi on s’allonge côte à côte et Tim se met en levrette par-dessus nous, nous offrant sa bite et sa raie Tim va nous délester de nos deux slips, non pas brutalement mais avec beaucoup de retenue, pour nous exciter encore plus. Puis, il va coller nos deux bites l’une à l’autre, nous les branler doucement, jouer avec nos quatre boules et lécher nos deux glands en essayant d’enfourner le tout dans sa large bouche. Trop trop bon de sentir la bite de Rémi contre la mienne, la main de Tim et ses lèvres sur mon gland. De notre côté, on s’active sur ses couilles, sa raie, sa rondelle, sa hampe, son gland. Joue contre joue, langues en action. Il couine de plaisir.
C’est là que Rémi imagine de lui passer un gode. Y a-t-il besoin de lui demander ? Il le fait quand même. C’est évidemment oui. Comme par hasard, le gode-moule de la bite de Paulo-, est déjà à proximité, apporté par Rémi, prévoyant. Gel partout et c’est parti pour lui mettre tout en douceur. Il dit qu’il aime et qu’il va direct aller s’en acheter un dès lundi. On lui dit aussi que c’est la réplique de la bite de Paulo. Il apprécie. Arrivé au fond, on le lui fait coulisser lentement. Il grogne. On passe ainsi un très bon moment.
« -P…. ! C’est vachement bon d’avoir un gode comme ça dans le cul ! Surtout quand c’est la bite de Paulo !»Rémi propose alors à Tim qu’il nous prenne tous les deux, « en force ».
« -Tu es sûr ? J’ai peur de vous faire mal…-T’inquiète ! On en meurt d’envie. »On se place alors tous les deux en levrette, collés l’un à l’autre. Tim, à genoux derrière nous, nous enduit copieusement de gel. Il n’oublie pas son gland. Il commence par Rémi mais il n’ose pas trop. Alors, Rémi le stimule par les mots.
« -Vas y ! mets la moi ta grosse bite ! A fond ! Baise moi ! »Tim, émoustillé, force et passe son gland.
« -Wooouuuh ! » hurle Rémi.
« -Tout va bien ?
-Oui, vas y ! Trombonne moi ! » lui répond Rémi.
Tim s’enfonce avec délice dans le cul de Rémi.
« -Aaaah ! P…. ! C’est trop bon !
« -Hé ! M’oublie pas ! » je lui lance.
« -J’arrive !!! »Il sort sa pine du cul de Rémi et vient me forcer d’un seul coup d’un seul.
« -Woooouuuuuuhhh ! » J’hurle.
Il vient au fond, direct. Trop bon sa grosse queue. Je la sens super bien m’envahir totalement. Quel engin ! J’ai l’impression qu’elle me remplit complètement. J’ai l’impression d’être à la place de Léa quand elle reçoit CA dans son vagin…« -Wow ! Je voudrais que tu restes ainsi toujours ! »Il se met à coulisser. Je la sens trop bien sa grosse pine qui se glisse en moi, occupant tout l’espace. Elle se fraie son chemin, centimètre par centimètre. Trop trop bon. Mais Rémi réclame, alors il se retire pour venir remplir Rémi. La sensation de vide est instantanée. Il va ainsi jongler avec nos deux trous pendant un délicieux long moment. Rémi demande alors si on ne pourrait pas tenter une double ? Tim, excité par la proposition et toujours avide d’expérience nouvelle, se déclare Ok. Je lui propose donc de s’allonger sous Rémi qui vient se planter sur son énorme pieu. Ne me reste plus qu’à essayer de me faufiler…J’y vais d’abord avec les doigts bien « gélifiés » puis je présente mon gland. Difficile, difficile vu que tout l’espace est déjà occupé par le pieu de Tim. Je m’entête quand même à la demande de Rémi. Au bout d’un moment, j’arrive à passer mon gland. Rémi souffle. Jamais je n’arriverai à me glisser entièrement en lui. Tim me dira qu’il a aimé sentir ma bite contre la sienne dans le trou de Rémi, même si on n’est pas allé à fond.
Rémi, trouvant la position agréable commence alors une super séance de monte et baisse, se soulevant et s’empalant sur la barre de Tim. Il a l’air d’y prendre beaucoup de plaisir. Cela me rappelle la première fois où on a vu Tim et Léa sur la plage ( voir « sea, sex and moon») quand ils faisaient l’amour pas loin de nous et que Léa s’empalait sur ce qui m’avait semblé être, malgré la nuit, un énorme pieu.
Je les laisse se donner tout le plaisir qu’ils veulent puis je propose à Tim de l’enculer à mon tour pendant qu’il fourrera Rémi. Il est OK , comme toujours. On se remet tous les deux à genoux derrière Rémi en levrette. Je n’ai pas trop besoin de le dilater vu que je viens juste de lui retirer le gode. Je passe mon gland et tout le reste.
« -Wow ! Trop cool ! J’aime ta bite !» me souffle-t-il.
Excité au plus haut point, je me mets à glisser en lui de plus en plus vite, ne cherchant pas à me synchroniser avec son mouvement à lui. Ce qui devait arriver, arriva. A un moment, j’éjaculais en lui tout ce que j’avais. Assez vite, je me retirais, vidé.
Longtemps, il continua à pistonner Rémi. A un moment, j’eus même la sensation qu’il se passait quelque chose entre eux, en plus du sexe. Rémi m’avait empoigné la main et me la serrait à la broyer… Dans un cri de fauve, il se vida dans Rémi qui s’arcbouta sous la sensation. Rémi, quant à lui, ne voulut pas jouir de suite. Il demanda à Tim de pouvoir s’endormir en étant enchassé en lui, en cuiller. Ce qu’il fit.
Au cours de la nuit, dans un demi sommeil, j’eus la sensation de sentir un mouvement derrière moi. Je ne voulus pas me réveiller complètement. J’en conclus que c’était probablement Rémi qui pistonnait Tim, en cuiller. Je décidais de ne pas me réveiller totalement et de les laisser s’envoyer en l’air tranquillement. Comme ils ne voulaient probablement pas me réveiller, ils ont fait ça « mezzo voce ». Du coup, J’ai trouvé que ça durait un sacré bout de temps. Bien sûr, ça m’a fait bander grave mais comme j’avais décidé de ne pas me manifester… Au réveil, je leur demandais s’ils avaient bien dormi, ils m’assurèrent que oui.
Puis on fila tous les trois sous la douche. On se savonna copieusement, on se caressa surtout très copieusement aussi. Rémi proposa à Tim de lui rafraichir la raie, la bite et les couilles, ainsi qu’à moi. Tim nous rendit la pareille tout de suite après. On lui jura de ne pas bouger d’un millimètre pendant cette délicate opération. Tim bandait comme un ours. Rémi lui dit que ça lui facilitait la tâche d’avoir sa bite dans cet état ! Il lui proposa même de lui en faire un moulage la prochaine fois qu’on se verrait.
La matinée se passa à déambuler en slips dans la maison de Tim, à préparer le repas, à rigoler surtout. Finalement Tim se révéla être un excellent cuistot. Décidément doué pour plein de choses le petit jeune ! Après le repas, Tim nous proposa de profiter des derniers beaux jours en allant prendre le soleil dans le jardin. Il étendit un très grand drap de coton dans l’herbe et on s’allongea, nus comme des vers, dessus, le jardin étant isolé par des brise-vues. On commença par consulter des magazines gays que Tim nous a amenés. Tim avait la main particulièrement baladeuse et il nous chauffait doucement. On le lui rendait bien. Ce qui fait qu’à un moment, il fallut passer aux choses sérieuses. Festival de léchages, de pompages, de branlages, de doigtages… On finit avec Tim à genoux, fourrant Rémi qui me suçait. Tim jouit dans le ventre de Rémi, je jouis dans la bouche de Rémi. Ne restait plus à Rémi qu’à fourrer Tim, ce qu’il prit un énorme et très long plaisir à faire…Deviendrais-je jaloux ? Après, pour le coup, on s’assoupit vraiment un bon moment dans le soleil.
Et puis, il fallut prendre congé de Tim. On le remercia pour ce bon week end, en promettant de se revoir, s’il le souhaitait… « -Trop trop bien ce p’tit week end, non ? Vous m’avez encore fait découvrir des trucs de ouf !
-Merci à toi surtout. De nous avoir si bien accueillis.
-C’est quand vous voulez, les gars ! »Dans la voiture du retour, je discutais longuement avec Rémi de…Tim.
« -Dis donc, Tim il a l’air de bien aimer ça, les relations homos…-C’est clair.
-Tu crois qu’il est plutôt bi ou carrément homo ?
-Je sais pas… Mais je dirais bien, carrément homo !
-J’ai l’impression que le retour de Léa va être compliqué, non ?
-C’est sûr…-Je sais pas trop mais on dirait qu’il te fait pas mal d’effet, Tim. Non ?
-- J’avoue…Il ne me laisse pas indifférent. Je le trouve touchant. Et puis, je me mets à aimer les très grosses bites !
-Désolé…-Mais, t’inquiète. C’est toi que j’aime ! »
On verra…