Tim la totale
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tim la totale
Paulo, toujours lui, conduit Tim vers le grand lit - qui en a vu tant ! – et demande à Tim de se mettre en levrette pour que Rémi puisse le dépuceler tout en douceur. Pour « l’épauler dans sa démarche », il me demande de m’allonger à côté de Tim, jambes relevées. Rémi est déjà entrain de se réenduire copieusement la bite avec du gel. Il en enduit aussi la rondelle de Tim.
Pour l’exciter d’autant, il lui parle crûment.
« -N’ai pas peur. Respire bien et détends- toi. Tout va bien se passer. Si tu as mal, on arrête aussitôt. Mais tu vas voir comme c’est bon aussi quand je vais te mettre ma bite tout au fond et quand les autres vont faire pareil aussi. Tu va sauter au ciel. Tu vas crier mais de plaisir… -Je n’ai pas peur, j’attends ça depuis trop longtemps. »Tim m’a pris la main et me sourit. Paulo est déjà presqu’en moi. Encore quelques petites poussées et ça sera bon.
« -Tu vas voir, c’est super bon de sentir une bite te labourer le ventre. » Je lui dis.
Rémi commence à pousser avec son gland pour forcer le passage. Là encore, il l’encourage de la voix.
« -Aaah ! C’est bon ! Je sens que ça va rentrer facile. Lui chuchote Rémi-Viens ! Viens ! »Assez facilement, Rémi passe son gland. Il s’arrête.
« -Ooooh ! Je te sens ! Je la sens !! P…n c’est cool ! »»Très lentement, Rémi progresse dans le fourreau de Tim qui accueille une bite pour la première fois. Il se recule plusieurs fois pour créer le manque et pour mieux revenir un peu plus profondément aussitôt. Au bout d’un bon moment, il est au fond. Il a bien pris son temps et Tim a apprécié.
« Wow ! Je la sens toute entière ! Trop bien !
-Attends, tu vas voir quand je vais te limer. Tu vas grimper aux rideaux. »De notre côté, Paulo est déjà en moi et a commencé à me trombonner, tout en se réservant pour Tim. Maintenant Rémi se met à coulisser doucement entre les fesses de Tim qui gémit. Petit à petit, il accélère lentement sa cadence. Puis, il demande à Tim de se mettre sur le dos comme moi, jambes bien relevées. Il le réembroche facilement et continue son limage. Image parfaitement symétrique : Tim et moi côte à côte et Rémi et Paulo, par-dessus, côte à côte aussi.
Rémi bourrine Tim de plus en plus vite. Il veut probablement jouir en lui. Tim râle en continu, en n’arrêtant pas de dire que c’est bon. Il finit par se lâcher en lui. Tim pousse un cri« Aaaargh ! Cooool ! »Assez vite, il se retire et presqu’aussitôt c’est Paulo qui prend sa place facilement et qui continue à le limer puissamment, lubrifié par le foutre de Rémi. Tim est ravi d’accueillir ce nouveau partenaire sur lequel il fantasme depuis son arrivée, probablement. Paulo, lui, n’est jamais contre le fait de connaître de nouveaux amis…Paulo va ainsi lui asséner ses coups de bite pendant un sacré bout de temps, vu sa résistance. Tim est ravi, moi je m’impatiente un peu, attendant mon tour. Mais bon, après tout c’est Rémi et moi qui avons proposé à Paulo d’accueillir Tim et sa copine. On va pas râler maintenant. Du coup, Rémi s’occupe de moi bien volontiers, aux côtés de Tim. Paulo finit par exploser et, avec l’accord de Tim, je prends sa place.
C’est vrai que c’est très « comfortable », pour le moins. Je me glisse - c’est le mot – en lui sans aucune difficulté. Le jus de Paulo lubrifie tout ça. Je me sens super bien en lui. Je le lui dis ;« -C’est super bon aussi. C’est incroyable, chaque bite me fait une sensation différente. » Souffle Tim.
Je varie les angles, la vitesse, la puissance. Il couine. Il m’a agrippé les fesses et me tire vers lui à fond. Devant mon ventre, je vois son énorme bite, tendue à l’extrême. Je ne résiste pas au plaisir de la branler par moments. Elle me remplirait largement les deux mains. Bien sûr, c’est du pur sexe mais, je sens bien qu’on s’attacherait vite parce que Tim est …attachant. Hé, voilà Tim qui se met à contracter son sphincter… Trop bon ! Cool Tim ! Il apprend vite ! Il ira loin ! J’aurais voulu que ça dure encore et encore mais on ne contrôle pas tout. Je sens que je vais jouir. Je viens. Je l’inonde pour la troisième fois.
On s’écroule, rincés tous les trois. Mais, on ne peut pas laisser Tim dans cet état là. Il aurait trop de mal à trouver le sommeil. Paulo, « Toujours prêt ! », s’est déjà placé en levrette et attend que Tim vienne l’honorer. Tim, quant à lui, ne demande que ça.
« -Fuck me ! Fuck me hard ! » lui crie Paulo ( Baise moi ! Baise moi à fond !)Tim s’enduit de gel et enduit Paulo. On voit bien qu’il hésite à le percer direct, vu la taille de son engin. Paulo l’encourage. Alors, il se lance. En deux coups, il est au fond. Paulo s’est arcbouté mais il n’a pas crié. Il savoure. Tim a l’air ravi d’avoir un tel mec au bout de sa queue. Même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait probablement pas imaginé un truc pareil. Il commence son va et vient, en douceur. Paulo lui sourit. Nous, sur le côté, on l’encourage avec des mots crus. Mais, a-t-il vraiment besoin de ça ? Pas sûr.
« -Wooouuuhh ! J’y suis !!! Je fourre un mec !!!
« -Yeah ! Yeeaaaah !! » souffle Paulo, aux anges.
Alors Tim y va carrément. Paulo l’encourage en portugais. On se dit qu’à ce rythme, il va venir assez vite. Eh ben, on se trompait carrément. Tim est d’une endurance à toute épreuve. Il le bourre, il le bourre, encore et encore. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Paulo est au bord de l’extase. Va-t-il jouir du cul ? Ca serait le top pour une première. Dans un hurlement Tim jouit, jouit, jouit. Il se déverse carrément dans Paulo qui vibre de partout. Wouah !
Cette fois, on a tous notre dose pour un moment. Apaisés, on s’endort tous les quatre, en cuiller, dans une odeur de sperme démentielle.
Sur le matin, je suis réveillé par une main qui me caresse doucement la pine. Agréable sensation, qui, je pense, m’a réveillé. J’essaie, dans un demi-sommeil, de me rappeler qui était collé à moi, hier soir dans le lit. Je n’ai pas besoin de trop réfléchir car je sens dans ma raie un « truc » énorme qui glisse doucement. Ca ne peut donc être que Tim qui a « faim ». Je le laisse un peu faire puis je prends sa main et la guide vers mon gland. Je me retourne de trois quarts et je lui chuchote à l’oreille :« -Viens ! »On sort du lit le plus doucement possible pour ne pas réveiller les autres et on va à la salle de bain. On se glisse sous la douche tiède et aussitôt, Tim m’entreprend. Il me dévore littéralement la bouche tout en se frottant contre moi. Je lui caresse son engin. Je n’ai plus qu’une envie, bien sûr, c’est de goûter à sa grosse queue. Tim aussi, il veut me la mettre. C’est pour ça qu’il commence à me dilater. Il a l’air surpris qu’on puisse se dilater aussi rapidement. On coupe l’eau, gel pour tout le monde, j’écarte au max les jambes, à l’oblique contre le mur.
« -N’ai pas peur. Vas y ! J’en rêve de ta grosse bite. »Néanmoins, il ne me prend pas comme un sagouin. Il prend son temps. J’apprécie. Une fois le gland passé, ça va mieux ; Il s’insinue doucement en moi. Je la sens parfaitement progresser. Elle est bonne. Je sens qu’il va me faire aimer les grosses grosses bites ! Ca y est. Il touche. Je me sens complètement rempli et j’aime ça. Alors, quand il se recule pour commencer à me limer, la sensation de vide et de manque est immédiate. Reviens ! Je tourne le torse, cherchant sa bouche qu’il m’offre volontiers. Il va ainsi me caresser l’intérieur du ventre un bon moment. Puis, je lui propose qu’on adopte ma position favorite. Il est OK bien sûr- jambes autour de sa taille, suspendu à ses épaules-. Il trouve la position excitante et décuple la force et la vitesse de ses coups de reins. Je remets la douche en service et, bientôt, il jouit en moi. Oh, moins qu’avec Paulo mais quand même. On se lave l’un l’autre avec beaucoup de douceur. Je lui fais choisir un slip dans la super collec de Paulo.
Et on repasse dans la cuisine pour préparer un bon gros petit déjeuner, en attendant que les autres se réveillent. Finalement, on commence sans eux, tout en discutant.
« -C’était vraiment ouf cette nuit ! J’ai kiffé grave ! Vous avez été vraiment cool ! J’ai adoré tout ce que vous m’avez fait. J’ai kiffé de sentir vos bites à tous les trois. Et en plus j’ai fait l’amour à un super beau gars… Maintenant, je sais que j’aime ça à fond.
-Et nous alors ! Tu crois qu’on n’a pas aimé ta bite ? J’en avais jamais senti une aussi grosse !
-Merci. Mais, tu sais, j’en ai un peu marre parce qu’on me ramène toujours à ça…-Je me doute mais, nous, on t’a découvert. Et pour nous, tu n’es pas « que ça ». T’as l’air vraiment cool. J’ai l’impression qu’on pourrait être amis.
Merci. Tu crois que je suis bi ?
-J’en sais rien. C’est l’avenir qui le dira. Tu verras vers qui tu iras plus volontiers…- Tu sais, avec Léa, je crois que c’est du sérieux. On tient beaucoup l’un à l’autre et, du coup, je ne sais pas comment je vais lui raconter tout ça… D’un autre côté, elle n’a jamais accepté une sodomie ni même me mettre un doigt. Alors que moi, je sentais que j’aimerais ça… -Sérieusement, t’espérais très fort que ça se passerait ainsi et, du coup, tu t’étais préparé en conséquence, non ? Le slip, les poils, la raie, tout ça… ?
-OK, j’avoue. « Puis, il ramena la conversation sur Paulo, qu’il trouvait incroyable, comme tout un chacun. Il voulait connaître un max de choses sur lui, sur sa vie, sur nous deux. A un moment, il remarqua que, dans l’appart d’en face, quelqu’un nous faisait signe. Il me le signala en ajoutant, qu’eux aussi, étaient en slips !
- Oui, c’est Fabrice et Paul. Des amis. »Je lui explique la nature de nos relations. Il l’air soufflé.
« -Viens, on va aller leur dire bonjour-Comme ça ?
-Oui, t’inquiète ! »On va s’accouder sur le balcon. Paul et Fabrice, en face. Je leur présente Tim. Ils ont l’air ébloui. On discute un moment puis on rentre. Cette fois, Rémi et Paulo sont debouts, à table. On attaque le petit déjeuner avec entrain. Pour la journée, Paulo propose balade ou sieste crapuleuse. Tim choisit balade. Tout le monde rigole. La matinée - ce qu’il en reste – se passe en musiques, rigolades et cuisine car Paulo nous a promis un bon repas. Et il fut bon. Excellent, même. Après ça, on était un peu comateux. On partit donc faire une sieste. Elle commença comme une vraie.
Qui a ouvert les hostilités ? Difficile à dire… Quand on ouvre un œil, Rémi et Tim sont eux bien réveillés. Plus que ça même car Tim est entrain de sodomiser Rémi avec beaucoup de douceur, je dirais presque de langueur. Chacun aura ainsi été honoré par Tim et aura pu savourer son incroyable bite. Tim, en invité bien élevé, savait qu’il devait au moins ça à chacun de nous.
Quand Paulo émergea, je l’entrepris. Il ne demandait pas mieux. Je me retrouvais donc, aux côtés de Tim, on fourrait nos deux garçons. Rémi, tout comme nous, avait l’air ravi d’être fourré par une aussi grosse queue. Cela crée forcément des liens qui resteront. On jouit presqu’en même temps.
Le reste de l’aprème, on le passa à se reposer. Cool, cool. Vers 17 heures, on ramena Tim à la gare.
« -On se reverra, j’espère ?
- J’aimerais bien, mais… »
Pour l’exciter d’autant, il lui parle crûment.
« -N’ai pas peur. Respire bien et détends- toi. Tout va bien se passer. Si tu as mal, on arrête aussitôt. Mais tu vas voir comme c’est bon aussi quand je vais te mettre ma bite tout au fond et quand les autres vont faire pareil aussi. Tu va sauter au ciel. Tu vas crier mais de plaisir… -Je n’ai pas peur, j’attends ça depuis trop longtemps. »Tim m’a pris la main et me sourit. Paulo est déjà presqu’en moi. Encore quelques petites poussées et ça sera bon.
« -Tu vas voir, c’est super bon de sentir une bite te labourer le ventre. » Je lui dis.
Rémi commence à pousser avec son gland pour forcer le passage. Là encore, il l’encourage de la voix.
« -Aaah ! C’est bon ! Je sens que ça va rentrer facile. Lui chuchote Rémi-Viens ! Viens ! »Assez facilement, Rémi passe son gland. Il s’arrête.
« -Ooooh ! Je te sens ! Je la sens !! P…n c’est cool ! »»Très lentement, Rémi progresse dans le fourreau de Tim qui accueille une bite pour la première fois. Il se recule plusieurs fois pour créer le manque et pour mieux revenir un peu plus profondément aussitôt. Au bout d’un bon moment, il est au fond. Il a bien pris son temps et Tim a apprécié.
« Wow ! Je la sens toute entière ! Trop bien !
-Attends, tu vas voir quand je vais te limer. Tu vas grimper aux rideaux. »De notre côté, Paulo est déjà en moi et a commencé à me trombonner, tout en se réservant pour Tim. Maintenant Rémi se met à coulisser doucement entre les fesses de Tim qui gémit. Petit à petit, il accélère lentement sa cadence. Puis, il demande à Tim de se mettre sur le dos comme moi, jambes bien relevées. Il le réembroche facilement et continue son limage. Image parfaitement symétrique : Tim et moi côte à côte et Rémi et Paulo, par-dessus, côte à côte aussi.
Rémi bourrine Tim de plus en plus vite. Il veut probablement jouir en lui. Tim râle en continu, en n’arrêtant pas de dire que c’est bon. Il finit par se lâcher en lui. Tim pousse un cri« Aaaargh ! Cooool ! »Assez vite, il se retire et presqu’aussitôt c’est Paulo qui prend sa place facilement et qui continue à le limer puissamment, lubrifié par le foutre de Rémi. Tim est ravi d’accueillir ce nouveau partenaire sur lequel il fantasme depuis son arrivée, probablement. Paulo, lui, n’est jamais contre le fait de connaître de nouveaux amis…Paulo va ainsi lui asséner ses coups de bite pendant un sacré bout de temps, vu sa résistance. Tim est ravi, moi je m’impatiente un peu, attendant mon tour. Mais bon, après tout c’est Rémi et moi qui avons proposé à Paulo d’accueillir Tim et sa copine. On va pas râler maintenant. Du coup, Rémi s’occupe de moi bien volontiers, aux côtés de Tim. Paulo finit par exploser et, avec l’accord de Tim, je prends sa place.
C’est vrai que c’est très « comfortable », pour le moins. Je me glisse - c’est le mot – en lui sans aucune difficulté. Le jus de Paulo lubrifie tout ça. Je me sens super bien en lui. Je le lui dis ;« -C’est super bon aussi. C’est incroyable, chaque bite me fait une sensation différente. » Souffle Tim.
Je varie les angles, la vitesse, la puissance. Il couine. Il m’a agrippé les fesses et me tire vers lui à fond. Devant mon ventre, je vois son énorme bite, tendue à l’extrême. Je ne résiste pas au plaisir de la branler par moments. Elle me remplirait largement les deux mains. Bien sûr, c’est du pur sexe mais, je sens bien qu’on s’attacherait vite parce que Tim est …attachant. Hé, voilà Tim qui se met à contracter son sphincter… Trop bon ! Cool Tim ! Il apprend vite ! Il ira loin ! J’aurais voulu que ça dure encore et encore mais on ne contrôle pas tout. Je sens que je vais jouir. Je viens. Je l’inonde pour la troisième fois.
On s’écroule, rincés tous les trois. Mais, on ne peut pas laisser Tim dans cet état là. Il aurait trop de mal à trouver le sommeil. Paulo, « Toujours prêt ! », s’est déjà placé en levrette et attend que Tim vienne l’honorer. Tim, quant à lui, ne demande que ça.
« -Fuck me ! Fuck me hard ! » lui crie Paulo ( Baise moi ! Baise moi à fond !)Tim s’enduit de gel et enduit Paulo. On voit bien qu’il hésite à le percer direct, vu la taille de son engin. Paulo l’encourage. Alors, il se lance. En deux coups, il est au fond. Paulo s’est arcbouté mais il n’a pas crié. Il savoure. Tim a l’air ravi d’avoir un tel mec au bout de sa queue. Même dans ses rêves les plus fous, il n’aurait probablement pas imaginé un truc pareil. Il commence son va et vient, en douceur. Paulo lui sourit. Nous, sur le côté, on l’encourage avec des mots crus. Mais, a-t-il vraiment besoin de ça ? Pas sûr.
« -Wooouuuhh ! J’y suis !!! Je fourre un mec !!!
« -Yeah ! Yeeaaaah !! » souffle Paulo, aux anges.
Alors Tim y va carrément. Paulo l’encourage en portugais. On se dit qu’à ce rythme, il va venir assez vite. Eh ben, on se trompait carrément. Tim est d’une endurance à toute épreuve. Il le bourre, il le bourre, encore et encore. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Paulo est au bord de l’extase. Va-t-il jouir du cul ? Ca serait le top pour une première. Dans un hurlement Tim jouit, jouit, jouit. Il se déverse carrément dans Paulo qui vibre de partout. Wouah !
Cette fois, on a tous notre dose pour un moment. Apaisés, on s’endort tous les quatre, en cuiller, dans une odeur de sperme démentielle.
Sur le matin, je suis réveillé par une main qui me caresse doucement la pine. Agréable sensation, qui, je pense, m’a réveillé. J’essaie, dans un demi-sommeil, de me rappeler qui était collé à moi, hier soir dans le lit. Je n’ai pas besoin de trop réfléchir car je sens dans ma raie un « truc » énorme qui glisse doucement. Ca ne peut donc être que Tim qui a « faim ». Je le laisse un peu faire puis je prends sa main et la guide vers mon gland. Je me retourne de trois quarts et je lui chuchote à l’oreille :« -Viens ! »On sort du lit le plus doucement possible pour ne pas réveiller les autres et on va à la salle de bain. On se glisse sous la douche tiède et aussitôt, Tim m’entreprend. Il me dévore littéralement la bouche tout en se frottant contre moi. Je lui caresse son engin. Je n’ai plus qu’une envie, bien sûr, c’est de goûter à sa grosse queue. Tim aussi, il veut me la mettre. C’est pour ça qu’il commence à me dilater. Il a l’air surpris qu’on puisse se dilater aussi rapidement. On coupe l’eau, gel pour tout le monde, j’écarte au max les jambes, à l’oblique contre le mur.
« -N’ai pas peur. Vas y ! J’en rêve de ta grosse bite. »Néanmoins, il ne me prend pas comme un sagouin. Il prend son temps. J’apprécie. Une fois le gland passé, ça va mieux ; Il s’insinue doucement en moi. Je la sens parfaitement progresser. Elle est bonne. Je sens qu’il va me faire aimer les grosses grosses bites ! Ca y est. Il touche. Je me sens complètement rempli et j’aime ça. Alors, quand il se recule pour commencer à me limer, la sensation de vide et de manque est immédiate. Reviens ! Je tourne le torse, cherchant sa bouche qu’il m’offre volontiers. Il va ainsi me caresser l’intérieur du ventre un bon moment. Puis, je lui propose qu’on adopte ma position favorite. Il est OK bien sûr- jambes autour de sa taille, suspendu à ses épaules-. Il trouve la position excitante et décuple la force et la vitesse de ses coups de reins. Je remets la douche en service et, bientôt, il jouit en moi. Oh, moins qu’avec Paulo mais quand même. On se lave l’un l’autre avec beaucoup de douceur. Je lui fais choisir un slip dans la super collec de Paulo.
Et on repasse dans la cuisine pour préparer un bon gros petit déjeuner, en attendant que les autres se réveillent. Finalement, on commence sans eux, tout en discutant.
« -C’était vraiment ouf cette nuit ! J’ai kiffé grave ! Vous avez été vraiment cool ! J’ai adoré tout ce que vous m’avez fait. J’ai kiffé de sentir vos bites à tous les trois. Et en plus j’ai fait l’amour à un super beau gars… Maintenant, je sais que j’aime ça à fond.
-Et nous alors ! Tu crois qu’on n’a pas aimé ta bite ? J’en avais jamais senti une aussi grosse !
-Merci. Mais, tu sais, j’en ai un peu marre parce qu’on me ramène toujours à ça…-Je me doute mais, nous, on t’a découvert. Et pour nous, tu n’es pas « que ça ». T’as l’air vraiment cool. J’ai l’impression qu’on pourrait être amis.
Merci. Tu crois que je suis bi ?
-J’en sais rien. C’est l’avenir qui le dira. Tu verras vers qui tu iras plus volontiers…- Tu sais, avec Léa, je crois que c’est du sérieux. On tient beaucoup l’un à l’autre et, du coup, je ne sais pas comment je vais lui raconter tout ça… D’un autre côté, elle n’a jamais accepté une sodomie ni même me mettre un doigt. Alors que moi, je sentais que j’aimerais ça… -Sérieusement, t’espérais très fort que ça se passerait ainsi et, du coup, tu t’étais préparé en conséquence, non ? Le slip, les poils, la raie, tout ça… ?
-OK, j’avoue. « Puis, il ramena la conversation sur Paulo, qu’il trouvait incroyable, comme tout un chacun. Il voulait connaître un max de choses sur lui, sur sa vie, sur nous deux. A un moment, il remarqua que, dans l’appart d’en face, quelqu’un nous faisait signe. Il me le signala en ajoutant, qu’eux aussi, étaient en slips !
- Oui, c’est Fabrice et Paul. Des amis. »Je lui explique la nature de nos relations. Il l’air soufflé.
« -Viens, on va aller leur dire bonjour-Comme ça ?
-Oui, t’inquiète ! »On va s’accouder sur le balcon. Paul et Fabrice, en face. Je leur présente Tim. Ils ont l’air ébloui. On discute un moment puis on rentre. Cette fois, Rémi et Paulo sont debouts, à table. On attaque le petit déjeuner avec entrain. Pour la journée, Paulo propose balade ou sieste crapuleuse. Tim choisit balade. Tout le monde rigole. La matinée - ce qu’il en reste – se passe en musiques, rigolades et cuisine car Paulo nous a promis un bon repas. Et il fut bon. Excellent, même. Après ça, on était un peu comateux. On partit donc faire une sieste. Elle commença comme une vraie.
Qui a ouvert les hostilités ? Difficile à dire… Quand on ouvre un œil, Rémi et Tim sont eux bien réveillés. Plus que ça même car Tim est entrain de sodomiser Rémi avec beaucoup de douceur, je dirais presque de langueur. Chacun aura ainsi été honoré par Tim et aura pu savourer son incroyable bite. Tim, en invité bien élevé, savait qu’il devait au moins ça à chacun de nous.
Quand Paulo émergea, je l’entrepris. Il ne demandait pas mieux. Je me retrouvais donc, aux côtés de Tim, on fourrait nos deux garçons. Rémi, tout comme nous, avait l’air ravi d’être fourré par une aussi grosse queue. Cela crée forcément des liens qui resteront. On jouit presqu’en même temps.
Le reste de l’aprème, on le passa à se reposer. Cool, cool. Vers 17 heures, on ramena Tim à la gare.
« -On se reverra, j’espère ?
- J’aimerais bien, mais… »
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