tit put

- Par l'auteur HDS Gildelain -
Récit érotique écrit par Gildelain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : tit put Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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MARIE


La sonnette du carillon de l'entrée me fait sursauter. Je commence à m'assoupir malgré l'inconfort de la position. Je ne me rends plus compte depuis combien de temps je suis ainsi cloîtré dans m'ont réduit. C’est une pratique que nous nous sommes découvertes l'un et l'autre et à laquelle nous nous adonnons depuis que je lui ai confié mes penchants pour les jeux de domination. Je ne dis pas à tour de rôle mais plutôt suivant l'humeur du moment. Depuis ce matin, suivant un rituel bien établi, une sorte de code entre nous, dès que l'un de nous en a envie nous échafaudons des petits scénarios, qui immanquablement finissent par des punitions ou humiliations diverses, tout cela à ma grande joie, parce que j'en ai presque un besoin viscéral. Je ne peux pas vivre sans, en bref ma sexualité est basée là-dessus depuis mon adolescence. Et ce matin je suis le grand gagnant si l'on peut dire. J’ai malheureusement eu la maladresse d'échapper un bol en desservant la table du petit déjeuner. Le bol évidemment c'est fracassé en mille éclats au beau milieu de la cuisine, bravo le PIREX.
Ça a commencé comme ça.
- Qu'as-tu fait là !
- Parce que tu crois que je l'ai fait exprès peut-être.
- Mais il répond en plus !
- Tu vas immédiatement aller te changer pour ramasser ça, tu sais ce que l'on a dit !
Ce matin je sentais Marie particulièrement, comment dire cela pas excitée, mais disons plutôt, émoustillée. Elle avait sûrement dû faire un rêve ou avoir des pensées érotiques cette nuit ou alors elle avait particulièrement de bonnes dispositions au réveil et malheureusement, je n'ai pas su en profiter et elle se venge.
Il est vrai que nous avons quelques habitudes c'est du reste pour cela que nous vivons ensemble actuellement. Une sorte de complémentarité en quelque sorte. De ce côté-là nous nous sommes en effet bien trouvés. Divorcés tous les deux nous nous sommes rencontré sur un site de rencontres par Internet. Nous avons d'abord échangé une correspondance disons amicale et puis au fil du temps, nous avons appris à nous découvrir l'un et l'autre. Depuis nous ne nous quittons pratiquement plus. Nous vivons ensemble depuis plusieurs mois et je peux dire que chacun y trouve son compte. Marie à déménagé avec tous ces meubles et petites affaires comme l'on dit.
Il faut avouer que Marie est très autoritaire quelquefois le son de sa voix est cassant et dur, c'est cela qui m'a plus en elle. Et aussi bizarrement que cela puisse être, elle a aussi exactement le même trait de caractère mais totalement opposé tout dépend de son humeur de la journée ou bien de la situation. Et l'occasion est trop belle pour quelle la laisse passer.
- File te changer, et comme il faut ta tenue, tu n'oublie rien pas comme la dernière fois et tu me ramasse çà.
Docilement je m'exécute, au fond de moi-même je suis ravi, j'adore ces situations. De retourdans la cuisine habillé d'une façon très humiliante pour moi mais que nous avons convenu pour nos jeux, je me retrouve rapidement à quatre pattes sur le sol, une pelle et une balayette aux mains en train de ramasser tous les éclats de verre. Marie est debout dans l'angle de la porte les bras croisés et me regarde radieuse, un sourire aux lèvres Apparemment, elle a l'air ravie de la situation elle aussi. Pendant que je m'applique, Je sens sa main me donner une tape sur les fesses. Ce qui à l'air de lui donner une idée parce quelle se précipite dans le placard de l'entrée ou son rangé les laisses des chiens ainsi que la brosse pour leur pelage, mais surtout un martinet, je la vois le brandir.
- Applique-toi sinon !
Sinon, sinon quoi ! Je sens quelle à envie de profiter de la situation. Je la vois lever l'instrument, dans ma tête je ne vois qu'une menace, mais non, elle me frappe réellement les fesses à plusieurs reprises, je crie sous la morsure des lanières, ce n'est pas mon léger vêtement de nylon qui me protège des coups, je me relève sur les genoux pour tenté de contrer ses coups mais rien y fait, elle s'acharne, elle me frappe à nouveaux.
- Là il en reste !
De la pointe de sa mule elle me désigne un endroit sous la table. Je suis obligé de me cambrer pour passer entre les chaises, pour ramasser les morceaux épars, vus ma position, c'est facile pour elle de me cingler alors les cuisses, je hurle de plus belle.
- Arrête, tu me fais vraiment mal !
- Tu n'avais qu'a faire attention c'est tout, dorénavant cela se passera comme cela un point c'est tout.
Je me redresse et me tenant les fesses tellement elles sont endolories. Elle en profite pour me frapper le torse et les bras que je mets aussitôt devant moi pour me protéger. Après mettre activer à tout nettoyer soigneusement. Malgré la douleur des coups qui s'installe, j'ai les jambes et les bras zébré de marques rougeâtres, comme quoi elle c'est vraiment défoulé sur moi, je ne comprends pas trop se brusque excès de violence de sa part. Elle s'exclame.
- C'est bien maintenant tu vas aller ranger la pelle à sa place. !
Je me tiens à une chaise pour me redresser, pour accompagner mon geste pour me relever.
- Non, tu restes par terre tu viens à genoux jusqu'au placard, qu'est-ce que tu crois, du reste je crois bien que tu va passer un moment dans le placard.
- Non j'ai plein de chose à faire ce matin, pas ce matin il faut que je débarrasse la chambre pour ta copine.
- Martine, elle ne vient que ce soir, tu auras le temps cette après-midi.
Ne pouvant pas contrer sa décision je la suis à quatre pattes dans le couloir avec mes ustensiles à la main. Elle ouvre la porte du réduit où nous rangeons tous les balais et d'autresdivers objets. Elle me pousse à l'intérieur.
- Tu te mets là, à genoux et tu ne bouges plus.
Et pour faire bonne mesure me cingle les jambes à nouveau puis vas au fond du couloir pour revenir aussitôt avec une sangle à la main.
- À non pas la laisse du chien, j'ai beaucoup de choses à faire pas ce matin.
- Tais-toi et fais voir ton cou !
Je sens le collier qui se referme, ça y est me voila coincé pour un moment, adieu mes projets de rangement pour ce matin. Elle accroche l’autre bout de la laisse à la barre qui maintient les quelques cintres, referme les portes. Les cuisses les fesses et les bras me brule, cela fait bien dix bonnes minutes que je suis enfermé, la porte s'ouvre à nouveau. Je me dis chique maintenant ont vas aller s'amuser un peu, c'est souvent comme cela que cela se termine.
Marie est devant moi un grand sourire illumine son visage, elle tient à bout de bras une paire de menottes ainsi qu'un cadenas, ce sont des accessoires que nous employons de temps en temps pour nos petits jeux.
- Devine qui est ce qui va être puni, met les mains dans ton dos.
- Ce n'est pas le moment, j'ai déjà mal de partout, puis il faut que je range la chambre d'amis, tu le sais.
- Tais-toi ! Tu es puni pour le moment, tu n'avais qu'à faire attention.
- Juste pour avoir échappé un bol tu parles.
Et là je reçois une gifle d'une telle violence, je me retrouve comme un con et complètement abasourdi par ce geste. Je sens ma joue me picoter assez rapidement.
- Cette fois, tu as compris tu te tais !
Un peut désarçonné par son comportement je baisse la tête, je la sens qui verrouille mes poignets dans les bracelets d’acier, puis elle tire sur la laisse pour immobiliser le tout avec le cadenas.
- Comme ça tu ne la ramèneras pas !
Elle referme la porte et j'entends ces pas s'éloigner dans le couloir. J'ai la joue en feu ça me pique sur tout le coté droit du visage. Ne comprenant pas trop la violence de son geste, d'habitude se sont plutôt des humiliations verbales, rarement de la violence ou bien alors symboliquement. Je me cale dans une position pas trop inconfortable et commence à prendre mon mal en patience. Je l'entends s'activer dans la maison et peux ainsi deviner plus ou moins ses faits et gestes. Le placard étant situé presque au milieu de la maison il jouxte l'entrée, le salon et la cuisine. Je peux facilement déduire dans quelle pièce Marie ce trouve. Je ne sais plus depuis combien de temps je suis ainsi à genoux dans le noir. La position devient de plus en plus inconfortable je me pose tantôt sur un genou, tantôt sur l'autre. Au bout d'un temps qui me semble une éternité je n'en peux plus et je l'appelle - Marie… Marie !
Pas de réponse ou elle ne veut pas me répondre ou bien elle fait celle qui n'entend pas, jerecommence de plus belle.
- Marie… Marie !
D'un coup la porte s'ouvre, la clarté du couloir me fait cligner des yeux, ce qui fait que je n'ai pas eu le temps de la voir venir. Cette fois c'est la joue gauche qui prend, les larmes me montent presque aux yeux tellement le coup a été fort. Je redresse la tête, Marie est devant moi debout à contre jour, dans l'encadrement de la porte la ceinture de son peignoir défaite- Tu es puni tu reste la dans ton placard, et tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre.
Disant cela je la vois qui écarte les pans de son peignoir, relève une jambe et fait glisser sa petite culotte. Elle l'approche de mon visage.
- Ouvre la bouche !...ouvre la bouche, ou je tant colle une autre !
Les mains attachées dans le dos, je ne peux difficilement ne pas m'exécuter, ne pouvant pas me protéger le visage, j'ouvre timidement la bouche. La, d'autorité, elle me la fourre au fond, en prenant bien soins de la bourrer consciencieusement avec ses doigts. Une fois que tout le tissu est au fond de ma gorge elle me relève la tête par le menton et de sa main droite elle m’en recolle une autre et s’exclame.
- Cette fois, je ne veux plus t'entendre, tu comprends le Français !
D'un hochement de tête je fais signe que oui, les joues gonflées de sa culotte les larmes aux yeux tellement j'ai le feu aux joues. La porte du placard se referme une nouvelle fois. Je l'entends s'éloigner à nouveau.
Par le bruit qui parvient jusqu'a moi des portes de la cabine de douches et le bruit de l’eau qui coule, j'en déduis quelle est dans la salle d'eaux. Je l'entends au loin chantonner un grand moment, puis les portes de la cabine de douche s'ouvrent à nouveaux, j'entends divers autres bruits dans la salle d'eaux. Pendant ce temps, je me dandine d'un genou sur l’autre les bras toujours en arrières. C’est fou comme une position devient vite inconfortable lorsque l'on ne peut pas bouger. J’essaye malgré tout de repousser les tissus avec ma langue, mais il n'y a rien à faire je n'arrive pas à bouger les mâchoires, je sens ma salive imbiber le tissus. J’ai de plus en plus mal la douleur se diffuse de partout les crampes s'installent peut à peut partout. J'entends à nouveaux des bruits de pas dans l'entrée. Puis la porte s'ouvre à nouveaux, Marie est devant moi en sous-vêtements, resplendissante elle a une main dans son dos et me fixe avec un regard étrange, je la trouve magnifique et terriblement excitante. Cette fois ça y est, elle va me libérer cela à assez duré.
- Regarde ce que j'ai pour toi, je suis sur que tu vas aimer.
En disant cela, elle sort la main qui est dans son dos et me brandi le plug gonflable que nous avons acheté en ligne dans une boutique spécialisée. Moi qui n'en pouvais plus déjà, ça ne va pas recommencer.
- Penche-toi en avant !
Je fais non de la tête ne pouvant parler à cause de la lingerie au fond de ma gorge.
D'autorité elle me pousse en avant. Les mains dans le dos, je ne peux me retenir et gêné par la laisse attachée à mon cou, je chute sur le coté. La immédiatement, je la sens qui essaye de m'introduire de force le gode dans mon petit trou, je me débats tant que je peux, mais entravé comme je suis je ne peux guère luter. A force d'insister, et malgré mes grognements de douleur, elle arrive à ses fin, bientôt l’engin est complètement en moi. En plus elle me fait atrocement mal, étant pas préparé j'ai l'anus en feu. Ensuite elle presse rapidement sur la poire en caoutchouc plusieurs fois de suite, je sens le gode gonfler, très vite je me sens remplis, et elle gonfle encore, je gémis, ça commence à me faire mal, je ne sais pas quelle mouche la piqué ce matin.
- Voila comme cela j'espère que tu me laisseras finir de me préparer tranquillement.
Elle me repousse au fond du placard et referme la porte. C’est de pire en pire pour moi, je me redresse tant bien que mal pour me remettre sur les genoux de plus de la position inconfortable voila que j'ai le cul complètement dilaté par ce gode qui me fait en plus un mal de chien. Mais que lui arrive-t-il ce matin pourquoi elle est comme cela avec moi. D'un seul coup, elle change toutes les règles que l'ont c'étaient fixé, ça commence à ne plus être un jeu, là elle veut vraiment me punir. Je retourne à mes réflexions solitaires en me trémoussant sur les genoux, le gode dans mon cul me fait très mal, il veut à tout pris ressortir, mais vus la taille qui doit avoir gonflé ainsi, il ne peut plus et il force, il force.
J'entends Marie qui s'active dans la maison et moi qui suis comme un con fermé dans ce placard, je médite intérieurement, pourquoi ? Pourquoi ? La porte s'ouvre un instant et Marie apparait dans l’ouverture.
- Combien de temps il te faut pour préparer la chambre ?
Je secoue la tête. En faisant de grands yeux, elle répète.
- Combien de temps il te faut pour préparer la chambre ? ... Une heure, deux heures ?
Je fais oui de la tête la bouche remplie de sa culotte, la elle se penche attrape la poire du plug au sol entre mes jambes et en donne deux coup rapidement. Sous la soudaineté, j'ai l'impression que mon cul va éclater, puis elle referme la porte à nouveaux. Je reste seule avec en plus de la position l'anus complètement en feu et le gode qui pousse, qui pousse. Mais quand vas elle me libérer ? Je suis dans le noir depuis un temps qui me semble une éternité, quand la sonnette de l'entrée retentie. J'entends des pas dans le couloir se diriger rapidement vers la porte d'entrée, je l'entends s'ouvrir.

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