Titom
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 290 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Huguette34 ont reçu un total de 3 087 032 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 194 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titom
Mon mari, me voit dans les bras de Titom, notre voisine khmer. C’est une obsession chez lui. Quand il est sur mon corps qu’il me raconte des histoires de cul, la voisine revient toujours, à croire qu’il la baiserait bien volontiers. Elle a un joli visage je le reconnais volontiers. De là à dire que j’accepterais ses faveurs il y a un pas que je refuse de franchir. Pourtant elle vient me demander un petit service cet après midi: un peu de lait pour faire un gâteau à son mari. Normal que je le donne ce qu’elle demande. Je ne vais pas la laisser partir comme ça. Je propose un café qu’elle accepte volontiers.
Elle est assise sur le divan du séjour, face à moi assise sur un fauteuil. Nous nous détendons complètement, elle en s’enfonçant dans le siège, moi en posant mes coudes sur les genoux. La tchatche s’y met. Nous bavardons comme souvent pour ne rien dire. Puis elle se relâche totalement pour écouter. Ses jambes s’ouvrent à peine. Je regarde là où je ne devrais pas. Je trouve qu’elle a de jolis genoux et le lui dit. Elle écarte un peu plus la jambes pour se pencher en regardant aussi. Malgré moi je lève un peu sa jupe pour mieux le voir.
Elle me regarde en face, me sourit, m’invite presque par ce regard à poursuivre. Je ne vais pas quand même me mettre à la caresser. J’aurais du me lever. Elle pose sa main sur la mienne. Je suis perdue en la laissant faire.
Et puis après tout pourquoi pas……Nos doigts emmêlés montrent que ni l’une ni l’autre n’avons peur. Son autre main entre en scène quand elle caresse le dos de la main. Elle est douce, tendre il me semble. Son regard est encore plus insistant. Je vais me laisser aller… je suis troublée, j’abandonne la lutte si lutte de ma part il y avait. Son visage s’approche du mien. Je sens son souffle sur mes lèvres. Mon Dieu qu’elle me tente, que je désire qu’elle embrasse.
Sa langue cherche la mienne. Notre baiser est long, sexy, amoureux en un mot. Si elle me veut, qu’elle me prenne. Je lui donnerais tout.
Titom n’a pas besoin de mon acceptation, ce qu’elle veut elle prend. Comme un fillette je me laisse aller. Mon cou ne résiste pas à sa caresse anodine au début, terriblement excitante ensuite. Sa main prend mon cou, presse à peine ma tête vers elle. Je caresse un peu ses cheveux taillés courts. Enfin elle passe une main sur ma poitrine. Mes seins durcissent lentement. Elle passe sa main sous le tee shirt. Le soutien gorge ne tient pas longtemps sous sa main. Ma peau nue frissonne.
Là, j’ai envie qu’elle aille bien plus loin que ma poitrine. Je voudrais ses mains sur le corps entier. Je sais que je commence à mouiller. Mon sexe s’ouvre déjà. Comment est le sien ?
Une main se pose sur ma jambe. Je suis ouverte à sa caresse légère. Elle prend ma cuisse en la serrant un peu. Je m’explique l’abandon par mon envie, mon besoin d’elle. Son exploration passe par le dessous de la jupe. C’est meilleur que la première fois avec mon mari, quand il me pelotait. Elle ne pelote pas, elle caresse finement.
Je ne sais quels doigts elle utilise pour passer sous le slip. Je sais qu’elle ne cherche pas longtemps ce que je lui offre. Elle commence une masturbation désirée. En plus elle sait bien faire ce qu’il faut pour mon plaisir. Titom me branle mieux que je le fais.
Je suis totalement ouverte. Elle le sait, en profit pour me doigter. Ses doigts coulissent en moi facilement. Elle sépare sa main en deux, un pouce qui continue dans la chatte et les autres qui commencent sur l‘anus. Elle s’enfonce dans le cul. Trop puisqu’elle me donne un grand frisson quand je part dans drôle d’orgasme, mon premier avec une autre. C’est différent qu’une queue, c’est bien plus doux, plus profond. Il peut venir, mon mari, appendre comment me faire du bien.
Elle me fait lever, me déshabille lentement. Je n’ai aucun remord d’être nue contre elle. Son corps est dans mon dos, serré contre le mien. Sa chaleur m’envahie. Ses mains sont sur mon bas ventre que je tend vers elle. Titom me masturbe. Je ma laisse faire tellement j’y prends du plaisir étrange. J’arrive à passer une main derrière, vers sa chatte. Je la sens écarter ses jambes pour laisser ma main agir. Elle aussi a envie de jouir. Nous nous branlons mutuellement. Elle jouit sans gêne, comme moi.
Et puis elle me tourne , s’accroupit devant moi, comme en adoration devant un dieu antique. Elle vient manger ma chatte. Sa langue passe partout, même dans des endroits que j’ignore. Je jouis encore cette fois sur sa bouche. Pas écœurée, elle continue son travail de sape. Je jouis avant de m’effondrer sur elle. Mon pubis traine sur ses seins. Je suis assise sur ses cuisses, ma bouche sur la sienne, nos seins appuyés contre les autres.
Elle peut faire de moi ce qu’elle veut. Surtout quand elle s’arrange pour avoir nos cuisses mêlées. Nos clitoris se touchent dans un enlacement jouissif. Nos bas ventres s’animent comme si une bite était en eux. Je n’en peux plus d’orgasme. Je vais abandonner.
Mais voilà nous avons perdu du temps, l’après midi est avancé. Mon mari arrive. Il voulait me voir avec une autre, j’y suis. Il se déshabille lentement, sa bite est plus grosse que les autres fois. Il va me faire mal en me baisant, à moins qu’il n’aille dans le con de Titom. Rien de tout ça, il est sur le dos, demande à mon amante de venir sur lui. Elle enfonce seule la queue dans le cul. Je veux moi aussi jouir de mon mari. Je vais sur sa bouche, en faisant face à Titom. Nous pouvons nous embrasser encore. La langue râpeuse de mon mari lèche la chatte. Il ma faite jouir.
Je me réveille, mon mari dort à mes cotés. Ce n’était qu’un rêve, dommage.
Elle est assise sur le divan du séjour, face à moi assise sur un fauteuil. Nous nous détendons complètement, elle en s’enfonçant dans le siège, moi en posant mes coudes sur les genoux. La tchatche s’y met. Nous bavardons comme souvent pour ne rien dire. Puis elle se relâche totalement pour écouter. Ses jambes s’ouvrent à peine. Je regarde là où je ne devrais pas. Je trouve qu’elle a de jolis genoux et le lui dit. Elle écarte un peu plus la jambes pour se pencher en regardant aussi. Malgré moi je lève un peu sa jupe pour mieux le voir.
Elle me regarde en face, me sourit, m’invite presque par ce regard à poursuivre. Je ne vais pas quand même me mettre à la caresser. J’aurais du me lever. Elle pose sa main sur la mienne. Je suis perdue en la laissant faire.
Et puis après tout pourquoi pas……Nos doigts emmêlés montrent que ni l’une ni l’autre n’avons peur. Son autre main entre en scène quand elle caresse le dos de la main. Elle est douce, tendre il me semble. Son regard est encore plus insistant. Je vais me laisser aller… je suis troublée, j’abandonne la lutte si lutte de ma part il y avait. Son visage s’approche du mien. Je sens son souffle sur mes lèvres. Mon Dieu qu’elle me tente, que je désire qu’elle embrasse.
Sa langue cherche la mienne. Notre baiser est long, sexy, amoureux en un mot. Si elle me veut, qu’elle me prenne. Je lui donnerais tout.
Titom n’a pas besoin de mon acceptation, ce qu’elle veut elle prend. Comme un fillette je me laisse aller. Mon cou ne résiste pas à sa caresse anodine au début, terriblement excitante ensuite. Sa main prend mon cou, presse à peine ma tête vers elle. Je caresse un peu ses cheveux taillés courts. Enfin elle passe une main sur ma poitrine. Mes seins durcissent lentement. Elle passe sa main sous le tee shirt. Le soutien gorge ne tient pas longtemps sous sa main. Ma peau nue frissonne.
Là, j’ai envie qu’elle aille bien plus loin que ma poitrine. Je voudrais ses mains sur le corps entier. Je sais que je commence à mouiller. Mon sexe s’ouvre déjà. Comment est le sien ?
Une main se pose sur ma jambe. Je suis ouverte à sa caresse légère. Elle prend ma cuisse en la serrant un peu. Je m’explique l’abandon par mon envie, mon besoin d’elle. Son exploration passe par le dessous de la jupe. C’est meilleur que la première fois avec mon mari, quand il me pelotait. Elle ne pelote pas, elle caresse finement.
Je ne sais quels doigts elle utilise pour passer sous le slip. Je sais qu’elle ne cherche pas longtemps ce que je lui offre. Elle commence une masturbation désirée. En plus elle sait bien faire ce qu’il faut pour mon plaisir. Titom me branle mieux que je le fais.
Je suis totalement ouverte. Elle le sait, en profit pour me doigter. Ses doigts coulissent en moi facilement. Elle sépare sa main en deux, un pouce qui continue dans la chatte et les autres qui commencent sur l‘anus. Elle s’enfonce dans le cul. Trop puisqu’elle me donne un grand frisson quand je part dans drôle d’orgasme, mon premier avec une autre. C’est différent qu’une queue, c’est bien plus doux, plus profond. Il peut venir, mon mari, appendre comment me faire du bien.
Elle me fait lever, me déshabille lentement. Je n’ai aucun remord d’être nue contre elle. Son corps est dans mon dos, serré contre le mien. Sa chaleur m’envahie. Ses mains sont sur mon bas ventre que je tend vers elle. Titom me masturbe. Je ma laisse faire tellement j’y prends du plaisir étrange. J’arrive à passer une main derrière, vers sa chatte. Je la sens écarter ses jambes pour laisser ma main agir. Elle aussi a envie de jouir. Nous nous branlons mutuellement. Elle jouit sans gêne, comme moi.
Et puis elle me tourne , s’accroupit devant moi, comme en adoration devant un dieu antique. Elle vient manger ma chatte. Sa langue passe partout, même dans des endroits que j’ignore. Je jouis encore cette fois sur sa bouche. Pas écœurée, elle continue son travail de sape. Je jouis avant de m’effondrer sur elle. Mon pubis traine sur ses seins. Je suis assise sur ses cuisses, ma bouche sur la sienne, nos seins appuyés contre les autres.
Elle peut faire de moi ce qu’elle veut. Surtout quand elle s’arrange pour avoir nos cuisses mêlées. Nos clitoris se touchent dans un enlacement jouissif. Nos bas ventres s’animent comme si une bite était en eux. Je n’en peux plus d’orgasme. Je vais abandonner.
Mais voilà nous avons perdu du temps, l’après midi est avancé. Mon mari arrive. Il voulait me voir avec une autre, j’y suis. Il se déshabille lentement, sa bite est plus grosse que les autres fois. Il va me faire mal en me baisant, à moins qu’il n’aille dans le con de Titom. Rien de tout ça, il est sur le dos, demande à mon amante de venir sur lui. Elle enfonce seule la queue dans le cul. Je veux moi aussi jouir de mon mari. Je vais sur sa bouche, en faisant face à Titom. Nous pouvons nous embrasser encore. La langue râpeuse de mon mari lèche la chatte. Il ma faite jouir.
Je me réveille, mon mari dort à mes cotés. Ce n’était qu’un rêve, dommage.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Huguette34
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai le même avec ma voisine
Un rêve merveilleux. J'adore l'amour entre fille, mâter deux jolies femmes qui s'envoient en l'air, me branler pour elles, et leur jouir dessus.