Titre de l'histoire érotique : A la gloire des Glory-hole - 1 -

- Par l'auteur HDS Abadi -
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : A la gloire des Glory-hole - 1 - Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : A la gloire des Glory-hole - 1 -
Chacun sait que certaines bourgeoises de la bonne société, citadines, très cultivées la plupart du temps, souvent friquées bien de leur personne sous tout rapport, bien-pensantes et à qui l’on ne prêterait aucune mauvaise pensée ont pourtant elles aussi des envies sexuelles très spéciales, même si elles ne les avouent jamais ! Envies au demeurant normales et bien naturelles, même si dans leur milieu il ne serait pas convenable de les évoquer et encore moins de les pratiquer… Chacun sait aussi que maintenant, à notre époque, ces jolies bourgeoises trouvent assez facilement les moyens de satisfaire leurs envies, même si cela reste très discret, voire secret dans notre société.
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A ce sujet, regardons comment certaines de ces belles bourgeoises traitent de façon discrète leurs envies sexuels. Cela se passe à Paris dans quelque quartier très commerçant et plutôt huppé que je connais bien et où l’on peut rencontrer ce type de femmes venant faire leur shopping…Dans certaines petites rues derrière ce quartier, il y a de nombreux petits bistros, brasseries et petits restaurants. Quelques-uns d’entre eux sont secrètement réputés et bien connus de ces jolies bourgeoises.
Installez-vous dans un de ces lieux et observez… On y voit des femmes, souvent très chics, bien mises, jolies aussi pour la plupart, encore très sexy même si la plupart sont largement dépassé la quarantaine et souvent même bien plus !... Observez bien et vous découvrirez un curieux manège.
Une dame entre, le plus souvent chargée de paquets et s’installe. Elle commande par exemple un café ou un citron pressé, ou même un plat de brasserie, et demande le téléphone. Rien que de plus normal, n’est-ce pas ?… On ne peut rien remarquer d’autre si on ne prête pas à la scène une attention plus particulière… Le garçon va revenir avec la consommation demandée, l’addition sur une soucoupe… La dame règle sa note avec une grosse coupure en espèce, par exemple un billet de 50 voire parfois 100 €, comme si elle n’avait pas du tout de monnaie…
Observons bien la suite : le garçon va revenir avec la soucoupe où il y a quelque menue monnaie. En y regardant de plus près, parmi les pièces il y a une petite clé. Le garçon indique le téléphone au sous-sol, en demandant à la dame d’attendre 5 minutes ; parfois un peu moins ou un peu plus, c’est selon.
De nos jours tout le monde à un portable et très rares sont les gens qui vont téléphoner dans les cabines d’un café, non ?! La demande du téléphone et le gros billet constitue le code. A partir de là, il n’y a plus d’ambiguïté pour le serveur.
Et, si vous êtes vigilant, il vous sera facile de voir qu’au cours de ces 5 minutes, un ou deux des garçons serveurs vont quitter discrètement le bar et descendre au sous-sol où se trouve le téléphone Presque tous les cafés parisiens ont le téléphone et les toilettes au sous-sol… En effet quelques instants plus tard, la femme descend à son tour. Si elle est avec d’autres personnes, hommes ou femmes, elle va prétexter d’aller aux toilettes ou à défaut, téléphoner. Donc, on le voit, tout est mis en place pour que les apparences soient normales et il faut être attentif et prévenu, pour déjouer le stratagème.
Puis, lorsqu’elle arrive dans le sous-sol, la dame fait mine de se diriger vers les toilettes ou le téléphone, mais en réalité, surveillant discrètement pour ne pas être vue, elle va ouvrir avec la clé la porte avec l’écriteau : '' privé ''. Là, selon les établissements concernés, il y a quelques variantes. Dans cet espace privé, qui est en fait les toilettes du personnel, il y a deux, parfois trois, cabines W.C., cabines comme il y en existe partout ailleurs, et que rien en apparence, ne distingue d’autres cabines. Cependant à l’intérieur plusieurs petites choses sont différentes.
Dès l’entrée dans la cabine du centre, la dame fait semblant de ne pas remarquer deux ou trois gros trous ronds percés dans les parois de part et d’autre. Ces trous d’un diamètre équivalent à un fond de tasse environ, s’alignent sur chaque cloison percés à des hauteurs légèrement différentes. L’appellation anglaise consacrée de ces trous est : '' Glory-hole '' les trous de la gloire '', ou encore appelés aussi : '' Devil-hole '', c’est-à-dire : '' les trous du diable ''. (Photos)
Là, la dame va commencer par faire ses petits besoins ou même seulement faire semblant. Puis très souvent également, sous prétexte de se rajuster ou de remettre de l’ordre dans sa tenue vestimentaire, la dame va faire mine de s’arranger un peu. Ensuite, la plupart du temps, les jolies bourgeoises bien sapées et sexy qui hantent ces lieux, commencent à se caresser, l’entrejambe, les seins, les fesses… Très doucement, délicatement, faisant comme si elles se croyaient seules… Pourtant, elles savent pertinemment qu’elles sont observées et que l’homme, ou les hommes, de l’autre côté des parois se mettent en forme en les matant… En effet, les hommes, oui et pas seulement un homme, car en fonction du billet que la dame aura donné, et de la disposition des lieux, elle aura soit un homme d’un côté de la cloison, soit deux, un de chaque côté de la cabine…
En y regardant de plus près encore (l’expression est ici bien appropriée !), l’on peut voir que les bords des trous dans la paroi, sont le plus souvent habillés d’une bordure de caoutchouc souple et assez large de couleur verte ou brique, c’est selon, de façon à ce que les membres ne se blessent pas par un frottement sur le bois ou la faïence de la cloison…

Il y a quelques temps, j’ai eu la chance de recevoir les confidences d’un jeune homme qui avait travaillé plusieurs années dans une de ces brasseries et qui était très souvent "descendu à la réserve" comme on dit dans le jargon des initiés. Il lui arrivait de descendre plusieurs fois dans la journée. Mais ajoutait-il en souriant : "J’avais, à l’époque une vingtaine d’années !"…
Cet homme, car c’est maintenant un homme plutôt mûr, m’a rapporté un certain nombre de situations, intéressantes à plus d’un titre, que je vais vous conter maintenant. Par discrétion afin de ne pas le compromettre, nous appellerons ce jeune homme qu’il était alors, par un prénom d’emprunt : Freddy. Voici l’un de ces récits :
Un jour d’avril, alors qu’il tombait une de ces pluies de printemps, soudaine, violente et déjà assez chaude, une cliente entre en trombe dans la brasserie. Sortant d’un des grands magasins, elle a été surprise par la pluie en pleine rue. Sans rien pour se protéger, en un clin d’œil elle est trempée "jusqu’aux os" et trouve refuge dans la salle du café… C’était une jolie bourgeoise, sans doute un peu plus de la cinquantaine, mais restée très belle, élancée, très classe et très sexy.
D’autant plus d’ailleurs, que la pluie a collé sa robe légère sur son corps, laissant voir par transparence son soutien gorge orange, assorti à la couleur de la robe. Ses jambes et ses fesses sont aussi moulées par la robe plaquée sur elle et l’on voit très distinctement le slip de type brésilien assorti, orange lui aussi… Ses cheveux blonds sont aussi trempés ; dans cet état la dame est très appétissante. Le garçon qui l’accueille (il s’agit de Freddy dont je parlais plus haut) n’en revient pas de la voir dégoulinante ainsi et pourtant désirable… La femme a du chien, un " je ne sais quoi " qui incite aux folies, surtout quand c’est de l’imprévu. Elle hésite un instant, n’osant s’asseoir, tant l’eau lui dégoulinait de partout, puis faisant face au garçon avec un air sous entendu elle dit :
- " Je souhaiterais avoir un thé bien chaud, mais avant je voudrais de toute urgence, le téléphone ". Déjà, elle ouvre son sac, mouillé lui aussi et en sort trois billets de 50 €, qu’elle tend au garçon en ajoutant : " Et puis une serviette sèche, si ce n’est trop vous demander, je prendrai mon thé après. Là, je descends me sécher de suite…".
Le garçon a compris. Il empoche les billets et devance la blonde rapidement jusqu’au comptoir d’où il extirpe la clé qu’il remet à la dame, puis il la suit pour aller lui prendre une serviette dans le grand placard de l’escalier. La dame l’a précédé dans l’escalier, elle a juste le temps de tourner la clé dans la serrure que déjà, le jeune Freddy arrive avec la serviette de toilette. Elle s’en empare et se retire rapidement dans la cabine du centre où elle s’enferme. Freddy entre à côté et s’enferme à son tour… Il sent qu’il bande déjà à la seule idée de voir plus intimement cette femme magnifique. Dès qu’il est entré, il colle son œil au trou le plus central de la cabine, et tout en lâchant la ceinture de son pantalon, il commence à mater la jolie bourgeoise. Celle-ci enlève sa robe légère qui colle à son corps comme une seconde peau. La robe est enlevée rapidement par le haut. La dame est blonde et sa peau apparait cuivrée dans la lumière ambrée de la cabine... Le pantalon de Freddy tombe sur ses chaussures, il libère la bite des contraintes du slip qui le serre maintenant beaucoup trop. La femme blonde lui fait maintenant face.
L’œil au trou, il remarque qu’elle évite ostensiblement de regarder dans la direction de sa cabine. Il faut dire que dans cette situation exceptionnelle où le serveur par la force des choses est descendu en même temps que " la cliente ", il n’y a donc plus le suspens de savoir dans quelle cabine se tient l’homme… Alors qu’elle enlève son soutien-gorge, elle marque un temps d’arrêt, l’oreille aux aguets. Freddy entend à son tour distinctement la porte " privée " d’accès aux cabines s’ouvrir. Un moment il craint d’avoir oublié de verrouiller la porte derrière lui. Quittant son poste d’observation, il entrebâille très doucement et sans bruit la porte de la cabine et voit son jeune collègue se diriger vers la cabine de droite. Gino, c’est le prénom du garçon, lui fait un petit signe complice et avec la souplesse d’un chat, sans faire de bruit entre dans la cabine opposée… Freddy referme doucement la porte revient vite se coller l’œil au trou de la paroi…
Sa bite tendue à fond, maintenant lui fait mal. Il mate de nouveau la jolie bourgeoise blonde qui lui présente de profil une magnifique poitrine, bien formée, à la peau dorée elle aussi, aux mamelons bien dessinés et aux pointes dressées… La dame après avoir retiré son soutien-gorge, se penche pour faire descendre son slip couleur feu. Celui-ci, mouillé comme tout le reste, colle aux cuisses humides, puis aux jambes ; elle a du mal à le descendre complètement. Il se roule sur lui-même et manifestement résiste à la pression insistante des longs doigts de la femme… Freddy pense que Gino dans l’autre cabine doit aussi commencer à mater de son côté. Il se met à caresser doucement son membre dressé et tendu. La femme maintenant dégage son slip tout roulé d’une jambe, puis de l’autre sans retirer ses escarpins. Elle a de très jolies jambes, fines et déliées qui se réunissent en une arabesque parfaite au niveau du pubis que Freddy discerne mal encore, vu la position de la bourgeoise.
De l’autre côté de la paroi, la femme est à quelques centimètres de Freddy. L’orifice est d’un bon diamètre, il lui suffit donc de varier l’oblique de son œil, pour que son regard embrasse la quasi-totalité du corps de la femme, des genoux à son visage, fin et bien dessiné… Dans le profil qu’elle laisse voir à Freddy, elle parait encore plus élancée, plus fine et mieux foutue que lorsqu’elle est apparue habillée dans le bar, même si déjà les vêtements mouillés, la moulaient énormément.
Là, nue dans la lumière ambrée, elle parait encore plus belle, plus désirable… Quelle superbe femme !, pense Freddy, bien faite et très classe. Il se branle doucement, ne voulant pas brusquer les choses et donnant tout le temps nécessaire pour admirer la jolie bourgeoise… Celle-ci après s’être frotté énergiquement les cheveux avec la serviette, prend ensuite le temps de s’essuyer doucement et longuement, prodiguant à son corps comme une caresse longue et appuyée. L’essuyage part du dos, descend sur ses belles fesses juste cambrées comme il convient, remonte sur le ventre, les seins, puis redescend aux cuisses, aux jambes et remonte encore jusqu’au pubis… Elle met son pied droit sur bord de la cuvette des W.C. et fait pivoter son corps vers sa gauche, c’est-à-dire dans la direction de la cloison derrière laquelle se trouve Freddy Elle se sait matée et comme la plupart des femmes dans les préliminaires, elle aime être regardée, désirée, convoitée avant de passer à des choses plus concrètes…
Là, dans cette position de son corps, elle donne à voir à Freddy un pubis merveilleux, bien rebondi. Ce n’est pas un de ces pubis qui s’estompent dès que le ventre se termine et plonge bien avant les cuisses ; non, il est au contraire bien proéminent, bombé et bien visible avant de disparaître en plongeant dans à la jointure des cuisses. Freddy a rarement vu un pubis aussi fort, aussi proéminent, démarqué du bas ventre, faudrait-il dire…
Certes, tout à l’heure en haut dans la salle de la brasserie, alors que la dame arrivait trempée de la tête aux pieds, il a bien vu que la robe à ramages orange et plaquée sur le bas ventre, laissait voir une belle protubérance arrondie à cet endroit. A cet instant là-haut, une pensée furtive lui avait traversé l’esprit : et si c’était un travesti ? Mais très vite il était revenu sur cette première idée : non, le reste de la personne ne laissait aucun doute sur la féminité désirable de cette jolie femme. Et là maintenant il a la confirmation que la protubérance de tout à l’heure est bel et bien une marque de féminité sans ambiguïté.
Freddy peut aussi voir que la dame est une vraie blonde et même une blonde donnant dans le vénitien ce qui donne au pubis une couleur feu du plus bel effet, un peu de la couleur orangée du slip et du soutien-gorge. C’est magnifique et rare. C’est une toison clairsemée, bien taillée et entretenue, avec des poils fins dont l’extrémité boucle légèrement. Observant plus attentivement, Freddy remarque que la toison ne descend pas très bas sur la motte. Visiblement la femme s’épile la vulve, ne gardant qu’une petite touffe sur le pubis, juste que pour en indiquer la couleur très particulière et ô combien excitante…
Elle, toujours une jambe levée, l’entrejambes ouvert donnant maintenant tout à voir à Freddy. Elle s’essuie avec application la vulve avec un coin de la serviette. De la main gauche, elle s’écarte le plus possible les grandes lèvres qu’elle a plutôt épaisses. Normalement, se dit Freddy, avec une motte aussi bombée, il n’est pas étonnant d’avoir des lèvres externes plutôt grosses… Dans l’écartement le garçon voit nettement les petites lèvres, plus fines et surtout beaucoup, beaucoup plus longues. Très délicatement, elle s’essuie la fente. Puis, mettant sa serviette sous son poignet, elle prend les petites lèvres entre le pouce et l’index de chaque main et les ouvre largement. Les lèvres écartées sont déjà très découpées, persillées même, et bien violacées. Freddy n’en est pas à son coup d’essai, il sait que cet indicateur de couleur des petites lèvres des femmes, témoigne d’une forte excitation. Les femmes qui viennent ici, dans ces cabines, sont souvent en état de manque et leur désir intense colore joliment les petites lèvres, les plisse et les rend turgescentes.
Maintenant Freddy peut mater très précisément l’ouverture béante du con. Il voit nettement l’entrée de la grotte avec juste au-dessus le trou à pipi. De chaque côté, les petites ouvertures en fente des glandes de Bartholin. Freddy a même l’impression qu’elles suintent déjà de mouille ; sous la paroi rosée de l’entrée, il peut voir le trou à bites qui s’enfonce par dessous… Puis, comme si la femme devinait ses pensées, elle lâche la petite lèvre, et de sa main droite, elle s’introduisit le majeur dans le vagin. Elle le fait aller et venir plusieurs fois avec de petits gémissements. Elle se branle en se doigtant. Freddy sent son sexe se durcir encore...
Il pense que Gino de l’autre côté doit mater lui aussi et voir surtout les fesses et la chute de reins de la blonde. Il se dit qu’elle a dû entendre Gino entrer, même si celui-ci n’a pas fait de bruit. Elle sent peut-être une présence derrière elle ?...
La bourgeoise, un doigt toujours dans le trou, se penche maintenant lentement en avant vers la paroi. Sa poitrine masque progressivement à Freddy le reste de son corps. Bientôt son visage est au niveau de l’orifice et Freddy voit un bel œil bleu dans le trou de la cloison. Un œil vif, superbe et plein d’appétit. Freddy se recule ; la blonde à son tour, colle son œil à l’ouverture… (Photo). Le beau regard perçant accroche la bite dressée que Freddy donne à voir face au trou, puisqu’il s’est relevé de sa position première… Tout de suite, une langue passe par le trou de la paroi, une langue rose et mouillée dont la pointe humide de salive se darde à l’orifice. Freddy approche doucement sa bite de la langue tendue jusqu’à la toucher. La langue lentement passe sur le gland à plusieurs reprises. (Photos). Par un autre trou percé à hauteur d’yeux, Freddy voit que son compagnon en face regarde avidement dans leur direction. Il se soulève un peu et prenant un angle plongeant, et aperçoit le postérieur de la dame. Des deux mains, elle s’écarte largement les fesses et donne à voir à Gino, le trou de son cul surmontant sa vulve aux lèvres ouvertes… Cette situation excite fortement Freddy qui a envie de s’introduire dans ce joli fessier en levrette… Mais déjà la coquine retire sa bouche du trou, laissant le gland de Freddy mouillé et luisant…
Elle se remet debout et enjambant la cuvette blanche et écarte le plus possible les jambes qu’elle fléchit légèrement. Sa motte bien arrondie est ouverte sur le bas d’où s’échappent les petites lèvres, violettes et finement ciselées, longues et bien pendantes entre les deux lames épaisses et charnues des grosses lèvres. Comme elle l’a fait précédemment elle les prend entre le pouce et l’index de chaque main et les ouvre le plus possible ; puis toujours debout, elle se met à uriner doucement d’abord, puis par des jets de plus en plus vifs et soutenus… En même temps, de ses mains, elle appuie sur son bas-ventre et son pubis, accompagnant les relances des jets de pipi. Dans cette position particulière, écartée et les jambes à peine fléchies, comme si elle chevauchait une monture imaginaire, la poitrine dressée, elle est encore plus tentante et désirable… (Photo). Elle urine longuement, prenant son temps. Puis, sans rien précipiter elle se retourne pour prendre un peu de papier hygiénique et s’essuie avec un soin particulier, la fente, l’entrée du con, les lèvres… Ensuite avec une autre feuille de papier, Freddy la voit commencer à se caresser doucement le clito d’un mouvement très doux et circulaire… Elle écarte très largement les cuisses, s’accroupit à demi, montrant ainsi sa chatte très ouverte face à Freddy. Elle doit donc, par complément, montrer à Gino, ses fesses ouvertes et ses lèvres pendantes… Elle se branle de plus en plus fort et commence à haleter et à souffler. Elle a lâché le papier rose et maintenant se passe le doigt presque frénétiquement sur le clitoris…

A suivre.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'ai adore cette histoire ca m'a fait mouiller comme une fontaine merci ;)

Histoire Erotique
je suis un homme qui aime prendre en bouche un sex dans un gloryhole.

Je ne connaissais pas cette pratique des brasseries parisiennes. Bravo pour cette information très utile et combien érotisante



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : A la gloire des Glory-hole - 1 -
Histoire sexe : Une rose rouge
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