Titre de l'histoire érotique : amours aquatiques
Récit érotique écrit par Lutineuse81 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2012 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : amours aquatiques
Amours aquatiques,
Mes voisins sont des gens charmants, discrets et avenants. Je ne les connais pas
intimement, j'aime garder mes distances et je me contente bien souvent des salutations
d'usage. Pourtant , à mon grand étonnement, ils m'ont demandé si je pouvais surveiller
leur résidence durant leur absence au mois d'aout . J'ai accepté sans grand
enthousiasme, mais il faut savoir rester quelque peu sociable pour vivre en bonne
intelligence. D'autant plus que j'ai l'autorisation d'utiliser leur piscine ce qui est
une opportunité à saisir par ces temps de grande canicule. J'avoue qu'un de mes
plaisirs favoris est de prendre des bains de minuit nue et de nager en toute liberté
sous la clarté feutrée de la lune et des étoiles.
Mes gentils voisins sont partis ce matin, et je frétille à l'idée de plonger dans leur
bassin ce soir à la tombée de la nuit. Au crépuscule, je rejoins le bord de l'eau
laisse glisser mes vêtements sur la dalle encore chaude . Mes seins encore emprisonnés
dans un balconnet aubade ne demande qu'à retrouver leur liberté. Je dégrafe mon
soutien gorge avec empressement et me débarrasse tout aussi rapidement du shorty
assorti. Me voilà comme Eve au jardin d'Eden, nue et ravie en ce tout simple appareil.
Je rentre progressivement dans cette eau fraiche et accueillante, un frisson de bien
être me parcours l'échine, c'est un délice. Mes tétons sont saisis par le froid et
deviennent tous dur , ils sont fiers et conquérants . Je les caresse furtivement. Je
fais quelques brasses pour étirer mes muscles et profiter des bien faits de cette
séance aquatique. J'apprécie d'être à l'abri des regards indiscrets et de pouvoir
profiter de l'espace en toute impunité. Je m'assois sur la dernière marche , mon corps
en partie recouvert d'eau , et je me laisse bercer par la douceur de cette nuit. La
parcelle du terrain est surplombée par une magnifique maison d'architecte et j'imagine
avec délectation que son propriétaire puisse jouer au spectateur... J'écarte avec
élégance mes jambes et contracte les muscles de mon bas ventre, l'eau pénètre mon
intimité et ces préliminaires sont électrisants.
Soudain j'entends un bruit suspect, je me sens observée, mon cœur s'emballe pourtant
je continue à me masturber nonchalamment. Me savoir à la merci d'un voyeur m'excite
terriblement. Je perds toute notion de bienséance et néglige le danger d'une pareille
situation . Je m'exhibe je gémis et marmonne des grivoiseries, des mots vulgaires et
paillards. Mes doigts glissent contre les chairs humides de ma chatte brulante, je
fait rouler mon clitoris gonflé entre mes doigts, j'ondule sous mes va et viens
experts. Je regrette de ne pas avoir sous la main d'instruments plus adéquats pour
pénétrer plus profondément mes entrailles dilatées . Demain c'est certain je prendrai
d'autres dispositions pour pigmenter mes jeux solitaires. Je me sèche rapidement,
enfile mes vêtements et je rentre chez moi le cœur palpitant à la fois de désir et
d'aventure érotique.
Le soir suivant, vers minuit, me voilà toute excitée nue sous mon peignoir, munie de
quelques accessoires au bord du bassin. Je sais que mon admirateur est là aussi , son
parfum musqué caresse mes narines. Je suis à la fois émoustillée et un peu effrayée,
mais mon désir l'emporte. M'exhiber ainsi tout en gardant bonne conscience est une
sensation exquise. J'offre à cet inconnu la vision de mon corps nu. Je n'apprécie pas
mes formes et ne les expose pas naturellement, mais là mes barrières tombent et c'est
avec volupté que je dessine mes courbes, pince le bout de mes seins , caresse mon bas
ventre, effleure mes lèvres, découvre mon bouton avide, recueille un peu de ma liqueur
sur mon index pour le porter à ma bouche gourmande. Je suis envahie d'un désir
effrayant, je suis sous son contrôle, pour l'assouvir je suis prête à tout et au pire.
Je souhaite que cet inconnu assouvisse tous ces fantasmes qui me chavirent. Je suis en
feu, je plonge dans les eaux fraîches de la piscine pour réfréner ma libido en folie.
Mais l'effet n'est pas celui escompté, les caresses de l'eau sur ma peau sont comme
des milliers de dards diablotins, je veux chevaucher un sexe, je veux un chibre qui me
laboure, un membre sous ma langue habile...Les accessoires emportés tout à l'heure se
rappellent à mes souvenirs, je m'allonge sur la margelle encore gorgée de chaleur, je
glisse un petit ballon sous mes reins et l'intrus a ainsi une vision des plus
provocantes. Mon excitation lubrifie mon intimité, je prends un petit godemiché
vibrant mauve (je sais la couleur n'a pas grande importance mais elle me plaît) que je
promène sur mon sexe, j'utilise également un long flexible jaune poussin (mauve et
jaune c'est sympa n'est ce pas?) en mousse de petit diamètre que j'insère avec
délicatesse dans mon trou mignon. J'ondule et je gémis sous l'introduction de l'objet
de sodome qui progresse lentement dans mon antre impudiquement offerte. Je râle,
j'appelle au sexe comme on appelle au secours, je deviens chienne.
Brusquement des pas, des bruits, de l'air déplacé qui rafraichi ma peau, et avant que
je ne réagisse quelque chose de plaqué sur mes yeux et ma bouche et dans un
chuchotement une voix rassurante d'homme qui me dit : « n'ai pas peur , nous ne sommes
là que pour le plaisir, appelle nous épicure et hédon ». Nous? Mon voyeur n'est pas
seul? Je n'avais pas prévu ce scénario , d'ailleurs je n'avais rien prévu du tout, ce
n'était qu'un fantasme , un jeu. Me voilà prise à un piège que j'ai moi même tendu, et
d'un autre côté malgré quelques inquiétudes je suis ravie de la tournure des
évènements. D'ailleurs les intrus libertins ne semblent pas dangereux, dés qu'ils ont
vérifié que je ne suis pas terrifiée et toujours encline à continuer mes coquineries,
ils ôte mon bâillon tout en laissant un foulard sur mes yeux. L'idée d'être à la
merci de deux amants m'excite énormément. Un jeu à quatre mains s'instaure, ils me
font un sermon : « alors madame a des tendances perverses, elle s'exhibe et s'excite à
la vue de tous, regarde dans quel état tu nous as mis! ». Derechef , les voilà qu'ils
me glissent dans chaque main leur sexe tendu. L'un d'entre eux est chaud , long ,
droit et vigoureux, d'office ce sera celui d'Epicure . Je serre ma main autour de
cette valeureuse dague et je la sent grossir encore. L'autre est plus court, courbé et
nettement plus impressionnant que son compère. Je ne peux m'empêcher d'aller et venir
le long de cette prétentieuse hampe, celle d'Hédon. Mais son propriétaire me fait
mettre alors à quatre patte et à tôt fait de m'arrêter dans mon élan en me donnant
quelques claques cinglantes sur mes fesses rebondies : « vilaine fille maintenant
c'est à notre tour de jouer ». A mon grand étonnement ces fessées non attendues
m'émoustillent, ma peau chauffée est électrisée. Cette partie de mon anatomie est très
sensible. Epicure et Hédon m'aspergent d'huile, ils étalent avec beaucoup
d'application l'ongue parfumée que j'avais pris soin d'emporter. Un des bougres se
glisse sous moi et met sa verge au niveau de ma bouche , il me demande alors de lui
prodiguer une fellation. Ma position est des plus indécentes mais combien excitante :
sur mes avants bras à déguster le chibre parfait d'Hépicure , mon sexe à portée de son
visage et Hédon à prendre soin de mon postérieur.
J'ai bien compris que je suis l'objet sexuel consentant de ces deux étalons prêts, me
disent ils , à me donner du plaisir et encore du plaisir ...aussi je me laisse aller
complètement entre leurs mains aventurières. Mains d'ailleurs qui m'entreprennent de
façon un peu brutale, les deux drôles investissent mes orifices palpitants : « elle va
aimer ça la coquine nous allons la visiter manuellement et la faire crier ». Sitôt dit
sitôt fait des doigts inquisiteurs progressent dans mon vagin et dans ma cavité anale
. Bien lubrifiée, et surtout avide de sensations fortes c'est avec facilité que
plusieurs appendices me fouillent et me titillent . Leurs caresses fistines me
tétanisent de plaisir et je remercie leurs auteurs en caresses buccales passionnées
sur la verge gonflée qui m'est offerte. Mon amant apprécie et d'un coup de rein
enfonce dans ma gorge sa queue raidie. C'est délicieux et grisant de tenir entre ses
dents ce monceau de chair si chaud , si doux, si plaisant. Je l'aspire , je le lèche,
je l'embrasse, je passe ma langue dans son méat et tente d'y progresser en vain. Je
l'avale à nouveau , Hépicure répond à mes avances en introduisant brusquement sa main
entière dans mon vagin distendu. J'éjacule sans m'y attendre et crie mon plaisir ,
stupéfaits les drilles comprennent que je suis femme fontaine ce qui les émoustillent
encore plus. Mon sexe est dilaté comme il ne l'a jamais été , alors que je suis en
train de vivre une sodomie extraordinaire . Sans que je m'en rende compte, mon
deuxième et discret étalon a réussi lui aussi à blottir son point dans mon anatomie
secrète. Ainsi pelotée je jouis sans cesse, je remercie mes bienfaiteurs , leur
demande de continuer j'en veux encore, je ne veux pas que ça cesse, j'inonde les deux
acolytes qui s'activent à qui mieux mieux.
Soudain un grand vide, mes amants au même moment retirent leurs mains , rient de mon
désarroi. Je suis en manque et prête à tout pour être à nouveau comblée. Mais ces deux
là sont gentleman et m'offrent une double pénétration que je n'oublierai jamais. C'est
une chorégraphie bien orchestrée, des coups de boutoirs éreintants, je reçois des
tapes cinglantes qui me rendent folle, je suis embrassée, caressée, massée, pincée,
mordillée, pénétrée doucement ou à la hussarde, tétée, sucée, aspirée, explorée, prise
sans dessus dessous, écartelée, visitée, baisée en tous sens, j'en perd la tête , je
suis sexuellement désorientée , mes désirs totalement assouvis.
Nos corps emmêlés et soudés vibrent à l'unisson en complète osmose, mes amants
verbalisent mes désirs, mes plaisirs, je ne suis que jouissance et mes éjaculations
incessantes décuplent l'ardeur de ces messieurs, leur embrassement va crescendo, leur
excitation devient insoutenable et quand à nouveau je me répand sur eux ils déchargent
ensemble leur semence dans un orgasme gigantesque qui me fait une fois encore couler
d'extase.
Épuisée je tombe dans une brève somnolence, et quand j'émerge de ma torpeur mes
divins comparses ont disparus tels qu'ils étaient venus.
Mes voisins sont rentrés et mes jeux aquatiques ne sont plus que de merveilleux
souvenirs......
Mes voisins sont des gens charmants, discrets et avenants. Je ne les connais pas
intimement, j'aime garder mes distances et je me contente bien souvent des salutations
d'usage. Pourtant , à mon grand étonnement, ils m'ont demandé si je pouvais surveiller
leur résidence durant leur absence au mois d'aout . J'ai accepté sans grand
enthousiasme, mais il faut savoir rester quelque peu sociable pour vivre en bonne
intelligence. D'autant plus que j'ai l'autorisation d'utiliser leur piscine ce qui est
une opportunité à saisir par ces temps de grande canicule. J'avoue qu'un de mes
plaisirs favoris est de prendre des bains de minuit nue et de nager en toute liberté
sous la clarté feutrée de la lune et des étoiles.
Mes gentils voisins sont partis ce matin, et je frétille à l'idée de plonger dans leur
bassin ce soir à la tombée de la nuit. Au crépuscule, je rejoins le bord de l'eau
laisse glisser mes vêtements sur la dalle encore chaude . Mes seins encore emprisonnés
dans un balconnet aubade ne demande qu'à retrouver leur liberté. Je dégrafe mon
soutien gorge avec empressement et me débarrasse tout aussi rapidement du shorty
assorti. Me voilà comme Eve au jardin d'Eden, nue et ravie en ce tout simple appareil.
Je rentre progressivement dans cette eau fraiche et accueillante, un frisson de bien
être me parcours l'échine, c'est un délice. Mes tétons sont saisis par le froid et
deviennent tous dur , ils sont fiers et conquérants . Je les caresse furtivement. Je
fais quelques brasses pour étirer mes muscles et profiter des bien faits de cette
séance aquatique. J'apprécie d'être à l'abri des regards indiscrets et de pouvoir
profiter de l'espace en toute impunité. Je m'assois sur la dernière marche , mon corps
en partie recouvert d'eau , et je me laisse bercer par la douceur de cette nuit. La
parcelle du terrain est surplombée par une magnifique maison d'architecte et j'imagine
avec délectation que son propriétaire puisse jouer au spectateur... J'écarte avec
élégance mes jambes et contracte les muscles de mon bas ventre, l'eau pénètre mon
intimité et ces préliminaires sont électrisants.
Soudain j'entends un bruit suspect, je me sens observée, mon cœur s'emballe pourtant
je continue à me masturber nonchalamment. Me savoir à la merci d'un voyeur m'excite
terriblement. Je perds toute notion de bienséance et néglige le danger d'une pareille
situation . Je m'exhibe je gémis et marmonne des grivoiseries, des mots vulgaires et
paillards. Mes doigts glissent contre les chairs humides de ma chatte brulante, je
fait rouler mon clitoris gonflé entre mes doigts, j'ondule sous mes va et viens
experts. Je regrette de ne pas avoir sous la main d'instruments plus adéquats pour
pénétrer plus profondément mes entrailles dilatées . Demain c'est certain je prendrai
d'autres dispositions pour pigmenter mes jeux solitaires. Je me sèche rapidement,
enfile mes vêtements et je rentre chez moi le cœur palpitant à la fois de désir et
d'aventure érotique.
Le soir suivant, vers minuit, me voilà toute excitée nue sous mon peignoir, munie de
quelques accessoires au bord du bassin. Je sais que mon admirateur est là aussi , son
parfum musqué caresse mes narines. Je suis à la fois émoustillée et un peu effrayée,
mais mon désir l'emporte. M'exhiber ainsi tout en gardant bonne conscience est une
sensation exquise. J'offre à cet inconnu la vision de mon corps nu. Je n'apprécie pas
mes formes et ne les expose pas naturellement, mais là mes barrières tombent et c'est
avec volupté que je dessine mes courbes, pince le bout de mes seins , caresse mon bas
ventre, effleure mes lèvres, découvre mon bouton avide, recueille un peu de ma liqueur
sur mon index pour le porter à ma bouche gourmande. Je suis envahie d'un désir
effrayant, je suis sous son contrôle, pour l'assouvir je suis prête à tout et au pire.
Je souhaite que cet inconnu assouvisse tous ces fantasmes qui me chavirent. Je suis en
feu, je plonge dans les eaux fraîches de la piscine pour réfréner ma libido en folie.
Mais l'effet n'est pas celui escompté, les caresses de l'eau sur ma peau sont comme
des milliers de dards diablotins, je veux chevaucher un sexe, je veux un chibre qui me
laboure, un membre sous ma langue habile...Les accessoires emportés tout à l'heure se
rappellent à mes souvenirs, je m'allonge sur la margelle encore gorgée de chaleur, je
glisse un petit ballon sous mes reins et l'intrus a ainsi une vision des plus
provocantes. Mon excitation lubrifie mon intimité, je prends un petit godemiché
vibrant mauve (je sais la couleur n'a pas grande importance mais elle me plaît) que je
promène sur mon sexe, j'utilise également un long flexible jaune poussin (mauve et
jaune c'est sympa n'est ce pas?) en mousse de petit diamètre que j'insère avec
délicatesse dans mon trou mignon. J'ondule et je gémis sous l'introduction de l'objet
de sodome qui progresse lentement dans mon antre impudiquement offerte. Je râle,
j'appelle au sexe comme on appelle au secours, je deviens chienne.
Brusquement des pas, des bruits, de l'air déplacé qui rafraichi ma peau, et avant que
je ne réagisse quelque chose de plaqué sur mes yeux et ma bouche et dans un
chuchotement une voix rassurante d'homme qui me dit : « n'ai pas peur , nous ne sommes
là que pour le plaisir, appelle nous épicure et hédon ». Nous? Mon voyeur n'est pas
seul? Je n'avais pas prévu ce scénario , d'ailleurs je n'avais rien prévu du tout, ce
n'était qu'un fantasme , un jeu. Me voilà prise à un piège que j'ai moi même tendu, et
d'un autre côté malgré quelques inquiétudes je suis ravie de la tournure des
évènements. D'ailleurs les intrus libertins ne semblent pas dangereux, dés qu'ils ont
vérifié que je ne suis pas terrifiée et toujours encline à continuer mes coquineries,
ils ôte mon bâillon tout en laissant un foulard sur mes yeux. L'idée d'être à la
merci de deux amants m'excite énormément. Un jeu à quatre mains s'instaure, ils me
font un sermon : « alors madame a des tendances perverses, elle s'exhibe et s'excite à
la vue de tous, regarde dans quel état tu nous as mis! ». Derechef , les voilà qu'ils
me glissent dans chaque main leur sexe tendu. L'un d'entre eux est chaud , long ,
droit et vigoureux, d'office ce sera celui d'Epicure . Je serre ma main autour de
cette valeureuse dague et je la sent grossir encore. L'autre est plus court, courbé et
nettement plus impressionnant que son compère. Je ne peux m'empêcher d'aller et venir
le long de cette prétentieuse hampe, celle d'Hédon. Mais son propriétaire me fait
mettre alors à quatre patte et à tôt fait de m'arrêter dans mon élan en me donnant
quelques claques cinglantes sur mes fesses rebondies : « vilaine fille maintenant
c'est à notre tour de jouer ». A mon grand étonnement ces fessées non attendues
m'émoustillent, ma peau chauffée est électrisée. Cette partie de mon anatomie est très
sensible. Epicure et Hédon m'aspergent d'huile, ils étalent avec beaucoup
d'application l'ongue parfumée que j'avais pris soin d'emporter. Un des bougres se
glisse sous moi et met sa verge au niveau de ma bouche , il me demande alors de lui
prodiguer une fellation. Ma position est des plus indécentes mais combien excitante :
sur mes avants bras à déguster le chibre parfait d'Hépicure , mon sexe à portée de son
visage et Hédon à prendre soin de mon postérieur.
J'ai bien compris que je suis l'objet sexuel consentant de ces deux étalons prêts, me
disent ils , à me donner du plaisir et encore du plaisir ...aussi je me laisse aller
complètement entre leurs mains aventurières. Mains d'ailleurs qui m'entreprennent de
façon un peu brutale, les deux drôles investissent mes orifices palpitants : « elle va
aimer ça la coquine nous allons la visiter manuellement et la faire crier ». Sitôt dit
sitôt fait des doigts inquisiteurs progressent dans mon vagin et dans ma cavité anale
. Bien lubrifiée, et surtout avide de sensations fortes c'est avec facilité que
plusieurs appendices me fouillent et me titillent . Leurs caresses fistines me
tétanisent de plaisir et je remercie leurs auteurs en caresses buccales passionnées
sur la verge gonflée qui m'est offerte. Mon amant apprécie et d'un coup de rein
enfonce dans ma gorge sa queue raidie. C'est délicieux et grisant de tenir entre ses
dents ce monceau de chair si chaud , si doux, si plaisant. Je l'aspire , je le lèche,
je l'embrasse, je passe ma langue dans son méat et tente d'y progresser en vain. Je
l'avale à nouveau , Hépicure répond à mes avances en introduisant brusquement sa main
entière dans mon vagin distendu. J'éjacule sans m'y attendre et crie mon plaisir ,
stupéfaits les drilles comprennent que je suis femme fontaine ce qui les émoustillent
encore plus. Mon sexe est dilaté comme il ne l'a jamais été , alors que je suis en
train de vivre une sodomie extraordinaire . Sans que je m'en rende compte, mon
deuxième et discret étalon a réussi lui aussi à blottir son point dans mon anatomie
secrète. Ainsi pelotée je jouis sans cesse, je remercie mes bienfaiteurs , leur
demande de continuer j'en veux encore, je ne veux pas que ça cesse, j'inonde les deux
acolytes qui s'activent à qui mieux mieux.
Soudain un grand vide, mes amants au même moment retirent leurs mains , rient de mon
désarroi. Je suis en manque et prête à tout pour être à nouveau comblée. Mais ces deux
là sont gentleman et m'offrent une double pénétration que je n'oublierai jamais. C'est
une chorégraphie bien orchestrée, des coups de boutoirs éreintants, je reçois des
tapes cinglantes qui me rendent folle, je suis embrassée, caressée, massée, pincée,
mordillée, pénétrée doucement ou à la hussarde, tétée, sucée, aspirée, explorée, prise
sans dessus dessous, écartelée, visitée, baisée en tous sens, j'en perd la tête , je
suis sexuellement désorientée , mes désirs totalement assouvis.
Nos corps emmêlés et soudés vibrent à l'unisson en complète osmose, mes amants
verbalisent mes désirs, mes plaisirs, je ne suis que jouissance et mes éjaculations
incessantes décuplent l'ardeur de ces messieurs, leur embrassement va crescendo, leur
excitation devient insoutenable et quand à nouveau je me répand sur eux ils déchargent
ensemble leur semence dans un orgasme gigantesque qui me fait une fois encore couler
d'extase.
Épuisée je tombe dans une brève somnolence, et quand j'émerge de ma torpeur mes
divins comparses ont disparus tels qu'ils étaient venus.
Mes voisins sont rentrés et mes jeux aquatiques ne sont plus que de merveilleux
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
miam :)
Bravo cela m à bien excité.
Vivement les prochaines vacances pour la suite
Vivement les prochaines vacances pour la suite
J'ai beaucoup aimé ton histoire,je me suis imaginé près de toi au bord de la piscine,
un plaisir.
Merci.
Henri Louis
un plaisir.
Merci.
Henri Louis