Titre de l'histoire érotique : Amours fous
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Amours fous
Je vie avec la même femme depuis 5 ans. Au début nous faisions l'amour
comme un couple normal: baise tous les jours, devant, derrière et la
bouche. Nous étions satisfaits. Enfin il me semblais: un jour elle a eu des
idée qui venait tout simplement d'un film très coquin sur la télé. Il y
avait des couples qui se mélangeaient et surtout des filles qui baisaient
ensemble. C'est surtout la vue des filles qui se broutaient le minou qui
l'excitait le plus. Le soir même après l'amour, elle me demandait de lui
trouver une fille qui accepterait de baiser avec elle. Je n'avais pas de
telles connaissances. Elle devait se débrouiller toute seule.
Une rencontre fortuite avec une de ses anciennes condisciples d'un collège
religieux qui, le soir se masturbait en se mettant dans le con une culotte
entière et en y faisant des pressions rapides jouissait toujours en le
disait à sa voisine de lit: ma femme, faisait qu'elles se parlaient du bon
vieux temps. Sa camarade lui rappelait ses branlettes. Excitées l'une et
l'autre, ma femme l'invitait un après-midi à la maison.
Elle m'en parlait incidemment de telle sorte que je ne prêtais pas trop
attention à ce qu'elle disait. Je n'ai su ce qu'elles avaient fait que le
soir de leur "entrevue". Son amie aimait autant les filles que les hommes.
C'est elle qui proposait à ma femme de tirer un coup là, chez moi. Elles
s'embrassaient et commençaient à se déshabiller. Ce n'est qu'une fois nues
que l'amie commençait à peloter ma femme qui se laissait faire dans
l'attente d'une caresse plus personnelle qui arrivaient rapidement. La main
de son amie venait enfin délivrer ma femme: elle caressait le bouton et ma
femme toujours prête à jouir le faisait sans penser à mal.
A son tour, juste après avoir joui, il fallait qu'elle rende la caresse et
ne manquait pas de la faire. Pour elle caresser un clitoris autre que le
sien devenait une simple politesse rendue. Pourtant son désir d'aller plus
loin était toujours en elle. Elle branlait sa camarade et la faisait jouir.
Étonnée de son "exploit" elle aurait voulu allait plus loin, mais n'osait
pas le demander. C'est l'autre qui lui faisait écarter les jambes pour
venir y mettre sa tête: sa langue lui caressait l'intérieur des cuisses
jusqu'à son sexe déjà bien mouillé. Cette langue la léchait à peu près
partout de bas en haut. Elle s'attardait sur l'anus, y rentrait un peu et
remontait lentement. Le simple frôlement de langue sur son cul l'excitait.
Et quand enfin cette langue venait sur son bouton elle se laissait aller
complètement. Elle se caressait les seins et les pointes qui bandaient
aussi. Quand elle jouissait elle était totalement bouleversée et ne pouvait
plus rien faire, sauf que l'autre fille lui demandait de la sucer également
ou de la branler. Pour ma femme, sucer un autre con n'était pas encore
d'actualité. Elle branlait l'autre femme simplement pour la satisfaire.
Elles finissaient leur baise comme ça. Mais l'amie lui disait qu'elle
reviendrait le lendemain et qu'elle comptait bien aller plus loin.
En effet le lendemain elles allaient un peu plus loin: dès le début ma
femme était sucée et elle se décidait à rendre la même chose. Elle aussi
suçait le con et goûter à la cyprine d'une autre. Ce n'était pas mauvais du
tout. Elles se gouinaient jusqu'à faire une série de 69.
Ce n'est que ce soir là qu'elle m'avouait, juste avant une baise qu'elle
venait de baiser cette amie. J'en étais excité et je la baisais comme
rarement. Je profitais pour lui mettre la bite au cul. Je savais que pour
finir en beauté une baise il lui fallait cette pine. Le lendemain matin je
lui demandais si elle devait encore baiser dans la journée avec son amie.
J'aurais bien aimé être là pour la voir et surtout baiser en trio.
Il lui fallait demandé si son amie voulait bien se faire baiser par moi. Je
me doutais un peu de la réponse et le soir en effet sa copine/amante était
là. Elle me semblait bien féminine pour être une gouine dominante.
Nous dînions ensemble quand elle se levait de table et allait embrasser ma
femme sur la bouche avant de venir vers moi et m'en faire autant. Je
reconnais qu'elle savait bien embrasser. J'en profiter pour lui passer une
main sous la jupe. Elle écartait simplement les cuisses pour que j'arrive à
son minou nu. Je bandais évidemment et j'étais sur le point de la baiser:
je pensais que ma femme voudrait elle aussi prendre sa part. Je ne me
trompais pas. Elle venait pour me masser la queue sous le pantalon, elle
arrivait facilement à la sortir de son emplacement et commençait d'abord
par me branler et ensuite par me sucer.
J'avais mes doigts sur le clitoris de l'amante et je la branlais. Ma femme
habile comme ce n'ai pas permis me sucer avec art. Elle allait jusqu'au
bout et j'éjaculais dans sa bouche: elle aimait me recevoir et avaler.
Sachant que pour un moment je n'étais plus bon à rien elle allait partager
mon sperme avec son amie, que je continuais à masturber. Je la sentais
jouir et ma femme me remplaçait. Elle se mettait elle aussi à la branler.
pourtant au bon d'un court instant son amie posait ses fesses sur la table,
les jambes bien ouvertes, la jupe relevée et donnait son con à la bouche de
ma femme qui se mettait à la sucer. Ce spectacle m'électrisait et je
bandais encore. Les femmes ne me voulaient pas encore. Je les regardais en
me branlant. Pour être plus à l'aise je me dévêtais suivi de près par les
deux amantes.
Enfin elles jouissaient et je pouvais m'occuper de l'une d'elle. Ma femme
me donnait le con de son amie. Je la prenais sur mes genoux, le dos tourné
vers moi. Elle me guidait vers son antre de plaisir. J'étais enfin dans son
con: elle se démenait dessus en poussant des gémissements de contentement,
je lui caressais les seins. Elle jouissait et ma femme venait lui coller la
langue une autre fois sur son bouton. Elle se branlait également. Je
jouissais dans ce con et une fois encore j'étais hors service. La soirée
finissait et enfin nous allions nous coucher.
Le lendemain encore nous baisions en trio. Sauf, parce qu'il y avait un
sauf, que notre amante n'étais pas seule: il y avait un autre homme. Je
pensais qu'il venait simplement pour une partouze: j'étais partant ainsi
que ma femme. Ce n'était pas tout à fait ça: il était là pour moi. Je me
demandais pourquoi moi. J'ai eu rapidement la réponse: monsieur aimait bien
les hommes: il le montrait rapidement en me prenant la bite directement
dans le bouche. Je voulais qu'il arrête mais il ne voulait pas et au début
je subissais avant de trouver agréable d'avoir ma queue dans sa bouche: il
me suçait au moins aussi bien que ma femme. Je me retenais pour ne pas
jouir dans cette bouche masculine: mes efforts étaient vains: je jouissais
largement. Il avalait mon sperme que semble-t-il il aimait. Il faisait que
je ne débandais pas. Les filles nous regarder faire l'amour avec intérêt.
Elle n'avait encore rien vu: il se courbait en me montrant son cul et
disait "mets moi la". Je ne voulais pas enculer un homme. Les deux filles
me disaient de ne pas hésiter que ce serait certainement aussi bon que dans
leur cul. C'est ma propre femme qui venait tartiner ce cul avec sa mouille
et me guidant vers l'entrée. Je n'avais plus qu'à pousser un peu et.....je
le faisais. Je ne me trouvais pas si mal dans ce cul, surtout qu'il aimait
ça, le sagouin. Mes couilles battaient contre ses fesses et j'avais la
langue de ma femme dans la bouche. C'était trop pour moi: je jouissais et à
ma grande surprise alors que personne ne le touchait, il jouissait aussi.
Finalement enculer ce type était agréable.
Les deux femmes faisaient maintenant un 69. Elles jouissaient plusieurs
fois. Elles devenaient folles: elle exigeaient maintenant que nous fassions
aussi un 69, nous les deux hommes. Lui était d'accord, je n"avais pas envie
de recevoir une bite dans le bouche. Et une fois encore je cédais à la
demande de ma femme. Nous étions couchés lui en dessous et moi sur lui. Il
prenait ma queue dans sa bouche et commençais à me sucer. C'est encore ma
femme qui me poussait la tête pour que j'ai moi aussi la bite de cet homme
dans le bouche. C'était le première fois et je ne savais pas trop comment
faire: ma femme, encore elle me disait comment elle me faisait. Je ne
faisais que refaire ce qu'elle disait. Je sentais cette bite durcir dans ma
bouche, mes lèvres entouraient la queue et je léchais le gland. Finalement
ce n'était pas mauvais. Par contre j'appréhendais le moment de sa
jouissance qui venait rapidement. Je recevais une bonne giclée de foutre
dans ma bouche. Heureusement que ma femme était là: je ne pouvais
absolument pas avaler une seule goutte: c'est elle qui prenait le contenu
de ma bouche.
Depuis je me suis habitué à recevoir le foutre dans la gueule et même
d'apprécier le fait d'avaler. J'ai du devenir bisexuel à cause de ce type
que je rencontre assez souvent
comme un couple normal: baise tous les jours, devant, derrière et la
bouche. Nous étions satisfaits. Enfin il me semblais: un jour elle a eu des
idée qui venait tout simplement d'un film très coquin sur la télé. Il y
avait des couples qui se mélangeaient et surtout des filles qui baisaient
ensemble. C'est surtout la vue des filles qui se broutaient le minou qui
l'excitait le plus. Le soir même après l'amour, elle me demandait de lui
trouver une fille qui accepterait de baiser avec elle. Je n'avais pas de
telles connaissances. Elle devait se débrouiller toute seule.
Une rencontre fortuite avec une de ses anciennes condisciples d'un collège
religieux qui, le soir se masturbait en se mettant dans le con une culotte
entière et en y faisant des pressions rapides jouissait toujours en le
disait à sa voisine de lit: ma femme, faisait qu'elles se parlaient du bon
vieux temps. Sa camarade lui rappelait ses branlettes. Excitées l'une et
l'autre, ma femme l'invitait un après-midi à la maison.
Elle m'en parlait incidemment de telle sorte que je ne prêtais pas trop
attention à ce qu'elle disait. Je n'ai su ce qu'elles avaient fait que le
soir de leur "entrevue". Son amie aimait autant les filles que les hommes.
C'est elle qui proposait à ma femme de tirer un coup là, chez moi. Elles
s'embrassaient et commençaient à se déshabiller. Ce n'est qu'une fois nues
que l'amie commençait à peloter ma femme qui se laissait faire dans
l'attente d'une caresse plus personnelle qui arrivaient rapidement. La main
de son amie venait enfin délivrer ma femme: elle caressait le bouton et ma
femme toujours prête à jouir le faisait sans penser à mal.
A son tour, juste après avoir joui, il fallait qu'elle rende la caresse et
ne manquait pas de la faire. Pour elle caresser un clitoris autre que le
sien devenait une simple politesse rendue. Pourtant son désir d'aller plus
loin était toujours en elle. Elle branlait sa camarade et la faisait jouir.
Étonnée de son "exploit" elle aurait voulu allait plus loin, mais n'osait
pas le demander. C'est l'autre qui lui faisait écarter les jambes pour
venir y mettre sa tête: sa langue lui caressait l'intérieur des cuisses
jusqu'à son sexe déjà bien mouillé. Cette langue la léchait à peu près
partout de bas en haut. Elle s'attardait sur l'anus, y rentrait un peu et
remontait lentement. Le simple frôlement de langue sur son cul l'excitait.
Et quand enfin cette langue venait sur son bouton elle se laissait aller
complètement. Elle se caressait les seins et les pointes qui bandaient
aussi. Quand elle jouissait elle était totalement bouleversée et ne pouvait
plus rien faire, sauf que l'autre fille lui demandait de la sucer également
ou de la branler. Pour ma femme, sucer un autre con n'était pas encore
d'actualité. Elle branlait l'autre femme simplement pour la satisfaire.
Elles finissaient leur baise comme ça. Mais l'amie lui disait qu'elle
reviendrait le lendemain et qu'elle comptait bien aller plus loin.
En effet le lendemain elles allaient un peu plus loin: dès le début ma
femme était sucée et elle se décidait à rendre la même chose. Elle aussi
suçait le con et goûter à la cyprine d'une autre. Ce n'était pas mauvais du
tout. Elles se gouinaient jusqu'à faire une série de 69.
Ce n'est que ce soir là qu'elle m'avouait, juste avant une baise qu'elle
venait de baiser cette amie. J'en étais excité et je la baisais comme
rarement. Je profitais pour lui mettre la bite au cul. Je savais que pour
finir en beauté une baise il lui fallait cette pine. Le lendemain matin je
lui demandais si elle devait encore baiser dans la journée avec son amie.
J'aurais bien aimé être là pour la voir et surtout baiser en trio.
Il lui fallait demandé si son amie voulait bien se faire baiser par moi. Je
me doutais un peu de la réponse et le soir en effet sa copine/amante était
là. Elle me semblait bien féminine pour être une gouine dominante.
Nous dînions ensemble quand elle se levait de table et allait embrasser ma
femme sur la bouche avant de venir vers moi et m'en faire autant. Je
reconnais qu'elle savait bien embrasser. J'en profiter pour lui passer une
main sous la jupe. Elle écartait simplement les cuisses pour que j'arrive à
son minou nu. Je bandais évidemment et j'étais sur le point de la baiser:
je pensais que ma femme voudrait elle aussi prendre sa part. Je ne me
trompais pas. Elle venait pour me masser la queue sous le pantalon, elle
arrivait facilement à la sortir de son emplacement et commençait d'abord
par me branler et ensuite par me sucer.
J'avais mes doigts sur le clitoris de l'amante et je la branlais. Ma femme
habile comme ce n'ai pas permis me sucer avec art. Elle allait jusqu'au
bout et j'éjaculais dans sa bouche: elle aimait me recevoir et avaler.
Sachant que pour un moment je n'étais plus bon à rien elle allait partager
mon sperme avec son amie, que je continuais à masturber. Je la sentais
jouir et ma femme me remplaçait. Elle se mettait elle aussi à la branler.
pourtant au bon d'un court instant son amie posait ses fesses sur la table,
les jambes bien ouvertes, la jupe relevée et donnait son con à la bouche de
ma femme qui se mettait à la sucer. Ce spectacle m'électrisait et je
bandais encore. Les femmes ne me voulaient pas encore. Je les regardais en
me branlant. Pour être plus à l'aise je me dévêtais suivi de près par les
deux amantes.
Enfin elles jouissaient et je pouvais m'occuper de l'une d'elle. Ma femme
me donnait le con de son amie. Je la prenais sur mes genoux, le dos tourné
vers moi. Elle me guidait vers son antre de plaisir. J'étais enfin dans son
con: elle se démenait dessus en poussant des gémissements de contentement,
je lui caressais les seins. Elle jouissait et ma femme venait lui coller la
langue une autre fois sur son bouton. Elle se branlait également. Je
jouissais dans ce con et une fois encore j'étais hors service. La soirée
finissait et enfin nous allions nous coucher.
Le lendemain encore nous baisions en trio. Sauf, parce qu'il y avait un
sauf, que notre amante n'étais pas seule: il y avait un autre homme. Je
pensais qu'il venait simplement pour une partouze: j'étais partant ainsi
que ma femme. Ce n'était pas tout à fait ça: il était là pour moi. Je me
demandais pourquoi moi. J'ai eu rapidement la réponse: monsieur aimait bien
les hommes: il le montrait rapidement en me prenant la bite directement
dans le bouche. Je voulais qu'il arrête mais il ne voulait pas et au début
je subissais avant de trouver agréable d'avoir ma queue dans sa bouche: il
me suçait au moins aussi bien que ma femme. Je me retenais pour ne pas
jouir dans cette bouche masculine: mes efforts étaient vains: je jouissais
largement. Il avalait mon sperme que semble-t-il il aimait. Il faisait que
je ne débandais pas. Les filles nous regarder faire l'amour avec intérêt.
Elle n'avait encore rien vu: il se courbait en me montrant son cul et
disait "mets moi la". Je ne voulais pas enculer un homme. Les deux filles
me disaient de ne pas hésiter que ce serait certainement aussi bon que dans
leur cul. C'est ma propre femme qui venait tartiner ce cul avec sa mouille
et me guidant vers l'entrée. Je n'avais plus qu'à pousser un peu et.....je
le faisais. Je ne me trouvais pas si mal dans ce cul, surtout qu'il aimait
ça, le sagouin. Mes couilles battaient contre ses fesses et j'avais la
langue de ma femme dans la bouche. C'était trop pour moi: je jouissais et à
ma grande surprise alors que personne ne le touchait, il jouissait aussi.
Finalement enculer ce type était agréable.
Les deux femmes faisaient maintenant un 69. Elles jouissaient plusieurs
fois. Elles devenaient folles: elle exigeaient maintenant que nous fassions
aussi un 69, nous les deux hommes. Lui était d'accord, je n"avais pas envie
de recevoir une bite dans le bouche. Et une fois encore je cédais à la
demande de ma femme. Nous étions couchés lui en dessous et moi sur lui. Il
prenait ma queue dans sa bouche et commençais à me sucer. C'est encore ma
femme qui me poussait la tête pour que j'ai moi aussi la bite de cet homme
dans le bouche. C'était le première fois et je ne savais pas trop comment
faire: ma femme, encore elle me disait comment elle me faisait. Je ne
faisais que refaire ce qu'elle disait. Je sentais cette bite durcir dans ma
bouche, mes lèvres entouraient la queue et je léchais le gland. Finalement
ce n'était pas mauvais. Par contre j'appréhendais le moment de sa
jouissance qui venait rapidement. Je recevais une bonne giclée de foutre
dans ma bouche. Heureusement que ma femme était là: je ne pouvais
absolument pas avaler une seule goutte: c'est elle qui prenait le contenu
de ma bouche.
Depuis je me suis habitué à recevoir le foutre dans la gueule et même
d'apprécier le fait d'avaler. J'ai du devenir bisexuel à cause de ce type
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