Titre de l'histoire érotique : April, en quête de sexe 20 - histoire érotique

On était maintenant au mois de février juste avant les vacances. J'avais passé une bonne première moitié d'année et j'étais comblée sexuellement parlant : Scott et moi couchions régulièrement ensemble, les filles et moi faisions quelques soirées hot entre filles sans oublier Tom et Stéphane avec qui je couchais de temps en temps. Mais j'avais quand même envie de me taper d'autres mecs. Je jetai donc un coup d’œil sur la salle de classe pour décider qui serait ma nouvelle proie. Je jetai mon dévolu sur Aaron, un beau garçon qui mesurait un peu moins de 1m80. Il avait de courts cheveux bruns, des yeux marrons et un joli visage. Niveau carrure, il était plutôt musclé sans être un bodybuildeur. C'était décidé : ce soir, Aaron serait dans mon lit... ou dans le sien avec moi.


Le soir venu, j'étais dans ma chambre devant mon armoire. Je décidais de m'habiller avec un mini-short en jean pour le dessous et un t-shirt violet plutôt décolleté pour le haut. En sous-vêtements, je me mis un string bleu ciel et un soutien-gorge de la même couleur. Une fois habillée, je me maquillai légèrement puis je me sortis de ma chambre et me dirigeai vers celle d'Aaron. Une fois arrivée devant sa porte, je toquai : il mit un peu de temps à m'ouvrir et il parut surpris de me voir :


- Euh salut April. Qu'est-ce que tu fais là ?
- Salut Aaron. Je peux rentrer ?
- Oui bien sûr.


Il me fit rentrer. Une fois qu'il eût refermé sa porte, je le plaquai contre le mur et approchai mon visage du sien très près. Il fut un temps surpris mais il se mit très vite à sourire, comprenant que sa soirée allait être plus chaude que prévue. Je rapprochai encore mes lèvres des siennes et lui murmurai :


- Ton coloc, il est de retour dans combien de temps ?


Il continua à me sourire et posa ses mains sur mes fesses bombées :


- Il est allé voir sa copine, il ne rentrera que dans quelques heures. Donc on a tous notre temps, ma belle.
- Bien.


Sans plus attendre, j'enroulais mes bras autour de sa nuque et l'embrassai fougueusement. Il répondit à mon baiser, enfournant sa langue dans ma bouche et l'enroulant autour de ma propre langue. Il me pelota fermement mes fesses à travers mon mini-short, appréciant leurs rondeurs et leurs fermetés. Désireuse qu'il y ait plus d'action, je lui fis lever les bras et lui retirai son t-shirt, dévoilant son torse musclé. Je caressai ses abdos et je posai ma main droite sur la bosse de son jean. Je commençait à défaire sa braguette mais je n'eus pas le temps de retirer son pantalon car Aaron me repoussa et me plaqua contre le mur d'en face. Sans attendre il me retira mon t-shirt et malaxa mes seins à travers mon soutien-gorge, me faisant pousser des petits gémissements. Il libéra ma poitrine de leur entrave et il se mit à s'occuper de mes tétons. Mon corps frémit sous ses caresses et je frottais mon entrejambe contre la bosse de son pantalon. Désirant plus que de simples caresses, il me porta et me déposa de dos sur mon lit. Il retira complètement mon soutien-gorge et massa vigoureusement mes seins. Je gémis de plaisir sous ses délicieuses caresses, me mordant la lèvre inférieure de désir. Il me lécha les seins puis se redressa : il retira son jean ainsi son caleçon, dévoilant une belle verge tendue de 20 centimètres environ. Il la présenta devant ma bouche et m'ordonna :


- Allez prends-moi en bouche, ma belle.


Allongée dessous lui, je n'avais pas d'autre choix que de lui obéir et d'avaler son sexe. Je m'appliquai à le sucer efficacement, tournoyant ma langue autour de son sexe frémissant. J'aspirai son sexe tout en le regardant d'un air coquin, scrutant son visage légèrement grimaçant. Il mit sa main sur l'arrière et appuya, enfonçant son sexe au fond de ma gorge et il donna des coups de reins pour me baiser la bouche. Allongée sur le lit et lui quasiment assis sur moi, je ne pouvais que me laisser faire et apprécier sa queue qui butait au fond de ma gorge à chacun de ses coups de reins. Il continua à me baiser ainsi durant quelques minutes, me tenant fermement l'arrière de mon crâne, m'empêchant de prendre le contrôle de la fellation.


Il finit par se lasser et retira sa queue de ma bouche. Il se mit une capote et vint en moi en missionnaire. Je décidai dans un premier temps de le laisser faire, histoire de voir ce qu'il valait au lit. Il entreprit de vigoureux va-et-vient tout en m'embrassant le cou. Je gémis sous ses coups de reins, lui tenant les épaules et mes jambes qui entouraient son corps. Il allait de plus en plus vite, massant mes seins fermement, profitant de leur rondeur. Ce qu'il me faisait était très plaisant mais je voulus reprendre le dessus alors je le renversai grâce à mes jambes. Je me retrouvai maintenant au dessus de lui en andromaque. Aaron fut surpris de ce retournement de situation : il posa ses mains sur mes hanches et voulut me renverser. Je lui pris donc ses poignets et les plaquai de force contre son torse. Il se débattit mais je le maintins fermement et commençai à entreprendre des déhanchés sur sa belle verge tendue. Aaron se débattit encore ; pour lui faire comprendre que je dirigeai, je me penchai sur lui, mes lèvres à quelques millimètres des siennes et lui murmurai :


- Laisse-toi faire, je vais te montrer comment je me débrouille.


Je l'embrassai furtivement et lui mordillai sa lèvre inférieure puis me redressai et repris mes coups de reins. Je dansai habilement sur lui voulant lui montrer de quoi j'étais capable. Cela semblait plaire à Aaron qui décida de me laisser le champ libre. Ce dernier mit ses mains derrière sa tête et profita à fond de ce que je lui infligeai. Je le chevauchai vaillamment, mes cheveux blonds virevoltants aux gré de mes coups de bassin. Ma baise intense le fit gémir et il donna quelques petits coups de bassins pour m'accompagner. Je posai immédiatement mes mains sur ses abdos pour l'empêcher de donner des coups de bassin. Voyant que je désirai vraiment tout diriger, Aaron me laissa faire. Je continuai donc à le baiser et, au bout de quelques minutes, nous finîmes par avoir un orgasme mutuel qui nous fit crier de plaisir. Haletante, je m'écroulai et me blotti contre son torse et lui demandai :


- Alors c'était comment ?
- C'était super ! Sans mentir, tu es la fille la plus douée avec qui j'ai couchée !
- Merci du compliment.


Sur ces mots, je l'embrassai langoureusement. Il me rendit mon baiser, tournoyant nos langues en harmonie. Je me mis sur lui et l'embrassai. J'échangeai avec lui un long baiser suave quand il me renversa soudainement. Il prit une nouvelle capote qu'il enfila pour ensuite me retourner à quatre pattes. Je me débattis mais Aaron me tint la nuque et m'empêcha de bouger. Il rentra d'un coup en moi, me faisant pousser un cri de plaisir. Il commença à me baiser vigoureusement et me dit :


- Maintenant à toi de me laisser te montrer ce que je vaux.


Sur ces mots, il me pilonna vigoureusement, me baisant très bien. Il était plutôt doué pour la chose et m'arrachait des cris de plaisir. Il me limait l'intérieur en me tirant les cheveux. Il me tirait bien la tête en arrière, me forçant à le regarder pendant qu'il me baisait puissamment. Sa queue me procurait beaucoup de plaisir à aller et venir dans mon intimité. Il me claquait les fesses, et me malaxait les seins tout en continuant de me baiser toujours plus rapidement. Après quelques coups de reins bien placés, il finit par me procurer un intense orgasme qui me fit crier de plaisir. Satisfait de m'avoir transportée au septième ciel, Aaron accéléra encore la cadence :


- Alors, ma belle, tu aimes ce que je te fais, hein ?


En guise de réponse, je me redressai à genoux, mon dos contre son torse et je tournai ma tête pour l'embrasser à pleine bouche. Il lâcha mes cheveux et me rendit mon baiser. Je profitais du fait qu'il ne se méfiait pas pour le renverser : je me tournai alors, me retrouvant au dessus de lui, et lui plaquai ses poignets au dessus de sa tête. Aaron se débattit plus que jamais, me déséquilibrant. Je réussis néanmoins à rester au dessus de lui. Je me lançai alors dans une intense chevauchée pour dompter ce bel étalon qui donnait des coups de reins pour me déstabiliser. Nous nous affrontions dans un intense « rodéo » chacun voulant prendre l'avantage sur l'autre. Et au bout de quelques minutes, il rendit les armes : je lui tenais les mains trop solidement, le baisais trop bien et en plus à chaque coup de reins qu'il faisait, il devait soulever mon corps. Il finit donc par jeter l'éponge, me laissant me dompter. Ravie, je le chevauchai encore plus rapidement et intensément, le faisant crier de plaisir. Au bout de quelques minutes, je finis par lui procurer un orgasme qui le fit crier de plaisir. Il haleta et grimaça ensuite car je continuais à baiser sa queue qui était toute sensible à cause de sa jouissance. Je continuai à le baiser jusqu'à ce que j'atteigne moi aussi un intense orgasme. Cette nouvelle jouissance me combla totalement. Je me penchai alors sur Aaron, sonné par ce que je lui avais fait. Je l'embrassai et lui dis :


- Je te l'accorde, tu baises très bien. Mais je préfère diriger alors je préfère quand je te baises.


Encore faible, Aaron me répondit à demi-voix :


- Je vois ça. J'ai déjà connu des filles qui aimaient bien chevaucher mais à côté de toi elles font pâle figure.


Toute souriante, je l'embrassai encore puis je me rhabillai et retournai dans ma chambre, laissant Aaron se remettre tranquillement.