Titre de l'histoire érotique : Baisée grace à un cauchemard - histoire érotique

- Eh bien chéri que t’arrive-t-il ? tu parles en dormant, tu es en nage
- J’ai fait un cauchemar
- Ah ? c’était quoi ? c’était qui ?
- C’est toi qui étais en cause !
- Houlà tu me fais peur … j’ai cru comprendre un prénom ?
- Lequel ?
- Thébaud ? Thibaud ?
- THIBAUD ! c’est ça ! c’est lui !
- Thibaud … ‘notre ‘ Thibaud ? celui qui était là avec nos amis hier soir ?
- Exactement …
- Raconte ?
- Non … c’est trop méprisant
- Raconte, ça va effacer ta vision
- Ma vision, c’est bien de cela qu’il s’agit
- Je ne comprends rien
- Salope de Nina ! tu dansais nue sur la table, tu balançais ton bassin devant son nez jusqu'à ce qu’il sorte un membre énorme et poilu de sa braguette, il ne lui manquait que des cornes sur le front et des sabots fourchus
- Il m’a… prise ?
- Prise ? le mot est faible ! une véritable saillie de jument tu veux dire ! et sous mon nez ! tu me narguais en plus, ta chatte et tes yeux pissaient de bonheur
- C’était donc bien à cause de moi ? ça alors …
- Stop ! n’en parlons plus, compris ?
- Comme tu veux mon chéri
Max se serait-il aperçu de quelque chose hier soir ? il est vrai que Thibaud a la réputation bien fondée d’être un chaud lapin, me passer une main aux fesses en présence de mon mari ne l’effraie pas et c’est d’ailleurs ce qu’il a fait à deux reprises, j’ai fait comme si je ne m’étais aperçue de rien mais … ma culotte m’a collée à la chatte le restant de la soirée ,est-ce vrai cette réputation d’être très membré ? Depuis que mon mari l’a comparé au diable je reve d’un homme poilu a l’aspect de bouc qui me défoncerais devant lui, pourtant je lui ai toujours été fidèle, poursuivie par ce fantasme quelque jours après j’ai remis cette histoire sur le tapis

- Maxou
- Oui Nina chérie ?
- Ce cauchemar t’a laissé tranquille depuis ?
- Pourquoi me demandes-tu ça ?
- Ça avait l’air de t’avoir tellement bouleversé …
- Bouleversé, bouleversé … il n’y a pas que ça
- Ah bon ? c’est quoi ?
- Je ne peux pas te le dire …
- Justement tu en as trop dit !
- Ça m’a excité …
- NON ?
- Si … j’ai vu lorsqu’il ta pelotées les fesses tu n’as pas cherché à te dérober, c’est pour ça qu’il a recommencé un peu plus tard …
- Pardon chéri, mais comment faire ? je ne pouvais pas me retourner et lui coller une gifle devant tout le monde ?
- C’est vrai, et ça m’a fait cogiter
- D’où ton cauchemar …pauvre chéri rassure toi je te resterais fidèle
- Et si cette situation m’excitait … ?
- Je ne comprends pas …
- Si tu répondais à ses avances ? juste pour voir
- Juste pour voir ?… tu me connais une fois ‘séduite’ je dois aller jusqu'au bout, hier j’avais déjà ma petite culotte trempée
- Ça te travaille donc aussi ?
- Ben oui, cet homme a une sacrée réputation auprès de certaines copines
- Tu aimerais voir sa queue ?
- Si je la vois ça voudra dire que je vais y passer …
- C’est vrai … je suis partagé
- Entre jalousie et excitation ?
- C’est exactement ça
- Mais, ça te fait bander ?
- Oui
- Alors c’est l’envie qui l’emporte
- Tu serais donc partante pour tenter ‘le diable’ ?
- Avec ton accord et en ta présence, oui
- Si je suis là il ne te baisera pas en confiance
- Alors tu te cacheras ?
- Je vais étudier une possibilité, de toute façon je veux qu’il comprenne que je sais qu’il a des vues sur toi !
- Je suis entièrement d’accord, donc c’est toi qui devrais l’inviter
- Passe-moi mon portable … merci … Allo ? Thibaud ? bonjour, c’est Max, oui bien sûr le mari de Nina, elle va bien merci … justement c’est d’elle dont il s’agit, j’ai aperçu ce weekend un ‘effleurement’ de ta part sur son derrière, noooonnnn, je ne suis pas jaloux à ce point-là, je ne suis pas jaloux de tout ce qui est fait sous mes yeux, de toutes façons Nina me dit tout… éééhhh oui ça marche comme ça chez nous ! dommage dis-tu ? alors je vais t’épater, ça te dirais un rendez-vous galant avec ma femme a l’hôtel de la gare ? évidement qu’elle sera seule, je préfère prendre les devants que de savoir qu’elle peut succomber à tes charmes au coin d’une rue… tu vas réfléchir ? attention mon offre n’est pas éternelle ! non, non, c’est moi qui réserve et qui paie la chambre ainsi nous seront zen dans nos esprits ! pour jeudi soir dix-huit heures, ça te va ? ok, profites-en bien ce ne sera pas renouvelable ! salut
- Max ! que viens-tu de faire ?
- Te réserver un rendez-vous avec ton amant ‘d’un soir ’ !
- Je n’irais pas …
- Mmmmuuuuuummmmmmm ! si je te demandais dans quel état est ton fond de slip ?
- Il est normal …
- Laisse-moi vérifier ? …ouuiii, normal qu’il soit imbibé de mouille sachant que tu vas te faire défoncer avec ma bénédiction ! ne soit pas outrée, je veux que tu découvres par toi-même ce que peut faire un tel étalon a une honnête femme, ne te lave surtout pas avant de rentrer à la maison
- Tu ne seras pas présent ?
- Non, ainsi tu seras plus libre dans ta tête, n’y passe pas la nuit quand même ?
- Deux heures ?
- Pas une minute de plus ! et maintenant si tu ôtais ta culotte ?
- Tu bande ?
- Touche …
- Je vais te sucer mon amour
- Avant une petite levrette ?
- Mmmmmuuuuuuuuuooooooouuuuuuuiiiiiii !!!! j’ai une idée ! je resterais dans la chambre où tu me rejoindras, ainsi tu trouveras les draps souillés et dans l’état où il m’aura laissée !
Je me suis donnée a mon mari comme si c’était la première fois, en prime c’est moi qui lui ai dirigée sa queue sur mon anus … c’est là qu’il m’a demandée si je comptais offrir la même chose a Thibaud … bien sur j’ai dit non….
Pas de tenue ‘spécialement sexy ’, une robe facile à faire tomber, un string aguichant et me voilà prête, Max a choisi cette chambre hôtel en bout de couloir extérieur afin de limiter la gêne bruyante pour les voisins, avec la carte il n’est pas nécessaire de passer par l’accueil, , bien qu’à cette heure-ci ceux qui sont là savent pourquoi …les rideaux tirés laissent juste ce qu’il faut comme éclairage, la porte a peine entrouverte pour permette à mon amant d’entrer, je m’allonge, robe sagement tirée sur mes cuisses jointes ,bras le long du corps je feins de dormir, sans doute Thibaud guettait-il mon arrivée car j’entends déjà des pas …
Sans un mot il ferme la porte et, je l’observe entre mes cils, commence à ôter ses fringues pour ne garder que son boxer… pas mal foutu comme mec …la bosse est prometteuse …je comprends pourquoi les nanas se le disputent car de visage il est très passable, il reste une ou deux minutes à me dévisager avant de s’assoir à mon côté , une main ferme empoigne mon mollet pour le tirer vers lui et ainsi donner un angle de vue panoramique sur mon compas, la main progresse lentement sans marquer un arrêt, au passage le pouce entraine le bas de ma robe… ça commence , mon string est désormais taché d’humidité …
Le parfum discret de je ne sais quelle marque et son odeur naturelle m’enivre déjà, mes seins se soulèvent de plus en plus à cause de ma respiration qui s’amplifie, quelle attitude adopter ? me montrer passive ? pourtant j’aimerais lui empoigner sa queue qui semble enroulée dans sa prison
Thibaud change de position pour pouvoir atteindre la fermeture éclair qui ferme le haut de ma robe tout en gardant l’accessibilité à mon entrejambes, en remontant sur son genou ma main s’est automatiquement posée sur le haut de sa cuisse, je n’ai qu’à étendre mes doigts pour toucher le boxer et sa bosse phénoménale…
Mes seins sont désormais libres, ma culotte est tirée vers le bas, mon futur amant ne sais par où commencer ses ‘investigations’, je décide de sortir de ma torpeur afin d l’encourager, deux heures c’est tellement vite passé, ayant la permission de mon mari j’ai envie de me faire sauter au maximum
Une main passe sur mes lèvres vaginales impatientes d’être décollées et l’autre sur mes seins, j’ouvre les cuisses et bombe la poitrine, je roucoule sous les caresses habiles et précises

- Tu mouille salope, je parie que l’autre jour ta chatte n’était pas sèche lorsque je t’ai touchée le cul
- C’est pourquoi je suis là...
- Je ne vais pas m’embarrasser de préliminaires trop longs, sort ma bite et joue avec le temps que je te doigte un peu
- Tourne toi vers moi j’ai envie de voir et te sucer la queue
- T’as envie de savoir si ce que disent tes copines est vrai ?
- Montre la moi !
- VOILA … satisfaite ?
- Woooouuuuuaaaaaah ! je … je crois que je vais renoncer …
- QUOI ? écarte les cuisses et pose tes jambes sur mes épaules
- Oui Thibaud
- Ton mec ne reconnaîtra pas ta figue lorsque je l’aurais labourée en long et en large
En appuis sur les coudes, les yeux exorbités, je regarde ce pruneau rouge entièrement décalotté qui fait face à ma fente entrebâillée, le reste du membre est poilu jusqu’en moitié, la paire de couilles est cachée par une toison hirsute, je m’allonge et agrippe les draps lorsque le gland passe et repasse sur ma vulve afin de se recouvrir de ma mouille, puis sans hésiter il le pointe sur ma cavité entrouverte, mes muscles sont impitoyablement refoulés pour mon plus grand bonheur, impossible d’avouer honnêtement une telle satisfaction à mon mari plus tard
Il se rapproche inexorablement de mon pubis, nos poils se mêlent enfin, il se retire de quelques centimètres pour mieux me défoncer l’utérus, m’arrachant un premier hurlement, il recommence encore et encore, jamais je n’ai été défoncée ainsi, pour lui prouver mon plaisir je jette mon bassin à sa rencontre quitte à me faire péter le vagin
- J’aime les chaudasse de ton genre, des salopes de bourgeoises que me confient leurs maris souvent déficients de la queue, il trouvera de quoi bouffer dans ta moule ce soir
- Max me fait superbement l’amour, c’est pour mettre du piment dans notre couple que je suis là, tu n’es qu’un jouet pour nous
- Pute, bouge-toi le cul, je ne veux pas baiser une planche à repasser
- Prend moi en levrette
- Super, je vais pouvoir te doigter et te préparer le cul !
- Il est toujours prêt pour mon mari
- Tu lui raconteras tout ?
- Peut-être pas la sodomie …
- Toutes pareilles … cambre toi mieux que ça, je veux voir si tes trous sont à point
- Enfile moi vite Thibaud, décharge dans ma chatte
Son démonte pneu fait inexorablement son passage, malgré mes dents serrées je ne peux retenir un gémissement grandissant qui n’échappe pas à mon amant qui redouble d’effort
- Tu vas jouir salope ? ne te retient surtout pas, tu sens mon pouce dans ton rectum ?
- Ooouuiiiiiiiii … et si tu alternais ? un coup dans la chatte un coup dans l’anus ?
- Toi au moins t’en veux pour ton argent ! je crache sur ta rondelle... et je pointe …
- AAAIIIIIIIEEEEEEEEEE !!!!!!! Fooouuuuuhhhh quel morceau ! reste immobile un instant …
- Plotte moi les couilles pendant ce temps
Son membre tressaute à intervalles réguliers dans mon boyau tandis que je fais rouler les noyaux dans leurs poches, la douleur s’estompe, je me retire pour lui faire comprendre de continuer
- Trois coups dans le cul trois coups dans la moule, ça te va ?
- Tout ce que tu veux mais fait moi jouir
- Je vais tirer ta tignasse, les bonnes femelles adorent ça, j’ai l’impression de monter une ponette
- Monte-moi salaud, encule ta jument, ça vient, un orgasme monte, il va être puissant je le sens … donne-moi tout chéri …
- Moi aussi je sens que je vais vider mes burnes, dans quel trou ma belle ?
- Les deeeeuuuuuuux !!!
Je croyais qu’une fois vidé son membre allait se ramollir, hélas, je me suis retrouvée sous lui emmanchée par la chatte où il a encore déchargé deux fois, la deuxième fois j’étais montée sur lui, Thibaud m’as laissée complétement anéantie, gisante sur le lit, je n’ai même pas entendu Max entrer
- Hé ben ma salope, il t’en a mis partout ce connard ! hou-hou ? NINA ?
- Quoooooi ? ah, c’est toi chéri
- Raconte ?
- C’était supeeeeeeeeeeeeeerr ! regarde par toi-même, je recommencerais bien …