Titre de l'histoire érotique : Beau Rêve - histoire érotique

Quelle perfidie chez Marie,cette poupée d’apparence fragile. Elle a simulé l’ignorance, puis s’est frottée à moi pour m’exciter , Elle s’est étonnée avec une innocence feinte de sentir mon érection contre son ventre alors qu’elle se frottait volontairement contre moi en dansant, puis elle m’a sous traité à Yolande dans le but de me surprendre en train de copuler avec sa copine et de me disqualifier aux yeux de son père. Elle a poussé la perversité jusqu’ à me tenter sur le chemin du retour, a fait semblant d’être malade et de dormir, sexe découvert, exposé à une tentative de pénétration. Tout cela parce qu’elle n’avait pas osé présenter à son père l’élu de son cœur, le dénommé Kevin.. .


Elle est enceinte de Kevin, Lui s’est mis en retrait. Marie m’accuse d’être le père de l’enfant pour éviter le scandale, elle m’épouserait pour sauver les apparences. Si je me laisse prendre dans ses plans, Yolande me prédit des cornes de cocu hautes comme ça. De cette amie nouvelle, j’ai appris que les tourtereaux vivaient leur amour dans le lit de la bonne copine. Selon cette amie, devenue ma maîtresse, les amoureux imprudents se sont séparés lorsque est devenue évidente la grossesse de Marie. Cette séparation, un jour ou l’autre cessera, mère et père voudront s’occuper de l’enfant, se reverront, renoueront des contacts et finiront dans un même lit. Mieux vaut suivre le plan de Yolande.


En planque à proximité du domicile de Yolande, j’ai vu arriver Kevin. Peu après Marie se présente avec son petit ventre rond. Oh ! Ce n’est qu’un début de grossesse, visible quand on est au courant, mais qu’on peut confondre avec un début d’obésité. Presque aussitôt je traverse la rue, j’entre à mon tour, je ferme la porte, j’empoche la clé et je monte. Sans moi, pas de sortie possible; je les tiens.


Dans l’appartement fusent les invectives. Les « salaud » croisent  les « pouffiasse »; on s’envoie du « lâche », du « dégonflé» ou du « grosse conne » et de l’ « inconsciente »; on se renvoie les torts « tu aurais dû te protéger » contre « tu aurais dû te retirer ». Le ton baisse, j’entends « Moi, je t’aimais », suivi d’une réplique émue « mais moi aussi ». Yolande quitte le couple, me rejoint dans l’entrée:


- Ouf, je suis contente pour eux, la mayonnaise prend. Jette un coup d’œil.


Ils sont debout contre la table du séjour. Malgré ma colère je les trouve émouvants. Leurs bouches se dévorent. Ils s’étreignent. Kevin demande :


- Tu me montres ton ventre ? Lève ta robe. Oh, c’est déjà aussi gros?


- Tu trouves ? Cela se voit vraiment ?


- Je peux toucher?



Oui, tu peux l’embrasser. Quoi? Tu as envie? Mais alors, jure-moi que tu ne nous abandonneras plus. Non, pas sur la table, allons sur le lit, c’est plus confortable. Au cours des premiers mois, il faut faire attention. Yolande ne nous dérangera pas, elle a l’habitude. Viens mon amour. Tu seras papa. Je t’aime.


Nous leur laissons le temps de passer dans la chambre et de s’installer. Ici, ils sont chez eux, ne jugent pas utile de fermer les portes. Me voici sur le côté, bien placé pour voir sans être vu. Pourquoi se gêner : pourquoi garder des vêtements, on est tellement mieux à poil pour faire l’amour. Kevin sait que Marie devra se dépêcher pour ne pas faire remarquer son absence. Elle peut prétexter des minutes de rangement pas des heures. Marie s’est allongée en travers du matelas, jambes pendant dans le vide. Il a plongé sur la vulve et suce goulûment, se relève, saisit les mollets , expédie les pieds et les chevilles sur ses épaules et avance bite au vent vers la fente de Marie.


La future mère est aussi impatiente que lui. Elle tire sur ses lèvres, ouvre son sexe et demande de la douceur. Le gland disparaît dans le ventre tendu et aussitôt commence le ballet des va et vient , rythmé par les han, ha, ho des deux acteurs. J’assiste patient à l’emballage final, surpris de voir le garçon se retirer pour s’épancher sur le pubis chauve de sa compagne! A quoi bon, puisque Marie est enceinte ? Je choisis ce moment précis pour révéler ma présence en toussant et en me dirigeant vers la couche.
Il y a un moment de panique, chacun veut cacher ses parties intimes. J’en ris bruyamment.


- Mais Alex, qu’est-ce que tu fais là ? Demande la traîtresse Marie.


- Je vous regardais et je me demandais comment tu pouvais être enceinte. Maintenant j’ai vu et je sais aussi de qui. Je vais pouvoir rencontrer ton père et lui démontrer que je ne suis pour rien dans ta grossesse.


Kevin fait front :


- Ce n’est pas parce que tu viens de nous espionner aujourd’hui que cela prouve que c’est moi le père.


- Mais au moins tout le monde saura que vous couchez. Et s’il faut des analyses d’a.d. n. , on ne perdra pas de temps, on saura par qui commencer


- Alex, tu n’es pas comme ça. Tu n’iras pas nous dénoncer à mon père. Laisse nous le temps de préparer le terrain. Mais tu n’as pas répondu à ma question, que fais-tu là ? Je peux aussi te demander comment as-tu fait pour entrer et nous observer.


Je n’ai pas le temps de répondre, Yolande vient m’aider :


- C’est moi qui l’ai invité à venir constater. Marie, il y a des choses qu’on ne fait pas. Ta façon d’accabler Alex m’a paru indigne.


- Mais qu’est-ce que ça pouvait te foutre ? Et, tu es notre complice.


- Pas au-delà d’un certain point. Et, pour ta gouverne, sache que je suis amoureuse de l’homme que tu m’avais demandé de séduire au bal. Nous nous aimons et nous avons de quoi défendre l’honneur d’Alex. Parce que tu es à l’origine de notre rencontre, nous t ‘accordons une semaine pour informer honnêtement ton père. Après la vérité sera connue de tous. Et ne revenez plus jamais ici, tu me dégoûtes. Dégagez maintenant, Alex et moi sommes excités… Je change les draps et nous ferons en adulte responsables des choses assumées et avouables.


Je descends avec les deux amoureux pour les mettre dehors.
- Mais Alex, ne me dis pas que tu couches avec ma copine? C’est une blague.


- Pourquoi ? Fallait-il ta permission ? Ne nous l’ava pas donnée quand tu m’as envoyé Yolande. Crois-moi, c’est une vraie femme. Oui, je l’aime grâce à toi, merci.


- Méfie-toi, c’est une coureuse. Elle a eu des tas de copains.


- Je vous croyais amies. Ne t’en fais pas pour moi, je suis prêt à prendre des risques quand ça en vaut la peine. J’ai confiance, Yolande est droite et sincère, elle.


Quand je rejoins Yolande, je la trouve en larmes.


- Pourquoi ces yeux mouillés ?


- J’ai entendu votre conversation. Ta dernière réponse m’a bouleversée. Merci mais dis-toi que tu n’encourra pas de risques. J’ai trouvé l’amour que je cherchais. Viens, déshabille moi… pas trop vite….Je t’aime.



Gustave n’a pas tardé à se confondre en excuses. Kevin et Marie se sont mariés, il y a une dizaine d’années. Devant notre maison un type déambule en fixant les fenêtres du premier étage. Bizarre. .. Une femme fonce sur lui, le bouscule et le chasse. On dirait Kevin et Marie. Très bizarre! A la fenêtre du salon un rideau bouge. Ah !


Ce soir Yolande réclame sa ration d’amour avec plus d’énergie que d’habitude, proclame qu’elle m’aime plus fort que jamais, elle m’étreins presque avec violence et lorsque je la pénètre mon sexe glisse dans une mouille abondante. Trop, c’est trop, je ferais bien d’ouvrir l’oeil .








.