Titre de l'histoire érotique : Bisexuels anonymes
Récit érotique écrit par Lolo-Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Bisexuels anonymes
Je m'appelle Philippe, j'ai 27 ans, et j'ai craqué pour un autre homme la semaine dernière après 3 ans pendant lesquels je m'étais tenu éloigné du plaisir de sucer un belle bite et de me la prendre dans le cul. Et je me demande encore aujourd'hui comment j'ai pu tenir aussi longtemps, en me privant de la sentir coulisser, exciter ma prostate, taper dans mon cul et mes couilles (j'adore spécialement quand un mec a des couilles qui pendent..), la sentir exploser au plus profond de moi-même, et me faire crier de plaisir.
J'ai assez vite compris que j'étais bisexuel. Je dirais 2/3 hétéro et 1/3 gay pendant mes premières années d'activité sexuelle. Je suis venu du côté gay doucement mais sûrement : branlette sous les douches du sport, on se branle devant les copains pour faire comme tout le monde, et puis on s'essaie à branler un autre gars, et on en vient finalement à se sucer « pour voir comment ça fait ». Et puis un jour on tombe sur un mec beau et entreprenant, et on se laisse convaincre de se faire enculer après avoir été bien excité par ses mains baladeuses et ses doigts lubrifiés de salive qui s'immiscent doucement dans notre cul... Et tout en se faisant enculer, après la première douleur passée, on apprécie, on bande en se faisant ramoner et on en redemande ! Le mec qui m'a fait céder la première fois, j'avais vraiment flashé sur lui. Il s'appelait Mario, d'origine italienne par son père, il était grand, cheveux et yeux noirs avec une peau mate et quasiment imberbe. On avait baisé en fin de première au mois de juin après le bac français, deux jours de suite, avant qu'il ne déménage avec sa famille. Mario, c'est ma référence, je ne l'ai jamais oublié et avec du recul, je comprends que c'est autour de lui que s'est bâtie toute une partie de ma vie.
Je suis resté plusieurs années comme ça, sans relation de longue durée avec des filles, et craquant de temps en temps sur un mec qui me draguait. Il faut dire que je suis plutôt pas mal : 1m80 pour 70kg, des tablettes présentes mais pas trop sculptées, brun aux yeux bleu intense et un sourire paraît-il très engageant, notamment avec une fossette sur la joue gauche qui en a fait craqué plus d'une, et plus d'un aussi. Côté filles, j'ai essayé tous les genres, mais côté mecs, j'ai toujours été attiré par des gars qui ressemblaient à mon beau Mario.
Je suis arrivé en fin de mes études d'ingénieur sans avoir choisi mon orientation sexuelle. Pourquoi choisir d'ailleurs ? Par contre, autant mes copains pouvaient compter mes conquêtes féminines, autant je leur ai toujours caché mes aventures avec des mecs. Pas très courageux me direz-vous ? Bien sûr, je l'avoue, mais en même temps, je reste persuadé que peu de personnes comprennent la bisexualité, et je ne voulais pas passer pour un pur pédé, ne me sentant pas du tout uniquement gay. J'adore les filles aussi, j'adore leur bouffer la chatte et les faire jouir avec ma langue, avant de les faire jouir avec ma bite. J'adore leurs soupirs et leurs petits cris de plaisir et je ne veux surtout pas m'en passer ! Pourtant, tout a basculé l'été de fin de mes études. On était partis 3 copains en congés sur les plages des Landes. On s'était même risqués à se faire bronzer à poil sur les grandes plages mixtes, matant les groupes de filles et essayant de les retrouver le soir dans les soirées et les discothèques du coin. La première semaine, on avait tous les trois réussi à bien remplir nos nuits avec de filles pas très effarouchées, sauf qu'en début de week-end, je repérais un superbe « Mario », corps superbe et intégralement bronzé, que je recroisais le soir à une soirée du camping. Et évidemment, Mario (je vais l'appeler comme ça, même s'il s'appelait Jean) préférait les mecs et on se trouvait à notre goût l'un et l'autre... Mario m'amenait assez rapidement dans son bungalow, pour me baiser une bonne partie de la nuit, sauf qu'en repartant au petit matin, on s'embrassait devant chez lui, Mario ses mains dans mon caleçon de bain pour mieux me tripoter les fesses et que là, je tombais nez à nez avec un de mes deux copains qui sortait du bungalow voisin.
Je n'ai eu aucun commentaire de la matinée, mais au déjeuner, j'ai eu droit à des questions directes. J'ai bien dû leur lâcher le morceau : oui, je baise de temps en temps avec de mecs et oui j'aime ça. Oui, on se suce, et oui on s'encule. Mais le plus souvent, c'est plutôt moi qui me fait sodomiser… Et puis là, on rentre dans le bungalow, et quand un de mes potes me demande en plaisantant à moitié « et là, tu veux pas me sucer la bite ? », probablement libéré par mon coming-out de bisexuel, je le défie du regard pour lui répondre que « si, si ça te fait plaisir, ça me fait plaisir ». Je commence à me mettre à genoux, je lui descend son short de bain, et je lui prend sa bite en bouche. J'y mets du cœur, et il bande comme un âne très vite. Évidemment, le troisième larron se met à bander aussi, et je dois bientôt les sucer à tour de rôle. Pour pouvoir reprendre un peu de liberté de mouvement, je leur demande de se mettre complètement à poil, et j'enlève à mon tour mon maillot de bain. J'en fait agenouiller un, et je me mets à quatre pattes pour le sucer, en tendant bien mon petit cul. Ils ne peuvent que remarquer que je bande aussi très fort, et que j'aime leur sucer la bite, et l'idée germe très vite dans l'esprit de mon deuxième pote de venir derrière moi. C'est exactement ce que j'avais prévu. Je lui dit entre deux coups de langue sur la bite de notre pote commun, qu'il peut m'enculer, mais seulement s'il me lubrifie le cul avec la langue ! Et comme l'envie est trop forte de me baiser, il s'exécute… C'est comme ça que l'on a passé la deuxième semaine à alterner avec de filles, et à baiser tous les trois le soir si on ne concrétisait pas avec une fille, et même dans la journée sinon. Enfin, c'est plutôt eux qui me baisaient à tour de rôle. Je n'ai jamais pris autant de foutre dans le cul et dans la bouche que cette semaine là...
C'est un épisode important, par ce qu'il m'a fait accepter ma part de gay, que j'avais dû consentir à dévoiler. Un mois plus tard, je restais même en couple avec un mec pendant 6 mois… Jusqu'à rencontrer une fille, celle avec qui je vis maintenant depuis 3 ans. Et sans aucune aventure avec un autre mec depuis !Bien sûr que j'ai continué à regarder des mecs pendant ces 3 ans, que je me suis maté du porno gay de temps en temps, mais je n'ai jamais cherché à d'aventure avec un autre homme, et je n'ai jamais non plus été sollicité. Je me rends compte aujourd'hui que c'est probablement parce que je n'étais pas retombé sur le type de mec qui me plaît, comme Mario, parce que c'est exactement ce qui s'est passé la semaine dernière.
J'étais en séminaire de travail avec mon entreprise en Sicile. Boulot de 9h00 à 15h30, et détente ensuite. On avait des chambres réservées dan un grand complexe hôtelier avec une très belle piscine. Sauf qu'il y a eu un problème avec les réservations, nous sommes deux à porter le même nom de famille dans ma groupe, et que je n'avais pas de chambre réservée à mon nom. Et l'hôtel complet bien entendu. On m'a alors trouvé une chambre dans un hôtel voisin, mais dans lequel j'étais tout seul. Cet hôtel dispose d'une très jolie piscine sur le toit, ouverte jusqu'à 19h00, même si son accès reste en fait ouvert 24h/24. C'est comme ça qu'en rentrant de l'hôtel du séminaire le premier soir vers 22h30, je suis monté sur la terrasse pour admirer le paysage, et que j'ai eu envie de me baigner. J'étais seul, et je me suis dévêtu pour me baigner nu. Pas très tranquille en surveillant si j'entendais le bruit de quelqu'un qui monte, mais profitant pendant un bon 1/4 d'heure du calme de cette piscine dans laquelle j'étais seul, nageant nu au clair de lune.
Le lendemain matin, je me lève pour un jogging de découverte des alentours, et j'en profite pour acheter un magazine français au bureau de presse du coin. Je me douche et file au petit-déjeuner, et là c'est la déception : la salle trop petite était prise d'assaut par un voyage organisé de personnes âgées et très bruyantes. J'arrive tant bien que mal à me trouver une petite table à laquelle je m'assois et je commence à lire mon magazine tout en mangeant. Je me dis que je ne vais pas rester longtemps vu le bruit, mais je suis tiré de ma lecture :
- Bonjour, je peux m'asseoir à votre table, il n'y a de la place nulle part, et je suis irrémédiablement attiré par ce magazine français qui me dit que je vais pouvoir trouver asile auprès d'un compatriote.
Je lève les yeux, pour voir qui veut s'inviter dans mon îlot de tranquillité, et je reste bouche-bée : devant moi un homme comme je les aime, un Mario, la trentaine, grand, la peu mate, yeux et cheveux noirs, un sourire à se damner, tout y est ! Et une ressemblance avec mon premier Mario qui est troublante. Je ressens un grand frisson quand il s’assoit après que je l'y ait invité.
- Question calme c'est pas gagné ici…
- Non, c'est même assez dramatique de commencer la journée comme ça et avant d'aller travailler.
- J'adore petit-déjeuner au calme dans les hôtels, c'est carrément dommage ça…
- Pareil… J'avais pourtant bien fini hier, j'étais sur la terrasse - piscine hier soir, et c'était magique, le calme de la piscine, j'étais tout seul au clair de lune, ça fait retomber le stress immédiatement.
- J'ai vu que c'était fermé, on peut y aller quand-même ?
- Oui, j'avoue que j'ai décider de passer outre le panneau, vu que l'accès était ouvert. Ma chambre est juste au fond du couloir qui part de l'accès à la terrasse et j'ai vu que ça n'était pas surveillé.
- Voilà qui est intéressant. J'y passerai peut-être ce soir, peut-être que l'on s'y croisera. J'adore faire des rencontres nocturnes…
- J'y passerai probablement, mais je ne sais pas à quelle heure, ça va dépendre de ma journée. Mais, j'espère qu'on se verra.
Et puis on continue à échanger quelques minutes sur nos séjours, et on se quitte en se disant « peut-être à ce soir »… J'ai repensé à lui plusieurs fois pendant la journée, me demandant même s'il était célibataire, me posant des questions sur son orientation sexuelle, et culpabilisant aussi de me faire du cinéma pour un mec, alors que je croyais que mes démons du sexe entre hommes avaient définitivement disparus. Après ma journée de séminaire avec mes collègues, je rentre à l'hôtel vers 22h00, et je remonte à la piscine. Je suis seul, dommage. Dommage ou parfait, j'hésite en fait ! Je me déshabille, et je rentre dans l'eau pour commencer à nager et faire les quelques longueurs qui vont me détendre. C'est toujours aussi agréable de nager, et de nager nu encore plus, il faut essayer pour le croire, et qu'une fois qu'on a essayé, on a envie de continuer.
Au bout de 4 allers-retours, vent de panique, un homme arrive sur la terrasse et je vais me faire sermonner pour être là à cette heure où la terrasse est fermée, et si en plus il voit que je me baigne à poil, ça risque même d'être bien pire. Le bonhomme s'approche du bord quand j'y arrive également, et là je vois qu'il s'agit de Mario. Soulagement et excitation se mêlent immédiatement.
- Je vois que tu es revenu sur la terrasse, mais que tu profites aussi de la piscine ?
- Je n'ai pas pu m'en empêcher. J'aime trop me baigner au calme comme ça. Tu n'as jamais essayé ?
- Non, mais c'est vrai que c'est tentant… Je n'avais pas prévu de ma baigner ce soir, et je n'ai pas de maillot. Maintenant, j'ai cru comprendre que ça ne t'embarrasse pas ?
- J'adore me baigner nu, ça aussi c'est une expérience à tenter, mais je comprends que ça puisse t'arrêter. Tu eux aussi aller prendre un maillot dans ta chambre si tu veux…
- Pas la peine, j'aime aussi nager à poil, et c'est vrai que tout ça est trop tentant.
Et joignant les actes à la parole, il se déshabille près d'un transat sur lequel il pose ses vêtements. Depuis la piscine je le vois son profil qui se démarque au clair de lune. Il a vraiment une très belle silhouette, il est musclé, et quand il enlève son boxer, je peux tout de suite deviner un très bel engin. Le temps qu'il se dévêtisse, je me suis mis à bander. De son côté, le temps qu'il fasse les quelques mètres qui le séparent de la piscine et qu'il commence à descendre à l'échelle, je peux remarquer qu'il s'est mis aussi à avoir une érection. D'un côté ça me rassure parce que s'il bande juste un peu parce qu'il sent le vent du soir sur son corps, ça peut aussi me dédouaner de ma propre érection s'il n'a pas d'arrière pensée sexuelle. Et s'il en a… Je ne préfère pas y penser, on verra…
- Ça fait bizarre de se déshabiller devant toi et de sentir ce vent sur son corps, ça m'a troublé, désolé.
- Je comprends, moi de te voir ça m'a fait pareil.. J'espère que personne ne va arriver, je ne sais pas ce qu'ils pourraient penser s'ils nous voyaient tous les deux à poil dans la piscine en pleine nuit.
- Moi je m'en fous de ce que les gens pensent. Ce qui compte, c'est de se détendre et de profiter de cette piscine et de cette vue, c'est magnifique !
On se rapproche du bord de la piscine, et de la palissade en verre qui donne une vue directe sur la ville et sur la mer. Je me suis mis au bords, les bras croisés sur le bord de la piscine pour admirer la vue, et Marc (c'est son prénom, et ça commence comme Mario…) s'est mis à côté. On discute comme ça de choses et d'autres pendant 10 minutes. ? Tout bascule quand je ne dis rien lorsqu'il bouge et qu'il vient se positionner derrière moi, qu'il se colle tout contre moi et que je sens sa bite dure qui remonte entre mes fesses. Je pousse juste un cri de plaisir quand ses mains passent sur mon ventre et viennent saisir mon sexe qui n'a pas débandé depuis tout à l'heure.
- Je vois qu'on est dans le même état d'esprit.
- Tu es direct !
- J'ai tout de suite vu ce matin que ça pourrait marcher entre nous…
- Tu es fort, j'ai rien dit.
- Tes yeux si… Tu avais le regard du mec excité par un autre mec. Je suis certain que je t'ai fait de l'effet.
- C'est vrai, tu m'as rappelé un ancien amant.
- Intéressant, et tu attends quoi de moi ? Moi, je me vois bien te faire couiner sous mes coups de butoir.
- C'est exactement comme ça que je vois les choses. Mais je dois te dire que ça fait 3 ans que je ne me suis pas pris une bite dans le cul, il faudra commencer doucement.
- Mmm, ça tombe bien, j'adore assouplir mes partenaires avec ma langue et avec mes doigts, tu aimes ça ? Trois ans de frustration, ça promet du plaisir !
- Tu peux pas mieux me proposer. Mon cul est à toi si tu veux bien me le bouffer et le lubrifier avec ta salive d'abord. On va chez toi ? J'ai pas de capote dans ma chambre, je ne pensais pas en avoir besoin, je suis fidèle à ma femme normalement.
- Pas de capote chez moi non plus, je ne pensais pas en avoir besoin pour 2 nuits à Malte. Mais je suis garanti 100 % sain, pas de MST ni de HIV. Normalement, je fais avec obligatoirement, mais avec un mec comme toi, je suis près à déroger à la règle.
- OK, on va chez moi, ma chambre est à 10 mètres de l'accès à la terrasse.
Il sort le premier, je peux voir sa bite dressée qui doit faire 18 à 20cm de long, je vais la sentir celle-là. Je sors à mon tour. Une fois arrivé en haut, Mario revient vers moi et m'embrasse. Je le laisse jouer avec ma langue, c'est divin de s'embrasser avec un autre mec. Ses mains sont posés sur mes fesses mouillées et il les malaxe en les écartant. Nos sexes bandés sont coincés entre nos ventres humides, et quand on s'éloigne l'un de l'autre, je peux voir des fils de liquide séminal qui se tendent. On se sèche avec une serviette que l'on trouve vers le comptoir de l'accueil de la piscine, on s'habille rapidement et on file vers ma chambre. Encore heureux que l'on a croisé personne, nos pantalons sont toujours déformés par nos sexes tendus… On se déshabille à nouveau, on s'embrasse à nouveau et on décide d'aller prendre une douche. J'ai la chance de disposer d'une très belle et grande douche dans ma chambre d'hôtel, que l'on peut partager facilement. On se savonne, mais Marc veut aller plus loin :
- J'aime bien m'occuper personnellement de l'hygiène de ce qui va m'occuper, pas toi ?
- Tu veux me savonner ?
- Oui, et toi tu pourras me savonner aussi. Si tu veux tu commences…
Je me place derrière lui, ma bite bien remontée entre ses fesses, et je commence à lui savonner les épaules, puis le torse, et je descends doucement sur sa bite et ses couilles que je savonne doucement. J'en profite pour le branler un peu, et j'aime à sentir son manche puissant dans mes mains.
- N'oublie pas les fesses…
Il a envie de m'enculer, mais il doit aimer qu'on s'occupe aussi de son petit trou. Je passe ma main entre ses fesses, et mes doigts s'attardent sur sa rondelle. Vu comme il tend les fesses,
je sens qu'il aime ! Je lui introduis donc un doigt tout doucement, tandis qu'il soupire de plaisir. Mon index de la main gauche va et vient doucement en lui, tandis que je continue à le caresser de la main droite. Bientôt il me dit d'arrêter, sous peine de le faire jouir, et c'est donc à son tour de me savonner. Il procède comme je l'ai fait avec lui, sauf qu'après avoir passé son index, il y met aussi son majeur, et c'est maintenant deux doigts qui coulissent en moi. Il me travaille comme ça pendant une dizaine de minutes pendant lesquelles je gémis de plaisir, et puis on décide de bien se rincer et de se sécher pour aller sur mon lit. Marc se met sur le dos et me demande me positionner tête bêche par dessus lui. On commence un 69 plein de sensualité, où l'on s'occupe l'un l'autre de caresser et de sucer la bite et les couilles de notre partenaire, et puis je sens très vite Marc passer sa main entre mes fesses, et ses doigts venir se placer sur ma rosette. Il abandonne bientôt ma bite, pour s'occuper de mon trou avec sa langue. L'extase totale. J'ai toujours adoré ça qu'on me lèche le trou de cul ! Il s'applique, et alterne sa langue et un, puis deux doigts. J'ai arrêté de le sucer tellement je prends du plaisir, mais il s'en fiche, il continue à me préparer et je vois bien que ça lui plaît tellement il bande. Quand il me met un troisième doigt, il me dit de changer de position et je me retourne face à lui pour venir m'empaler sur son pieux. Je sens son gland sur mon petit trou, je me détends et je descends avec précaution le long de son manche, je ne sais pas si j'aurai autant de facilité que quand j'étais plus régulier dans mes rapports gay. Finalement, ça rentre tout seul, et sans douleur, juste cette sensation d'être bien plein… Comment j'ai pu attendre trois ans ? Comment j'ai pu imaginer me passer de ça ? Sentir le sexe gonflé d'un autre homme en soi, changer d'inclinaison pour profiter de ce plaisir unique. Je coulisse doucement, puis plus vite, et ma bite dure oscille au rythme de mes va-et-vient. On gémit aussi pas mal, en se foutant de savoir s'il y a quelqu'un dans la chambre d'à côté… Au bout d'un moment, Marc me fait mettre à quatre pattes, pour une bonne vieille levrette.
- Viens à quatre pattes ma jolie que je te défonce ton petit cul qui est en manque ! Tu en veux encore ?
- Oui putain, tu peux y aller, fais moi couiner, ça me manquait trop !
- Tu vas jouir du cul comme un gros pédé ?
- Oui, vas-y fais moi jouir ?
- Tu veux te prendre mon jus dans ton cul aussi ?
- Oh, oui, j'adore ça avoir du jus qui dégouline de mon cul, tu peux aller.
Marc me saisit les hanches, et il commence à me pilonner. Au bout de 5 minutes, il sort complètement de mon cul pour mieux y rentrer d'un coup, me faisant soupirer de plaisir à chaque fois. Que sa bite heurte ma prostate. Je sens que je vais jouir très bientôt et je lui dit. Il recommence alors son va et vient incessant et on jouit quasiment simultanément dans un râle de plaisir. J'ai senti des jets puissants de sperme envahir mon intimité, et quand il se retire au bout d'une minute ou deux, son foutre me coule le long des cuisses. Il en prend sur les doigts pour me le faire lécher.
- Nettoie moi ça !
Je lui lèche les doigts plein de son foutre qui s'écoule de mon trou béant, et on se couche finalement sur mon lit, taché de mes propres jets de sperme.
Il m'a baisé comme ça deux fois dans la nuit. Et il m'a aussi sucé pour que je puisse jouir dans sa bouche. Au matin, on s'est séparé, et chacun est retourné à ses occupations. On a juste échangé nos coordonnées pour se revoir à Paris à l'occasion.
Je m'appelle Philippe, j'ai 27 ans, et j'ai craqué pour un autre homme la semaine dernière après 3 ans pendant lesquels je m'étais tenu éloigné du plaisir de sucer un belle bite et de me la prendre dans le cul. Et je me demande encore aujourd'hui comment j'ai pu tenir aussi longtemps, en me privant de la sentir coulisser, exciter ma prostate, taper dans mon cul et mes couilles, la sentir exploser au plus profond de moi-même, et me faire crier de plaisir. Et aujourd'hui, je suis certain que je ne pourrai pas tenir trois ans avant de recommencer, mais je m'en fous, et j'ai envie de continuer comme ça. Il va juste falloir que je vois comment informer ma compagne...
J'ai assez vite compris que j'étais bisexuel. Je dirais 2/3 hétéro et 1/3 gay pendant mes premières années d'activité sexuelle. Je suis venu du côté gay doucement mais sûrement : branlette sous les douches du sport, on se branle devant les copains pour faire comme tout le monde, et puis on s'essaie à branler un autre gars, et on en vient finalement à se sucer « pour voir comment ça fait ». Et puis un jour on tombe sur un mec beau et entreprenant, et on se laisse convaincre de se faire enculer après avoir été bien excité par ses mains baladeuses et ses doigts lubrifiés de salive qui s'immiscent doucement dans notre cul... Et tout en se faisant enculer, après la première douleur passée, on apprécie, on bande en se faisant ramoner et on en redemande ! Le mec qui m'a fait céder la première fois, j'avais vraiment flashé sur lui. Il s'appelait Mario, d'origine italienne par son père, il était grand, cheveux et yeux noirs avec une peau mate et quasiment imberbe. On avait baisé en fin de première au mois de juin après le bac français, deux jours de suite, avant qu'il ne déménage avec sa famille. Mario, c'est ma référence, je ne l'ai jamais oublié et avec du recul, je comprends que c'est autour de lui que s'est bâtie toute une partie de ma vie.
Je suis resté plusieurs années comme ça, sans relation de longue durée avec des filles, et craquant de temps en temps sur un mec qui me draguait. Il faut dire que je suis plutôt pas mal : 1m80 pour 70kg, des tablettes présentes mais pas trop sculptées, brun aux yeux bleu intense et un sourire paraît-il très engageant, notamment avec une fossette sur la joue gauche qui en a fait craqué plus d'une, et plus d'un aussi. Côté filles, j'ai essayé tous les genres, mais côté mecs, j'ai toujours été attiré par des gars qui ressemblaient à mon beau Mario.
Je suis arrivé en fin de mes études d'ingénieur sans avoir choisi mon orientation sexuelle. Pourquoi choisir d'ailleurs ? Par contre, autant mes copains pouvaient compter mes conquêtes féminines, autant je leur ai toujours caché mes aventures avec des mecs. Pas très courageux me direz-vous ? Bien sûr, je l'avoue, mais en même temps, je reste persuadé que peu de personnes comprennent la bisexualité, et je ne voulais pas passer pour un pur pédé, ne me sentant pas du tout uniquement gay. J'adore les filles aussi, j'adore leur bouffer la chatte et les faire jouir avec ma langue, avant de les faire jouir avec ma bite. J'adore leurs soupirs et leurs petits cris de plaisir et je ne veux surtout pas m'en passer ! Pourtant, tout a basculé l'été de fin de mes études. On était partis 3 copains en congés sur les plages des Landes. On s'était même risqués à se faire bronzer à poil sur les grandes plages mixtes, matant les groupes de filles et essayant de les retrouver le soir dans les soirées et les discothèques du coin. La première semaine, on avait tous les trois réussi à bien remplir nos nuits avec de filles pas très effarouchées, sauf qu'en début de week-end, je repérais un superbe « Mario », corps superbe et intégralement bronzé, que je recroisais le soir à une soirée du camping. Et évidemment, Mario (je vais l'appeler comme ça, même s'il s'appelait Jean) préférait les mecs et on se trouvait à notre goût l'un et l'autre... Mario m'amenait assez rapidement dans son bungalow, pour me baiser une bonne partie de la nuit, sauf qu'en repartant au petit matin, on s'embrassait devant chez lui, Mario ses mains dans mon caleçon de bain pour mieux me tripoter les fesses et que là, je tombais nez à nez avec un de mes deux copains qui sortait du bungalow voisin.
Je n'ai eu aucun commentaire de la matinée, mais au déjeuner, j'ai eu droit à des questions directes. J'ai bien dû leur lâcher le morceau : oui, je baise de temps en temps avec de mecs et oui j'aime ça. Oui, on se suce, et oui on s'encule. Mais le plus souvent, c'est plutôt moi qui me fait sodomiser… Et puis là, on rentre dans le bungalow, et quand un de mes potes me demande en plaisantant à moitié « et là, tu veux pas me sucer la bite ? », probablement libéré par mon coming-out de bisexuel, je le défie du regard pour lui répondre que « si, si ça te fait plaisir, ça me fait plaisir ». Je commence à me mettre à genoux, je lui descend son short de bain, et je lui prend sa bite en bouche. J'y mets du cœur, et il bande comme un âne très vite. Évidemment, le troisième larron se met à bander aussi, et je dois bientôt les sucer à tour de rôle. Pour pouvoir reprendre un peu de liberté de mouvement, je leur demande de se mettre complètement à poil, et j'enlève à mon tour mon maillot de bain. J'en fait agenouiller un, et je me mets à quatre pattes pour le sucer, en tendant bien mon petit cul. Ils ne peuvent que remarquer que je bande aussi très fort, et que j'aime leur sucer la bite, et l'idée germe très vite dans l'esprit de mon deuxième pote de venir derrière moi. C'est exactement ce que j'avais prévu. Je lui dit entre deux coups de langue sur la bite de notre pote commun, qu'il peut m'enculer, mais seulement s'il me lubrifie le cul avec la langue ! Et comme l'envie est trop forte de me baiser, il s'exécute… C'est comme ça que l'on a passé la deuxième semaine à alterner avec de filles, et à baiser tous les trois le soir si on ne concrétisait pas avec une fille, et même dans la journée sinon. Enfin, c'est plutôt eux qui me baisaient à tour de rôle. Je n'ai jamais pris autant de foutre dans le cul et dans la bouche que cette semaine là...
C'est un épisode important, par ce qu'il m'a fait accepter ma part de gay, que j'avais dû consentir à dévoiler. Un mois plus tard, je restais même en couple avec un mec pendant 6 mois… Jusqu'à rencontrer une fille, celle avec qui je vis maintenant depuis 3 ans. Et sans aucune aventure avec un autre mec depuis !Bien sûr que j'ai continué à regarder des mecs pendant ces 3 ans, que je me suis maté du porno gay de temps en temps, mais je n'ai jamais cherché à d'aventure avec un autre homme, et je n'ai jamais non plus été sollicité. Je me rends compte aujourd'hui que c'est probablement parce que je n'étais pas retombé sur le type de mec qui me plaît, comme Mario, parce que c'est exactement ce qui s'est passé la semaine dernière.
J'étais en séminaire de travail avec mon entreprise en Sicile. Boulot de 9h00 à 15h30, et détente ensuite. On avait des chambres réservées dan un grand complexe hôtelier avec une très belle piscine. Sauf qu'il y a eu un problème avec les réservations, nous sommes deux à porter le même nom de famille dans ma groupe, et que je n'avais pas de chambre réservée à mon nom. Et l'hôtel complet bien entendu. On m'a alors trouvé une chambre dans un hôtel voisin, mais dans lequel j'étais tout seul. Cet hôtel dispose d'une très jolie piscine sur le toit, ouverte jusqu'à 19h00, même si son accès reste en fait ouvert 24h/24. C'est comme ça qu'en rentrant de l'hôtel du séminaire le premier soir vers 22h30, je suis monté sur la terrasse pour admirer le paysage, et que j'ai eu envie de me baigner. J'étais seul, et je me suis dévêtu pour me baigner nu. Pas très tranquille en surveillant si j'entendais le bruit de quelqu'un qui monte, mais profitant pendant un bon 1/4 d'heure du calme de cette piscine dans laquelle j'étais seul, nageant nu au clair de lune.
Le lendemain matin, je me lève pour un jogging de découverte des alentours, et j'en profite pour acheter un magazine français au bureau de presse du coin. Je me douche et file au petit-déjeuner, et là c'est la déception : la salle trop petite était prise d'assaut par un voyage organisé de personnes âgées et très bruyantes. J'arrive tant bien que mal à me trouver une petite table à laquelle je m'assois et je commence à lire mon magazine tout en mangeant. Je me dis que je ne vais pas rester longtemps vu le bruit, mais je suis tiré de ma lecture :
- Bonjour, je peux m'asseoir à votre table, il n'y a de la place nulle part, et je suis irrémédiablement attiré par ce magazine français qui me dit que je vais pouvoir trouver asile auprès d'un compatriote.
Je lève les yeux, pour voir qui veut s'inviter dans mon îlot de tranquillité, et je reste bouche-bée : devant moi un homme comme je les aime, un Mario, la trentaine, grand, la peu mate, yeux et cheveux noirs, un sourire à se damner, tout y est ! Et une ressemblance avec mon premier Mario qui est troublante. Je ressens un grand frisson quand il s’assoit après que je l'y ait invité.
- Question calme c'est pas gagné ici…
- Non, c'est même assez dramatique de commencer la journée comme ça et avant d'aller travailler.
- J'adore petit-déjeuner au calme dans les hôtels, c'est carrément dommage ça…
- Pareil… J'avais pourtant bien fini hier, j'étais sur la terrasse - piscine hier soir, et c'était magique, le calme de la piscine, j'étais tout seul au clair de lune, ça fait retomber le stress immédiatement.
- J'ai vu que c'était fermé, on peut y aller quand-même ?
- Oui, j'avoue que j'ai décider de passer outre le panneau, vu que l'accès était ouvert. Ma chambre est juste au fond du couloir qui part de l'accès à la terrasse et j'ai vu que ça n'était pas surveillé.
- Voilà qui est intéressant. J'y passerai peut-être ce soir, peut-être que l'on s'y croisera. J'adore faire des rencontres nocturnes…
- J'y passerai probablement, mais je ne sais pas à quelle heure, ça va dépendre de ma journée. Mais, j'espère qu'on se verra.
Et puis on continue à échanger quelques minutes sur nos séjours, et on se quitte en se disant « peut-être à ce soir »… J'ai repensé à lui plusieurs fois pendant la journée, me demandant même s'il était célibataire, me posant des questions sur son orientation sexuelle, et culpabilisant aussi de me faire du cinéma pour un mec, alors que je croyais que mes démons du sexe entre hommes avaient définitivement disparus. Après ma journée de séminaire avec mes collègues, je rentre à l'hôtel vers 22h00, et je remonte à la piscine. Je suis seul, dommage. Dommage ou parfait, j'hésite en fait ! Je me déshabille, et je rentre dans l'eau pour commencer à nager et faire les quelques longueurs qui vont me détendre. C'est toujours aussi agréable de nager, et de nager nu encore plus, il faut essayer pour le croire, et qu'une fois qu'on a essayé, on a envie de continuer.
Au bout de 4 allers-retours, vent de panique, un homme arrive sur la terrasse et je vais me faire sermonner pour être là à cette heure où la terrasse est fermée, et si en plus il voit que je me baigne à poil, ça risque même d'être bien pire. Le bonhomme s'approche du bord quand j'y arrive également, et là je vois qu'il s'agit de Mario. Soulagement et excitation se mêlent immédiatement.
- Je vois que tu es revenu sur la terrasse, mais que tu profites aussi de la piscine ?
- Je n'ai pas pu m'en empêcher. J'aime trop me baigner au calme comme ça. Tu n'as jamais essayé ?
- Non, mais c'est vrai que c'est tentant… Je n'avais pas prévu de ma baigner ce soir, et je n'ai pas de maillot. Maintenant, j'ai cru comprendre que ça ne t'embarrasse pas ?
- J'adore me baigner nu, ça aussi c'est une expérience à tenter, mais je comprends que ça puisse t'arrêter. Tu eux aussi aller prendre un maillot dans ta chambre si tu veux…
- Pas la peine, j'aime aussi nager à poil, et c'est vrai que tout ça est trop tentant.
Et joignant les actes à la parole, il se déshabille près d'un transat sur lequel il pose ses vêtements. Depuis la piscine je le vois son profil qui se démarque au clair de lune. Il a vraiment une très belle silhouette, il est musclé, et quand il enlève son boxer, je peux tout de suite deviner un très bel engin. Le temps qu'il se dévêtisse, je me suis mis à bander. De son côté, le temps qu'il fasse les quelques mètres qui le séparent de la piscine et qu'il commence à descendre à l'échelle, je peux remarquer qu'il s'est mis aussi à avoir une érection. D'un côté ça me rassure parce que s'il bande juste un peu parce qu'il sent le vent du soir sur son corps, ça peut aussi me dédouaner de ma propre érection s'il n'a pas d'arrière pensée sexuelle. Et s'il en a… Je ne préfère pas y penser, on verra…
- Ça fait bizarre de se déshabiller devant toi et de sentir ce vent sur son corps, ça m'a troublé, désolé.
- Je comprends, moi de te voir ça m'a fait pareil.. J'espère que personne ne va arriver, je ne sais pas ce qu'ils pourraient penser s'ils nous voyaient tous les deux à poil dans la piscine en pleine nuit.
- Moi je m'en fous de ce que les gens pensent. Ce qui compte, c'est de se détendre et de profiter de cette piscine et de cette vue, c'est magnifique !
On se rapproche du bord de la piscine, et de la palissade en verre qui donne une vue directe sur la ville et sur la mer. Je me suis mis au bords, les bras croisés sur le bord de la piscine pour admirer la vue, et Marc (c'est son prénom, et ça commence comme Mario…) s'est mis à côté. On discute comme ça de choses et d'autres pendant 10 minutes. ? Tout bascule quand je ne dis rien lorsqu'il bouge et qu'il vient se positionner derrière moi, qu'il se colle tout contre moi et que je sens sa bite dure qui remonte entre mes fesses. Je pousse juste un cri de plaisir quand ses mains passent sur mon ventre et viennent saisir mon sexe qui n'a pas débandé depuis tout à l'heure.
- Je vois qu'on est dans le même état d'esprit.
- Tu es direct !
- J'ai tout de suite vu ce matin que ça pourrait marcher entre nous…
- Tu es fort, j'ai rien dit.
- Tes yeux si… Tu avais le regard du mec excité par un autre mec. Je suis certain que je t'ai fait de l'effet.
- C'est vrai, tu m'as rappelé un ancien amant.
- Intéressant, et tu attends quoi de moi ? Moi, je me vois bien te faire couiner sous mes coups de butoir.
- C'est exactement comme ça que je vois les choses. Mais je dois te dire que ça fait 3 ans que je ne me suis pas pris une bite dans le cul, il faudra commencer doucement.
- Mmm, ça tombe bien, j'adore assouplir mes partenaires avec ma langue et avec mes doigts, tu aimes ça ? Trois ans de frustration, ça promet du plaisir !
- Tu peux pas mieux me proposer. Mon cul est à toi si tu veux bien me le bouffer et le lubrifier avec ta salive d'abord. On va chez toi ? J'ai pas de capote dans ma chambre, je ne pensais pas en avoir besoin, je suis fidèle à ma femme normalement.
- Pas de capote chez moi non plus, je ne pensais pas en avoir besoin pour 2 nuits à Malte. Mais je suis garanti 100 % sain, pas de MST ni de HIV. Normalement, je fais avec obligatoirement, mais avec un mec comme toi, je suis près à déroger à la règle.
- OK, on va chez moi, ma chambre est à 10 mètres de l'accès à la terrasse.
Il sort le premier, je peux voir sa bite dressée qui doit faire 18 à 20cm de long, je vais la sentir celle-là. Je sors à mon tour. Une fois arrivé en haut, Mario revient vers moi et m'embrasse. Je le laisse jouer avec ma langue, c'est divin de s'embrasser avec un autre mec. Ses mains sont posés sur mes fesses mouillées et il les malaxe en les écartant. Nos sexes bandés sont coincés entre nos ventres humides, et quand on s'éloigne l'un de l'autre, je peux voir des fils de liquide séminal qui se tendent. On se sèche avec une serviette que l'on trouve vers le comptoir de l'accueil de la piscine, on s'habille rapidement et on file vers ma chambre. Encore heureux que l'on a croisé personne, nos pantalons sont toujours déformés par nos sexes tendus… On se déshabille à nouveau, on s'embrasse à nouveau et on décide d'aller prendre une douche. J'ai la chance de disposer d'une très belle et grande douche dans ma chambre d'hôtel, que l'on peut partager facilement. On se savonne, mais Marc veut aller plus loin :
- J'aime bien m'occuper personnellement de l'hygiène de ce qui va m'occuper, pas toi ?
- Tu veux me savonner ?
- Oui, et toi tu pourras me savonner aussi. Si tu veux tu commences…
Je me place derrière lui, ma bite bien remontée entre ses fesses, et je commence à lui savonner les épaules, puis le torse, et je descends doucement sur sa bite et ses couilles que je savonne doucement. J'en profite pour le branler un peu, et j'aime à sentir son manche puissant dans mes mains.
- N'oublie pas les fesses…
Il a envie de m'enculer, mais il doit aimer qu'on s'occupe aussi de son petit trou. Je passe ma main entre ses fesses, et mes doigts s'attardent sur sa rondelle. Vu comme il tend les fesses,
je sens qu'il aime ! Je lui introduis donc un doigt tout doucement, tandis qu'il soupire de plaisir. Mon index de la main gauche va et vient doucement en lui, tandis que je continue à le caresser de la main droite. Bientôt il me dit d'arrêter, sous peine de le faire jouir, et c'est donc à son tour de me savonner. Il procède comme je l'ai fait avec lui, sauf qu'après avoir passé son index, il y met aussi son majeur, et c'est maintenant deux doigts qui coulissent en moi. Il me travaille comme ça pendant une dizaine de minutes pendant lesquelles je gémis de plaisir, et puis on décide de bien se rincer et de se sécher pour aller sur mon lit. Marc se met sur le dos et me demande me positionner tête bêche par dessus lui. On commence un 69 plein de sensualité, où l'on s'occupe l'un l'autre de caresser et de sucer la bite et les couilles de notre partenaire, et puis je sens très vite Marc passer sa main entre mes fesses, et ses doigts venir se placer sur ma rosette. Il abandonne bientôt ma bite, pour s'occuper de mon trou avec sa langue. L'extase totale. J'ai toujours adoré ça qu'on me lèche le trou de cul ! Il s'applique, et alterne sa langue et un, puis deux doigts. J'ai arrêté de le sucer tellement je prends du plaisir, mais il s'en fiche, il continue à me préparer et je vois bien que ça lui plaît tellement il bande. Quand il me met un troisième doigt, il me dit de changer de position et je me retourne face à lui pour venir m'empaler sur son pieux. Je sens son gland sur mon petit trou, je me détends et je descends avec précaution le long de son manche, je ne sais pas si j'aurai autant de facilité que quand j'étais plus régulier dans mes rapports gay. Finalement, ça rentre tout seul, et sans douleur, juste cette sensation d'être bien plein… Comment j'ai pu attendre trois ans ? Comment j'ai pu imaginer me passer de ça ? Sentir le sexe gonflé d'un autre homme en soi, changer d'inclinaison pour profiter de ce plaisir unique. Je coulisse doucement, puis plus vite, et ma bite dure oscille au rythme de mes va-et-vient. On gémit aussi pas mal, en se foutant de savoir s'il y a quelqu'un dans la chambre d'à côté… Au bout d'un moment, Marc me fait mettre à quatre pattes, pour une bonne vieille levrette.
- Viens à quatre pattes ma jolie que je te défonce ton petit cul qui est en manque ! Tu en veux encore ?
- Oui putain, tu peux y aller, fais moi couiner, ça me manquait trop !
- Tu vas jouir du cul comme un gros pédé ?
- Oui, vas-y fais moi jouir ?
- Tu veux te prendre mon jus dans ton cul aussi ?
- Oh, oui, j'adore ça avoir du jus qui dégouline de mon cul, tu peux aller.
Marc me saisit les hanches, et il commence à me pilonner. Au bout de 5 minutes, il sort complètement de mon cul pour mieux y rentrer d'un coup, me faisant soupirer de plaisir à chaque fois. Que sa bite heurte ma prostate. Je sens que je vais jouir très bientôt et je lui dit. Il recommence alors son va et vient incessant et on jouit quasiment simultanément dans un râle de plaisir. J'ai senti des jets puissants de sperme envahir mon intimité, et quand il se retire au bout d'une minute ou deux, son foutre me coule le long des cuisses. Il en prend sur les doigts pour me le faire lécher.
- Nettoie moi ça !
Je lui lèche les doigts plein de son foutre qui s'écoule de mon trou béant, et on se couche finalement sur mon lit, taché de mes propres jets de sperme.
Il m'a baisé comme ça deux fois dans la nuit. Et il m'a aussi sucé pour que je puisse jouir dans sa bouche. Au matin, on s'est séparé, et chacun est retourné à ses occupations. On a juste échangé nos coordonnées pour se revoir à Paris à l'occasion.
Je m'appelle Philippe, j'ai 27 ans, et j'ai craqué pour un autre homme la semaine dernière après 3 ans pendant lesquels je m'étais tenu éloigné du plaisir de sucer un belle bite et de me la prendre dans le cul. Et je me demande encore aujourd'hui comment j'ai pu tenir aussi longtemps, en me privant de la sentir coulisser, exciter ma prostate, taper dans mon cul et mes couilles, la sentir exploser au plus profond de moi-même, et me faire crier de plaisir. Et aujourd'hui, je suis certain que je ne pourrai pas tenir trois ans avant de recommencer, mais je m'en fous, et j'ai envie de continuer comme ça. Il va juste falloir que je vois comment informer ma compagne...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi, ce que j'aime le plus c'est accrocher mes pieds autour de la taille de mon mec, lui debout, et me faire secouer à fond sur sa bite ( Akileditu )
salut a toi merci pour cette belle histoire tres bien racontez avec franchise et du bon sexe vivement la suite a+
salut, waou super beau récit à lire tout en étant très simple dans ce descriptif suave et chaud, j'aurai bien aimé pouvoir rencontrer un mec come ça aussi doux et sexy.
jespère que vous allez continuer à écrie comme cela cetais un réel plaisir, souhaitant qu'il y aurait une suite voir un peu plus avec ce Marc à votre retour de paris.
vivement une suite, et merci à vous
cela m'ayant superbement bander grave et je pense que pour les autres aussi.
continuer comme cela ;)
jespère que vous allez continuer à écrie comme cela cetais un réel plaisir, souhaitant qu'il y aurait une suite voir un peu plus avec ce Marc à votre retour de paris.
vivement une suite, et merci à vous
cela m'ayant superbement bander grave et je pense que pour les autres aussi.
continuer comme cela ;)