Titre de l'histoire érotique : Bites à gogo au ciné X pour Alexandra la T-girl
Récit érotique écrit par Alexandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Bites à gogo au ciné X pour Alexandra la T-girl
En ce début d'année très calme, mon emploi du temps étant un peu plus "light" je propose à un ami de le rencontrer chez lui. Il en a très envie mais ne peut momentanément pas me recevoir. Il me demande si je n'ai pas une idée alternative pour qu'on puisse quand même passer un peu de temps à 2.
Puisqu'il habite à mi-chemin entre Bruxelles et Anvers, je lui propose tout simplement de m'accompagner dans un endroit où je ne me suis plus rendue depuis plusieurs années, le "Blue Vision megastore" à Schelle. Il s'agit d'un grand sex-shop au fond duquel une petite porte donne accès à une partie "cinéma X" où tout peut arriver.
Mon ami est enthousiasmé par cette proposition, il me connaît et apprécie beaucoup le fait que je me donne à fond dans ce que j'entreprends. Il sait bien que je n'irai pas jusque là bas pour faire de la figuration.
Et justement, pour mettre toutes les chances de mon côté, j'ai posté des annonces sur le Net pour informer les coquins de ma présence. Trois plateformes ont été utilisées : le site que j'utilise habituellement lorsque je me déplace quelque part, mais aussi un site néerlandais (je me rends en pays flamand, il faut que je touche les bonnes personnes) et enfin le forum du Blue Vision où je me suis créé un compte spécialement pour l'occasion.
Le moment venu, je quitte Bruxelles vers 17h30. Le rendez-vous avec mon complice est à 18h et, malgré qu'on soit en plein dans la période de vacances scolaires, la circulation est dense sur le ring de Bruxelles, à un point tel que je crains d'arriver en retard à mon rendez-vous. Mais une fois que j'emprunte l'ancienne route d'Anvers, tout se dégage et c'est à 18h02 que je retrouve mon ami.
Nous décidons de partir en convoi, de sorte à ce que nous puissions garder notre indépendance si l'un ou l'autre a envie de rester plus longtemps.
A 18h20, nous nous garons sur le parking du sex-shop. Une petite dizaine de voitures stationnent et à première vue il n'y a personne dans le magasin. J'en tire rapidement la conclusion que ces 10 personnes (ou plus ??) doivent se trouver dans la partie cinéma.
Je ne suis pas encore sortie de la voiture que déjà je me fais aborder par un gars :
"Alexandra ? T'es en retard !"
"Hein ? Mais non, j'avais annoncé 18h30, je suis en avance"
"Ah ! Tu me files ton allume cigare pour allumer ma clope ?"
"Minute coco !"
Je connais ce gars pour l'avoir déjà rencontré au moins 2x lors de tranny parties. Il habite Bruxelles et me dit avoir fait le déplacement jusque là quand il a lu mon annonce.
Il compte sur moi pour le ramener à Bruxelles ensuite. Pas de chance, je ne compte pas rentrer chez moi tout de suite, j'ai d'autres projets pour ma 2ème partie de soirée.
Quoiqu'il en soit, me voici enfin dans le sex-shop. C'est réellement une grande boutique de plusieurs centaines de m², qui s'étend sur 2 étages et on y trouve vraiment tout ce qu'on peut imaginer pour rajouter un peu de piment dans une vie sexuelle devenue terne. Ca va des perruques aux accessoires BDSM en passant par des chaussures sexy, les DVDs, la lingerie et les joujoux, bien évidemment.
La fille à l'accueil m'apprend que l'entrée au ciné est gratuite. En voilà une bonne surprise ! Je pensais que le tarif était de 10€ par personne. Je ne vais pas me plaindre !
Je me dirige vers la porte en me demandant ce que je vais trouver de l'autre côté.
Nul doute que ma tenue éveillera le désir si, par chance, quelques coquins sont présents. Je porte un petit top noir fermé avec des agrafes sur l'avant, une mini jupe qui m'arrive au ras des fesses, un petit string, des bas auto-fixants résille à couture et mes éternels escarpins noirs à bouts ouverts. Peu de bijoux, mais j'ai troqué le petit cadenas en forme de coeur habituellement fixé à mon collier contre une laisse de bonne petite chienne.
Lorsque je franchis la porte, suivie de mon ami qui me tient en laisse, plusieurs regards se posent sur moi. J'ai de la chance, il y a du monde ! De nombreux "chasseurs", et il semblerait bien que je sois la seule proie à attraper. J'en mouille déjà !
Mon ami me mène immédiatement dans une cabine. Ces espaces ne sont vraiment pas très larges mais nous n'avons pas l'intention de nous isoler. Assis sur une banquette, il m'ordonne de lui sucer la queue. Je m'exécute et, déjà, de nombreux voyeurs sont présents. Ma jupe est relevée, offrant une jolie vue sur mon fessier tout lisse. Une main se pose sur ce dernier, des doigts tentent de me pénétrer mais je suis encore toute sèche.
"Lève-toi et écarte les jambes tout en continuant à me sucer !"
J'obéis sans traîner aux ordres donnés par celui qui joue pour l'instant le rôle de mon Maître. Dans cette position, je suis à la bonne hauteur pour permettre à qui veut de me prendre debout, sans trop de difficulté. Mais il n'y a pas encore d'amateur pour l'instant.
"Mets toi à genoux, tourne toi et suce ces messieurs !"
Je prends une bite en bouche, c'est le mec qui m'a abordée sur le parking. Il va jouir rapidement. Suivant toujours les instructions de mon complice, je reste là, à genoux, la bouche ouverte, attendant la ou les queue(s) suivante(s). Mais comme souvent, je ressens venant de ces messieurs un peu de timidité.
Alors je me lève et je me balade un peu, j'étudie le lieu. On m'a dit qu'il avait été rénové depuis ma dernière visite. J'ai beau tout inspecter, je ne trouve pas l'endroit tellement changé par rapport à ce que j'ai connu.
Mes pas me mènent dans l'une des plus grandes pièces. Sur le mur du fond, un poste télé diffuse un film porno dans lequel une jolie jeune femme joue avec 2 hommes. Je fais mine de m'intéresser à ce chef d'oeuvre du 7ème art, jusqu'à ce que je sente une main se poser sur l'une de mes fesses. L'homme qui me caresse doit avoir la cinquantaine, il est d'allure sympathique, un peu bedonnant, une petite moustache. Il déboutonne son pantalon et en extrait un sexe de taille modeste. Ca ne me fait pas peur, je sais d'expérience qu'avec un peu de savoir-faire, un petit canari peut se transformer en paon majestueux. Et de fait, après quelques minutes d'une sucette prodiguée avec beaucoup de motivation, le sexe de l'homme atteint une belle taille qu'il me plairait de sentir pénétrer entre mes fesses. Mais j'ai peut-être été un peu trop enthousiaste lors de ma fellation car l'homme semble être à 2 doigts de jouir. Je le vois faire des efforts pour se retenir alors que je viens tout juste de déballer la capote. Finalement, il parvient à calmer le jeu et je peux lui enfiler le caoutchouc avant que lui ne m'enfile autre chose. C'est sur le divan qu'on fait ça : je me mets à genoux sur le siège, mes mains agrippent le haut du dossier et je me cambre bien pour lui faciliter la pénétration. Tout se passe à merveille, mon petit trou est bientôt rempli et l'assaut de l'homme est plein de vigueur. Cerise sur le gâteau, des voyeurs sont là pour se rincer l'oeil ! Je suis en grande forme et par moments j'ai presque l'impression que c'est moi qui baise le type. Je bouge du cul, je m'empale sur le pieu, je donne le rythme, tant et si bien que je décide de me calmer un peu pour qu'il reprenne le dessus, ce qu'il fait jusqu'à ce qu'il jouisse enfin. Pendant qu'il remet un peu d'ordre dans ses vêtements, je jette un oeil alentours pour voir s'il n'y a pas d'autres amateurs mais non, apparemment j'ai affaire à de grands timides qui s'éclipsent en vitesse alors que certains semblaient pourtant très intéressés quelques minutes plus tôt. Parmi ceux-ci, un grand dadais qui me donne l'impression d'avoir poussé la porte de ce ciné sans imaginer où il allait tomber.
En passant à côté de lui, je lui murmure "tu n'as pas envie ?"
Sa réponse est immédiate : "Nooonn" avec un petit air effrayé.
S'il avait pu rajouter "Grand Dieu, non, Vade Retro Satanas !", je pense qu'il l'aurait probablement fait.
Pas grave, je continue mon chemin, je déambule dans les couloirs et je recroise mon complice auquel j'explique que je viens de prendre mon pied. "Oui oui, t'inquiète pas, j'ai tout vu !"
Oups ! C'est vrai que mis à part moi, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent pour les hommes présents ce soir. Au moins ceux qui n'abusent pas de moi peuvent regarder.
Consciente que la plupart des hommes présents sont relativement timides, je vais dans une pièce meublée d'un divan et dont un mur est percé de 2 trous, ce qu'on appelle des glory-holes. Je m'installe devant l'un des orifices et - comme par magie - un sexe fait son apparition. Là, on ne rigole plus, c'est du beau calibre, c'est un sexe de compétition qui a dû probablement remporter plusieurs prix. Je le prends en bouche et le suce mais la paroi qui nous sépare est assez épaisse et me prive du plaisir de l'avaler totalement, jusqu'à la garde. J'entends des gémissements de plaisir mais je ne peux déterminer avec certitude s'il s'agit du mec que je suce ou du type du dvd qui passe à la télé juste derrière moi. Quoiqu'il en soit, le résultat est là, je me retrouve bientôt avec une belle quantité de jus au fond de la gorge.
J'ai à peine le temps de l'avaler que voici déjà une autre queue qui fait son apparition par le trou voisin. Celle-ci aussi est épaisse et un cockring en caoutchouc en ceint la base. Une fois de plus, je suce pour donner du plaisir à l'inconnu derrière la paroi. Il apprécie puisqu'il bande de plus en plus. Il adopte une technique intéressante qui consiste à se retirer pour mieux revenir quelques secondes plus tard. Moi, je reste bouche ouverte de l'autre côté de l'orifice, et sa queue atterrit systématiquement sur ma langue pour finir entre mes lèvres puis au fond de ma bouche. Après quelques minutes de ce petit jeu, la queue disparaît pour de bon. Je ne m'en formalise pas, dans ce genre d'endroit, il arrive souvent qu'un jeu soit interrompu pour l'une ou l'autre raison. Après tout, personne n'a de compte à rendre à personne et je le mentionnais bien dans mon annonce : je viens pour donner du plaisir ce soir, pas pour en prendre.
Lorsque je me retourne, qui vois-je, assis dans le divan, en train de tout observer depuis tout à l'heure ? Le grand dadais, bien sûr !! Et voilà qu'il déboutonne son pantalon pour en laisser jaillir un sexe de belle taille et déjà en érection depuis un bon moment j'imagine. Je m'approche de lui et pose doucement mes lèvres humides sur le gland avant d'engloutir la queue dans ma bouche. Le jeune homme gémit de plaisir. Je poursuis mon "travail" et, ce faisant, je vois entrer dans l'alcôve Monsieur cockring en caoutchouc ! Il s'était éclipsé simplement pour me rejoindre de l'autre côté de la paroi. Il s'assied à côté de l'autre larron que j'ai toujours en bouche. A présent je vais alterner "pipe et branlette" chez l'un et l'autre. Les 2 hommes sont assis côte à côte, 2 inconnus qui se font sucer par une autre inconnue, soumise et obéissante, à leur service exclusif pour procurer du plaisir. Je suis à genoux, au pied du divan. Je suis concentrée sur ce que je fais mais je ne peux ignorer le contact froid de la laisse, les maillons en métal de la chaîne descendant bien plus bas que la raie de mes fesses.
A présent, les 2 hommes ont atteint le summum de l'érection, c'est le moment ou jamais de passer au stade suivant. Je fouille mon sac et en extrait un préservatif que je pose sur le divan, entre eux 2. La réaction ne se fait pas attendre et c'est "Grand Dadais", moins timide que je ne le pensais, qui se couvre le sexe avant de se lever. Je pose un genou sur le divan, l'autre genou est toujours à terre. Cette position me permet de dégager l'accès à ma petite chatte tout en continuant à sucer l'autre mec toujours assis dans le divan. Je sens la queue du jeune gars se frayer un chemin. Il me saisis aux hanches et commence à me labourer de plus en plus fort tout en me donnant de temps à autre une fessée. J'adore ce qui est en train de se passer. J'adore servir de vide couilles et être abusée par plusieurs mecs à la fois. De plus on se donne en spectacle pour de nombreux voyeurs, et ça m'excite encore plus. Le jeune homme ne pourra plus se retenir bien longtemps et il jouira en moi. Alors qu'il se retire, je suis toujours occupée à sucer l'autre homme, qui est toujours bien en érection mais qui jusque là restait totalement muet.
Le premier mot qu'il va m'adresser me fait le plus grand plaisir : "Condom !"
Voilà un mec qui sait exactement quoi dire, à qui le dire et quand le dire.
Je lui donne un préservatif et me mets en position sur le divan, pendant qu'il se relève et enfile la capote. La pénétration sera plus compliquée avec lui. Le caoutchouc le fait débander. Mais qu'à cela ne tienne, je sais comment m'y prendre pour redonner de la vigueur à une queue molle. Je la prends en bouche, après en avoir ôté le plastic mais malheureusement, malgré tout le coeur que j'y mets, rien n'y fait. L'homme ne se démonte pas, bien au contraire. Visiblement il sait ce qui l'excite et il m'invite à m'asseoir sur le divan. Une fois installée, il grimpe dessus, fléchit les genoux et introduit sa queue dans ma bouche, de manière assez brutale. Commence alors une session de "face-fucking" assez mémorable qui va me faire avoir des haut-le-coeur chaque fois que son sexe atteint le fond de ma gorge, ce qui est assez fréquent. Les larmes me montent aux yeux, c'est pas que je suis triste ou que je pleure, non, mais c'est incontrôlable, je n'y peux rien. Essayez, vous verrez ! J'essaie de ne pas penser à l'état dans lequel je dois me trouver, le mascara qui coule sûrement partout sur mes joues et je me réconforte en constatant que le pénis de l'homme est à nouveau bien dur. Nous refaisons une tentative et cette fois-ci c'est la bonne, il me prend en levrette et me baise sous les yeux de plusieurs curieux. Lorsqu'il sent qu'il débande à nouveau, je reprends position pour un nouveau face-fucking agrémenté d'une gorge profonde. Cette fois-ci je salive tellement que ça coule sur mon menton et ça dégouline entre mon cou et mon collier de soumise, qui est trempé. Tout ceci va se terminer par une éjaculation en bonne et due forme, dans ma bouche, une fois de plus. L'homme descend du fauteuil et s'éloigne pour éponger le peu de liquide visqueux qu'il a encore sur la queue. J'en profite pour faire face aux 3 ou 4 mecs qui n'ont pas perdu une miette du spectacle. Dès que mon regard se pose sur eux, ils détournent la tête ("C'est pas moi ! J'ai rien fait ! J'ai rien vu !!") pour regarder ailleurs (la télé pour les plus perspicaces, leurs chaussures pour les autres). Ca me fait bien rire, intérieurement. Vraiment tous de grands timides !
Il est grand temps pour moi d'aller faire un brin de toilette. Je constate avec surprise que l'image de moi que reflète le miroir n'est pas aussi décadente que je le pensais. Un peu de papier pour essuyer la salive sur ma gorge, un petit coup de peigne, un peu de rouge à lèvres et je suis déjà prête pour retourner dans l'arène.
Je croise la route du premier homme qui m'a prise ce soir. Il m'invite à le suivre dans une cabine. Décidément, il en redemande ! Il ferme la porte derrière moi et baisse le pantalon. Accroupie devant lui, je lui suce la queue délicatement. Je remarque du mouvement sur mon côté gauche. L'une des parois de cette cabine est percée et je vois un nouveau sexe apparaître. Une fois de plus, je vais alterner fellation et branlette entre ces 2 membres qui s'offrent à moi. La queue du mur commence à bien bander et l'idée me traverse l'esprit de la recouvrir d'une capote et de m'empaler dessus mais finalement je n'en ferai rien, préférant me concentrer sur le plaisir que je donne à l'homme qui est en ma présence. Il va jouir dans ma bouche, lui aussi. J'apprendrai par la suite qu'il avait vu l'une de mes annonces et que c'était la raison de sa visite ce soir, comme d'ailleurs le grand dadais qui avait consulté quant à lui le forum du Blue Vision.
Lorsque je sors de la cabine, je retrouve mon complice qui me dit au revoir. Il est heureux pour moi que je prenne mon pied mais il est vrai que pour un homme seul, ce soir, mis à part moi, c'est un peu désert question fesses fraîches.
A peine a-t-il franchi la porte que je me fais accoster par un nouvel homme :
"Alexandra ?"
"Ah ? Tu connais mon nom ?"
"Oui j'ai vu l'annonce".
Décidément, les annonces en pays flamand semble mieux fonctionner qu'en Wallonie !
"Que puis-je faire pour toi ?"
"Un blowjob c'est possible ?"
"Une petite pipe ? Mais bien sûr !"
Et me voilà repartie dans une cabine où je vais sucer l'une des plus étranges queues croisées au cours de ma longue carrière de libertine. Elle est courte, elle est charnue, et on a l'impression qu'il y a plusieurs couches, comme un oignon. Vraiment bizarre... Je tente de bien faire et l'homme semble avoir du plaisir, mais je ne peux pas réellement parler d'érection dans le cas présent. C'est un peu un soulagement pour moi lorsque l'homme me demande s'il peut, lui aussi, me sucer. OK, pourquoi pas, après tout. Il s'agenouille et me prend en bouche. Il fait ça assez bien, le gredin ! Je commence à bander et je le préviens de faire attention car je risque d'exploser dans sa bouche. Il continue malgré tout, me menant tout droit à la jouissance. C'est ensuite moi qui reprend du service pour lui rendre la pareille. Il faudra qu'il m'aide un peu en se branlant car il a vraiment une queue d'un modèle particulier. D'ailleurs même quand il jouit, j'ai l'impression que ça ne sort pas par devant mais par les côtés... J'arrive toujours pas à comprendre... Enfin soit...
Lorsque je sors de la cabine, je réalise qu'il y a quelques nouveaux venus mais il est déjà 20h20, ça fait 2h que je suis là et que je joue non-stop. Si je reste, je vais sûrement passer beaucoup de temps avec des bites entre les lèvres, les candidats à la pénétration étant moins nombreux.
Je pense qu'il est temps pour moi de fermer boutique pour ce soir. Après tout, je n'ai pas à me plaindre, j'ai eu mon compte et j'ai rendu heureux sûrement entre 5 et 10 hommes, sans compter ceux qui prenaient leur pied en matant le spectacle.
En tout cas, une chose qui est sûre, c'est que cette nouvelle année débute sur des chapeaux de roue et que je reviendrai très certainement plus souvent au Blue Vision !
FIN.
Puisqu'il habite à mi-chemin entre Bruxelles et Anvers, je lui propose tout simplement de m'accompagner dans un endroit où je ne me suis plus rendue depuis plusieurs années, le "Blue Vision megastore" à Schelle. Il s'agit d'un grand sex-shop au fond duquel une petite porte donne accès à une partie "cinéma X" où tout peut arriver.
Mon ami est enthousiasmé par cette proposition, il me connaît et apprécie beaucoup le fait que je me donne à fond dans ce que j'entreprends. Il sait bien que je n'irai pas jusque là bas pour faire de la figuration.
Et justement, pour mettre toutes les chances de mon côté, j'ai posté des annonces sur le Net pour informer les coquins de ma présence. Trois plateformes ont été utilisées : le site que j'utilise habituellement lorsque je me déplace quelque part, mais aussi un site néerlandais (je me rends en pays flamand, il faut que je touche les bonnes personnes) et enfin le forum du Blue Vision où je me suis créé un compte spécialement pour l'occasion.
Le moment venu, je quitte Bruxelles vers 17h30. Le rendez-vous avec mon complice est à 18h et, malgré qu'on soit en plein dans la période de vacances scolaires, la circulation est dense sur le ring de Bruxelles, à un point tel que je crains d'arriver en retard à mon rendez-vous. Mais une fois que j'emprunte l'ancienne route d'Anvers, tout se dégage et c'est à 18h02 que je retrouve mon ami.
Nous décidons de partir en convoi, de sorte à ce que nous puissions garder notre indépendance si l'un ou l'autre a envie de rester plus longtemps.
A 18h20, nous nous garons sur le parking du sex-shop. Une petite dizaine de voitures stationnent et à première vue il n'y a personne dans le magasin. J'en tire rapidement la conclusion que ces 10 personnes (ou plus ??) doivent se trouver dans la partie cinéma.
Je ne suis pas encore sortie de la voiture que déjà je me fais aborder par un gars :
"Alexandra ? T'es en retard !"
"Hein ? Mais non, j'avais annoncé 18h30, je suis en avance"
"Ah ! Tu me files ton allume cigare pour allumer ma clope ?"
"Minute coco !"
Je connais ce gars pour l'avoir déjà rencontré au moins 2x lors de tranny parties. Il habite Bruxelles et me dit avoir fait le déplacement jusque là quand il a lu mon annonce.
Il compte sur moi pour le ramener à Bruxelles ensuite. Pas de chance, je ne compte pas rentrer chez moi tout de suite, j'ai d'autres projets pour ma 2ème partie de soirée.
Quoiqu'il en soit, me voici enfin dans le sex-shop. C'est réellement une grande boutique de plusieurs centaines de m², qui s'étend sur 2 étages et on y trouve vraiment tout ce qu'on peut imaginer pour rajouter un peu de piment dans une vie sexuelle devenue terne. Ca va des perruques aux accessoires BDSM en passant par des chaussures sexy, les DVDs, la lingerie et les joujoux, bien évidemment.
La fille à l'accueil m'apprend que l'entrée au ciné est gratuite. En voilà une bonne surprise ! Je pensais que le tarif était de 10€ par personne. Je ne vais pas me plaindre !
Je me dirige vers la porte en me demandant ce que je vais trouver de l'autre côté.
Nul doute que ma tenue éveillera le désir si, par chance, quelques coquins sont présents. Je porte un petit top noir fermé avec des agrafes sur l'avant, une mini jupe qui m'arrive au ras des fesses, un petit string, des bas auto-fixants résille à couture et mes éternels escarpins noirs à bouts ouverts. Peu de bijoux, mais j'ai troqué le petit cadenas en forme de coeur habituellement fixé à mon collier contre une laisse de bonne petite chienne.
Lorsque je franchis la porte, suivie de mon ami qui me tient en laisse, plusieurs regards se posent sur moi. J'ai de la chance, il y a du monde ! De nombreux "chasseurs", et il semblerait bien que je sois la seule proie à attraper. J'en mouille déjà !
Mon ami me mène immédiatement dans une cabine. Ces espaces ne sont vraiment pas très larges mais nous n'avons pas l'intention de nous isoler. Assis sur une banquette, il m'ordonne de lui sucer la queue. Je m'exécute et, déjà, de nombreux voyeurs sont présents. Ma jupe est relevée, offrant une jolie vue sur mon fessier tout lisse. Une main se pose sur ce dernier, des doigts tentent de me pénétrer mais je suis encore toute sèche.
"Lève-toi et écarte les jambes tout en continuant à me sucer !"
J'obéis sans traîner aux ordres donnés par celui qui joue pour l'instant le rôle de mon Maître. Dans cette position, je suis à la bonne hauteur pour permettre à qui veut de me prendre debout, sans trop de difficulté. Mais il n'y a pas encore d'amateur pour l'instant.
"Mets toi à genoux, tourne toi et suce ces messieurs !"
Je prends une bite en bouche, c'est le mec qui m'a abordée sur le parking. Il va jouir rapidement. Suivant toujours les instructions de mon complice, je reste là, à genoux, la bouche ouverte, attendant la ou les queue(s) suivante(s). Mais comme souvent, je ressens venant de ces messieurs un peu de timidité.
Alors je me lève et je me balade un peu, j'étudie le lieu. On m'a dit qu'il avait été rénové depuis ma dernière visite. J'ai beau tout inspecter, je ne trouve pas l'endroit tellement changé par rapport à ce que j'ai connu.
Mes pas me mènent dans l'une des plus grandes pièces. Sur le mur du fond, un poste télé diffuse un film porno dans lequel une jolie jeune femme joue avec 2 hommes. Je fais mine de m'intéresser à ce chef d'oeuvre du 7ème art, jusqu'à ce que je sente une main se poser sur l'une de mes fesses. L'homme qui me caresse doit avoir la cinquantaine, il est d'allure sympathique, un peu bedonnant, une petite moustache. Il déboutonne son pantalon et en extrait un sexe de taille modeste. Ca ne me fait pas peur, je sais d'expérience qu'avec un peu de savoir-faire, un petit canari peut se transformer en paon majestueux. Et de fait, après quelques minutes d'une sucette prodiguée avec beaucoup de motivation, le sexe de l'homme atteint une belle taille qu'il me plairait de sentir pénétrer entre mes fesses. Mais j'ai peut-être été un peu trop enthousiaste lors de ma fellation car l'homme semble être à 2 doigts de jouir. Je le vois faire des efforts pour se retenir alors que je viens tout juste de déballer la capote. Finalement, il parvient à calmer le jeu et je peux lui enfiler le caoutchouc avant que lui ne m'enfile autre chose. C'est sur le divan qu'on fait ça : je me mets à genoux sur le siège, mes mains agrippent le haut du dossier et je me cambre bien pour lui faciliter la pénétration. Tout se passe à merveille, mon petit trou est bientôt rempli et l'assaut de l'homme est plein de vigueur. Cerise sur le gâteau, des voyeurs sont là pour se rincer l'oeil ! Je suis en grande forme et par moments j'ai presque l'impression que c'est moi qui baise le type. Je bouge du cul, je m'empale sur le pieu, je donne le rythme, tant et si bien que je décide de me calmer un peu pour qu'il reprenne le dessus, ce qu'il fait jusqu'à ce qu'il jouisse enfin. Pendant qu'il remet un peu d'ordre dans ses vêtements, je jette un oeil alentours pour voir s'il n'y a pas d'autres amateurs mais non, apparemment j'ai affaire à de grands timides qui s'éclipsent en vitesse alors que certains semblaient pourtant très intéressés quelques minutes plus tôt. Parmi ceux-ci, un grand dadais qui me donne l'impression d'avoir poussé la porte de ce ciné sans imaginer où il allait tomber.
En passant à côté de lui, je lui murmure "tu n'as pas envie ?"
Sa réponse est immédiate : "Nooonn" avec un petit air effrayé.
S'il avait pu rajouter "Grand Dieu, non, Vade Retro Satanas !", je pense qu'il l'aurait probablement fait.
Pas grave, je continue mon chemin, je déambule dans les couloirs et je recroise mon complice auquel j'explique que je viens de prendre mon pied. "Oui oui, t'inquiète pas, j'ai tout vu !"
Oups ! C'est vrai que mis à part moi, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent pour les hommes présents ce soir. Au moins ceux qui n'abusent pas de moi peuvent regarder.
Consciente que la plupart des hommes présents sont relativement timides, je vais dans une pièce meublée d'un divan et dont un mur est percé de 2 trous, ce qu'on appelle des glory-holes. Je m'installe devant l'un des orifices et - comme par magie - un sexe fait son apparition. Là, on ne rigole plus, c'est du beau calibre, c'est un sexe de compétition qui a dû probablement remporter plusieurs prix. Je le prends en bouche et le suce mais la paroi qui nous sépare est assez épaisse et me prive du plaisir de l'avaler totalement, jusqu'à la garde. J'entends des gémissements de plaisir mais je ne peux déterminer avec certitude s'il s'agit du mec que je suce ou du type du dvd qui passe à la télé juste derrière moi. Quoiqu'il en soit, le résultat est là, je me retrouve bientôt avec une belle quantité de jus au fond de la gorge.
J'ai à peine le temps de l'avaler que voici déjà une autre queue qui fait son apparition par le trou voisin. Celle-ci aussi est épaisse et un cockring en caoutchouc en ceint la base. Une fois de plus, je suce pour donner du plaisir à l'inconnu derrière la paroi. Il apprécie puisqu'il bande de plus en plus. Il adopte une technique intéressante qui consiste à se retirer pour mieux revenir quelques secondes plus tard. Moi, je reste bouche ouverte de l'autre côté de l'orifice, et sa queue atterrit systématiquement sur ma langue pour finir entre mes lèvres puis au fond de ma bouche. Après quelques minutes de ce petit jeu, la queue disparaît pour de bon. Je ne m'en formalise pas, dans ce genre d'endroit, il arrive souvent qu'un jeu soit interrompu pour l'une ou l'autre raison. Après tout, personne n'a de compte à rendre à personne et je le mentionnais bien dans mon annonce : je viens pour donner du plaisir ce soir, pas pour en prendre.
Lorsque je me retourne, qui vois-je, assis dans le divan, en train de tout observer depuis tout à l'heure ? Le grand dadais, bien sûr !! Et voilà qu'il déboutonne son pantalon pour en laisser jaillir un sexe de belle taille et déjà en érection depuis un bon moment j'imagine. Je m'approche de lui et pose doucement mes lèvres humides sur le gland avant d'engloutir la queue dans ma bouche. Le jeune homme gémit de plaisir. Je poursuis mon "travail" et, ce faisant, je vois entrer dans l'alcôve Monsieur cockring en caoutchouc ! Il s'était éclipsé simplement pour me rejoindre de l'autre côté de la paroi. Il s'assied à côté de l'autre larron que j'ai toujours en bouche. A présent je vais alterner "pipe et branlette" chez l'un et l'autre. Les 2 hommes sont assis côte à côte, 2 inconnus qui se font sucer par une autre inconnue, soumise et obéissante, à leur service exclusif pour procurer du plaisir. Je suis à genoux, au pied du divan. Je suis concentrée sur ce que je fais mais je ne peux ignorer le contact froid de la laisse, les maillons en métal de la chaîne descendant bien plus bas que la raie de mes fesses.
A présent, les 2 hommes ont atteint le summum de l'érection, c'est le moment ou jamais de passer au stade suivant. Je fouille mon sac et en extrait un préservatif que je pose sur le divan, entre eux 2. La réaction ne se fait pas attendre et c'est "Grand Dadais", moins timide que je ne le pensais, qui se couvre le sexe avant de se lever. Je pose un genou sur le divan, l'autre genou est toujours à terre. Cette position me permet de dégager l'accès à ma petite chatte tout en continuant à sucer l'autre mec toujours assis dans le divan. Je sens la queue du jeune gars se frayer un chemin. Il me saisis aux hanches et commence à me labourer de plus en plus fort tout en me donnant de temps à autre une fessée. J'adore ce qui est en train de se passer. J'adore servir de vide couilles et être abusée par plusieurs mecs à la fois. De plus on se donne en spectacle pour de nombreux voyeurs, et ça m'excite encore plus. Le jeune homme ne pourra plus se retenir bien longtemps et il jouira en moi. Alors qu'il se retire, je suis toujours occupée à sucer l'autre homme, qui est toujours bien en érection mais qui jusque là restait totalement muet.
Le premier mot qu'il va m'adresser me fait le plus grand plaisir : "Condom !"
Voilà un mec qui sait exactement quoi dire, à qui le dire et quand le dire.
Je lui donne un préservatif et me mets en position sur le divan, pendant qu'il se relève et enfile la capote. La pénétration sera plus compliquée avec lui. Le caoutchouc le fait débander. Mais qu'à cela ne tienne, je sais comment m'y prendre pour redonner de la vigueur à une queue molle. Je la prends en bouche, après en avoir ôté le plastic mais malheureusement, malgré tout le coeur que j'y mets, rien n'y fait. L'homme ne se démonte pas, bien au contraire. Visiblement il sait ce qui l'excite et il m'invite à m'asseoir sur le divan. Une fois installée, il grimpe dessus, fléchit les genoux et introduit sa queue dans ma bouche, de manière assez brutale. Commence alors une session de "face-fucking" assez mémorable qui va me faire avoir des haut-le-coeur chaque fois que son sexe atteint le fond de ma gorge, ce qui est assez fréquent. Les larmes me montent aux yeux, c'est pas que je suis triste ou que je pleure, non, mais c'est incontrôlable, je n'y peux rien. Essayez, vous verrez ! J'essaie de ne pas penser à l'état dans lequel je dois me trouver, le mascara qui coule sûrement partout sur mes joues et je me réconforte en constatant que le pénis de l'homme est à nouveau bien dur. Nous refaisons une tentative et cette fois-ci c'est la bonne, il me prend en levrette et me baise sous les yeux de plusieurs curieux. Lorsqu'il sent qu'il débande à nouveau, je reprends position pour un nouveau face-fucking agrémenté d'une gorge profonde. Cette fois-ci je salive tellement que ça coule sur mon menton et ça dégouline entre mon cou et mon collier de soumise, qui est trempé. Tout ceci va se terminer par une éjaculation en bonne et due forme, dans ma bouche, une fois de plus. L'homme descend du fauteuil et s'éloigne pour éponger le peu de liquide visqueux qu'il a encore sur la queue. J'en profite pour faire face aux 3 ou 4 mecs qui n'ont pas perdu une miette du spectacle. Dès que mon regard se pose sur eux, ils détournent la tête ("C'est pas moi ! J'ai rien fait ! J'ai rien vu !!") pour regarder ailleurs (la télé pour les plus perspicaces, leurs chaussures pour les autres). Ca me fait bien rire, intérieurement. Vraiment tous de grands timides !
Il est grand temps pour moi d'aller faire un brin de toilette. Je constate avec surprise que l'image de moi que reflète le miroir n'est pas aussi décadente que je le pensais. Un peu de papier pour essuyer la salive sur ma gorge, un petit coup de peigne, un peu de rouge à lèvres et je suis déjà prête pour retourner dans l'arène.
Je croise la route du premier homme qui m'a prise ce soir. Il m'invite à le suivre dans une cabine. Décidément, il en redemande ! Il ferme la porte derrière moi et baisse le pantalon. Accroupie devant lui, je lui suce la queue délicatement. Je remarque du mouvement sur mon côté gauche. L'une des parois de cette cabine est percée et je vois un nouveau sexe apparaître. Une fois de plus, je vais alterner fellation et branlette entre ces 2 membres qui s'offrent à moi. La queue du mur commence à bien bander et l'idée me traverse l'esprit de la recouvrir d'une capote et de m'empaler dessus mais finalement je n'en ferai rien, préférant me concentrer sur le plaisir que je donne à l'homme qui est en ma présence. Il va jouir dans ma bouche, lui aussi. J'apprendrai par la suite qu'il avait vu l'une de mes annonces et que c'était la raison de sa visite ce soir, comme d'ailleurs le grand dadais qui avait consulté quant à lui le forum du Blue Vision.
Lorsque je sors de la cabine, je retrouve mon complice qui me dit au revoir. Il est heureux pour moi que je prenne mon pied mais il est vrai que pour un homme seul, ce soir, mis à part moi, c'est un peu désert question fesses fraîches.
A peine a-t-il franchi la porte que je me fais accoster par un nouvel homme :
"Alexandra ?"
"Ah ? Tu connais mon nom ?"
"Oui j'ai vu l'annonce".
Décidément, les annonces en pays flamand semble mieux fonctionner qu'en Wallonie !
"Que puis-je faire pour toi ?"
"Un blowjob c'est possible ?"
"Une petite pipe ? Mais bien sûr !"
Et me voilà repartie dans une cabine où je vais sucer l'une des plus étranges queues croisées au cours de ma longue carrière de libertine. Elle est courte, elle est charnue, et on a l'impression qu'il y a plusieurs couches, comme un oignon. Vraiment bizarre... Je tente de bien faire et l'homme semble avoir du plaisir, mais je ne peux pas réellement parler d'érection dans le cas présent. C'est un peu un soulagement pour moi lorsque l'homme me demande s'il peut, lui aussi, me sucer. OK, pourquoi pas, après tout. Il s'agenouille et me prend en bouche. Il fait ça assez bien, le gredin ! Je commence à bander et je le préviens de faire attention car je risque d'exploser dans sa bouche. Il continue malgré tout, me menant tout droit à la jouissance. C'est ensuite moi qui reprend du service pour lui rendre la pareille. Il faudra qu'il m'aide un peu en se branlant car il a vraiment une queue d'un modèle particulier. D'ailleurs même quand il jouit, j'ai l'impression que ça ne sort pas par devant mais par les côtés... J'arrive toujours pas à comprendre... Enfin soit...
Lorsque je sors de la cabine, je réalise qu'il y a quelques nouveaux venus mais il est déjà 20h20, ça fait 2h que je suis là et que je joue non-stop. Si je reste, je vais sûrement passer beaucoup de temps avec des bites entre les lèvres, les candidats à la pénétration étant moins nombreux.
Je pense qu'il est temps pour moi de fermer boutique pour ce soir. Après tout, je n'ai pas à me plaindre, j'ai eu mon compte et j'ai rendu heureux sûrement entre 5 et 10 hommes, sans compter ceux qui prenaient leur pied en matant le spectacle.
En tout cas, une chose qui est sûre, c'est que cette nouvelle année débute sur des chapeaux de roue et que je reviendrai très certainement plus souvent au Blue Vision !
FIN.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire
j'adore
j'adore
Tjr très sensuelle tes histoires...bravo
magnifique moi qui croyais que le Blue vision étais fermé j'irais y joué aussi tien
en tout cas superbe récit on s'y croirais
en tout cas superbe récit on s'y croirais
Bonjour Alexandra, j'aime lire ce que tu écrit,