Titre de l'histoire érotique : Bon anniversaire, mon chéri - histoire érotique

Ce soir là, mon mari et moi étions sortis dans une boîte de nuit de la région. La soirée s'annonçait très réussie. Cela faisait presque 6 mois que nous n’étions pas sorties et l’anniversaire de Nicolas, mon tendre époux, nous poussait hors de notre cocon. Après presque 5 ans de mariage et pas d’enfant, nous essayons depuis deux ans, le travail avait prit beaucoup de place dans notre vie.
Je me regardais dans la glace et je me trouvais très désirable. J’ai 30 ans, brune aux cheveux longs, assez petite, fine, une belle poitrine mais ce dont je suis la plus fière se sont mes fesses, bien ronde et ferme que j’entretiens dans un club de gym. J'étais habillée d'une minijupe en cuir, très courte pour mettre en valeur mes jambes et d'un chemisier assez transparent derrière lequel on distinguait un soutien-gorge en dentelles bien remplit. Un simple string ficelle complétait ma tenue. Le moindre de mes vêtements étaient noirs. Mon mari me voulait sexy pour son anniversaire. Il préférait me savoir offerte et disponible pour ses yeux mais aussi pour ses mains. Et moi, je lui obéissais avec un plaisir non dissimulé.
Nous avons beaucoup dansé ce soir-là et aussi beaucoup bu. Je me frottais langoureusement contre mon homme. Faut dire que j’ai l’ivresse sensuelle. Ses mains glissaient le long de mes hanches, de mon dos, de mes fesses. Parfois, protégés par l’obscurité, il remontait ma jupe et me les caressait à même la peau. Moi, je me saisissais de son sexe durcit d’excitation à travers son pantalon et le branlais doucement. Nous étions bien chauds tous les deux.
- J’ai envie de toi ma Sophie, me glissa-t-il à l’oreille.
- Viens, je vais te faire un premier cadeau.
Je le pris par la main et l’attirais vers les toilettes de filles, comme toujours il y avait une file pas possible alors on s’engouffra dans celui des garçons. Je le tirais dans une cabine. Après avoir fermé la porte, je lui dégrafais son pantalon et sortie sa queue qui avait perdu de sa fierté. Je le branlais en le regardant dans les yeux:
- Tu ne vas pas me faire ça ici quand même?
- Te faire quoi mon amour? Lui répondis-je.
- Me branler?
- Non, je vais te sucer!
Je m’agenouillais à ses pieds sans le quitter des yeux et doucement je léchais son sexe qui était de nouveau au mieux de sa forme. Je l’embouchais complètement et je commençais à le pomper très vite et en profondeur. J’étais très excité et contente de mon petit effet. Je voulais lui laisser un souvenir impérissable pour ses trente ans. Lui aussi était très exciter. Il avait posé ses mains derrière ma nuque et m’imposait son rythme, je le laissais faire. Il me dit qu’il allait jouir mais je le gardais en bouche. Je reçus alors plusieurs rasades de sa semence, j’avalais tout avec plaisir. Je n’aime pas le goût du sperme, mais je sais que ça lui fait plaisir donc je suis heureuse de tout garder. Il m’a relevé et m’a remercié par un profond baiser amoureux, partageant le goût de son jus. Après une remise en ordre de notre allure général, nous sommes repartis dans la boite.
Nous avons bu quelques verres, surtout moi pour faire passer le goût du sperme. Nous étions confortablement installés dans de profonds canapés à siroter nos verres lorsque mon mari a sympathisé avec deux garçons qui prenaient un verre à côté de nous. Pascal et Samir, il parlait de tout et de rien, je n’écoutais pas vraiment. Je me concentrais sur la musique. Ils commandèrent une bouteille de whisky pour tous les quatre. Lorsqu’une musique me plaisait, j’entraînais Nicolas sur la piste, mais je passais de plus en plus de temps à danser seule. Il n’arrêtait pas de boire. Son verre était continuellement rempli. Je ne me privais pas non plus. Sous l’effet de l’alcool, je me laissais même peloter par quelques hommes lorsque j’étais sur la piste. J’ai l’alcool sensuel, ça me rend chaude, ça me donne envie d’homme, c’est plus fort que moi.
Vers quatre heures du matin, au moment de repartir, mon mari n'était plus du tout en état de conduire et j'avoue que je n'étais pas en meilleur état que lui. Pascal nous a alors proposés de nous ramener chez nous avec notre voiture. Mon mari était déjà à moitié endormi et j'ai donc accepté son offre. Ils se sont montrés très serviables, portant mon mari jusqu'à notre voiture. Puis l'un s’est mis au volant et je suis montée à côté de lui. Son camarade nous suivait avec son propre véhicule. Les dix kilomètres que nous avions à parcourir se sont très bien passé et nous sommes rapidement arrivés chez nous.
Là, ils ont porté mon mari, qui était maintenant complètement endormi, jusque dans notre chambre et l'ont allongé sur le lit. J’ai essayé de le déshabiller, mais il était trop lourd et moi trop soûl. Revenus au salon, je les ai remerciés de leur aide et proposés de prendre un dernier verre avant de repartir. Ils ont accepté et je leur ai servi un whisky à chacun. Moi, j'avais assez bu et je n'ai rien pris. Je me suis assise en face d'eux et malgré la fatigue, j'ai bien vu qu'ils louchaient sur mes cuisses que ma minijupe couvrait à peine. Ils ont commencé à sortir des plaisanteries douteuses et je leur ai demandé de finir leurs verres et de bien vouloir me laisser car j'étais fatiguée. Je me suis levée, ils en ont fait autant. J'ai cru qu'ils allaient partir mais Samir s'est alors placé derrière moi et m'a maintenu les bras en arrière. J'ai crié, leur demandant de me lâcher. Pascal qui était devant moi m'a alors dit:
- Ce qu’on a fait mérite plus qu’un simple verre.
- Vous voulez de l’argent, combien vous voulez?
- On préfère se payer en nature, n’est ce pas Samir?
- Un peu que je préfère, elle m’a excité toute la soirée cette petite salope. Je la voyais se faire peloter par son mec et par les autres types sur la piste de danse.
- Eh! Ma petite pute, t’as fait quoi avec ton mari dans les WC? Nous aussi ont veut profiter de tes charmes.
J'ai essayé de me débattre mais celui qui se trouvait derrière moi me tenait solidement. L’autre a agrippé les bords de mon chemisier et a tiré d'un coup sec. Il s’est déchiré, découvrant mon soutien-gorge qui subit immédiatement le même sort, mettant à nus ma lourde poitrine. Puis il a remonté ma minijupe sur mes reins, glissa sa main entre mes fesses, je sentais un doigt crocheter la ficelle de mon string et d'un coup sec, l’arracher.
Ils m'ont ensuite allongée sur le canapé. A cause de l’alcool, je me débattais que très mollement, peut être l’excitation y contribuait également. Pendant que Samir me tenait toujours les bras en arrière, Pascal s'est placé entre mes jambes et a dégrafé son pantalon. Il l'a baissé ainsi que son slip, laissant voir son sexe, je devrais dire sa queue. Il avait un pénis monstrueux. Je ne pouvais détacher mon regard de cet engin hors norme. Je ne me débattais plus du tout, absorbée, fascinée par ce que je voyais. Il le frotta contre mon pubis que je garde garni, descendit sur mon clito contre lequel il écrasa sur gros gland. Il le frotta un peu, le plaisir me gagnait déjà. Il continua encore jusqu’à l’entrée de mon vagin, poussa et se retira. Il caressa ma vulve trempée avec son sexe plusieurs fois. La honte me monta aux joues, car j'avais été tellement excitée pendant les danses avec mon mari et par l’alcool que malgré moi, je me suis mise à mouiller de nouveau. J'ai écarté légèrement les cuisses et il profita de ma faiblesse pour me posséder, d'un coup lent mais puissant. Il n’avait que la moitié en moi et je me sentais rempli. Doucement, il imprima un va-et-vient terriblement jouissif.
Mon bassin s’anima de lui-même, je venais au devant de ses assauts. La monstruosité glissait dans mon vagin ruisselant. Je me laissais violer avec délice. Voyant cela, Samir m'a lâchée les bras et s'est mis à me caresser les seins dont les bouts pointaient d’excitation. Il me les titilla, les suça. Il me mordait fort les tétons puis soufflait dessus. C’était à la fois agréable et douloureux. Une nouvelle sensation pour moi. Puis il a présenté sa queue devant ma bouche, la posant sur mes lèvres, j’hésitai. Puis j’ouvris la bouche pour le laisser entrer. Je me suis mise à le sucer, à le goûter, à apprécier les odeurs fortes. La sienne était beaucoup plus fine que celle de Pascal qui butait bien au fond de mon vagin, l’étirant, le dilatant. Je la ressentais comme jamais je n’en avais ressenti d’autres. Je jouissais bruyamment.
Voyant que j'étais vaincue, ils m'ont mis à quatre pattes sur le tapis et ils se succédèrent en moi. Je savais toujours qui me pénétrait grâce à la différence de taille de leurs sexes. Quand l’un sentait qu’il allait jouir, il cédait sa place. Ce relais jouissif me procura de nombreux orgasmes, j’allais d’orgasme en orgasme. Jamais je n’en avais eu plus d’un pendant un rapport. Leurs mains s’abattaient sur mes fesses, claquant ma peau, chaque fessées déclenchait dans mon cerveau une poussée d’adrénaline et de plaisir. L’alcool et le désir m’avaient fait oublier la femme respectable et aimante que j’étais. Ils me baisaient brutalement, puis en douceur, puis de nouveau sauvagement, ils me rendaient folle de jouissance. Plusieurs fois ils m’amenèrent sur les cimes du plaisir. Alors que Samir me labourait la chatte, je sentie Pascal immiscer un doigt entre mes fesses et se poser sur mon anus. Le doigt humide massa ma petite rondelle avant de se frayer un passage. Une fois à son aise dans mon fondement, Pascal agita frénétiquement son doigt ce qui déclencha une nouvelle vague de jouissance en moi. Prenant cela pour un encouragement, le doigt sortie de mon cul et Samir se retira de mon vagin pour plaquer son sexe sur mon petit trou plissé.
Mon mari ne m’avait sodomisé que trois fois avant cela, pour ses anniversaires, je l’avais parfois laissé faire. Je n’aimais pas trop mais là, je savais que je n’aurais pas trop le choix. Il a frotté sa queue contre mes fesses puis progressivement, il m'a pénétré. Je me détendais, essayant de détendre mon petit anneau. Patiente, je sentais son sexe prendre possession en douceur de la partie que j’estime la plus intime de mon corps. Il prenait bien son temps et, contrairement à mon mari, il ne me fit pas souffrir. Sortant régulièrement pour enduire son pénis et mon anus de salive en crachant dessus ou de mouille en se replongeant dans mon minou. Revenant dans ma partie la moins lisse, il allait et venait de toute sa longueur. Le plaisir gagnait tout mon corps. Il accélérait de plus en plus, progressivement, me donnant de plus en plus de plaisir, allant jusqu’à me pilonner complètement. Je sentie ses mouvements de plus en plus désordonnés, je ne pus m’empêcher de crier ma jouissance, il se crispa, grossit en moi et balança la chaude et abondante semence au fond mon trou du cul.
Epuisée par la jouissance et la longue soirée alcoolisée, je croyais qu’ils allaient enfin partir mais Pascal me dit:
- Moi aussi je goûterais bien à ton petit trou serré ?
- Non, tu es trop gros. C’est impossible
- Avec le sperme qu’il t’a mis, ça devrait rentrer tout seul !
Je n’avais pas eu le temps de répondre que déjà je sentais son énorme gland se plaquer contre ma rondelle et forcer. Je le reçu difficilement. Cette fois, je souffrais. Il ne put mettre que la moitié de son sexe en moi. Je lui disais ma douleur mais il décida de me limer quand même un moment comme ça. Il m’écartelait trop et je sentais son envie contenue de me donner de grand coup de bite. Il sortit de mon cul et réinvestit mon vagin. De nouveau cette sensation délicieuse d’être remplie, écartelée, possédée. Il me pilonna vigoureusement. Il tapait fort dans le fond de mon vagin. Je jouissais encore très fort.
- Retire-toi pour jouir, s’il te plait, je ne prends pas la pilule, nous essayons d’avoir un enfant avec Nicolas
- Et bien moi qui voulais te balancer la purée dans la bouche, tu viens de me donner une bonne raison de tous te mettre dans ta petite chatte. Je vais t’engrosser, petite chienne.
Je lui criais qu’il ne fasse pas cela, mais Samir me tenait déjà, toujours en levrette. Pascal se mit à me baiser brutalement en m’insultant de salope, de pute, de traînée, de sac à foutre. Son sexe dilatait toujours ma petite chatte. Je le sentis enfler encore et il se plaqua très profond en moi. Son jus inonda mon vagin. J’avais la sensation de sentir son sperme envahir mon utérus, la sensation qu’une grande quantité de liquide s’écoulait en moi au rythme des spasmes qui animaient la colonne de chaire. Je ne pus réprimer un orgasme qui me secoua tous le corps, qui après m’avoir fait hurlée, tremblée et pleurée me laissa inerte comme sans vie, dans un autre monde.
Ils se rhabillèrent et quittèrent la maison rapidement sans même que je m’en aperçoive. Me laissant seule sur le tapis, les fesses en l’air, la chatte et l’anus dégoulinant de leurs spermes. Le cœur cognant fort dans ma poitrine, je crus mourir. Puis après un long moment, je me ressaisissais doucement, me relevais, vacillais, me dirigeais en titubant vers la chambre. J’étais à la fois ivre du plaisir pris, d’alcool et de colère. Dans la chambre, l’atmosphère était viciée par les relents d’alcool que mon mari expirait en ronflant. N’ayant plus assez de force, pour me doucher, je me couchais à ses côtés. Pleine de vertige, pleine d’alcool, pleine de ses autres hommes.
Je ne parlais à personne de cette aventure et surtout pas à mon mari. Je découvris un mois et demi plus tard que j’étais enfin enceinte. La petite Pascaline a aujourd’hui 1 an. Parfois, je me caresse et repense à cette soirée. Dans mes fantasmes, je rêve bien souvent que mon mari me dépose dans cette boîte de nuit et qu’une dizaine d’hommes me maltraitent et abusent de mon corps. Peut-être pour notre deuxième enfant, qui sait ?