Titre de l'histoire érotique : CATHY et MARYSE
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : CATHY et MARYSE
Cathy c’est ma femme, elle a 45 ans 1.60 m, 55kg , de très jolie seins bien fermes, des fesses bien mises en valeur et des jambes galbées. De grands yeux verts très expressifs qui vous feraient bander un impuissant. Voilà pour ma femme.
Maryse c’est son amie, elles vont faire du sport, au spectacle, au cinéma, elles sont copines, Maryse, blonde, grand yeux bleus, 165cm, 57kg, un corps musclé et ferme, à l’image de ses siens bien ronds et bien hauts.
Cette histoire a eu lieu cet été, un samedi après-midi Cathy me dit :
Je vais chez Maryse, elle doit me montrer les photos de leurs vacances et me donner des recettes pour des gâteaux pour l’anniversaire de ta mère. Tu viens me chercher vers 18h, nous sommes invités, chez ma collègue pour une soirée piscine.
Sur ces bonnes paroles, elle me fait un bisou et je la regarde partir dans sa petite robe courte et transparente en me disant elle va encore en affoler quelques un sur son passage.
Au bout d’une demie heure environ, ayant fini mon journal, ne sachant que faire je décide d’aller chez Maryse, en me disant que François fera bien une partie de boules ou de ping-pong avec moi (ils habitent dans une petite maison de ville).
Arrivé devant chez eux, je ne vois pas la voiture de François, ce n’est pas grave, je vais me faire payer une bière et profiter de leur terrasse bien agréable pour faire une petite sieste salvatrice. Je sonne et je rentre en poussant le portillon, Je m’avance dans le jardin il n’y a pas de bruit. Je ne dis rien, je vais faire peur à ces 2 dames si occupées qu’elles ne viennent même pas à ma rencontre.
C’est une maison de plein pied, doucement je passe devant chaque pièce, en espérant pouvoir les surprendre, et juste avant d’arriver au niveau du salon j’entends Cathy dire assez fort avec agacement
Ça va pas, t’es folle de me proposer ça,
Ma curiosité est avivée, je m’approche doucement, et grâce aux plantes, posées devant la fenêtre je peux voir sans être vu.
Cathy continue de parler avec énervement :
Je ne suis pas gouine, je ne vois pas pourquoi tu me proposes ça ? je n’ai aucune envie de me faire caresser par une femme, ce dois être la même chose qu’avec un homme. Alors ne me parle plus de ça.
Maryse : et bien je peux te dire que ce n’est pas tout à fait comme un homme
Cathy : parce que tu l’as déjà fait avec une femme ?
Maryse : oui et c’était bien agréable
Cathy : et tu as fait ça quand ? et avec qui ?
Maryse : au mois de juin quand je suis allée en convention nationale à Nice pour mon boulot, j’ai beaucoup sympathisé avec une jeune femme de Bordeaux, Béatrice
Cathy un peu radoucie et curieuse : et pourquoi tu ne m’as rient dit ?
Maryse : je n’ai pas osé
Cathy : ça s’est passé comment ? tu t’es laissé faire ? jusqu’où tu es allée ?
Maryse : oui, il y avait l’ambiance de vacances, la mer la chaleur, elle était charmante et charmeuse et j’ai craqué. Je me suis dit qu’il ne fallait pas mourir idiote. Donc je suis allée jusqu’au bout.
Cathy : ah bon, je ne sais plus quoi dire ni que penser
Maryse : ne dit rien et ne pense à rien, viens je vais te raconter
Sur ces mots, elle lui prend les mains et la fait assoir sur le canapé, elles sont face à face, toute près l’une de l’autre.
Maryse : écoutes moi, et elle raconte comment toute la soirée elles ont bues, rigolées, racontées leur vie.
Et au moment de nous quitter pour aller au lit, devant la porte de sa chambre elle m’a fait un bisou juste là sur le coin des lèvres et elle m’a poussé doucement dans la pièce.
Cathy : et tu n’as pas pu dire non à ce moment là et sortir ? tu n’as pas regretté après ?
Maryse : eh bien non, ses mains et sa bouche partout sur mon corps c’était merveilleux, j’ai adorée, ses baisers dans le cou et derrière l’oreille.
Tout en parlant elle avait approché son visage de celui de Cathy, elle essaya de l’embrasser sur la bouche, mais elle tourna la tête, et le baiser tomba dans le cou et derrière l’oreille de Cathy qui voulue se dégager, mais elle était coincée par l’accoudoir, elle tenta mollement de repousser Maryse qui tout en lui beccottant et lui caressant le cou continuait son récit : Béatrice me fit assoir sur son lit, elle se mit à genoux devant moi, et me caressa délicatement les jambes en partant des pieds pour remonter jusqu’aux cuisses, une foi avec les ongles une foi avec le bout des doigts, c’était magnifique. Je m’étais allongée sur le lit, et je savourais. Elle remontait de plus en plus haut, jusqu’à toucher ma culotte, qui était trempée , comme maintenant.
Cathy : Comment ça comme maintenant ?
Maryse : eh bien oui je suis toute mouillée, et j’ai très envie de toi.
Et sur ces mot elle lui prend la tête à deux mains et lui dépose un tendre baiser, sur les lèvres. Cathy les lèvres serrées essaye encore de se dégager en disant qu’elle ne veut pas faire ça. Mais Maryse tient bon, et lui murmure des mots doux, bouche contre bouche : laisse toi aller, tu verras ça va être bon, tu aimes les caresses et la douceur ?
En disant un petit oui, ses lèvres s’entrouvrent, et Maryse introduit sa langue chaude et humide. Ses mains descendent le long de son corps , lui frôlent les cuisses, passent doucement sous sa robe.
Cathy résiste encore un peu, en poussant mollement Maryse et en disant des petits non, je ne veux pas, laisse moi.
Pendant que sa main gauche remonte doucement le long des cuisses, la main droite de Maryse, déboutonne la robe au niveau de la poitrine, et commence à caresser les seins. Elle passe dans son dos dégrafe le soutien-gorge revient sur les seins, dont les bouts commencent à durcir. Cathy gémit doucement en disant : il ne faut pas,
Elle ferme les yeux, et se laisse aller en arrière.
Maryse ne perd pas de temps elle lui fait glisser sa robe et son sous vêtement, te la couvre de baisers sur le haut du corps et le visage pour finir par un baiser torride ou leurs langues et leurs salives se mélangent.
Les yeux fermés Cathy se laisse aller, elle savoure le long baiser langoureux. Elle sursaute légèrement quand la main de Maryse, passe dans sa culote pour venir lui effleurer le clitoris tout gonflé, elle écarte légèrement les cuisses pour laisser passer les doigts de son amie qui lui dit : mais tu es trempée ma salope
Cathy en lui prenant la tête pour l’embrasser lui fais moi jouir avec ta langue.
Elle s’allonge sur le canapé, se laisse enlever sa culotte, écarte les cuisses et regarde Maryse se rapprocher doucement de sa grotte en feu. Elle lui embrasse les cuisses, descend vers son pubis colle sa bouche sur le clitoris qu’elle aspire délicatement.
Cathy a les yeux fermer elle apprécie la caresse, la langue de Maryse descend le long du sexe qu’elle lèche, elle pénètre dans le vagin, ressort remonte sur le clitoris, à ce rythme là le plaisir vient rapidement, je vois les mains de Cathy se poser sur la tête de son amie en lui disant entre 2 gémissements ‘aspire mon clito fais moi jouir avec ta langue. Le mouvement s’accélère, elle respire et gémit de plus ne plus fort, se tord elle tout à coup dans un dernier sursaut et dans un cris elle jouit. Maryse continue quelques instants encore, la laisse se reprendre, puis remonte vers son visage pour l’embrasser tendrement.
En lui disant alors tu as aimé ?
Cathy rouge de plaisir et de honte lui répond oui mais je n’aurais pas cru avoir autant de plaisir.
Je bande comme un fou, et je suis stupéfait en pensant que ma femme ne veut jamais que je la lèche et qu’elle vient de jouir avec la bouche d’ une femme.
Je n’eu pas le temps de penser plus et les filles durent se rhabiller rapidement car François le mari de Maryse venait de rentrer.
Dommage j’aurais bien voulu voir ma femme lécher son amie …………… la suite plus tard
Maryse c’est son amie, elles vont faire du sport, au spectacle, au cinéma, elles sont copines, Maryse, blonde, grand yeux bleus, 165cm, 57kg, un corps musclé et ferme, à l’image de ses siens bien ronds et bien hauts.
Cette histoire a eu lieu cet été, un samedi après-midi Cathy me dit :
Je vais chez Maryse, elle doit me montrer les photos de leurs vacances et me donner des recettes pour des gâteaux pour l’anniversaire de ta mère. Tu viens me chercher vers 18h, nous sommes invités, chez ma collègue pour une soirée piscine.
Sur ces bonnes paroles, elle me fait un bisou et je la regarde partir dans sa petite robe courte et transparente en me disant elle va encore en affoler quelques un sur son passage.
Au bout d’une demie heure environ, ayant fini mon journal, ne sachant que faire je décide d’aller chez Maryse, en me disant que François fera bien une partie de boules ou de ping-pong avec moi (ils habitent dans une petite maison de ville).
Arrivé devant chez eux, je ne vois pas la voiture de François, ce n’est pas grave, je vais me faire payer une bière et profiter de leur terrasse bien agréable pour faire une petite sieste salvatrice. Je sonne et je rentre en poussant le portillon, Je m’avance dans le jardin il n’y a pas de bruit. Je ne dis rien, je vais faire peur à ces 2 dames si occupées qu’elles ne viennent même pas à ma rencontre.
C’est une maison de plein pied, doucement je passe devant chaque pièce, en espérant pouvoir les surprendre, et juste avant d’arriver au niveau du salon j’entends Cathy dire assez fort avec agacement
Ça va pas, t’es folle de me proposer ça,
Ma curiosité est avivée, je m’approche doucement, et grâce aux plantes, posées devant la fenêtre je peux voir sans être vu.
Cathy continue de parler avec énervement :
Je ne suis pas gouine, je ne vois pas pourquoi tu me proposes ça ? je n’ai aucune envie de me faire caresser par une femme, ce dois être la même chose qu’avec un homme. Alors ne me parle plus de ça.
Maryse : et bien je peux te dire que ce n’est pas tout à fait comme un homme
Cathy : parce que tu l’as déjà fait avec une femme ?
Maryse : oui et c’était bien agréable
Cathy : et tu as fait ça quand ? et avec qui ?
Maryse : au mois de juin quand je suis allée en convention nationale à Nice pour mon boulot, j’ai beaucoup sympathisé avec une jeune femme de Bordeaux, Béatrice
Cathy un peu radoucie et curieuse : et pourquoi tu ne m’as rient dit ?
Maryse : je n’ai pas osé
Cathy : ça s’est passé comment ? tu t’es laissé faire ? jusqu’où tu es allée ?
Maryse : oui, il y avait l’ambiance de vacances, la mer la chaleur, elle était charmante et charmeuse et j’ai craqué. Je me suis dit qu’il ne fallait pas mourir idiote. Donc je suis allée jusqu’au bout.
Cathy : ah bon, je ne sais plus quoi dire ni que penser
Maryse : ne dit rien et ne pense à rien, viens je vais te raconter
Sur ces mots, elle lui prend les mains et la fait assoir sur le canapé, elles sont face à face, toute près l’une de l’autre.
Maryse : écoutes moi, et elle raconte comment toute la soirée elles ont bues, rigolées, racontées leur vie.
Et au moment de nous quitter pour aller au lit, devant la porte de sa chambre elle m’a fait un bisou juste là sur le coin des lèvres et elle m’a poussé doucement dans la pièce.
Cathy : et tu n’as pas pu dire non à ce moment là et sortir ? tu n’as pas regretté après ?
Maryse : eh bien non, ses mains et sa bouche partout sur mon corps c’était merveilleux, j’ai adorée, ses baisers dans le cou et derrière l’oreille.
Tout en parlant elle avait approché son visage de celui de Cathy, elle essaya de l’embrasser sur la bouche, mais elle tourna la tête, et le baiser tomba dans le cou et derrière l’oreille de Cathy qui voulue se dégager, mais elle était coincée par l’accoudoir, elle tenta mollement de repousser Maryse qui tout en lui beccottant et lui caressant le cou continuait son récit : Béatrice me fit assoir sur son lit, elle se mit à genoux devant moi, et me caressa délicatement les jambes en partant des pieds pour remonter jusqu’aux cuisses, une foi avec les ongles une foi avec le bout des doigts, c’était magnifique. Je m’étais allongée sur le lit, et je savourais. Elle remontait de plus en plus haut, jusqu’à toucher ma culotte, qui était trempée , comme maintenant.
Cathy : Comment ça comme maintenant ?
Maryse : eh bien oui je suis toute mouillée, et j’ai très envie de toi.
Et sur ces mot elle lui prend la tête à deux mains et lui dépose un tendre baiser, sur les lèvres. Cathy les lèvres serrées essaye encore de se dégager en disant qu’elle ne veut pas faire ça. Mais Maryse tient bon, et lui murmure des mots doux, bouche contre bouche : laisse toi aller, tu verras ça va être bon, tu aimes les caresses et la douceur ?
En disant un petit oui, ses lèvres s’entrouvrent, et Maryse introduit sa langue chaude et humide. Ses mains descendent le long de son corps , lui frôlent les cuisses, passent doucement sous sa robe.
Cathy résiste encore un peu, en poussant mollement Maryse et en disant des petits non, je ne veux pas, laisse moi.
Pendant que sa main gauche remonte doucement le long des cuisses, la main droite de Maryse, déboutonne la robe au niveau de la poitrine, et commence à caresser les seins. Elle passe dans son dos dégrafe le soutien-gorge revient sur les seins, dont les bouts commencent à durcir. Cathy gémit doucement en disant : il ne faut pas,
Elle ferme les yeux, et se laisse aller en arrière.
Maryse ne perd pas de temps elle lui fait glisser sa robe et son sous vêtement, te la couvre de baisers sur le haut du corps et le visage pour finir par un baiser torride ou leurs langues et leurs salives se mélangent.
Les yeux fermés Cathy se laisse aller, elle savoure le long baiser langoureux. Elle sursaute légèrement quand la main de Maryse, passe dans sa culote pour venir lui effleurer le clitoris tout gonflé, elle écarte légèrement les cuisses pour laisser passer les doigts de son amie qui lui dit : mais tu es trempée ma salope
Cathy en lui prenant la tête pour l’embrasser lui fais moi jouir avec ta langue.
Elle s’allonge sur le canapé, se laisse enlever sa culotte, écarte les cuisses et regarde Maryse se rapprocher doucement de sa grotte en feu. Elle lui embrasse les cuisses, descend vers son pubis colle sa bouche sur le clitoris qu’elle aspire délicatement.
Cathy a les yeux fermer elle apprécie la caresse, la langue de Maryse descend le long du sexe qu’elle lèche, elle pénètre dans le vagin, ressort remonte sur le clitoris, à ce rythme là le plaisir vient rapidement, je vois les mains de Cathy se poser sur la tête de son amie en lui disant entre 2 gémissements ‘aspire mon clito fais moi jouir avec ta langue. Le mouvement s’accélère, elle respire et gémit de plus ne plus fort, se tord elle tout à coup dans un dernier sursaut et dans un cris elle jouit. Maryse continue quelques instants encore, la laisse se reprendre, puis remonte vers son visage pour l’embrasser tendrement.
En lui disant alors tu as aimé ?
Cathy rouge de plaisir et de honte lui répond oui mais je n’aurais pas cru avoir autant de plaisir.
Je bande comme un fou, et je suis stupéfait en pensant que ma femme ne veut jamais que je la lèche et qu’elle vient de jouir avec la bouche d’ une femme.
Je n’eu pas le temps de penser plus et les filles durent se rhabiller rapidement car François le mari de Maryse venait de rentrer.
Dommage j’aurais bien voulu voir ma femme lécher son amie …………… la suite plus tard
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire bien écrite, qui me rappelle ma première fois avec mon Amie de plus de 20 ans, elle avait 55 ans et 60.Nos maris ne s'intéressaient plus
a nous et un jour en essayant une robe ,j'avais un boxer et un soutien-gorge couleur saumon mon amie Evelyne me trouva superbe , elle s'approcha
me fit un baisé très près de mes lèvres un frisson parcouru mon bas ventre,et sa main passa sur mon sein puis arriva dans mon boxer!Depuis j'ai appris a lui sucer sa jolie chatte.Bises a toutes les femmes.
a nous et un jour en essayant une robe ,j'avais un boxer et un soutien-gorge couleur saumon mon amie Evelyne me trouva superbe , elle s'approcha
me fit un baisé très près de mes lèvres un frisson parcouru mon bas ventre,et sa main passa sur mon sein puis arriva dans mon boxer!Depuis j'ai appris a lui sucer sa jolie chatte.Bises a toutes les femmes.