Titre de l'histoire érotique : Cathy se fait baiser au bureau
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Cathy se fait baiser au bureau
Cathy et moi sommes mariés depuis 20 ans et nous avons 2 grands fils.
Cathy a 48 ans, 160 cms, 58kg, de grands yeux verts, c’est une très jolie femme.
Moi je m’appelle Alain, j’ai 53 ans, 170, avec quelques rondeurs.
Elle travaille dans un bureau, entourée d’hommes, plus âgés. Je lui dis quand elle s’habille un peu trop sexy, qu’elle va provoquer des malaises dans le service.
Elle me répond tu parles ils ne regardent pas une vieille comme moi, ils préfèrent les jeunes.
Mais je sais très bien, qu’un grand nombre aimerait bien la baiser.
Le 01/01/2014, tôt le matin après une nuit de fête, bien arrosée, nous sommes nus au lit, nous sommes enlacés, nos bouches sont collées, je sens la chaleur de son corps, elle est prête à me recevoir. Le problème c’est que je n’arrive pas à bander, la fatigue, l’alcool, je suis tout mou.
Je lui propose en m’excusant de prendre un toy, ou ma langue, mais elle refuse en me disant moi je vais te faire bander, puis elle me tourne le dos en me disant de l’écouter.
Je vais te raconter, ce qui m’est arrivé au boulot au mois de septembre, j’espère que tu ne m’en voudras pas. Ce n’est pas parce que c’est arrivé une fois, que ça se reproduira, et sache que je t’aime toujours.
Donc fin septembre, je suis restée, 3 soirs tard au bureau, car mon collègue Serge, partait en retraite, et comme je reprenais son secteur, il devait me montrer ses dossiers
Moi : Serge c’était le grand sec, vieux garçon qui avait au moins 100 ans ?
Cathy : il avait 65 ans, il était veuf depuis 10 ans, d’ailleurs il est parti vivre avec sa fille en Australie.
Tu me laisses parler ? ou alors j’arrête et je dors.
Moi : non, non je suis toutes ouïes, et je me colle contre son dos.
Cathy : le dernier soir, j’avais mis ma robe en jean, un peu courte, qui se boutonne, par devant avec des pressions et des chaussures à talon. Il était assis à son bureau, et moi penchée, juste à côté de lui entrain de consulter un dossier.
Tout à coup, je sens une légère pression sur mon mollet, puis une douce caresse. La main remonte le long de ma jambe, derrière le genou, la cuisse, s’arrête à la limite de ma robe, et redescend.
Je n’ose bouger, je sais que je devrais, lui dire d’arrêter, me relever et partir, mais je ne fais rien de tout ça. Bien au contraire, sous la caresse je soupire d’aise, ça l’encourage, sa main remonte maintenant sous ma jupe, toujours aussi douce. Elle passe sur ma cuisse, viens palper mes fesses, repart, revient, passe à l’intérieur de mes cuisses, pour venir m’effleurer, le sexe à travers ma culotte.
Je me penche en avant, ma tête repose sur mes avant-bras, et j’écarte légèrement les jambes pour permettre à sa main (qui revient sous ma robe) de passer plus facilement.
La pression sur mon sexe est plus forte, il me masturbe à travers le tissu. Je sens son pouce, forcer mon vagin, pendant qu’avec 2 doigts il frotte mon clitoris. Je suis trempée.
Sa main ne retourne pas sur ma jambe, son pouce écarte la dentelle longe ma raie et vient me pénétrer d’un coup. Je pousse un petit crie de surprise et de plaisir. Ses doigts sont aussi passés sous le tissus, ils jouent avec mon bouton, je sens mon plaisir monter au même rythme que ce pouce qui me lime. D’un seul coup je jouis, très fort dans un râle contenu, en serrant les cuisses comme pour retenir cette main si habile.
Il sourit en me demandant de lui rendre sa main, je ris en n’écartant les jambes, dans le même temps je me retourne et m’appuie au bureau.
Nous n’osons pas nous regarder, il se lève, il me prend le menton, relève ma tête, et pose un baiser sur mes lèvres, puis un autre plus appuyé. Je ne réponds pas, je me laisse faire. Je viens de jouir, je dois partir, mais encore une fois mon corps me trahi.
Il met une main sur mon cou, et sa langue force ma bouche, je ne réagis toujours pas. Sa main libre dégrafe d’un geste brusque ma robe ; elle descend sur mon sexe, arrache ma culotte. Sa bouche quitte ma bouche, passe derrière mon oreille, sur mon cou, descend sur mes seins, qu’il fait sortir du soutien-gorge sans le détacher. Je gémis, je savoure ses baisers. Il repart pour venir poser sa bouche sur mon sexe. Je suis maintenant allongée sur le bureau, les jambes pendantes, offerte. Et cette bouche, cette langue qui va, qui vient, qui rentre, qui sort, qui lèche, qui aspire, je vais jouir une deuxième fois. J’appuie avec mes mains sur sa tête, et je repars dans un cri rauque et prolongé.
Je ne suis pas remise qu’il se lève, déboutonne son pantalon, baisse son slip, laissant apparaître un sexe pas très long mais très large, il me prend par les hanches et me pénètre brutalement.
Je me sens remplie, il ressort doucement et rentre violement, et il fait ça de plus ne plus vite, de plus en plus fort. Il a relevé mes jambes, et il me pénètre profondément, je sens ses couilles taper contre mes fesses. Il va de plus en plus fort,
Il gémit, grimace, me dit qu’il va jouir au fond de moi.
Moi aussi je sens l’orgasme venir, j’écarte les cuisses encore plus, je lui dis que j’aime comme il me défonce et me lime que je vais jouir.
Dans un dernier sursaut il me dit qu’il ne tient plus qu’il jouit dans ma chatte de salope bien chaude
Moi je sens sa semence bien chaude inonder mon vagin au moment de mon orgasme tellement fort que je suis comme ko.
Nous restons sans bouger lui au fond de mon sexe, et moi les cuisses toujours ouvertes au moins 2 minutes.
Puis il se retire, en douceur, je sens mon plaisir et son sperme coulés le long de mes fesses. Il se penche, m’embrasse tendrement et me dit : j’aimerais que tu me nettoies avec ta bouche.
Il me tire par les mains, me fait mettre à genou et me présente sa bite, encore bien dure, mais toute luisante. Je la prends en bouche en me disant que je lui dois bien ça. Je la lèche de haut en bas et de bas en haut. Je m’attarde sur le gland que je serre avec mes lèvres. Récupère avec ma langue les dernières goutes. Au bout de quelques minutes le ménage terminé, je me relève, l’embrasse tendrement, me rhabille. Et je pars sans un regard pour lui
Je l’entends me dire MERCI
Ensuite nous n’en avons jamais parlé et il est parti.
Je suis muet, toujours collé à ma femme.
Elle se retourne, me regarde me demande si ça va
Je lui dis que je suis un peu ko par son récit
Elle me répond ko peut être mais avec une sacrée érection
Je n’avais même pas remarqué que je bandais
Aller baises moi dit elle en se mettant sur le dos et en écartant les cuisses, je m’allonge sur elle, l’embrasse et la pénètre d’un seul coup elle est trempée. Je la défonce comme une bête.
Nous avons vraiment bien commencé 2014
Cathy a 48 ans, 160 cms, 58kg, de grands yeux verts, c’est une très jolie femme.
Moi je m’appelle Alain, j’ai 53 ans, 170, avec quelques rondeurs.
Elle travaille dans un bureau, entourée d’hommes, plus âgés. Je lui dis quand elle s’habille un peu trop sexy, qu’elle va provoquer des malaises dans le service.
Elle me répond tu parles ils ne regardent pas une vieille comme moi, ils préfèrent les jeunes.
Mais je sais très bien, qu’un grand nombre aimerait bien la baiser.
Le 01/01/2014, tôt le matin après une nuit de fête, bien arrosée, nous sommes nus au lit, nous sommes enlacés, nos bouches sont collées, je sens la chaleur de son corps, elle est prête à me recevoir. Le problème c’est que je n’arrive pas à bander, la fatigue, l’alcool, je suis tout mou.
Je lui propose en m’excusant de prendre un toy, ou ma langue, mais elle refuse en me disant moi je vais te faire bander, puis elle me tourne le dos en me disant de l’écouter.
Je vais te raconter, ce qui m’est arrivé au boulot au mois de septembre, j’espère que tu ne m’en voudras pas. Ce n’est pas parce que c’est arrivé une fois, que ça se reproduira, et sache que je t’aime toujours.
Donc fin septembre, je suis restée, 3 soirs tard au bureau, car mon collègue Serge, partait en retraite, et comme je reprenais son secteur, il devait me montrer ses dossiers
Moi : Serge c’était le grand sec, vieux garçon qui avait au moins 100 ans ?
Cathy : il avait 65 ans, il était veuf depuis 10 ans, d’ailleurs il est parti vivre avec sa fille en Australie.
Tu me laisses parler ? ou alors j’arrête et je dors.
Moi : non, non je suis toutes ouïes, et je me colle contre son dos.
Cathy : le dernier soir, j’avais mis ma robe en jean, un peu courte, qui se boutonne, par devant avec des pressions et des chaussures à talon. Il était assis à son bureau, et moi penchée, juste à côté de lui entrain de consulter un dossier.
Tout à coup, je sens une légère pression sur mon mollet, puis une douce caresse. La main remonte le long de ma jambe, derrière le genou, la cuisse, s’arrête à la limite de ma robe, et redescend.
Je n’ose bouger, je sais que je devrais, lui dire d’arrêter, me relever et partir, mais je ne fais rien de tout ça. Bien au contraire, sous la caresse je soupire d’aise, ça l’encourage, sa main remonte maintenant sous ma jupe, toujours aussi douce. Elle passe sur ma cuisse, viens palper mes fesses, repart, revient, passe à l’intérieur de mes cuisses, pour venir m’effleurer, le sexe à travers ma culotte.
Je me penche en avant, ma tête repose sur mes avant-bras, et j’écarte légèrement les jambes pour permettre à sa main (qui revient sous ma robe) de passer plus facilement.
La pression sur mon sexe est plus forte, il me masturbe à travers le tissu. Je sens son pouce, forcer mon vagin, pendant qu’avec 2 doigts il frotte mon clitoris. Je suis trempée.
Sa main ne retourne pas sur ma jambe, son pouce écarte la dentelle longe ma raie et vient me pénétrer d’un coup. Je pousse un petit crie de surprise et de plaisir. Ses doigts sont aussi passés sous le tissus, ils jouent avec mon bouton, je sens mon plaisir monter au même rythme que ce pouce qui me lime. D’un seul coup je jouis, très fort dans un râle contenu, en serrant les cuisses comme pour retenir cette main si habile.
Il sourit en me demandant de lui rendre sa main, je ris en n’écartant les jambes, dans le même temps je me retourne et m’appuie au bureau.
Nous n’osons pas nous regarder, il se lève, il me prend le menton, relève ma tête, et pose un baiser sur mes lèvres, puis un autre plus appuyé. Je ne réponds pas, je me laisse faire. Je viens de jouir, je dois partir, mais encore une fois mon corps me trahi.
Il met une main sur mon cou, et sa langue force ma bouche, je ne réagis toujours pas. Sa main libre dégrafe d’un geste brusque ma robe ; elle descend sur mon sexe, arrache ma culotte. Sa bouche quitte ma bouche, passe derrière mon oreille, sur mon cou, descend sur mes seins, qu’il fait sortir du soutien-gorge sans le détacher. Je gémis, je savoure ses baisers. Il repart pour venir poser sa bouche sur mon sexe. Je suis maintenant allongée sur le bureau, les jambes pendantes, offerte. Et cette bouche, cette langue qui va, qui vient, qui rentre, qui sort, qui lèche, qui aspire, je vais jouir une deuxième fois. J’appuie avec mes mains sur sa tête, et je repars dans un cri rauque et prolongé.
Je ne suis pas remise qu’il se lève, déboutonne son pantalon, baisse son slip, laissant apparaître un sexe pas très long mais très large, il me prend par les hanches et me pénètre brutalement.
Je me sens remplie, il ressort doucement et rentre violement, et il fait ça de plus ne plus vite, de plus en plus fort. Il a relevé mes jambes, et il me pénètre profondément, je sens ses couilles taper contre mes fesses. Il va de plus en plus fort,
Il gémit, grimace, me dit qu’il va jouir au fond de moi.
Moi aussi je sens l’orgasme venir, j’écarte les cuisses encore plus, je lui dis que j’aime comme il me défonce et me lime que je vais jouir.
Dans un dernier sursaut il me dit qu’il ne tient plus qu’il jouit dans ma chatte de salope bien chaude
Moi je sens sa semence bien chaude inonder mon vagin au moment de mon orgasme tellement fort que je suis comme ko.
Nous restons sans bouger lui au fond de mon sexe, et moi les cuisses toujours ouvertes au moins 2 minutes.
Puis il se retire, en douceur, je sens mon plaisir et son sperme coulés le long de mes fesses. Il se penche, m’embrasse tendrement et me dit : j’aimerais que tu me nettoies avec ta bouche.
Il me tire par les mains, me fait mettre à genou et me présente sa bite, encore bien dure, mais toute luisante. Je la prends en bouche en me disant que je lui dois bien ça. Je la lèche de haut en bas et de bas en haut. Je m’attarde sur le gland que je serre avec mes lèvres. Récupère avec ma langue les dernières goutes. Au bout de quelques minutes le ménage terminé, je me relève, l’embrasse tendrement, me rhabille. Et je pars sans un regard pour lui
Je l’entends me dire MERCI
Ensuite nous n’en avons jamais parlé et il est parti.
Je suis muet, toujours collé à ma femme.
Elle se retourne, me regarde me demande si ça va
Je lui dis que je suis un peu ko par son récit
Elle me répond ko peut être mais avec une sacrée érection
Je n’avais même pas remarqué que je bandais
Aller baises moi dit elle en se mettant sur le dos et en écartant les cuisses, je m’allonge sur elle, l’embrasse et la pénètre d’un seul coup elle est trempée. Je la défonce comme une bête.
Nous avons vraiment bien commencé 2014
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire sublime
Je verrai bien ma femme à la place de Cathy et moi en gentil mari cocu ... et excité par ses récits
Je verrai bien ma femme à la place de Cathy et moi en gentil mari cocu ... et excité par ses récits