Titre de l'histoire érotique : Chacun son tour... 1/2 - histoire érotique

Je me souviens de cet après-midi comme si c’était hier, des images me hantent et pourtant c’est moi l’instigatrice de ce qui s’est passé sur cette plage au mois de mai
Spécialement excitée ce jour-là sans savoir pour quelle raison, ça m’arrive peu souvent ! j’ai convaincu Adrien d’aller sur une plage mi naturiste mi textile, peu fréquentée en cette période de l’année, il fait beau, l’océan est calme bien que très retire en raison de la marée basse, dès que nous nous somment allongés sur notre grande natte je suis devenue chatte, agaçant Adrien en lui pinçant les tétons passant mes doigts entre la toison frisée de son torse, avec mon genou je le sentais tout près de l’érection quand un couple est venu s’installer à vingt mètres de nous alors que la plage est vide , notre déception a été de courte durée lorsque la femme a peine arrivée a fait passer sa robe par-dessus sa tête découvrant un corps gracile entièrement nu, son compagnon a fait de même, lui aussi nullement embarrassé de slip, sous son short un sexe lourd prometteur d’un bon calibre en état de fonctionner !
J’ai donc repris ou continué mes attouchements sur Adrien un peu gêné mais son instinct de mâle reprend vite le dessus et je le soupçonne de vouloir se ‘montrer’ en condition ‘avantageuse’ devant cette femme, son sexe bloqué sous mon genou devient raide, peu importe ! tu veux jouer ? soit …je dépose une noisette de crème solaire au creux de ma paume

- Ingrid ? tu es folle ? il y a des gens tous prés
- Et alors ? ils n’avaient qu’à aller ailleurs, dis-moi que ma main sur ta bite ne te fait pas de bien ?
- Alors laisse là plaquée sur mon ventre, t’es une vraie chienne aujourd’hui !
- J’ai envie de faire n’importe quoi, cet après-midi je suis prête à tout !
- Laisse-moi deviner ? te faire sauter par ce beau spécimen ?
- Pas forcément … elle ne te plait pas la dame ??
- Il faudrait être difficile … je bande comme un taureau chérie
- Tu penses à elle ?
- Qui sait ? mais c’est toi qui va y passer dans peu de temps
- Où-ça ?
- Là-bas dans l’eau, il n’y a pas une vague, idéal pour baiser debout !
- Touche ma chatte elle est trempée…
- Nous allons passer pour des exhibitionnistes ?
- Embrasse-moi …
Comme si nous étions seuls au monde mais certainement épiés par nos voisins Adrien me roule une pelle d’enfer tandis que ses doigts pianotent sur et dans ma motte liquéfiée, des bribes de conversation portées par le vent parviennent à mes oreilles
- Ils sont gonflés ces deux-là …
- Moi je trouve ça beau chérie, nous devrions en faire autant
- Pas question de me donner en spectacle
- Je croyais que nous étions venus pour ça ? zuuuut ! putain de téléphone … allo ? oui …quoi ? maintenant ? ah bon ? OK j’arrive
- Qu’y-a-t-il chéri ?
- Je dois retourner sur le chantier, reste ici je reviens te chercher à dix-sept-heure
- Ici ? toute seule ?
- Tu es en sécurité auprès de ce couple
- Tu crois ??
- j’y vais, a tout-a-l ‘heure Diana
- Revient vite Bruno …
L’homme rhabillé parle a l’oreille de la femme qui fait non de la tête et finit par acquiescer, en hâte il quitte la plage en courant, déçue de ne plus être le centre d’intérêt du mari je ne baisse pas les bras pour autant, je décide de faire délirer la femme, je m’arrache a l’étreinte d’Adrien et de me retourner afin de prendre sa queue en bouche, par la même occasion de lui offrir ma chatte à brouter, après avoir hésité il se décide à lécher mon abricot, sans interrompre ma pipe magistrale j’essaie de voir les réactions de la jeune femme devant un tel spectacle, tournée vers nous en chien de fusil, une main cachée entre ses cuisses serrées, de là à imaginer qu’elle se touche discrètement le mimi il n’y a qu’un pas , , mon envie de cul est loin d’être retombée

- Adrien ? suis-moi
- Où ça ? je commençais à apprécier le cuni et toi aussi si j’en juge ta lubrification
- Allons dans l’eau et promet moi de faire ce que je te dirais
- OK, c’est bien mystérieux tout ça !
- Retourne-toi discrètement et dis-moi ce que fait la femme ?
- MERDE ! elle nous suit
- Biiieeeennnn, tu vas la baiser mon chéri
- Quoi ? et tu ne te rebifferas pas ?
- J’ai envie de te voir avec cette nana, arrête-toi lorsque tu auras de l’eau à ras la queue
- Voilà … elle arrive vers nous lentement
- Je vais me mettre derrière toi pour t’astiquer le manche, ne lâche pas son regard
- Salaud, tu es bien raide, ça t’excite hein ? que fait-elle ?
- Elle s’est arrêtée et fait semblant de chercher quelque chose dans le sable
- Siffle là discrètement
- Pssssssttt … PSSSSSSSITTT !! bonjour …
- Bonjour …
- Vous pouvez vous approcher si vous le désirez
- J’ai peur …
- Peur de ça ? ce n’est qu’une verge
- J’ai peur de déranger
- Venez-venez … approchez-vous, vous êtes très jolie, votre mari est reparti ?
- Hélas oui, mais il va revenir dans un moment
- Voulez-vous poser votre main à côté de celle de ma femme ?
- Sur votre verge ?
- Oui …
- Vous êtes très un couple très libre !
- Y ’a de ça ! allez n’hésitez plus, je sens que vous en mourrez d’envie
- Effectivement mon mari m’a demandé de me joindre à vous le cas échéant
- Alors branle-moi
- Allez y madame, aidez-moi a masturber mon mari
- Si votre femme est d’accord c’est différent…
- Hhhhhaaaaaaaaaooooooouuuuuuiiiiiii ! astiquez-moi la bite mes cochonnes, écarte les cuisses que je touche ta choupinette
- Vous allez la trouver bien mouillée …
- C’est ainsi que je les adore,
- Ça vous dirait de vous faire pénétrer ?
- Ici ? dans l’eau ?
- Nous pouvons aller un peu plus loin afin de dissimuler nos ventres dans les vagues
- J’avoue être tentée par la belle verge de votre mari
- Avancez encore, Adrien ? enlace cette femme et fléchit les genoux, je vais guider ta queue, tu sauras quand te redresser
- Baisez-moi, je raconterais à mon mari comment ça s’est passé ! ça va le faire bander, il m’enfoncera sa grosse pine dans le con encore ouvert !
- Et gluant, car je vais décharger dedans
- Vous me prenez sans capote ?
- J’en ai pas ! , attention je vais t’embrocher … hhhhhaaaaaaann ! prend çaaaaaaaaaaaaaaa !
- OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii !
C’est ainsi que j’ai assisté à l’adultère consenti de mon époux, il a mis tout son cœur et toute son énergie pour baiser cette belle inconnue et la faire jouir, des vagues d’eau surgissaient entre les deux corps, sur le moment j’ai pris mon pied moi aussi , le soir même il m’a honorée plus fort qu’à l’accoutumée… je suis certaine qu’il pensait encore à ‘l’autre’, avec le recul plus ça va plus je m’en mords les doigts …

Je sens que depuis cet après-midi scabreux sur cette plage Ingrid est de plus en plus triste, bizarre, distante, d’accord au début elle doit s’en vouloir de mon incartade, j’avoue repenser a cette chatte serrée sur ma trique, même si c’est elle qui l’a voulu, je dois faire quelque chose pour me rattraper, je me souviens avoir entendu parler de chantier, je vais faire tous les chantiers de la ville !
Le hasard faisant bien les choses je l’aperçois derrière un grillage casque se sécurité sur le crâne, je l’ai sifflé a plusieurs reprises, il semblait ne pas me reconnaitre, à force d’insister il a fini par s’approcher du grillage
- Que voulez-vous ? j’ai du boulot
- Vous me reconnaissez ?
- Non… ??
- L’autre après-midi sur la plage ? un couple naturiste prés de vous ….
- HA ?.... HAAAAAA !!!! c’’est donc vous qui avez pris ma femme dans l’eau ?
- Exactement, vous m’en voulez ?
- Pas le moins du monde, je me doutais que ça finirait ainsi, Diana était radieuse, je l’ai baisée sur le sable après lui avoir léché la craquette dégoulinante de votre sperme, que voulez-vous ? la revoir ?
- Non-non, à moins que vous le désiriez ?
- Pas spécialement, ceci dit je vais faire bosser mes ouvriers, salut !
- ATTENDEZ !!!!! j’ai envie que vous fassiez la même chose à ma femme
- HEIN ???
- Je veux que vous baisiez Ingrid, rien que vous et elle
- Où ça ?
- Vous avez bien un ‘cabanon- bureau’ ?
- C’est que je suis très pris … ou alors entre midi et deux ?
- Ça marche ! quand ?
- Demain ?
- OK, je vais la décider
- Je ne veux pas d’embrouille, elle et d’accord ou non ?
- Elle est d’accord mais elle ne sait pas encore que c’est pour demain !
- Demain douze heures trente près de la grille, je la ferais entrer discrètement a cause des ouvriers aux abois sexuellement qui voudraient bien la sauter aussi !!
- Ah non ! rien que vous OK ?
- OK, je plaisantais ! à demain
Il ne me reste plus qu’à convaincre Ingrid …
A SUIVRE ….