Titre de l'histoire érotique : Cherche locataire ...Homme
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Cherche locataire ...Homme
Depuis que j’ai été dépucelée par un oncle a dix-sept ans je ne peux concentrer mon amour sur un seul homme, pourtant mariée j’adore affoler les gars, mais pas n’importe quels gars, pas celui propre sur lui, gominé, imbu de sa personne, qui croit que la femme est un objet lui appartenant et n’a qu’à claquer des doigts pour se faire sucer, baisser la culotte juste ce qu’il faut pour qu’il puisse se soulager et repartir la tête et les couilles vides !
Non, je cherche un homme pas spécialement beau, ‘effacé, timide’, qui n’a pas de chance avec la gente féminine, celui qui n’en croira pas ses yeux lorsque je lui dévoilerais par ‘inadvertance’ un décolleté vertigineux ou mon fond de string et qui hésitera à me baiser malgré mes encouragements discrets, je sais que celui-là me donnera tout ce que j’attends pour laisser éclater une jouissance sans égale avec celle que la modeste queue de mon mari me procure, il en est conscient et se doute que je comble mes désirs à l’extérieur , du moment que je tiens la maison correctement et que je ne refuse pas à lui ça lui suffit !
Rien que d’en parler des bouffées de chaleurs irradient mon bas-ventre, ça fait un mois que je ne suis pas ‘sortie des clous’, mon terrain de chasse favorite ? très banal, c’est en travaillant que je débusque celui qui me fera vibrer le temps d’une visite d’appartement, effectivement je travaille dans une agence immobilière, je me suis spécialisée dans la location-vente d’appart et studios meublés
La plupart de mes clients sont des célibataires qui suivent leur boulot ou en instance de divorce et cherchent un deux pièces au maximum, lors du premier entretient au bureau ma chatte sait reconnaitre celui qui pourra le mieux la fourrer, elle me le fait savoir en évacuant une bulle liquide au fond de ma petite culotte, aussi pour le rendez-vous de visite je mets toutes les chances de mon côté, j’arrive en avance au studio et commence par ôter le soutien-gorge qui comprime mes seins, justement aujourd’hui j’attends un homme de quarante-six ans Julien D. en instance de divorce, baraqué comme un rugbyman, a son regard sur moi j’ai ressentis son manque de sexe et serait susceptible de me ‘pécho’
Le studio en question est composé d’une grande pièce comprenant un petit lit de cent-vingt, cependant équipé d’un très bon matelas, coin cuisine, table fixée au mur, deux chaises et d’un cabinet de toilette douche- WC, une fenêtre amène seulement de la lumière mais pas de panorama a couper le souffle car a quatre mètres c’est un mur d’usine gris, pas de quoi vous remonter le moral ! seule consolation, le prix est raisonnable
J’attends fébrilement, un peu comme une fille de joie attend son client ! le tissu de mon corsage qui frotte sur ma poitrine fait dresser mes tétons, immanquablement un œil exercé devine la liberté de mes seins, ha, enfin le voilà, je vais ouvrir …
- Bonjour monsieur D. entrez je vous en prie
- Bonjour madame, alors c’est le fameux studio ?
- Oui..., un vrai petit nid d’amour, il est très fonctionnel !
- C’est vrai, du lit je pourrais presque éteindre le gaz ! je plaisante, de toute façon je n’ai pas le choix ?
- Je n’ai que celui-ci pour l’instant
- On peut ouvrir la fenêtre ?
Quand il me parle il s’adresse à mon décolleté pour le moins généreux, il faut que je trouve très vite le moyen de l’accaparer, j’ouvre la fenêtre et me penche à l’extérieur faisant ainsi ressortir mon postérieur, il s’approche pour voir dans la rue, intentionnellement je ne lui laisse pas la place il est obligé de venir de côté se coller à moi, je peux vous dire que le paquet, encore au repos, qui s’écrase sur ma hanche c’est du lourd ,prometteur d’une bonne partie de cul, il est conscient de sa proximité et ne se prive pas de se frotter sur moi
- Bon, je me contenterais de cette vue
Je ne sais pas s’il parlait de la rue ou de mes seins, il est temps de porter l’estocade…
- Dans tout ça il faut retenir le meilleur, vous pouvez vous balader en petite tenue chez vous sans risquer de choquer les voisins !
- C’est vrai vu que ça m’arrive souvent … mais excusez-moi madame je vous écrase !
- Ce n’est pas désagréable … houlà ! j’ai une soudaine envie pressante, je vais aux WC et je reviens
- Faites …
Ce n’est pas l’épaisseur de la cloison en carton et celle de la porte qui masque le chuintement caractéristique de l’urine au passage de mes lèvres pour vite se transformer en chute du Niagara directement dans l’eau de la cuvette, je me surprend à penser que j’aurais aimé qu’il soit genoux devant moi et tende sa main entre mes cuisses afin que je pisse entre ses doigts fourrés dans ma fente …
j’ai beau tourner la tête autour de moi, pas de papier hygiénique … il n’y a plus qu’une solution qui en fait m’arrange, je quitte ma petite culotte pour essuyer ma touffe garnie de gouttelettes iodées et mes lèvres maculées de mouille, volontairement je laisse mon sou vêtement au pied de la cuvette et rajuste ma jupe, j’ouvre la porte sans la refermer ,mon client juste en face regarde incrédule ce petit chiffon bleu électrique qui git sur le carrelage, son regard va de ma culotte à mon ventre, il doit penser : ‘elle est vraiment à poil ? ‘ un peu rouge je tente de me justifier …
- Excusez-moi mais il n’y a pas de papier alors j’ai paré au plus pressé, je la prendrais en partant, avez-vous testé le matelas ?
- Non, je vous attendais …
- Regardez-moi cette souplesse à la fois moelleuse et dure, juste comme il faut pour passer de bonnes nuits torrides avec une petite copine
Je me laisse tomber assise sur le bord du lit, le matelas accuse à peine mes cinquante kilos !
- Venez tester vous aussi !
- D’accord ….
Lorsque ses quatre-vingt-dix kilos atterrissent je perds l’équilibre et fais un bond, je me retrouve sur le dos jambes pendantes, les pieds écartés de cinquante centimètres, ma jupe a mis cuisses, la pomme d’Adam de l’homme remonte à trois reprises, je n’ose et surtout ne veux plus bouger … ses yeux regardent mon entre jambe il se dit sans doute que s’il se penchait il pourrait voir ma chatte, puis il rive ses yeux perçant dans les miens, je ne peux soutenir ce test alors je les ferme … une main enfonce le matelas prés de ma tête, un genoux frôle le mien, une autre main se pose sur ma cuisse et remonte entrainant ma jupe vers le haut ,je soupire d’aise, je vais enfin me faire baiser !
- Ne bouge pas, je vais te satisfaire puisque c’est ça que tu veux
- Mmmmuuuuuummmmmmm…
- Ta moule est trempée, tu me fais bander
- Mmmmuuuuuummmmmmm …
- Ouvre-toi davantage …
- Mmmmmuuuuummmmmm …
- T’as raison, ne dit rien popaul va te perforer les entrailles
- Bouffe-moi avant …
- OK mais pas de frais d’entrée ?
- Accordé …
Il se laisse glisser au sol, ses grosses paluches écartent mes cuisses autant que ma souplesse le permet, sa barbe naissante de mec viril gratte l’intimité de mes lèvres entrebâillées, heureusement sa langue agile fait vite oublier cet inconvénient, mes cuisses serrées sur ses oreilles et mon bas-ventre accompagne le cuni bienfaiteur, il boit à ma source comme s’il sortait du désert, un cri spontané et ultime coup de bassin lui signale ma jouissance, il se retire le visage barbouillé ne sachant quelle suite à donner, reconnaissante je me rassois et m’en prend à sa ceinture de pantalon, il m’aide autant qu’il le peut afin de libérer sa monstrueuse érection, un dard décalotté bat nerveusement la mesure juste devant mes yeux , pour le maitriser il me faut les deux mains !
J’avale goulument un bout de ce trophée suintant qu’il accompagne de légers coups de reins, mes mains font rouler les testicules poilus, un de mes doigts va même jusqu'à s’aventurer vers son anus, surpris ? excité par cette caresse inattendue ou inconnue ? j’ai à peine enfoncé une phalange qu’il décharge dans ma gorge en grommelant des mots obscènes, je relevé les yeux vers lui et me laisse retomber jambes largement ouvertes, le message est passé, en catastrophe il se débarrasse de ses vêtements et viens me recouvrir de son corps imposant prenant soin de ne pas m’écraser, près de ma matrice sa verge raide bat la chamade, habilement je me positionne essayant de m’embrocher moi-même sur cet ergot qui rebique vers le haut
- Baise-moi julien… perfore mon con jusqu’aux couilles
- Ma bite va te ressortir par la bouche espèce d’allumeuse
Son membre entre en moi lentement d’une poussée que rien ne pourrait arrêter, mes organes bousculés font place à cette épée de chair brulante, littéralement décollée du matelas, bras et jambes noués je m’accroche à lui comme à une bouée de sauvetage, le puissant mouvement de balancier produit m’écrase la chatte sur son pubis, il me ramone divinement le vagin, un orgasme puissant éclate, assouvie je me laisse tomber sur le lit mais tenace il continue à me baiser afin d’ obtenir sa jouissance et libérer au plus vite sa semence en moi, ce qu’il fait en ahanant me croyant libérée je me tourne pour me lever mais une main puissante m’en empêche
- Fout-toi à quatre pattes, j’en ai pas fini avec toi
- Pas le cul ! Pas le cul !
- Non, pas le cul ! j’ai simplement envie de voir ma bite coulisser dans ta fourrure, le cul ce sera pour le mois prochain lorsque tu viendras chercher le loyer
- Mais ça doit se faire par virement ?
- Pas question de banque, tu viendras tous les mois sans culotte te faire payer le loyer
- C’est d’accord, je viendrais, tu me fais trop de bien
- Si tu voyais ma queue glisser entre tes poils tous collés par la mouille, une bague de mousse s’est formée à la base de mon membre
- Fourre-moi le pouce dans l’anus …
- Deux doigts c’est plus long !
- Je veux encore jooooooouuuuuuuiiiiiiirrrrrrr !!!!!! tape fort dans ma cramouille !
….. vivement le mois prochain …je ne cherche plus de clients ….
Non, je cherche un homme pas spécialement beau, ‘effacé, timide’, qui n’a pas de chance avec la gente féminine, celui qui n’en croira pas ses yeux lorsque je lui dévoilerais par ‘inadvertance’ un décolleté vertigineux ou mon fond de string et qui hésitera à me baiser malgré mes encouragements discrets, je sais que celui-là me donnera tout ce que j’attends pour laisser éclater une jouissance sans égale avec celle que la modeste queue de mon mari me procure, il en est conscient et se doute que je comble mes désirs à l’extérieur , du moment que je tiens la maison correctement et que je ne refuse pas à lui ça lui suffit !
Rien que d’en parler des bouffées de chaleurs irradient mon bas-ventre, ça fait un mois que je ne suis pas ‘sortie des clous’, mon terrain de chasse favorite ? très banal, c’est en travaillant que je débusque celui qui me fera vibrer le temps d’une visite d’appartement, effectivement je travaille dans une agence immobilière, je me suis spécialisée dans la location-vente d’appart et studios meublés
La plupart de mes clients sont des célibataires qui suivent leur boulot ou en instance de divorce et cherchent un deux pièces au maximum, lors du premier entretient au bureau ma chatte sait reconnaitre celui qui pourra le mieux la fourrer, elle me le fait savoir en évacuant une bulle liquide au fond de ma petite culotte, aussi pour le rendez-vous de visite je mets toutes les chances de mon côté, j’arrive en avance au studio et commence par ôter le soutien-gorge qui comprime mes seins, justement aujourd’hui j’attends un homme de quarante-six ans Julien D. en instance de divorce, baraqué comme un rugbyman, a son regard sur moi j’ai ressentis son manque de sexe et serait susceptible de me ‘pécho’
Le studio en question est composé d’une grande pièce comprenant un petit lit de cent-vingt, cependant équipé d’un très bon matelas, coin cuisine, table fixée au mur, deux chaises et d’un cabinet de toilette douche- WC, une fenêtre amène seulement de la lumière mais pas de panorama a couper le souffle car a quatre mètres c’est un mur d’usine gris, pas de quoi vous remonter le moral ! seule consolation, le prix est raisonnable
J’attends fébrilement, un peu comme une fille de joie attend son client ! le tissu de mon corsage qui frotte sur ma poitrine fait dresser mes tétons, immanquablement un œil exercé devine la liberté de mes seins, ha, enfin le voilà, je vais ouvrir …
- Bonjour monsieur D. entrez je vous en prie
- Bonjour madame, alors c’est le fameux studio ?
- Oui..., un vrai petit nid d’amour, il est très fonctionnel !
- C’est vrai, du lit je pourrais presque éteindre le gaz ! je plaisante, de toute façon je n’ai pas le choix ?
- Je n’ai que celui-ci pour l’instant
- On peut ouvrir la fenêtre ?
Quand il me parle il s’adresse à mon décolleté pour le moins généreux, il faut que je trouve très vite le moyen de l’accaparer, j’ouvre la fenêtre et me penche à l’extérieur faisant ainsi ressortir mon postérieur, il s’approche pour voir dans la rue, intentionnellement je ne lui laisse pas la place il est obligé de venir de côté se coller à moi, je peux vous dire que le paquet, encore au repos, qui s’écrase sur ma hanche c’est du lourd ,prometteur d’une bonne partie de cul, il est conscient de sa proximité et ne se prive pas de se frotter sur moi
- Bon, je me contenterais de cette vue
Je ne sais pas s’il parlait de la rue ou de mes seins, il est temps de porter l’estocade…
- Dans tout ça il faut retenir le meilleur, vous pouvez vous balader en petite tenue chez vous sans risquer de choquer les voisins !
- C’est vrai vu que ça m’arrive souvent … mais excusez-moi madame je vous écrase !
- Ce n’est pas désagréable … houlà ! j’ai une soudaine envie pressante, je vais aux WC et je reviens
- Faites …
Ce n’est pas l’épaisseur de la cloison en carton et celle de la porte qui masque le chuintement caractéristique de l’urine au passage de mes lèvres pour vite se transformer en chute du Niagara directement dans l’eau de la cuvette, je me surprend à penser que j’aurais aimé qu’il soit genoux devant moi et tende sa main entre mes cuisses afin que je pisse entre ses doigts fourrés dans ma fente …
j’ai beau tourner la tête autour de moi, pas de papier hygiénique … il n’y a plus qu’une solution qui en fait m’arrange, je quitte ma petite culotte pour essuyer ma touffe garnie de gouttelettes iodées et mes lèvres maculées de mouille, volontairement je laisse mon sou vêtement au pied de la cuvette et rajuste ma jupe, j’ouvre la porte sans la refermer ,mon client juste en face regarde incrédule ce petit chiffon bleu électrique qui git sur le carrelage, son regard va de ma culotte à mon ventre, il doit penser : ‘elle est vraiment à poil ? ‘ un peu rouge je tente de me justifier …
- Excusez-moi mais il n’y a pas de papier alors j’ai paré au plus pressé, je la prendrais en partant, avez-vous testé le matelas ?
- Non, je vous attendais …
- Regardez-moi cette souplesse à la fois moelleuse et dure, juste comme il faut pour passer de bonnes nuits torrides avec une petite copine
Je me laisse tomber assise sur le bord du lit, le matelas accuse à peine mes cinquante kilos !
- Venez tester vous aussi !
- D’accord ….
Lorsque ses quatre-vingt-dix kilos atterrissent je perds l’équilibre et fais un bond, je me retrouve sur le dos jambes pendantes, les pieds écartés de cinquante centimètres, ma jupe a mis cuisses, la pomme d’Adam de l’homme remonte à trois reprises, je n’ose et surtout ne veux plus bouger … ses yeux regardent mon entre jambe il se dit sans doute que s’il se penchait il pourrait voir ma chatte, puis il rive ses yeux perçant dans les miens, je ne peux soutenir ce test alors je les ferme … une main enfonce le matelas prés de ma tête, un genoux frôle le mien, une autre main se pose sur ma cuisse et remonte entrainant ma jupe vers le haut ,je soupire d’aise, je vais enfin me faire baiser !
- Ne bouge pas, je vais te satisfaire puisque c’est ça que tu veux
- Mmmmuuuuuummmmmmm…
- Ta moule est trempée, tu me fais bander
- Mmmmuuuuuummmmmmm …
- Ouvre-toi davantage …
- Mmmmmuuuuummmmmm …
- T’as raison, ne dit rien popaul va te perforer les entrailles
- Bouffe-moi avant …
- OK mais pas de frais d’entrée ?
- Accordé …
Il se laisse glisser au sol, ses grosses paluches écartent mes cuisses autant que ma souplesse le permet, sa barbe naissante de mec viril gratte l’intimité de mes lèvres entrebâillées, heureusement sa langue agile fait vite oublier cet inconvénient, mes cuisses serrées sur ses oreilles et mon bas-ventre accompagne le cuni bienfaiteur, il boit à ma source comme s’il sortait du désert, un cri spontané et ultime coup de bassin lui signale ma jouissance, il se retire le visage barbouillé ne sachant quelle suite à donner, reconnaissante je me rassois et m’en prend à sa ceinture de pantalon, il m’aide autant qu’il le peut afin de libérer sa monstrueuse érection, un dard décalotté bat nerveusement la mesure juste devant mes yeux , pour le maitriser il me faut les deux mains !
J’avale goulument un bout de ce trophée suintant qu’il accompagne de légers coups de reins, mes mains font rouler les testicules poilus, un de mes doigts va même jusqu'à s’aventurer vers son anus, surpris ? excité par cette caresse inattendue ou inconnue ? j’ai à peine enfoncé une phalange qu’il décharge dans ma gorge en grommelant des mots obscènes, je relevé les yeux vers lui et me laisse retomber jambes largement ouvertes, le message est passé, en catastrophe il se débarrasse de ses vêtements et viens me recouvrir de son corps imposant prenant soin de ne pas m’écraser, près de ma matrice sa verge raide bat la chamade, habilement je me positionne essayant de m’embrocher moi-même sur cet ergot qui rebique vers le haut
- Baise-moi julien… perfore mon con jusqu’aux couilles
- Ma bite va te ressortir par la bouche espèce d’allumeuse
Son membre entre en moi lentement d’une poussée que rien ne pourrait arrêter, mes organes bousculés font place à cette épée de chair brulante, littéralement décollée du matelas, bras et jambes noués je m’accroche à lui comme à une bouée de sauvetage, le puissant mouvement de balancier produit m’écrase la chatte sur son pubis, il me ramone divinement le vagin, un orgasme puissant éclate, assouvie je me laisse tomber sur le lit mais tenace il continue à me baiser afin d’ obtenir sa jouissance et libérer au plus vite sa semence en moi, ce qu’il fait en ahanant me croyant libérée je me tourne pour me lever mais une main puissante m’en empêche
- Fout-toi à quatre pattes, j’en ai pas fini avec toi
- Pas le cul ! Pas le cul !
- Non, pas le cul ! j’ai simplement envie de voir ma bite coulisser dans ta fourrure, le cul ce sera pour le mois prochain lorsque tu viendras chercher le loyer
- Mais ça doit se faire par virement ?
- Pas question de banque, tu viendras tous les mois sans culotte te faire payer le loyer
- C’est d’accord, je viendrais, tu me fais trop de bien
- Si tu voyais ma queue glisser entre tes poils tous collés par la mouille, une bague de mousse s’est formée à la base de mon membre
- Fourre-moi le pouce dans l’anus …
- Deux doigts c’est plus long !
- Je veux encore jooooooouuuuuuuiiiiiiirrrrrrr !!!!!! tape fort dans ma cramouille !
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