Titre de l'histoire érotique : Chevauché et dompté par ma copine
Récit érotique écrit par Marcusix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 36 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Marcusix ont reçu un total de 531 687 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 15 683 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Chevauché et dompté par ma copine
[Histoire fictive]
Je vis en concubinage avec une femme qui a du charisme et une carrure d’athlète. Elle est aussi grande que moi mais je suis déjà assez grand. Elle fait beaucoup d’exercice ce qui lui donne une force certaine sans lui faire perdre sa féminité. Je l’ai rencontrée au sein de la boite dans laquelle nous travaillons tous les deux.
Nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes plus et nous vivons ensemble depuis six mois.
Elle a beaucoup de caractère et je suis bonne pâte. Aussi je l’ai laissée prendre certaines décisions pour lesquelles je n’avais que peu d’intérêt, choix de la voiture, décoration, destination des vacances…
Au fur et à mesure que le temps a passé, elle s’est mise à prendre des décisions sans me consulter. Elle m’en parlait alors qu’après, et noyait le poisson et me disant lors de nos rigolades ou rapports sexuels que j’étais à elle de toute façon et que je lui appartenais. Un bisou et le tour est joué.
J’aimais bien m’en remettre à elle et sentir son contrôle sur nous.
Un soir, alors qu’elle se disait d’humeur à faire l’amour, elle m’invita fermement à me mettre à 4 pattes sur le lit ; elle disait avoir une surprise pour moi. Ce n’était pas la 1ère fois : d’habitude elle me lèche l’anus, chose que je n’aime pas mais qu’elle adore. Excité tout de même, je me suis exécuté.
Elle m’a mis des contraintes aux chevilles. Il s’agissait d’une barre de fer reliant et écartant mes mollets par les chevilles. C’était nouveau mais comme elle me décrivait l’objet, je n’ai ressenti aucune crainte. Et j’étais déjà très excité.
Je l’ai sentie monter sur le lit derrière moi. Elle me parlait, me disait à quel point elle m’aimait…J’ai senti ses mains sur mes fesses qu’elle écartait.
Puis j’ai senti quelque chose contre mon anus. Je n’ai même pas eu le temps de me demander ce que c’était que quelque chose de long et dur était introduit dans mon anus. J’ai hurlé de douleur et de surprise et c’est alors que j’ai senti une corde me glisser dans la bouche et qui me tirai par derrière. C’était comme un mord pour cheval.
Je ne comprenais pas ce qu’il se passait mais je sentais son gode (ceinture, je le constaterai ensuite) glisser dans mon anus. J’essayais de me débattre pour m’en débarrasser, mais je ne pouvais donner aucun coup de pied à cause des entraves, et si j’y mettais les mains, je tombais la tête la 1ère dans le coussin. Si j’essayais de retirer la corde, elle tirait dessus, me faisant me cabrer.
Je ne pouvais que m’agiter dans tous les sens en espérant faire sortir ce sexe en plastique de mes fesses. Mais plus je m’agitais, plus elle était excitée.
Vas-y bouge ton cul, débats-toi !! Plus tu te défends plus tu m’excites !!
Je voulais lui hurler d’arrêter mais la corde m’empêchait de parler intelligiblement. Elle jubilait et prenait visiblement beaucoup de plaisir à me sodomiser et à me monter comme on monte un cheval sauvage.
J’enrageais, je souffrais et je voulais l’attraper et la frapper. Je m’agitais dans tous les sens pour la désarçonner, en vain. L’entrave aux chevilles me limitait et la corde me faisait me braquer quand je bougeais trop. Plus je me débattais, plus ses coups de reins étaient puissants.
[plaintes et hurlements inintelligibles]
C’est ça, hurle tant que tu veux ! Je vais te mâter, mon amour ! Je vais te dresser à faire ce que j’aime !
Elle continuait à me sodomiser sans se fatiguer tandis qu’à force de gigoter, moi je me fatiguais. Voyant que je ne me débattais plus, elle a commencé à me parler doucement tout en ralentissant la cadence des pénétrations.
Oui voilà, doucement, calme-toi… Ca ne sert à rien de te débattre… Laisse-toi faire… Sois docile et tout ira bien…
Epuisé, je me calmais. Je sentais toujours ce sexe en plastique me pénétrer mais la vive douleur du début se transformait en plaisir. Je commençais même à gémir de plaisir en sentant le substitut de sexe glisser en moi et en me sentant sous l’emprise physique de ma copine.
Elle a constaté que je prenais du plaisir et elle a repris un rythme de plus en plus rapide et les pénétrations redevenaient très profondes. J’accompagnais désormais ses mouvements de bassins pour mieux sentir la pénétration. C’était désormais des râles de jouissance qui sortaient de ma bouche. Elle, était pantelante de plaisir.
C’est ça oui ! Je savais que je te materai ! Tu vas aimer de plus en plus de te faire monter !
Elle tirait régulièrement sur la corde pour me faire cambrer ; la corde m’empêchait de fermer la bouche et la salive coulait de ma bouche.
Allez maintenant c’est le moment de jouir
Elle continuait ses mouvements de bassins et j’ai senti un liquide se répandre en moi par saccade. Je constaterai plus tard qu’il s’agit d’un gode ceinture avec fonction éjaculatrice. En sentant cette éjaculation en moi, j’ai joui sur le matelas. Mon corps était crispé de plaisir.
La réserve de faux sperme était importante ; je sentais une dizaine d’éjaculations, espacées de quelques secondes, provoquant en moi une décharge électrique à chaque fois.
A 4 pattes sur le lit, je sentais mon sexe se vider sous moi.
C’est bien mon bébé ! Tu vois que tu as aimé ! Tu as aimé quand ma semence t’a engrossé !
Je me suis écroulé sur le lit, à plat ventre ; elle était toujours en moi mais immobile. Elle m’embrassait la nuque et le dos. Elle était redevenue très douce.
Voilà c’est fini. A partir de maintenant, c’est ainsi qu’on fera l’amour. Tu ne me pénètreras plus jamais et je te saillirai quand il me plaira. C’est comme ça que je vais t’aimer désormais : à quatre pattes comme un animal et tu m’obéiras. Tu es mon animal de compagnie, n’est-ce pas mon amour ?
Elle m’a fait me retourner sur le dos. Elle s’est assise sur mon bassin et je voyais ce sexe énorme me faire face. Elle a masturbé ce faux pénis puis a appuyé sur une sorte de poire et plus de faux sperme en est sorti et a attiré sur mon visage ; j’en étais recouvert.
Elle me disait vouloir marquer son territoire et a porté le gode sur mon visage pour l’y frotter. Je sentais ce gode si près de moi, me tapotant le visage, malgré le faux sperme qui m’obstruait partiellement la vue. Mais je voyais ma copine, assise sur moi, arborant un sourire de plaisir et de domination.
Je suis ta maîtresse désormais et tu m’appartiens.
C’est ainsi que nous vivons désormais. Je ne l’ai plus jamais pénétrée de mon sexe et elle n’y touche plus si ce n’est pour me traire et récupérer mon sperme pour le gode éjaculateur. Si je suis excité, je dois lui montrer en me mettant nu, à quatre pattes, et un jouet anal arborant une queue de cheval.
Elle a acheté la panoplie complète de la cavalière avec le pantalon serré, les bottes et gants de cuir et la bombe. Quand je la vois vêtue ainsi, je suis excité en un instant et je sais que je dois aller me mettre en tenue et ne plus prononcer un mot si ce n’est un hennissement.
Je vis en concubinage avec une femme qui a du charisme et une carrure d’athlète. Elle est aussi grande que moi mais je suis déjà assez grand. Elle fait beaucoup d’exercice ce qui lui donne une force certaine sans lui faire perdre sa féminité. Je l’ai rencontrée au sein de la boite dans laquelle nous travaillons tous les deux.
Nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes plus et nous vivons ensemble depuis six mois.
Elle a beaucoup de caractère et je suis bonne pâte. Aussi je l’ai laissée prendre certaines décisions pour lesquelles je n’avais que peu d’intérêt, choix de la voiture, décoration, destination des vacances…
Au fur et à mesure que le temps a passé, elle s’est mise à prendre des décisions sans me consulter. Elle m’en parlait alors qu’après, et noyait le poisson et me disant lors de nos rigolades ou rapports sexuels que j’étais à elle de toute façon et que je lui appartenais. Un bisou et le tour est joué.
J’aimais bien m’en remettre à elle et sentir son contrôle sur nous.
Un soir, alors qu’elle se disait d’humeur à faire l’amour, elle m’invita fermement à me mettre à 4 pattes sur le lit ; elle disait avoir une surprise pour moi. Ce n’était pas la 1ère fois : d’habitude elle me lèche l’anus, chose que je n’aime pas mais qu’elle adore. Excité tout de même, je me suis exécuté.
Elle m’a mis des contraintes aux chevilles. Il s’agissait d’une barre de fer reliant et écartant mes mollets par les chevilles. C’était nouveau mais comme elle me décrivait l’objet, je n’ai ressenti aucune crainte. Et j’étais déjà très excité.
Je l’ai sentie monter sur le lit derrière moi. Elle me parlait, me disait à quel point elle m’aimait…J’ai senti ses mains sur mes fesses qu’elle écartait.
Puis j’ai senti quelque chose contre mon anus. Je n’ai même pas eu le temps de me demander ce que c’était que quelque chose de long et dur était introduit dans mon anus. J’ai hurlé de douleur et de surprise et c’est alors que j’ai senti une corde me glisser dans la bouche et qui me tirai par derrière. C’était comme un mord pour cheval.
Je ne comprenais pas ce qu’il se passait mais je sentais son gode (ceinture, je le constaterai ensuite) glisser dans mon anus. J’essayais de me débattre pour m’en débarrasser, mais je ne pouvais donner aucun coup de pied à cause des entraves, et si j’y mettais les mains, je tombais la tête la 1ère dans le coussin. Si j’essayais de retirer la corde, elle tirait dessus, me faisant me cabrer.
Je ne pouvais que m’agiter dans tous les sens en espérant faire sortir ce sexe en plastique de mes fesses. Mais plus je m’agitais, plus elle était excitée.
Vas-y bouge ton cul, débats-toi !! Plus tu te défends plus tu m’excites !!
Je voulais lui hurler d’arrêter mais la corde m’empêchait de parler intelligiblement. Elle jubilait et prenait visiblement beaucoup de plaisir à me sodomiser et à me monter comme on monte un cheval sauvage.
J’enrageais, je souffrais et je voulais l’attraper et la frapper. Je m’agitais dans tous les sens pour la désarçonner, en vain. L’entrave aux chevilles me limitait et la corde me faisait me braquer quand je bougeais trop. Plus je me débattais, plus ses coups de reins étaient puissants.
[plaintes et hurlements inintelligibles]
C’est ça, hurle tant que tu veux ! Je vais te mâter, mon amour ! Je vais te dresser à faire ce que j’aime !
Elle continuait à me sodomiser sans se fatiguer tandis qu’à force de gigoter, moi je me fatiguais. Voyant que je ne me débattais plus, elle a commencé à me parler doucement tout en ralentissant la cadence des pénétrations.
Oui voilà, doucement, calme-toi… Ca ne sert à rien de te débattre… Laisse-toi faire… Sois docile et tout ira bien…
Epuisé, je me calmais. Je sentais toujours ce sexe en plastique me pénétrer mais la vive douleur du début se transformait en plaisir. Je commençais même à gémir de plaisir en sentant le substitut de sexe glisser en moi et en me sentant sous l’emprise physique de ma copine.
Elle a constaté que je prenais du plaisir et elle a repris un rythme de plus en plus rapide et les pénétrations redevenaient très profondes. J’accompagnais désormais ses mouvements de bassins pour mieux sentir la pénétration. C’était désormais des râles de jouissance qui sortaient de ma bouche. Elle, était pantelante de plaisir.
C’est ça oui ! Je savais que je te materai ! Tu vas aimer de plus en plus de te faire monter !
Elle tirait régulièrement sur la corde pour me faire cambrer ; la corde m’empêchait de fermer la bouche et la salive coulait de ma bouche.
Allez maintenant c’est le moment de jouir
Elle continuait ses mouvements de bassins et j’ai senti un liquide se répandre en moi par saccade. Je constaterai plus tard qu’il s’agit d’un gode ceinture avec fonction éjaculatrice. En sentant cette éjaculation en moi, j’ai joui sur le matelas. Mon corps était crispé de plaisir.
La réserve de faux sperme était importante ; je sentais une dizaine d’éjaculations, espacées de quelques secondes, provoquant en moi une décharge électrique à chaque fois.
A 4 pattes sur le lit, je sentais mon sexe se vider sous moi.
C’est bien mon bébé ! Tu vois que tu as aimé ! Tu as aimé quand ma semence t’a engrossé !
Je me suis écroulé sur le lit, à plat ventre ; elle était toujours en moi mais immobile. Elle m’embrassait la nuque et le dos. Elle était redevenue très douce.
Voilà c’est fini. A partir de maintenant, c’est ainsi qu’on fera l’amour. Tu ne me pénètreras plus jamais et je te saillirai quand il me plaira. C’est comme ça que je vais t’aimer désormais : à quatre pattes comme un animal et tu m’obéiras. Tu es mon animal de compagnie, n’est-ce pas mon amour ?
Elle m’a fait me retourner sur le dos. Elle s’est assise sur mon bassin et je voyais ce sexe énorme me faire face. Elle a masturbé ce faux pénis puis a appuyé sur une sorte de poire et plus de faux sperme en est sorti et a attiré sur mon visage ; j’en étais recouvert.
Elle me disait vouloir marquer son territoire et a porté le gode sur mon visage pour l’y frotter. Je sentais ce gode si près de moi, me tapotant le visage, malgré le faux sperme qui m’obstruait partiellement la vue. Mais je voyais ma copine, assise sur moi, arborant un sourire de plaisir et de domination.
Je suis ta maîtresse désormais et tu m’appartiens.
C’est ainsi que nous vivons désormais. Je ne l’ai plus jamais pénétrée de mon sexe et elle n’y touche plus si ce n’est pour me traire et récupérer mon sperme pour le gode éjaculateur. Si je suis excité, je dois lui montrer en me mettant nu, à quatre pattes, et un jouet anal arborant une queue de cheval.
Elle a acheté la panoplie complète de la cavalière avec le pantalon serré, les bottes et gants de cuir et la bombe. Quand je la vois vêtue ainsi, je suis excité en un instant et je sais que je dois aller me mettre en tenue et ne plus prononcer un mot si ce n’est un hennissement.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Marcusix
9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres belle histoire comment devenir une femelle chevauche et dompte par une belle fille.Tres humiliant.
Très excitant c'est un des fantasmes que j'aimerais vraiment réaliser
Vraiment très excitant tout cela...
J'aimerai moi aussi connaitre cette expérience mais en tant que Domnia,
Merci pour ce beau partage
D.
J'aimerai moi aussi connaitre cette expérience mais en tant que Domnia,
Merci pour ce beau partage
D.
Sympa ce texte,
maintenant je suis tout excité........
maintenant je suis tout excité........
génial, çà fait des mois que je baise mon mari
c'est devenu ma femelle soumise et il adore ça
messieurs préparez-vous, le sexe fort arrive
c'est devenu ma femelle soumise et il adore ça
messieurs préparez-vous, le sexe fort arrive
je fais de même avec mon conjoint, il ou plutôt elle adore cela,sa prochaine étape sucer de vraies bites et bien entendu de faire prendre comme une femelle, j'ai commencé son éducation il y a 8 mois et il progresse,on ne baise plus depuis et je trouve mon plaisir autrement!!
Un pur bonheur ...
Appartenir à sa compagne, inverser les rôles et devenir femelle.
Un rêve pour moi, si ma compagne pouvait lire ces lignes et avoir envie de me prendre en main.
Encore merci pour ce moment de jouissance intellectuelle.
Appartenir à sa compagne, inverser les rôles et devenir femelle.
Un rêve pour moi, si ma compagne pouvait lire ces lignes et avoir envie de me prendre en main.
Encore merci pour ce moment de jouissance intellectuelle.
hummm excitant
Hum! Excellent! Je vais faire lire cette très bonne histoire à mon épouse! Peut-être cela va l'inspirer!
J'ai adoré depuis le début jusqu'à la fin!
J'ai adoré depuis le début jusqu'à la fin!