Titre de l'histoire érotique : Claire se donne du plaisir

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Claire se donne du plaisir Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Claire se donne du plaisir
Claire était au volant de sa voiture par une belle journée ensoleillée, prenant le chemin la menant jusqu’à la ville avoisinante. Un déplacement qui allait vite dégénéré, comme vous allez le lire.
Alors qu’elle conduisait, la radio à fond, une excitation soudaine la submergea. La cause ! Le petit film qui se déroulait dans sa tête. Elle constata qu’elle était victime d’un sournois, mais impérieux désir. Sous le feu qui s’installait dans ses entrailles, elle éprouva une soudaine envie de faire l’amour, de sentir un sexe masculin lui fouiller ses entrailles.
Son string trop petit, scandaleusement serré à l'entrejambe. Elle se caressait en serrant et desserrant ses jambes sur son sexe. En le frottant doucement sur la bande de renfort de sa lingerie. Il n'en fallait pas plus pour sentir l'humidité de l'excitation se propager dans le tissu. Elle parcourue de frissons à chaque contraction qu’elle exerçait. N’osait pas regarder les passants, de peur de les voir la dévisager. L'excitation n'étant pas pour eux, mais centrée sur elle.
Elle sentait qu’un chatouillis de petites gouttes roulant le long de ses cuisses. Le phénomène s’accéléra alors qu’elle augmentait la pression.
Plus les minutes passaient, plus elle était au bord de l’explosion. Ne pouvant résister, et cela au risque de se faire surprendre par un passant, elle glissa sa main sous sa robe. Se caressant à travers le nylon. Elle nota la moiteur de son sexe, comme étant incroyable. Bien plus trempée qu’elle l’aurait imaginé. Elle enfouit sa main à l’intérieur de son string. Taquinant son clito. Explosion d’allégresse, décharge électrique. Sa bouche s’ouvrait pour un cri de plaisir qu’elle retenait in extremis se mordant l’intérieur de sa lèvre inférieure à en avoir le goût du sang dans la bouche. La force de la vague qui l’engloutissait était incroyable. Elle perdait pied. Elle tremblait. Son sexe vomissait son plaisir qui ruissela sur sa main. Elle se sentait palpiter, s’ouvrir, se fermer.
Elle n’était plus connectée à la réalité. Aucun passant ne la dévisageait comme s'ils savaient ce qui se dérouler dans l’habitacle de cette voiture.
Sans doute que quelques-uns, parmi eux ne seraient pas contre à lui sauter dessus pour la violer. Mais dans l'état où elle se trouvait, elle serait sans doute consentante.
Elle était tétanisée au volant. Frémissante de plaisir. Son bas-ventre était taraudé par des frémissements intenses. Elle fit glisser l’ourlet de sa jupe haut sur ses jambes. Exhibant à qui voulait le voir un string rouge recouvrant la motte intime dont quelques boucles rebelles et épaisses dépassaient des rebords du vêtement. Et en se penchant un peu en avant, de distinguer la fine bande de tissu, enfoncé dans la fente. Elle était à tordre.
Pour la seconde fois, les doigts passèrent la frontière de l’élastique, pour atteindre son intimité. La coquine se laissa aller en poussant un léger soupir. C’était si agréable, qu’elle s’en lécha les lèvres.
Sa poitrine se gonflait. Ses tétons pointaient sous son vêtement. Elle accentuait légèrement le rythme de sa respiration. Chaque fois qu’elle s’effleurait. Son abdomen se contractait alors que ses fesses se resserraient. Elle devenait soumise à sa caresse. Augmenta le rythme de sa masturbation. Se tortillant sur son siège. Mais alors que l’orgasme était tout proche, elle retira sa main. Sachant très bien que sa jouissance une nouvelle fois retardée n'en sera que meilleure.
Pour s’offrir cet orgasme, elle décida de s’ôter son string. Pour cette manœuvre, elle se gara sur la bas côté. Une fois dans sa main, elle en contempla la couleur de l'intérieur. Les phéromones lançaient des appels sans équivoque.
Gourmande, elle s’enfonçait le majeur dans l’ouverture la plus secrète du corps féminin, d’un coup presque brutalement. Son intrusion viril la mit au comble à mon affolement érotique. Allumant un véritable brasier au creux de mes reins. Elle y ajouta trois doigts, regrettant de ne pas pourvoir y mettre sa main. Elle accéléra encore, et encore le mouvement. L’agitant dans son vagin transpirant de jus gluant. Là c’était insidieux, la pression montait, son excitation grandissait avec une vitesse exaspérante. Sa respiration se fit haletante tandis qu’elle pinça le téton entre deux doigts. La bouche grande ouverte, elle ne se privait pas d’extérioriser son bonheur. Même la musique ne couvrait pas ses cris.
Loin d’être étancher, elle reprit sa route. Elle arriva alors dans un bourg. Au détour d’un virage, elle aperçut un monsieur d’un certain âge attendant son passage pour traverser. N’étant pas exhibitionniste dans l’âme, elle s’autorisa de rabattre le bas de sa robe au-dessus de son sexe. Un besoin de ce faire remarqué.
Abandonna le pincement du bouton devenu douloureux, contre un effleurement circulaire de tous ses doigts. Plus exubérante, pensa-t-elle.
Elle s’esclaffait même à cette idée. Arrivée à la hauteur du monsieur qui attendait toujours sagement qu'elle passe pour rejoindre le trottoir d'en face, elle ralentit, avec en tête la certitude qu‘il allait faire pivoter son regard dans sa direction. Elle se retint de klaxonner. Elle passa sa route, sans un seul regard du pépé. Elle le surprit même à tourner la tête à l’opposé.
« Tant pis pour lui » s’entendait-elle dire à haute voix, il aurait sans pu éteindre mon feu avec sa lance. À cet mots crus sortant de sa sage bouche, elle succomba sous l’emprise d’un nouvel orgasme. Un plaisir intense, qui la foudroya, la submergea. Elle sentait le rouge lui monter aux joues. Son cœur battait plus fort. Regrettant que le vieux n’est pas pu assisté au spectacle qu’elle offrait.
Loin d’avoir assouvi sa soif de jouissance, elle laissa ses doigts s’affolaient sur son sexe. Elle ne se reconnaissait plus. Son bassin comme indépendant de son corps sursauta et allait au-devant de sa masturbation devenue violente. Se branlant comme une obsédée. Comme une nympho, impudique, bien décider à se donner un chapelet d’orgasmes.
Elle choisit pour cela le parking d’une grande surface sur sa droite. Une fois dessus deux offres s’imposaient à elle. Soit un coin désert ou un endroit avec plus de passage. Qui pourrait lui donner ainsi du piment à sa séance de masticage. Elle prit la décision de se stationner proche de l’entrée du magasin. Un besoin chez elle, de faire ses cochonneries devant témoins.
Heureusement pour Claire, une place se libérait. Elle était tellement nerveuse qu’elle se prit à plusieurs fois avant de se garer sa voiture dans son emplacement. Les yeux exorbités, la bouche sèche, elle était la digne représentante de la perversion. Mais alors qu’elle se mettait à son aise, elle perçus déjà deux jeunes hommes approchaient. N’était-ce pas pour cela qu’elle était là.
Elle bascula son siège en arrière. Ouvrit en grand le compas de ses jambes. Elle écarta ses lèvres avec deux doigts. Mettant à nue le rouge de son sexe qui tranchait avec le foncé de ses poils. Il était crémeuse, pleine de petit lait épais, qu’elle récupérait de ses doigts pour les mener jusqu’à sa bouche, pour les lécher. Puis les replongea dans son antre, alors que les deux jeunes passaient devant ses yeux.
Comme souvent dans ses moments, elle faisait appel à son éternel fantasme. Toujours le même. Avec les même scènes. Seul les acteurs changeaient. Pour cela, elle ferma les yeux et lança le scénario. Pianotant son sexe de ses doigts. Jouant le morceau qu’elle connaissait le mieux, pour l’avoir à maintes fois joué.
De sa main libre, elle malaxa son sein à travers son chandail.
- Mais regardez-moi ça les potes, elle est en train de se masturber.
Quand Claire comprit qu’il était question d’elle, il était déjà trop tard, la portière s’était ouverte à la volée. Elle fut tirée sans aménagement, hors de la voiture, et pousser jusqu’à un fourgon stationnait sur la file opposée. Ils la poussaient à l’intérieur. Elle ne comprenait pas pourquoi elle se laissait faire. Pourquoi elle ne criait pas. Ni comment le danger pouvait accentuer son excitation.
Une essence de bois lui vint aux narines. Elle se sentait dévisagée. Voir déshabillée. Ils étaient au nombre de trois. Un grand brun, un plus petit, lui aussi brun mais barbu, le dernier était blond, roux.
Dans un silence de cathédrale, ils procédèrent avec leurs yeux à un inventaire serré de ses formes féminines, avant de se servir. Pour seule défonce, elle lâcha un gémissement. Elle fut alors ballotée entre eux. Leurs regards avaient changé. Ils lui souriaient de manière vicieuse. Se murmurant entre eux. Ses oreilles perçurent tout de même des miettes de mots. Des paroles à ne pas mettre aux oreilles des âmes sensibles. Malgré ça, son cerveau lui répétait sans cesse :
- Je le veux… je veux être à eux… je veux être souillée… je veux les sentir me prendre…
Elle se sentait faible et lâche à la fois. Quelques mains effleuraient ses fesses. L’un d’eux la prit par la taille. Elle sentait ses mains sur le tissu léger de sa robe. Une larme de mouille lui couler sur le haut de sa cuisse. Ils lui soufflaient des mots dans l'oreille. Crus et vulgaires tout en caressant de leurs mains, ses jambes, sa poitrine… Enfin tout ce qu’un homme aime toucher chez une femme.
Le derrière de sa robe se soulevait. Des exclamations se firent entendre en apercevant ses fesses. Le devant suivait. Elle croisa leurs regards sur son intimité poilue.
Le barbu et le blond commencèrent à perdre leur self contrôle. À rire bêtement. Le grand brun la saisie par la taille. Elle ouvrait la bouche et les yeux en grand. Le contact du ventre chaud contre le bas de son dos lui envoya une onde électrique qui se diffusait au plus profond dans ses entrailles.
Elle se mordait la lèvre inférieure, fermait les yeux lorsqu’elle sentit deux paumes chaudes se refermer timidement sur ses mollets. Avant de remontaient doucement jusqu’à ses cuisses, qu’elles se mettaient à caresser d’un mouvement régulier et circulaire. Elle sentit la mouille envahir sa fente, et s’offrit davantage aux mains qui la palpaient. Surexcité, il l’attirait à lui, se frottant à elle. Claire prit appuyé sur ses épaules pour ne pas perdre l’équilibre, alors qu’une vague de plaisir incontrôlable provoquée par le contact du bas-ventre de l’homme contre le sien, la submergea.
La précision des attouchements, auxquels elle pouvait difficilement se soustraire, fit que rapidement tout son bas-ventre se transforma en un baiser ardent et que plongée dans un état d’hébétude sensuelle. Elle s’abandonna à cette fouille systématique et laissa chacun disposer de ses orifices intimes. Elle savait aimer le sexe, mais jamais elle n’aurait cru pouvoir s’offrir ainsi, avec cette étrange délectation qui tourmentait chaque parcelle de son corps, à cette assemblée.
Aujourd’hui elle n’était plus la même. Elle n’était plus Claire d’autrefois, un rien timide un peu distante et presque trop pudique. Aujourd’hui elle acceptait de s’exhiber.
Les caresses qu’on lui octroya, la précision de certain effleurements firent que rapidement et sans qu’elle n’y puisses rien, elle ne montra plus aucune retenue. Et tous purent admirer ce corps nu se tordre sous la plaisir. Plusieurs fois on fit monter l’extase dans sa chair, et plusieurs fois elle donna sa jouissance en spectacle.
Sans douceur, il prit à pleine paume les deux sphères musclées et fermes, bisoutant le cou chaud de sa partenaire. La tête en arrière et la gorge déployée, Claire s’entendait émettre un feulement de bête
blessée. Les deux voyeurs étaient maintenant au point culminant de l’excitation. Surtout le blond. À un tel degré qu’il se dégrafait sa braguette. Suivi peu après par son camarade, le barbu.
Pendant que le grand brun glissait son majeur dans la fente bouillonnante. Claire planta ses dents dans l’épaule du protagoniste afin d’éviter de hurler. Le majeur s’introduisait à mi-course dans la fente, et commencer d’en inspecter les contours. Alors, folle d’excitation, elle perdit complètement la tête. Demandant aux deux compères de venir se joindre à la fête. La malicieuse comparait avec envie, les deux verges qui lui était présentées. Le blond plaqua une main sur son sein, alors qu’elle enroula ses doigts autour de sa verge, et le branla énergiquement. Au bout de quelques minutes, le souffle du blondinet se fait de plus en plus saccadé et se transforma en un grognement sourd tandis que les cuisses puissantes se mettaient à trembler. Sachant très bien ce qui allait advenir, elle activa le coulissement de ses doigts le long de la bite, et fut heureuse de voir deux jets d’un liquide blanc fuser sur le gland.
Le grand brun lasse de fouiller son intimité, voulait sa part de jouissance. Claire ne se fit pas prier pour enrouler ses doigts autour de sa verge, et dans un mouvement souple du poignet le branla. Elle procédait ainsi pendant un long moment, jusqu’à la sentir brusquement se durcir. Elle accéléra alors le balancement du poignet à en devenir douloureux. Il poussa un cri sec et nerveux suivi de plusieurs plaintes qui accompagnait chaque propulsion de sperme.
Le grand brun, épuisé, enserra de ses bras la taille de Claire, la poitrine appuyée contre le dos de la jeune femme. Il se redressa ensuite afin de reprendre son sexe de la main de la branleuse. Il se tourna vers le troisième luron, le barbu, et lui dit :
- Elle est à toi maintenant, puceau. Elle est toute chaude et prête à l’emploi. Sers toi gamin.
Claire avait conservé sa position. Il avait une lueur dure dans les yeux. À la surprise générale, il s’accroupissait entre les jambes de Claire.
- Qu’est-ce que tu fous Charli. Tu l’as baise pas ?
- Je veux la goûter d’abord.
Et il posa ensuite ses lèvres contre la vulve et commença à lécher le fruit juteux. Claire ouvrait les yeux en grand, transportée qu’elle était, dans l’univers où elle aimait tant s’y aventurer. Mais malheureusement pour elle, les bruits de succion cessèrent au bout d’un moment. Il se redressa, le menton souillait de sécrétion. Il jeta un coup d’œil circulaire avant de dire :
- Je vais la coucher où ?
- T’occupe fit le grand brun, Mimi, aide-moi.
Il se positionna sur le côté droit de Claire.
- Prends l’autre côté Mimi.
Ce qui fit sans bien comprendre l’intention de son camarade.
- Fait comme moi.
Il posa sa main sous la cuisse de Claire, et souleva. Le bond fit de même de son côté. Telle une balançoire pour jeux érotique. Elle fut assise en suspension en l’air, les jambes écartelé pour le plus grand plaisir du barbu. Ce dernier se plaça entre les cuisses. La tête de son sexe vint se nicher dans mes muqueuses luisantes. Elle savourait la lente progression de la queue dans les parois de son vagin. Sentant sa chair s’écartait sous l’impulsion. Elle ne put réprimer un gémissement de plaisir. La queue l’emplissait à ravir. Elle la sentait palpité dans son vagin. C’était trop bon, trop fort, cette queue qui lui remplissait la chatte.
Ce fut alors qu’elle entendit un bruit bizarre. Comme si quelqu’un s’amusait à donner des petits coups sur un objet métallique. Elle ouvrait brusquement les yeux.
Et d’un coup elle comprit. Claire ouvrait les yeux, et là dans une brume, elle aperçut une femme de l’autre côté de la vitre. Lunette noire aux yeux, tapotant la vitre de la portière avec sa canne blanche. Claire mit le contact et baissa son carreau.
- Oui madame, lança-t-elle.
- Excusez-moi madame de vous importuner, mais voyez vous en passant le long de votre voiture j’ai été interpeler par des plaintes. Je me suis inquiétée, madame. Imaginant le pire si vous voyez.
- Oui madame, je vois. Je me suis tout bonnement assoupie et j’ai dû rêver.
- Je préfère cela madame.
- Moi aussi.
- J’étais même prête à appeler de l’aide.
- Je vous remercie madame, mais tout va très bien.
- Tant mieux. En revoir madame.
- En revoir madame et merci.
En prospectant le sol à l’aide de sa canne, la femme s’éloigna. Claire jeta un coup d’œil de l’autre côté de la file pour s’apercevoir que le fourgon avait disparu. Elle constata alors qu’elle avait basculé corps et âme dans son fantasme préféré. Un moment qu’elle jugea très agréable. Elle aurait bien aimé qu’il s’éternise, mais pour cela il aurait fallu que son choix se porte sur le fond du parking. Là où personne ne serait venu l’interrompre.
Ne trouvant plus rien à faire sur ce parking, elle mit le contact et sortir du parking, avec une nouvelle envie dans sa tête. Celle de rentrer le plus vite possible, pour que je lui fasse l’amour…

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