Titre de l'histoire érotique : Comment arriver à ses fins - histoire érotique

Nous sommes Marie et moi Gilles un couple de 47 ans.
Depuis plusieurs années, je rêve et fantasme de voir ma femme se donner à un inconnu et ce devant moi. Je précise qu’elle est bien foutue, d’adorables petits seins aux tétons sensibles. Bon je ne suis pas objectif, mais c’est comme ça que le la vois. Il y a deux ans, je lui ai avoué mon envie de la voir dans les bras d’un inconnu.
-tu es fou ou quoi, je ne peux pas faire ce que tu me demandes. Je t’aime et ne veux pas te tromper et te perdre après.
Je n’ai pas insisté ayant déjà en tête comment l’y amener en douceur. Nous avions toujours continué nos séances baise avec autant de plaisir, enfin le pensais-je.
Nous jouons souvent à des jeux de société comme le scrabble, les dés, les jeux de cartes et autres. Nous nous sommes même inscrits à un club de jeu pour faire des parties par équipe ou d’autres jeux plus amusants à plusieurs. Et pour pimenter un peu les temps passés, j’ai proposé à Marie de faire des gages liés au sexe. Et elle fut ravie de mon idée en rajoutant que cela changera du train-train. Nous avons deux enfants qui sont étudiants et logent en ville. Ce sera à tour de rôle de choisir le moment et le jeu avec gage. Marie commençait la première et a choisi un soir une partie de scrabble avec gage. Elle est plus forte que moi. Il n’y avait plus qu’à espérer un bon tirage pour moi. Hélas, j’ai perdu. J’ai pris son billet, l’ai lu. Marie souriait, contente d’elle. Je devais me raser de suite mon sexe. J’ai donc étalé de la crème à raser autour de ma queue et entrepris d’enlever les poils. Marie assistait au travail et a pu constater que je bandais au fur et à mesure de la perte des poils.
-mais tu es excité mon chéri ! et je ne soulagerai pas et toi pas de masturbation.
Ce fut dur de tenir, mon braquenard était tendu au max et de le voir sans poil, j’avais l’impression qu’il avait doublé de volume. Tous les deux, nous étions contents de ce premier gage. Le gage suivant était pour moi. Je l’ai décidé un soir au club de jeu après tirage au sort des tables de jeux. Marie allait faire une belote et moi un tarot. Je lui ai chuchoté que c’était sur cette soirée belote qu’il y avait un gage. En général, les résultats sont équilibrés, mais ce soir-là elle a perdu. Elle a lu son billet dans la voiture. Elle devait, pour la prochaine sortie cinéma, ne porter que les vêtements qui seront posés sur le lit.
La semaine suivante, elle n’a enfilé qu’une jupe plissée, une veste de tailleur, un string et des talons aiguilles. Sa veste baillait pas mal et on voyait sans peine ses seins. Dans la voiture, elle m’a dit qu’elle ressemblait à une pute.-
-mais non, tu es simplement bandante lui répondis-je
En marchant du parking jusqu’à la salle, elle sentait les regards des hommes qui la mataient. Une fois installés, elle m’a dit qu’elle mouillait et qu’elle n’a rien fait. Discrètement, j’ai vérifié ses dires et lui ai confirmé que ce sont le regard des hommes qui l’excitaient et qu’elle pouvait ma bosse qui déformait le pantalon. En rentrant à la maison, nous avons fait l’amour comme des affamés de sexe. Le gage suivant était encore pour elle. Je voulais qu’elle s’épile intégralement sexe et raie fessière et ce en institut. J’ajouterai qu’elle se rase de temps en temps le sexe mais pas intégralement. Le soir, je l’ai léché jusqu’à la jouissance, un régal quoi.
C’est vrai ces gages ont reboosté notre libido. Pour un gage, j’ai également dû me faire épiler intégralement mon sexe et raie intégralement chez la même éstéticienne que Marie. Opération bandante pour moi et professionnelle pour Aline. Au retour, Marie m’a gratifié d’une fellation bien qu’elle n’apprécie pas trop cette pratique. Elle m’a dit
-sans poil, c’est plus agréable et je crois que je vais aimer à la longue si tu t’épiles régulièrement comme moi. Pour un autre gage, Marie devait à nouveau s’habiller comme au premier gage avec un petit plus qu’elle a dû lire avant d’entrer dans la salle. Elle devait me remettre son string de suite. Un regard à gauche, à droite, derrière et voilà que Marie ôte son string Je l’ai reniflé avant de le mettre en poche.
-mais tu mouilles comme la dernière fois Marie.
-eh oui Gilles, tous ses regards qui cherchent à voir mes seins que la veste ne cache à peine m’excite aussi. Comme toi à ce que je vois, tu as aussi une belle bosse.
Pendant huit jours, pas de gages, il faut bien se reposer un peu.
Et un soir, elle a envie de lancer un gage sur une partie de yatzee. Elle a perdu. Vous connaissez maintenant le rituel. Elle devait à nouveau lors de la prochaine sortie cinéma, porter sa veste que j’aime de plus en plus, une jupe plus courte plissée et des talons aiguilles. Elle m’a fait comprendre qu’elle sûrement plus l’âge de porter des jupes si courtes. Je l’ai rassuré, elle était adorable comme ça, qu’elle faisait plus jeune et avait des jambes qui supportaient de porter court.
-mais je n’ai plus de string ! Je me sens nue avec ces vêtements. Avec cette jupe, on verra tout quand je vais devoir me baisser ou si quelqu’un monte les escaliers derrière moi.
-Marie, un gage est un gage et il faut le réaliser. Souviens-toi des deux dernières fois, tu mouillais rien qu’en sentant le regard des mâles sur toi.
Et c’est vrai que Marie était bandante et j’étais fier de la tenir par la main.
Il y avait presque personne pour voir ce film et Marie allait s’installer dans une rangé vide. Je l’ai par contre entrainé dans une rangée occupée par un homme d’une soixantaine d’années. Je l’ai fait installer à côté de cet homme.
-Gilles tu exagères, je suis pratiquement nue, je ne pourrais pas rester comme ça pendant toute la séance.
J’ai tenté le tout pour tout en lui remettant un autre billet.
-j’ai déjà un gage. me dit-elle
Elle l’a quand même lu, s’est tourné avec son air interrogateur. J’ai fait mine de regarder le film et n’ai pas répondu à son interrogation. Son voisin n’arrêtait pas de la fixer du regard. Une belle vue sur ses seins, ses cuisses entièrement découvertes. Il bandait comme moi. Au bout de quelques minutes, Marie a commencé à écarter ses jambes et à se caresser discrètement. Elle m’a même fait goûter sa cyprine, preuve qu’elle mouillait et appréciait cette situation. Son voisin a posé une main sur les genoux de Marie et attendais une réaction de celle-ci. Marie s’est penchée et lui a fait une bise. Il en profité pour caresser l’intérieur de ses cuisses et toucher son sexe glabre. Il l’a branlé. Marie lui a demandé d’arrêter car elle allait jouir. Nous nous sommes eclipsés un peu avant du film. Je lui ai posé des questions sur son ressenti, de ce qu’elle pensait du voisin.
Elle a sauté à mon cou pour me remercier car elle a connu fort plein d’excitation et de frustrations. Le voisin, elle le trouvait charmant avec ses cheveux gris, en bonne forme et aimerais l’inviter chez nous pour boire un verre. Nous l’avons attendu, invité et s’est même permis de caresser les fesses nues de Marie quand nous rejoint la voiture. Il nous a suivi. Marie, dans la voiture m’avouait même qu’elle est chaude et avait envie de baiser et qu’elle est prête à réaliser mon fantasme.