Titre de l'histoire érotique : Comment j'utilise mon cul
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Comment j'utilise mon cul
Avec Pierre mon mari, nous envisageons d'aménager une pièce du sous-sol de notre pavillon en cuisine d'été pour être plus près de la terrasse ou nous recevons ou prenons notre repas quand il fait beau.
Dans ce but un samedi nous passons la journée à visiter des magasins spécialisés.
Dans l'un d'eux le gérant est plus intéressé par la vue de mes fesses quand ma jupe courte les dévoilent lorsque je me penche pour regarder l'intérieur d'un meuble bas ou d'un appareil électroménager exposé dans le magasin. Cela ne me dérange pas outre mesure et j'en conclus que ce doit être un chaud lapin.
Nous avons demandé des devis que je me charge de collecter au cours de la semaine suivante tout en résistant aux assauts des vendeurs désireux de conclure la vente pensant qu'une femme seule est plus vulnérable.
Comme je le pressentais je me fais ouvertement draguer par Lionel le gérant du magasin qui se préoccupe plus de mon anatomie que du matériel qu'il présente, peut être que pour lui cela fait partie de sa technique de vente.
Il est grand, blond avec des yeux que je qualifierais de vicieux. Son physique n'est pas déplaisant.
Ne voulant pas le décourager car j'ai décidé de profiter de la situation, je lui réponds par des sourires et des attitudes lui laissant espérer que ce qu'il attend de moi est possible.
Je reviens le voir quelques jours plus tard sous prétexte de demander des précisions. Tout en répondant à mes questions il me fait son numéro de charme.
Vêtue très sexy je lui montre que je ne suis pas insensible, en me penchant je le fais profiter de mon décolleté et en ayant l'air de ne pas m'en apercevoir, assise en face de lui, j'écarte les jambes pour qu'il se rince l'oeil en ayant une belle vue sur mon entre-jambes et mon string ce dont il profite sans se gêner.
Puis je lui dis que j'ai un devis plus intéressant chez un concurrent et que c'est dommage car ce qu'il propose me convient.
En prenant mon air de salope je le presse de faire preuve de bonne volonté en lui faisant miroiter que l'on peut s'entendre tous les deux, il me demande de revenir le voir après qu'il m'aie dit qu'il allait voir s'il peut "faire un petit quelque chose" concernant le devis.
Nouvelle visite chez le dragueur, il m'invite à boire un verre laissant le magasin aux mains de son vendeur et de sa secrétaire.
Installés à une table dans un bar la discussion est plus orientée sur le sexe que sur les produits qu'il vend. Je m'arrange pour qu'il revienne au sujet qui m'intéresse.
Il me parle d'options gratuites qu'il a ajoutées.
Sans le décourager, en caressant une de ses mains, je lui dis qu'il peut faire mieux car mon mari est plus enclin à accepter le devis d'un concurrent.
Je reviens donc encore le voir.
Lionel m'invite à entrer dans son bureau et ferme la porte.
Il s'approche de moi, passe un bras autour de mon cou et approche sa bouche de la mienne, je détourne la tête pour éviter le baiser.
<<ce n'est pas convenable, je suis mariée>>.
Mon attitude et mon sourire disent le contraire des paroles que je viens de prononcer.
<<ou est le mal entre adultes responsables et consentants.
<<pas comme ça et puis vous n'êtes pas très gentil avec moi>>.
<<si je suis compréhensif,je vous ai fais une remise>>.
Il me tend un nouveau devis que je consulte rapidement.
<<votre offre n'est pas assez intéressante, même une putain n'accepterait pas d'avoir une relation sexuelle pour si peu, vous me décevez alors que je commençais à me faire à l'idée que l'on pouvait passer des moments agréables ensemble, je crois qu'on va en rester là si vous ne pouvez faire mieux>>.
<<vous me demandez beaucoup>>.
<<la contrepartie n'est pas négligeable et vous en tirerez beaucoup de plaisir, c'est ce que vous cherchez si j'ai bien compris>>.
Effectivement lors de notre rencontre suivante il fait mieux et ce qu'il me propose devient intéressant.
Il m'invite dans un restaurant et pleure presque en me disant qu'il a rogné sur sa marge et que sans bénéfice il ne peut pas vivre.
Après le repas je monte dans sa voiture et ne me dérobe pas quand il m'enlace et que sa bouche se pose sur la mienne, j'accepte le baiser et ma langue se mêle à la sienne.
Il caresse mon corps par dessus mes habits j'en fais autant pour son pénis par dessus son pantalon.
Je retiens sa main qui veut s'insinuer sous mes vêtements.
<<pas ici>>.
<<on peut aller ailleurs>>.
<<pas aujourd'hui et avant il faut que je montre le nouveau devis à mon mari>>.
Il est déçu quand je le quitte après avoir pris l'initiative d'un dernier baiser.
Le lendemain je téléphone à Lionel pour l'informer que mon mari est intéressé par le devis mais qu'il a fixé un montant maximum à la dépense qu'il compte engager. En réalité Pierre ne sait rien de ce que je trame.
Le commerçant se montre réticent à la pensée de faire un nouvel éffort mais je sais qu'actuellement la conjoncture est difficile, les ventes ne sont pas bonnes et qu'il ne peut pas faire l'impasse sur une bonne vente.
Je lui propose un nouveau rendez-vous pour en parler qu'il accepte en bon mâle qui ne supporte pas qu'une femelle lui résiste.
Lionel m'attend dans sa voiture et démarre dès que je suis assise.
Nous roulons un moment et arrivés dans une forêt il s'engage dans un chemin et il stoppe le véhicule.
Je sais que je vais devoir commencer à payer de ma personne.
Il passe un bras autour de mon cou et m'embrasse, nos langues se battent comme deux chiens dans des baisers que je fais durer.
Il passe une main sous mon maillot et la promène sur ma poitrine par dessus mon soutien-gorge, je le laisse faire.
Enhardi par mon manque de réaction il déplace le vêtement qui le gêne puis caresse mes seins.
Pendant ce temps je caresse par dessus son pantalon sa queue que je sens bien gonflée par l'envie qu'il a de moi.
Nous sortons de l'auto et tout en m'embrassant il me plaque contre le capot.
Il descend la fermeture de son pantalon, en dégage difficilement son pénis gonflé qui se dresse fièrement. Il soulève ma jupe, écarte ma culotte et se colle contre moi.
Sa queue bute contre mon sexe, j'écarte les jambes et pose une main sur son membre que je dirige vers l'entrée de ma grotte dans laquelle il s'enfonce quand Lionel pèse de tout son corps.
Je passe mes bras autour de son cou pendant qu'il défonce ma chatte à grands coups de reins.
Il s'active pendant un petit moment puis son corps se raidit, sa verge tressaute pendant que du sperme éclabousse mon vagin.
Il se retire et s'essuie pendant que je rajuste ma culotte.
<<tu es content je t'ai donné ce que tu voulais>>.
<<j'aurais voulu plus>>.
<<ici ce n'est pas facile mais dans un endroit plus adapté ce serait différent>>.
<<ce serait beaucoup mieux dans une chambre d'hôtel>>.
<<je suis d'accord et je peux t'assurer que tu ne le regretteras pas>>.
Nous prenons le chemin du retour. Il me promet que si je me donne entièrement à lui en contrepartie il m'accordera ce que je lui réclame.
Deux jours plus tard il m'invite à déjeuner dans un bon restaurant.
Avec ma jupe courte en cuir noir, mes chaussures à talons hauts et mon chemisier suffisamment déboutonné pour qu'une partie de mes seins soit visible je lis l'envie dans ses yeux et le serveur passe souvent devant notre table pour se rincer l'oeil.
Au fur et à mesure que le temps passe il est de plus en plus excité. Je ne me presse pas pour finir mon repas afin de le faire languir.
Nous montons dans sa voiture, après un très long baiser il démarre direction un hôtel pour la partie de jambes en l'air.
Il avait réservé la chambre d'avance sur de son fait.
Après avoir récupéré une clé à la réception il me prend par le bras pour m'emmener vers la chambre.
Très pressé il est déjà allongé nu, le pénis bien dressé, avant que je n'aie retiré tous mes vêtements.
Il observe mon corps pendant que je le rejoins.
<<tu es belle>>.
Il me caresse partout et rapidement s'allonge sur moi, sa queue coulisse dans mon intimité et commence à y faire des aller-retour.
Je n'ai pas le temps de l'accompagner par des mouvements de mon bassin que je sens sa verge tressauter et que son sperme coule dans mon vagin.
Il se relève et va s'essuyer avec une serviette de toilette, j'en fais autant.
Il s'allonge sur le lit et à genoux entre ses jambes je caresse puis masturbe son pénis pour obtenir rapidement une érection, ensuite je lui fais une fellation qui dure un bon moment avant que son membre n'augmente encore de volume dans ma bouche et que sa semence n'éclabousse ma gorge.
Je continue à sucer pendant que son corps se trémousse et qu'il soupire beaucoup. Sa queue qui avait donnée des signes de faiblesse à repris de la vigueur.
Je me positionne au dessus de lui, mes jambes de chaque côté de son corps, avec une main je dirige sa verge vers l'entrée de ma chatte et en fléchissant les jambes je m'empale dessus.
Pendant qu'il caresse mes seins et torture les tétons je donne des coups de reins pour faire aller et venir son pieu dans mon ventre. Je remue pendant un bon moment et quand j'en ai assez je me retire.
Je me mets à genoux pour qu'il me prenne en levrette.
Une main s'égare du côté de mon anus, je la repousse.
<<pas maintenant, tu l'auras comme bonus quand la cuisine sera installée>>.
<<je préfèrerais maintenant, je suis accroc à la sodomisation>>.
<<tu as bien attendu pour me sauter alors encore un peu de patience>>.
Cela ne me dérange plus de me faire sodomiser depuis que j'y suis passée dans les épisodes "l'enfer".
Il introduit sa queue dans ma chatte et me défonce à grands coups de reins pendant que je caresse ses cuisses et triture ses testicules.
Après un temps qui m'a paru interminable il se soulage dans mon ventre puis s'allonge épuisé par l'effort.
Il va se laver et se rhabille, j'en fais autant.
Pendant le trajet de retour je lui donne un chéque correspondant au premier accompte pour les travaux à venir.
L'installation commence rapidement. Fabien et Laurent les deux employés de l'artisan qui s'occupe du chantier sont jeunes et sympathiques.
Donc je lui verse un deuxième accompte lors d'un passage au même hôtel que la première fois.
Il se montre un peu plus caressant mais pendant nos ébats il pense plus à assouvir ses envies ce que je m'évertue à faire en lui faisant une fellation ou il se soulage dans ma bouche et ensuite pour qu'il bande de nouveau et arrose une première fois mon vagin en me prenant allongé sur moi puis une deuxième fois ensuite quand j'oeuvre positionnée à califourchon sur lui.
Lionel vient voir l'évolution des travaux, il me parle d'un souci.
<<les ouvriers m'ont fait part de difficultés concernant les arrivées d'eau et d'électricité, ces points ont été mal estimés dans la prise de mesures initiales que nous avions faites, cela me cause un problème car le soutraitant va me demander une rallonge>>.
<<donnes leur ce qu'ils te demandent>>.
<<à cause de toi j'ai tiré les prix au maximum et je ne peux pas faire d'éffort supplémentaire>>.
<<si tu veux je m'occupe d'eux, je vais bien trouver un accord>>.
<<tu ne perds pas le nord, je ne crois pas qu'ils vont accepter un arrangement>>.
<<je verrais bien, ça ne coûte rien d'essayer>>.
Tous les jours ils mangent avec moi, cela leur permet d'économiser l'indemnité de repas que leur verse leur patron. J'ai remarqué que je ne leur déplaisais pas et souvent je sens leur regard qui se porte sur certaines parties de mon corps.
Pendant le repas du midi j'aborde le sujet.
<<vous avez fait part d'un problème à Lionel>>.
<<oui, on va devoir passer des heures en plus et on ne peut pas travailler gratuitement>>.
<<on peut s'arranger>>.
<<vous voulez nous payer nos heures sans que notre patron le sache>>.
<<oui mais pas comme vous l'entendez>>.
<<on ne comprend pas ce que vous voulez dire>>.
<<j'ai remarqué que vous me matez beaucoup et que je ne vous déplais pas>>.
<<vous avez raison, vous êtes jolie, mais ou voulez vous en venir>>.
<<je peux vous proposer mon corps, je pense que vous comprenez ce que je veux dire>>.
<<vous voulez coucher avec nous et nous payer en nature>>.
<<exactement si cela vous intéresse, je peux faire l'amour avec vous ensemble ou séparément>>.
<<c'est une drôle de proposition>>.
<<réfléchissez et donnez moi votre réponse ce soir>>.
Ils en parlent entre eux et acceptent, l'attrait de sauter une belle femme est le plus fort.
Deux jours plus tard après avoir fait l'amour avec Lionel je reste à l'hôtel et en fin d'après-midi comme prévu les deux ouvriers me rejoignent, je les fais entrer par la sortie de secours puis nous gagnons la chambre.
Tout en me déshabillant ils m'embrassent et me caressent puis me poussent sur le lit et continuent à mettre leurs mains partout sur mon corps après s'être dévétus eux aussi.
Une fois qu'ils sont un peu calmés je leur demande de s'allonger côte à côte et à genoux entre leurs jambes je lèche puis suce leurs queues passant de l'une à l'autre en m'occupant avec une main de celle qui n'est pas dans ma bouche.
J'y mets de l'ardeur et j'arrive rapidement à un résultat, ils éjaculent chacun leur tour dans ma gorge, j'avale tout en continuant un peu à sucer.
Je me positionne à genoux sur Laurent et fais pénétrer sa queue dans ma chatte et je demande à Fabien de se mettre derrière moi, je guide sa verge jusqu'à mon orifice anal ensuite avec son corps il exerce une poussée et son membre s'enfonce dans mon cul.
Ils donnent des coups de reins et je ressens fortement les va-et-vient dans mes orifices, je ferme les yeux et savoure le plaisir qui monte dans mon ventre.
Ils se soulagent dans mon corps et échangent leur place puis continuent à me défoncer.
Le plaisir que je ressens ne cesse pas d'augmenter et comme ils mettent plus de temps avant de jouir mon corps se tend, je suis prise de spasmes et j'atteins l'orgasme arrosant de ma mouillure Fabien qui est allongé sous moi. Ils continuent à remuer et finissent par arroser mon vagin et mes intestins de leur semence.
Je les masturbe et je suce leur queue jusqu'à ce qu'ils bandent de nouveau.
Ensuite couchée sur le dos puis à genoux ils me défoncent en se relayant tantôt la chatte tantôt le cul suivant leur envie. Mon plaisir est intense et comme les va-et-vient de leurs queues dans mes orifices durent très longtemps j'ai deux orgasmes avant qu'il ne jouissent en moi.
Allongée je mets un peu de temps à récupérer pendant qu'ils passent par la salle de bain.
Rhabillés nous quittons l'hôtel, ils sont ravis du moment passé avec moi et me disent que je peux compter sur eux pour les travaux supplémentaires.
Enfin le chantier est terminé et nettoyé, les ouvriers sont partis. Pierre mon mari qui est très méticuleux et Lionel font une inspection pour s'assurer de la bonne pose des meubles et de l'électroménager.
Mon mari règle le dernier accompte.
Le surlendemain je dois passer à la casserole une dernière fois.
Je retrouve Lionel à l'hôtel habituel.
Je lui fais une fellation et il jouit rapidement dans ma bouche.
ensuite après une brève pénétration de mon vagin sa queue me défonce avec vigueur le cul dans lequel il éjacule.
Nouvelle fellation puis il me sodomise de nouveau et ses coups de reins durent un bon moment avant qu'il ne se soulage de nouveau dans mes intestins.
Lavé et rhabillé il jubile en me parlant de ce qui vient de se passer car c'est rare que les femmes qu'il drague dans le cadre de son travail acceptent de coucher avec lui et encore moins de se faire enculer comme ça.
Il m'avoue que parfois il gonfle le devis puis le ramène à un prix normal quand une femme accepte de coucher avec lui croyant faire une bonne affaire. Il me dit aussi qu'avec moi il est tombé sur un os et que je sais manoeuvrer quand il s'agit d'argent.
C'était notre dernier rendez-vous car malgré sa demande insistante de passer de nouveaux moments ensemble je n'ai jamais donné suite.
Dans ce but un samedi nous passons la journée à visiter des magasins spécialisés.
Dans l'un d'eux le gérant est plus intéressé par la vue de mes fesses quand ma jupe courte les dévoilent lorsque je me penche pour regarder l'intérieur d'un meuble bas ou d'un appareil électroménager exposé dans le magasin. Cela ne me dérange pas outre mesure et j'en conclus que ce doit être un chaud lapin.
Nous avons demandé des devis que je me charge de collecter au cours de la semaine suivante tout en résistant aux assauts des vendeurs désireux de conclure la vente pensant qu'une femme seule est plus vulnérable.
Comme je le pressentais je me fais ouvertement draguer par Lionel le gérant du magasin qui se préoccupe plus de mon anatomie que du matériel qu'il présente, peut être que pour lui cela fait partie de sa technique de vente.
Il est grand, blond avec des yeux que je qualifierais de vicieux. Son physique n'est pas déplaisant.
Ne voulant pas le décourager car j'ai décidé de profiter de la situation, je lui réponds par des sourires et des attitudes lui laissant espérer que ce qu'il attend de moi est possible.
Je reviens le voir quelques jours plus tard sous prétexte de demander des précisions. Tout en répondant à mes questions il me fait son numéro de charme.
Vêtue très sexy je lui montre que je ne suis pas insensible, en me penchant je le fais profiter de mon décolleté et en ayant l'air de ne pas m'en apercevoir, assise en face de lui, j'écarte les jambes pour qu'il se rince l'oeil en ayant une belle vue sur mon entre-jambes et mon string ce dont il profite sans se gêner.
Puis je lui dis que j'ai un devis plus intéressant chez un concurrent et que c'est dommage car ce qu'il propose me convient.
En prenant mon air de salope je le presse de faire preuve de bonne volonté en lui faisant miroiter que l'on peut s'entendre tous les deux, il me demande de revenir le voir après qu'il m'aie dit qu'il allait voir s'il peut "faire un petit quelque chose" concernant le devis.
Nouvelle visite chez le dragueur, il m'invite à boire un verre laissant le magasin aux mains de son vendeur et de sa secrétaire.
Installés à une table dans un bar la discussion est plus orientée sur le sexe que sur les produits qu'il vend. Je m'arrange pour qu'il revienne au sujet qui m'intéresse.
Il me parle d'options gratuites qu'il a ajoutées.
Sans le décourager, en caressant une de ses mains, je lui dis qu'il peut faire mieux car mon mari est plus enclin à accepter le devis d'un concurrent.
Je reviens donc encore le voir.
Lionel m'invite à entrer dans son bureau et ferme la porte.
Il s'approche de moi, passe un bras autour de mon cou et approche sa bouche de la mienne, je détourne la tête pour éviter le baiser.
<<ce n'est pas convenable, je suis mariée>>.
Mon attitude et mon sourire disent le contraire des paroles que je viens de prononcer.
<<ou est le mal entre adultes responsables et consentants.
<<pas comme ça et puis vous n'êtes pas très gentil avec moi>>.
<<si je suis compréhensif,je vous ai fais une remise>>.
Il me tend un nouveau devis que je consulte rapidement.
<<votre offre n'est pas assez intéressante, même une putain n'accepterait pas d'avoir une relation sexuelle pour si peu, vous me décevez alors que je commençais à me faire à l'idée que l'on pouvait passer des moments agréables ensemble, je crois qu'on va en rester là si vous ne pouvez faire mieux>>.
<<vous me demandez beaucoup>>.
<<la contrepartie n'est pas négligeable et vous en tirerez beaucoup de plaisir, c'est ce que vous cherchez si j'ai bien compris>>.
Effectivement lors de notre rencontre suivante il fait mieux et ce qu'il me propose devient intéressant.
Il m'invite dans un restaurant et pleure presque en me disant qu'il a rogné sur sa marge et que sans bénéfice il ne peut pas vivre.
Après le repas je monte dans sa voiture et ne me dérobe pas quand il m'enlace et que sa bouche se pose sur la mienne, j'accepte le baiser et ma langue se mêle à la sienne.
Il caresse mon corps par dessus mes habits j'en fais autant pour son pénis par dessus son pantalon.
Je retiens sa main qui veut s'insinuer sous mes vêtements.
<<pas ici>>.
<<on peut aller ailleurs>>.
<<pas aujourd'hui et avant il faut que je montre le nouveau devis à mon mari>>.
Il est déçu quand je le quitte après avoir pris l'initiative d'un dernier baiser.
Le lendemain je téléphone à Lionel pour l'informer que mon mari est intéressé par le devis mais qu'il a fixé un montant maximum à la dépense qu'il compte engager. En réalité Pierre ne sait rien de ce que je trame.
Le commerçant se montre réticent à la pensée de faire un nouvel éffort mais je sais qu'actuellement la conjoncture est difficile, les ventes ne sont pas bonnes et qu'il ne peut pas faire l'impasse sur une bonne vente.
Je lui propose un nouveau rendez-vous pour en parler qu'il accepte en bon mâle qui ne supporte pas qu'une femelle lui résiste.
Lionel m'attend dans sa voiture et démarre dès que je suis assise.
Nous roulons un moment et arrivés dans une forêt il s'engage dans un chemin et il stoppe le véhicule.
Je sais que je vais devoir commencer à payer de ma personne.
Il passe un bras autour de mon cou et m'embrasse, nos langues se battent comme deux chiens dans des baisers que je fais durer.
Il passe une main sous mon maillot et la promène sur ma poitrine par dessus mon soutien-gorge, je le laisse faire.
Enhardi par mon manque de réaction il déplace le vêtement qui le gêne puis caresse mes seins.
Pendant ce temps je caresse par dessus son pantalon sa queue que je sens bien gonflée par l'envie qu'il a de moi.
Nous sortons de l'auto et tout en m'embrassant il me plaque contre le capot.
Il descend la fermeture de son pantalon, en dégage difficilement son pénis gonflé qui se dresse fièrement. Il soulève ma jupe, écarte ma culotte et se colle contre moi.
Sa queue bute contre mon sexe, j'écarte les jambes et pose une main sur son membre que je dirige vers l'entrée de ma grotte dans laquelle il s'enfonce quand Lionel pèse de tout son corps.
Je passe mes bras autour de son cou pendant qu'il défonce ma chatte à grands coups de reins.
Il s'active pendant un petit moment puis son corps se raidit, sa verge tressaute pendant que du sperme éclabousse mon vagin.
Il se retire et s'essuie pendant que je rajuste ma culotte.
<<tu es content je t'ai donné ce que tu voulais>>.
<<j'aurais voulu plus>>.
<<ici ce n'est pas facile mais dans un endroit plus adapté ce serait différent>>.
<<ce serait beaucoup mieux dans une chambre d'hôtel>>.
<<je suis d'accord et je peux t'assurer que tu ne le regretteras pas>>.
Nous prenons le chemin du retour. Il me promet que si je me donne entièrement à lui en contrepartie il m'accordera ce que je lui réclame.
Deux jours plus tard il m'invite à déjeuner dans un bon restaurant.
Avec ma jupe courte en cuir noir, mes chaussures à talons hauts et mon chemisier suffisamment déboutonné pour qu'une partie de mes seins soit visible je lis l'envie dans ses yeux et le serveur passe souvent devant notre table pour se rincer l'oeil.
Au fur et à mesure que le temps passe il est de plus en plus excité. Je ne me presse pas pour finir mon repas afin de le faire languir.
Nous montons dans sa voiture, après un très long baiser il démarre direction un hôtel pour la partie de jambes en l'air.
Il avait réservé la chambre d'avance sur de son fait.
Après avoir récupéré une clé à la réception il me prend par le bras pour m'emmener vers la chambre.
Très pressé il est déjà allongé nu, le pénis bien dressé, avant que je n'aie retiré tous mes vêtements.
Il observe mon corps pendant que je le rejoins.
<<tu es belle>>.
Il me caresse partout et rapidement s'allonge sur moi, sa queue coulisse dans mon intimité et commence à y faire des aller-retour.
Je n'ai pas le temps de l'accompagner par des mouvements de mon bassin que je sens sa verge tressauter et que son sperme coule dans mon vagin.
Il se relève et va s'essuyer avec une serviette de toilette, j'en fais autant.
Il s'allonge sur le lit et à genoux entre ses jambes je caresse puis masturbe son pénis pour obtenir rapidement une érection, ensuite je lui fais une fellation qui dure un bon moment avant que son membre n'augmente encore de volume dans ma bouche et que sa semence n'éclabousse ma gorge.
Je continue à sucer pendant que son corps se trémousse et qu'il soupire beaucoup. Sa queue qui avait donnée des signes de faiblesse à repris de la vigueur.
Je me positionne au dessus de lui, mes jambes de chaque côté de son corps, avec une main je dirige sa verge vers l'entrée de ma chatte et en fléchissant les jambes je m'empale dessus.
Pendant qu'il caresse mes seins et torture les tétons je donne des coups de reins pour faire aller et venir son pieu dans mon ventre. Je remue pendant un bon moment et quand j'en ai assez je me retire.
Je me mets à genoux pour qu'il me prenne en levrette.
Une main s'égare du côté de mon anus, je la repousse.
<<pas maintenant, tu l'auras comme bonus quand la cuisine sera installée>>.
<<je préfèrerais maintenant, je suis accroc à la sodomisation>>.
<<tu as bien attendu pour me sauter alors encore un peu de patience>>.
Cela ne me dérange plus de me faire sodomiser depuis que j'y suis passée dans les épisodes "l'enfer".
Il introduit sa queue dans ma chatte et me défonce à grands coups de reins pendant que je caresse ses cuisses et triture ses testicules.
Après un temps qui m'a paru interminable il se soulage dans mon ventre puis s'allonge épuisé par l'effort.
Il va se laver et se rhabille, j'en fais autant.
Pendant le trajet de retour je lui donne un chéque correspondant au premier accompte pour les travaux à venir.
L'installation commence rapidement. Fabien et Laurent les deux employés de l'artisan qui s'occupe du chantier sont jeunes et sympathiques.
Donc je lui verse un deuxième accompte lors d'un passage au même hôtel que la première fois.
Il se montre un peu plus caressant mais pendant nos ébats il pense plus à assouvir ses envies ce que je m'évertue à faire en lui faisant une fellation ou il se soulage dans ma bouche et ensuite pour qu'il bande de nouveau et arrose une première fois mon vagin en me prenant allongé sur moi puis une deuxième fois ensuite quand j'oeuvre positionnée à califourchon sur lui.
Lionel vient voir l'évolution des travaux, il me parle d'un souci.
<<les ouvriers m'ont fait part de difficultés concernant les arrivées d'eau et d'électricité, ces points ont été mal estimés dans la prise de mesures initiales que nous avions faites, cela me cause un problème car le soutraitant va me demander une rallonge>>.
<<donnes leur ce qu'ils te demandent>>.
<<à cause de toi j'ai tiré les prix au maximum et je ne peux pas faire d'éffort supplémentaire>>.
<<si tu veux je m'occupe d'eux, je vais bien trouver un accord>>.
<<tu ne perds pas le nord, je ne crois pas qu'ils vont accepter un arrangement>>.
<<je verrais bien, ça ne coûte rien d'essayer>>.
Tous les jours ils mangent avec moi, cela leur permet d'économiser l'indemnité de repas que leur verse leur patron. J'ai remarqué que je ne leur déplaisais pas et souvent je sens leur regard qui se porte sur certaines parties de mon corps.
Pendant le repas du midi j'aborde le sujet.
<<vous avez fait part d'un problème à Lionel>>.
<<oui, on va devoir passer des heures en plus et on ne peut pas travailler gratuitement>>.
<<on peut s'arranger>>.
<<vous voulez nous payer nos heures sans que notre patron le sache>>.
<<oui mais pas comme vous l'entendez>>.
<<on ne comprend pas ce que vous voulez dire>>.
<<j'ai remarqué que vous me matez beaucoup et que je ne vous déplais pas>>.
<<vous avez raison, vous êtes jolie, mais ou voulez vous en venir>>.
<<je peux vous proposer mon corps, je pense que vous comprenez ce que je veux dire>>.
<<vous voulez coucher avec nous et nous payer en nature>>.
<<exactement si cela vous intéresse, je peux faire l'amour avec vous ensemble ou séparément>>.
<<c'est une drôle de proposition>>.
<<réfléchissez et donnez moi votre réponse ce soir>>.
Ils en parlent entre eux et acceptent, l'attrait de sauter une belle femme est le plus fort.
Deux jours plus tard après avoir fait l'amour avec Lionel je reste à l'hôtel et en fin d'après-midi comme prévu les deux ouvriers me rejoignent, je les fais entrer par la sortie de secours puis nous gagnons la chambre.
Tout en me déshabillant ils m'embrassent et me caressent puis me poussent sur le lit et continuent à mettre leurs mains partout sur mon corps après s'être dévétus eux aussi.
Une fois qu'ils sont un peu calmés je leur demande de s'allonger côte à côte et à genoux entre leurs jambes je lèche puis suce leurs queues passant de l'une à l'autre en m'occupant avec une main de celle qui n'est pas dans ma bouche.
J'y mets de l'ardeur et j'arrive rapidement à un résultat, ils éjaculent chacun leur tour dans ma gorge, j'avale tout en continuant un peu à sucer.
Je me positionne à genoux sur Laurent et fais pénétrer sa queue dans ma chatte et je demande à Fabien de se mettre derrière moi, je guide sa verge jusqu'à mon orifice anal ensuite avec son corps il exerce une poussée et son membre s'enfonce dans mon cul.
Ils donnent des coups de reins et je ressens fortement les va-et-vient dans mes orifices, je ferme les yeux et savoure le plaisir qui monte dans mon ventre.
Ils se soulagent dans mon corps et échangent leur place puis continuent à me défoncer.
Le plaisir que je ressens ne cesse pas d'augmenter et comme ils mettent plus de temps avant de jouir mon corps se tend, je suis prise de spasmes et j'atteins l'orgasme arrosant de ma mouillure Fabien qui est allongé sous moi. Ils continuent à remuer et finissent par arroser mon vagin et mes intestins de leur semence.
Je les masturbe et je suce leur queue jusqu'à ce qu'ils bandent de nouveau.
Ensuite couchée sur le dos puis à genoux ils me défoncent en se relayant tantôt la chatte tantôt le cul suivant leur envie. Mon plaisir est intense et comme les va-et-vient de leurs queues dans mes orifices durent très longtemps j'ai deux orgasmes avant qu'il ne jouissent en moi.
Allongée je mets un peu de temps à récupérer pendant qu'ils passent par la salle de bain.
Rhabillés nous quittons l'hôtel, ils sont ravis du moment passé avec moi et me disent que je peux compter sur eux pour les travaux supplémentaires.
Enfin le chantier est terminé et nettoyé, les ouvriers sont partis. Pierre mon mari qui est très méticuleux et Lionel font une inspection pour s'assurer de la bonne pose des meubles et de l'électroménager.
Mon mari règle le dernier accompte.
Le surlendemain je dois passer à la casserole une dernière fois.
Je retrouve Lionel à l'hôtel habituel.
Je lui fais une fellation et il jouit rapidement dans ma bouche.
ensuite après une brève pénétration de mon vagin sa queue me défonce avec vigueur le cul dans lequel il éjacule.
Nouvelle fellation puis il me sodomise de nouveau et ses coups de reins durent un bon moment avant qu'il ne se soulage de nouveau dans mes intestins.
Lavé et rhabillé il jubile en me parlant de ce qui vient de se passer car c'est rare que les femmes qu'il drague dans le cadre de son travail acceptent de coucher avec lui et encore moins de se faire enculer comme ça.
Il m'avoue que parfois il gonfle le devis puis le ramène à un prix normal quand une femme accepte de coucher avec lui croyant faire une bonne affaire. Il me dit aussi qu'avec moi il est tombé sur un os et que je sais manoeuvrer quand il s'agit d'argent.
C'était notre dernier rendez-vous car malgré sa demande insistante de passer de nouveaux moments ensemble je n'ai jamais donné suite.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oh oui et quel salope...les femmes et surtout certaines en particulier sont des vraies garces...
J'espère que votre mari l'apprendra et qu'il vous le fera payer en se servant de la salope que vous êtes...comme une pute il devrait vous faire baiser et récupérer la tune devant vos yeux de putain...hum carrément bandant de l'imaginer....
J'espère que votre mari l'apprendra et qu'il vous le fera payer en se servant de la salope que vous êtes...comme une pute il devrait vous faire baiser et récupérer la tune devant vos yeux de putain...hum carrément bandant de l'imaginer....
hummmmmmm trop belle salope!!!!!
Dure en affaires,mais géniale dans le vice,je t'embrasse!
Rien que des étalons dans le bâtiment ?
Et un mari cocu par sa femme qui fait la putain...
Et un mari cocu par sa femme qui fait la putain...
salope tu es, salope tu resteras