Titre de l'histoire érotique : CONSULTATION A DOMICILE Episode 7 et fin : Thérapie espagnole
Récit érotique écrit par Carole [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2006 dans la catégorie A dormir debout
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Titre de l'histoire érotique : CONSULTATION A DOMICILE Episode 7 et fin : Thérapie espagnole
« C'est pas vrai !, dit Martine en reprenant son ton de petite fille boudeuse, il ne débande toujours pas, on ne vas pas y arriver ! »
« Ressaisis toi Martine, tu es une professionnelle, lui répondis-je, ne te laisse pas si facilement décourager, on vas y arriver, je sens qu'on est prêt du but ! »
« mais oui ! Dit-il à son tour, je sens que ça va déjà mieux, même si ça ne se voit pas encore, encore un petit effort et nous allons y arriver !»
Pour tout réponse, Martine se remets à fouiller dans ma sacoche, en quête d'un ustensile susceptible de le mener à la guérison. Elle en sort un gode double symétrique, avec une queue à chaque bout.
« ouah ! Sympa dit elle ! »
« Martine voyons, lui répondis je, il faut penser à notre patient ! »
« mais j'y pense ! », répondit elle, avant de me chuchoter son idée à l'oreille. Je la trouve excellente et nous décidons de la mettre en application tout de suite. Tout d'abord nous lui demandons de mettre une musique douce et lascive.
Nous commençons par nous préparer. En position de 69 sur le canapé nous nous bouffons longuement, mutuellement la cramouille pendant qu'il nous regarde en se branlant.
Puis nous nous asseyons l'une en face de l'autre, les jambes écartées. J'introduis alors une extrémité du gode dans la chatte de Martine puis je m'empale à mon tour sur l'autre extrémité. Nous nous rapprochons de plus en plus l'une de l'autre, accentuant la pénétration du gode dans nos moules et mettant ainsi nos seins en contact, qui roulent alors l'un sur l'autre. C'est alors que nous lui demandons de venir se placer entre nous. Je m'empare de sa bite et la place entre nos deux poitrines. Lentement, au rythme de la musique, nous malaxons son sexe entre nos deux paires de seins toutes chaudes. Parfois sa queue échappe à ce doux écrin, elle a alors droit à un coup de langue ou une caresse buccale avant d'être ramenée dans son nid douillet. Nos mains qui ne restent pas inactives courent sur ses fesses, caressent son anus et ses couilles. En même temps nous nous donnons des coups de hanche pour faire remuer le gode dans nos sexes, ce qui a pour effet de comprimer la quequette entre nos nibars. Cette double branlette espagnole dure longtemps, jusqu'à ce qu'enfin une fontaine de foutre jaillisse de sa queue pour nous inonder la poitrine. C'est alors que nous nous léchons les seins mutuellement pour pouvoir déguster encore sa semence, mets auquel nous sommes maintenant habituées mais dont nous ne nous lassons pas. Après avoir échangées toutes les deux un long baiser salé, nous nous tournons vers lui et vers sa queue qui enfin pend entre ses jambes.
« Tu vois Martine qu'il ne faut pas désespérer, dis-je à ma stagiaire, tu en verras d'autre dans ta carrière »
« Merci Docteur Carole, merci Martine, nous dis t'il, je me sens mieux maintenant, je vais pouvoir rentrer dans mon pantalon enfin ! »
Je lui fais son ordonnance pour la sécu et la mutuelle. Nous prenons congé car nous avons d'autre patients à visiter :
« Au revoir Monsieur, lui dis-je, à l'avenir, évitez le bois bandé mais bon, en cas de rechute, n'hésitez pas à nous appeler, ce sera toujours un plaisir ! »
Comme pour appuyer mon propos, Martine jette un dernier regard gourmand sur sa bite maintenant assagie, avant de refermer la porte derrière elle.
Une fois sur le palier je fais la leçon à Martine : « Je te signale que tu ne dois pas lui procurer à nouveau du bois bandé, c’est contraire à la déontologie ! »
Elle éclate de rire et tombe dans mes bras. Nos lèvres se cherchent se trouvent, et nous nous embrassons longuement.
Carole
« Ressaisis toi Martine, tu es une professionnelle, lui répondis-je, ne te laisse pas si facilement décourager, on vas y arriver, je sens qu'on est prêt du but ! »
« mais oui ! Dit-il à son tour, je sens que ça va déjà mieux, même si ça ne se voit pas encore, encore un petit effort et nous allons y arriver !»
Pour tout réponse, Martine se remets à fouiller dans ma sacoche, en quête d'un ustensile susceptible de le mener à la guérison. Elle en sort un gode double symétrique, avec une queue à chaque bout.
« ouah ! Sympa dit elle ! »
« Martine voyons, lui répondis je, il faut penser à notre patient ! »
« mais j'y pense ! », répondit elle, avant de me chuchoter son idée à l'oreille. Je la trouve excellente et nous décidons de la mettre en application tout de suite. Tout d'abord nous lui demandons de mettre une musique douce et lascive.
Nous commençons par nous préparer. En position de 69 sur le canapé nous nous bouffons longuement, mutuellement la cramouille pendant qu'il nous regarde en se branlant.
Puis nous nous asseyons l'une en face de l'autre, les jambes écartées. J'introduis alors une extrémité du gode dans la chatte de Martine puis je m'empale à mon tour sur l'autre extrémité. Nous nous rapprochons de plus en plus l'une de l'autre, accentuant la pénétration du gode dans nos moules et mettant ainsi nos seins en contact, qui roulent alors l'un sur l'autre. C'est alors que nous lui demandons de venir se placer entre nous. Je m'empare de sa bite et la place entre nos deux poitrines. Lentement, au rythme de la musique, nous malaxons son sexe entre nos deux paires de seins toutes chaudes. Parfois sa queue échappe à ce doux écrin, elle a alors droit à un coup de langue ou une caresse buccale avant d'être ramenée dans son nid douillet. Nos mains qui ne restent pas inactives courent sur ses fesses, caressent son anus et ses couilles. En même temps nous nous donnons des coups de hanche pour faire remuer le gode dans nos sexes, ce qui a pour effet de comprimer la quequette entre nos nibars. Cette double branlette espagnole dure longtemps, jusqu'à ce qu'enfin une fontaine de foutre jaillisse de sa queue pour nous inonder la poitrine. C'est alors que nous nous léchons les seins mutuellement pour pouvoir déguster encore sa semence, mets auquel nous sommes maintenant habituées mais dont nous ne nous lassons pas. Après avoir échangées toutes les deux un long baiser salé, nous nous tournons vers lui et vers sa queue qui enfin pend entre ses jambes.
« Tu vois Martine qu'il ne faut pas désespérer, dis-je à ma stagiaire, tu en verras d'autre dans ta carrière »
« Merci Docteur Carole, merci Martine, nous dis t'il, je me sens mieux maintenant, je vais pouvoir rentrer dans mon pantalon enfin ! »
Je lui fais son ordonnance pour la sécu et la mutuelle. Nous prenons congé car nous avons d'autre patients à visiter :
« Au revoir Monsieur, lui dis-je, à l'avenir, évitez le bois bandé mais bon, en cas de rechute, n'hésitez pas à nous appeler, ce sera toujours un plaisir ! »
Comme pour appuyer mon propos, Martine jette un dernier regard gourmand sur sa bite maintenant assagie, avant de refermer la porte derrière elle.
Une fois sur le palier je fais la leçon à Martine : « Je te signale que tu ne dois pas lui procurer à nouveau du bois bandé, c’est contraire à la déontologie ! »
Elle éclate de rire et tombe dans mes bras. Nos lèvres se cherchent se trouvent, et nous nous embrassons longuement.
Carole
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
un seul mot sufit a vous remercier de cette histoire
MAGNIPHIQUE
bisous a vous
WILLY
MAGNIPHIQUE
bisous a vous
WILLY