Titre de l'histoire érotique : Dans la Forêt de St Germain

- Par l'auteur HDS Patrice -
Récit érotique écrit par Patrice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Dans la Forêt de St Germain Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Dans la Forêt de St Germain
Dans la Forêt de St Germain


Il fallait bien que cela arrive…

Nous étions à peine arrivés dans le quartier, quand nous fûmes accueillit chaleureusement par des voisins charmants.
Nous avions pris l’habitude d’aller les uns chez les autres, invités pour des apéros ou bien des repas.
Nous nous rendions de menus services, toujours prêt à aider.
La voisine se prénommait Dominique et elle dégageait un charme dont possèdent certaines femmes épanouies.
On la sentait bien dans sa peau et au fur et à mesure, je me sentais irrésistiblement attiré par elle.
Elle était mince, de taille moyenne avec de beaux yeux verts.
Toutes les discussions étaient prétextes aux sous entendus concernant le sexe.
C’était devenu comme un jeu mais l’excitation montait de jours en jours.
Nous avions pris l’habitude de nous faire la bise comme de bons amis et à chaque contact, le trouble naissait.

Les occasions de nous retrouver seuls tous les deux étaient pratiquement nulles car il y avait toujours du monde chez moi ou chez elle.

Tout devais arriver par un beau jour d’avril.
Etant nouveau dans la région, je lui demandais si elle connaissait un coin pour cueillir du muguet.
Elle me dit que si je voulais, elle m’emmènerait demain pour me faire voir l’endroit dans la forêt de St Germain qu’elle connaissait et où il y avait les bruns de muguet.
Le lendemain, je la fis monter dans ma voiture pour l’emmener en direction de l’endroit qu’elle m’avait indiqué.
Pour la circonstance, elle avait mis une petite jupe courte et à peine assise à mes cotés dans la voiture, celle-ci remontait pour dévoiler de belles cuisses galbées.
Il faisait vraiment beau et le soleil « tapait » dur en cette belle journée de fin avril.
Elle portait un petit chemisier blanc et à travers, je voyais nettement les marques de son soutien-gorge et au centre de ses seins, je distinguais aussi la tâche brune de ses tétons.
Ah quelle chaleur ! fit elle en dégrafant le premier bouton de son chemisier.
Tu veux que je mette la clim ? Répondis-je aussitôt
Non c’est pas la peine, j’aime bien la chaleur ? Rétorqua-t-elle en se penchant vers l’arrière et en écartant légèrement ses cuisses.
Je devinais à travers l’étoffe du chemisier les deux petits bosses formés par les tétons.
Le simple fait d’être seul avec elle dans la voiture me procurait un plaisir qui commençait à m’envahir dans le bas ventre.
J’avais une formidable envie de la toucher et de la prendre dans mes bras.
Je n’osais bouger, parler et encore moins la toucher de peur de rompre le charme.
Patrice, tourne à droite et gare toi un peu plus loin ! Me dit-elle alors que nous arrivions près d’un chemin.
Bien Madame ! Répondis-je en souriant
A peine garé, elle voulut sortir de la voiture, mais n’étant pas habituée, elle éprouva quelques difficultés pour trouver la commande de la poignée.
Je fis rapidement le tour pour venir lui ouvrir (galanterie oblige)
Au moment de s’extraire, je pus voir ses belles cuisses s’écarter largement et me faire découvrir une petite culotte blanche.
Le spectacle était magnifique et mon regard s’attarda quelque peu sur ce lieu qui fit monter en moi un désir de plus en plus fort.
Bah alors Patrice, quand tu auras fini de regarder, tu me le diras ! J’étais confus et sûrement rouge de honte, mais tant pis.
Allez viens, suis moi, c’est par là ! Continua-t-elle en me prenant la main.
C’était la première fois qu’elle me prenait la main et cela me procura une agréable sensation.
Je sentais la douceur et la moiteur de sa peau et aussi quelques pressions de ses doigts qui ne me laissaient pas insensible.

Nous étions maintenant loin de la voiture et je lui demandais :
Dominique, c’est encore loin ton coin où il y a du muguet ?
Non non, c’est tout près maintenant ! répondit-elle
Effectivement, arrivée à proximité d’une clairière, les bruns de muguet nous attendaient.
Il y avait beaucoup de feuilles mais les plus beaux bruns, ceux qui avaient de belles clochettes bien blanches étaient cachés au milieu de nombreuses ronces.
Brusquement, j’entendis Dominique poussé un cri car elle venait de se prendre dans les ronces.
J’arrivais précipitamment auprès d’elle et lui demandais si ça allait.
Sa jambe avait une balafre où perlaient quelques gouttes de sang.
C’est pas grave, mais il faudrait désinfecter ! dit elle en s’appuyant sur mon épaule.
On n’a rien pour désinfecter ici ! Lui répondis-je
Tu n’as qu’à juste lécher la plaie ! Dit-elle en me regardant dans les yeux.
Je crus qu’elle rigolait en disant cela mais elle s’installa et s’essaya dans un coin rempli d’herbe et de mousse.
Allez fais pas de manière et viens près de moi ! Insista-t-elle en me faisant signe de venir.
Je fus rapidement près d’elle et mon sang battait déjà très fort dans mes tempes.
Je me mis face à elle qui me montrait sa jambe blessée au mollet.
Bientôt, ma bouche se posa sur sa peau douce comme de la soie et mes lèvres s’ouvrèrent pour lécher la plaie.
Le goût de sa peau était parfumée et son odeur sur le point de m’enivrer.
Le sang était plus acide mais pas désagréable du tout car je l’aspirais goulûment jusqu’à la dernière goutte.
Ta langue est douce et elle me fait du bien ! Me lança –t-elle soudainement.
Je relevais la tête vers elle pour la regarder mais sa tête était complètement renverser en arrière et ce que je voyais était vraiment au-delà de mes espérances.

En effet ses jambes étaient bien écartées et je voyais sa petite culotte blanche au fond de ses cuisses.
Tout en regardant, je continuait de pratiquer mes « soins » quelques peu perturbés par cette vision.
Du mollet, j’étais arrivé au genou que j’embrassais et léchais partout, sans oublier derrière le genou.
Elle poussait de petits gémissements de plaisir et des propos incompréhensifs.
Elle écartait de plus en plus les cuisses et je sentais mon sexe devenir de plus en plus dur.
Mes mains qui jusque là étaient restées inactives commencèrent à participer à l’action en caressant les jambes et les cuisses de Dominique.
Sa peau était douce et la caresse de mes mains la fit tressaillir surtout quand j’explorais l’intérieur de ses cuisses où sa peau était encore plus douce (du vrai satin).
Ma tête remonta alors un peu plus haut, sa jupe était maintenant complètement remontée et sa culotte toute dévoilée.
Mes mains se promenaient sur ses jambes et remontaient jusqu’aux cuisses, toujours plus haut.
Elle gémissait toujours et se cambrait pour venir au devant de mes caresses.
Tout à coup, n’y tenant plus, elle me prit la tête à deux mains pour venir la serrer entre ses cuisses.
J’avais le nez sur sa culotte et je respirais sa bonne odeur qui m’excitait à tel point que ma queue, de plus en plus dure n’avait plus de place dans mon jean serré.
J’attrapais ses deux fesses que je caressais avec douceur et je sentais la mince bande de tissu qui les séparait.
Oh Patrice que c’est bon ! Fit-elle en appuyant encore plus fort ma tête contre elle.
Tu vas me faire devenir folle ! Continua-t-elle


A travers le tissu je léchais cet endroit moite de désir et je sentais sous ma langue se dessiner le clitoris et la fente gorgée de plaisir.
J’étais dans un drôle d’état et l’excitation était à son comble, une de mes mains commença par écarter doucement la petite culotte qui fit apparaître une petite chatte bien appétissante.
De fines lèvres bien dessinées et ruisselantes de jus n’attendaient que j’y enfonce ma langue.
N’écoutant que mon instinct, je plongeais ma langue et mon nez dans cette grotte chaude et mouillée.
Le bout de ma langue tournoyait dans ce petit paradis pour remonter vers le petit capuchon qui paraissait bien excité.
Les petits coups de langue sur cet endroit arrachaient à Dominique des râles de bonheur qui me prenait maintenant les cheveux à pleine main.
Je suçais ce fruit, je léchais à grands coups de langue, je lapais comme un chien, j’enfouissais ma langue et mon nez au plus profond de cette petite chatte trempée et excitée.
Le clitoris était tendu et bien ferme sous ma langue et je le sentais qui se contractais.
Les mains de Dominique se crispaient maintenant dans ma chevelure et ses jambes se raidirent.
Elle était au bord de l’orgasme mais je voulais aussi prolonger ce plaisir et faire durer le moment tant attendu.
Alors, j’arrêtais un moment l’excitation du clitoris et lui mis mon doigt dans sa fente luisante.
Il entra comme dans du beurre tant la chatte était mouillée.
Oh moment de l’introduction, elle poussa un long soupir de soulagement.
Mon doigt allait et venait dans cet antre magique qui donne tant de plaisirs, tant de frissons.
Son corps s’arc-boutait pour donner la cadence en attendant le paroxysme.
Son souffle était maintenant de plus en plus fort quand je remis ma langue en action sur son clitoris, se fut le coup de grâce qui provoqua un spasme foudroyant et un cri de plaisir.

Nous ne bougions plus, en attendant l’accalmie, comme le calme après la tempête.

Puis ce fut Dominique qui demanda :
Viens maintenant, je veux aussi te donner du plaisir !
Nous étions maintenant assis tous les deux, je l’enlaçais comme j’avais voulu le faire bien plus tôt mais les circonstances ne l’avaient pas permis ainsi.
A peine son corps contre le mien, nos bouches se joignirent et nos lèvres s’ouvrirent afin que nos langues fassent plus ample connaissance.
Je sentais sa main qui caressait mon ventre et qui descendait vers mon jean.
Elle posait sa main sur mon sexe et elle me dit :
Oh je vois que je te fais de l’effet ! dit elle en dégageant ma ceinture et en ouvrant ma braguette.
Je sentis sa main caresser ma tige dressée à travers mon slip, puis la chaleur de ses doigts entoura mon sexe gonflé et prêt à exploser par le plaisir.
Doucement elle sortit ma tige brûlante et fit aller et venir la peau recouvrant mon gland inondé de plaisir.
D’une bouche goulue, Dominique avala ma queue presque en entier puis lécha mon gland avec délectation.
Elle caressait en même temps mes fesses et mes couilles bien pleines.
La jouissance était intense et j’avais envie de jouir dans la bouche de Dominique qui s’activait de plus en plus pour provoquer l’inévitable.
Je sentais monter en moi l’orgasme et je lui fis signe que j’allais bientôt exploser.
Mais elle continua de plus belle et je compris qu’elle voulait recevoir mon sperme dans sa bouche.
Un éclair illumina mes yeux, mes jambes furent parcourues par un frisson indescriptible.
Un jet arrosa le palais de Dominique qui gardait mon sexe entre ses lèvres.
Un deuxième encore plus puissant lui arrosa le fond de sa bouche.
Elle continua et bu jusqu’à la dernière goutte le produit du plaisir et de nos tendres ébats.
Elle avala le tout et nettoya ma queue avec soin.
J’étais terrassé mais ma queue était toujours raide ???

Après un bref moment de repos, je vis Dominique retirer sa culotte pour se caresser.
Je sentis une nouvelle vigueur me gagner et elle s’en aperçue :
Tu en veux encore et moi aussi ! dit elle
Oui je veux te prendre, comme tu veux ! Répondis-je aussitôt
Elle continuait à se caresser la chatte et j’avançais ma main pour la masturber.
Elle pris ma main pour la porter entre ses cuisses et je plongeais dans sa fente pleine de jus.
Mon autre main explorait maintenant sa poitrine, elle avait gardé son soutien gorge, je sentais à travers le chemisier la pointe de ses seins durcie.
Pendant qu’une main s’activais entre ses cuisses, je réussi à dégrafé son soutien gorge de l’autre.
Sa poitrine était menue et bien ferme, je jouais un peu avec ses tétons avec mes doigts puis j’aspirais comme un nouveau né les tétons bien raides par l’excitation.
Chacun leur tour, j’allais d’un sein à l’autre, léchant et aspirant la pointe bien dressée.
Elle gémissait de plaisir, c’était aussi un de ses points sensibles.
Elle avait relâché ma main qui s’occupait de sa chatte et caressait mon sexe revenu au « beau fixe ».
Puis elle me dit :
Maintenant prends moi !
Oui mets toi à quatre pattes, je verrais mieux ton beau petit cul ! Répondis-je
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle était là, offerte avec sa croupe tendue.
Je me mis derrière elle pour profiter de ce spectacle et jouir de ce moment.
Je m’installais la tête près de ses fesses que je caressais avec mes joues, mon nez et mon menton.
Je lui fis une grosse lichette sur la fente pour qu’elle soit encore plus juteuse puis je continuais à la lécher en direction de son petit trou.
La petite pastille était bien serrée et le bout de ma langue avait bien des difficultés à s’y introduire.
Mais au fur et à mesure des sensations procurer par ma langue sur cet orifice, celui-ci se décontracta pour accepter le passage de ma langue.
En même temps, mon doigt glissait aisément dans sa fente ruisselante.
Je salivais bien le petit trou afin de pouvoir glisser un doigt.

Allez vas y, baise moi ! Me supplia-t-elle
J’avançais alors ma queue raide comme un morceau de bois et je vins lui frotter sur l’entrée de sa chatte.
Mon gland aussi était trempé et glissait entre les lèvres frémissantes et sur le clitoris gonflé de plaisir.
Sa chatte vint à ma rencontre et mon sexe commença à s’enfoncer en elle.
Dominique cria de joie quand j’enfonça mon dard bien à fond, elle remuait sa croupe d’avant en arrière sans que j’eu besoin de bouger.
Le plaisir était grand pour nous deux surtout quand le doigt qui caressait depuis un moment sur son anus fut brusquement aspiré par celui-ci.
Ma queue dans sa chatte et mon doigt dans l’anus provoquèrent une sensation nouvelle qui m’excita vraiment.
Je sentais aussi des contractions de sa chatte autour de ma queue, comme un fourreau qui se resserre.
Ah que c’est bon ! dit elle en suffoquant.
Si tu veux, mets ta queue dans mon cul ! Continu-t-elle, déchaînée qu’elle était.
Je n’osais bouger de sa chatte, j’étais trop bien et les sensations étaient vraiment des plus agréables.
Mais l’envie de la prendre par cet endroit était aussi tentante et je me retirais doucement de cette douce chaleur.
Mon doigt allais et venais maintenant dans ce petit trou qui tout à l’heure était plus que serré.
Je retirais mon doigt pour le sucer et le remettre encore avec plus de salive pour faciliter le passage qui était déjà bien élargi.
A la place de mon doigt, je mis mon pouce qui fut englouti sans problème.
Mon index libéré s’engouffra tout naturellement dans sa chatte.
Mon pouce dans son cul et mon index dans sa chatte s’agitaient maintenant à une bonne cadence à laquelle répondais Dominique en allant et venant de la croupe.
Les gémissements qu’elle émettait étaient de plus en plus forts et je craignais que quelqu’un les entende.
Je sentais qu’elle était sur le point de jouir quand elle pris la main pour l’enfoncer encore plus loin en elle.
L’orgasme fut terrible et elle resta dans cette position totalement ouverte.
Elle m’attendait et quand elle senta ma queue à l’entrée de son petit cul elle émit un soupir de soulagement.
Mon gland, bien mouillé par l’excitation et la salive appuyait maintenant sur cet orifice qui s’ouvrait maintenant largement. Tout doucement, mon gland avançait et fut bientôt complètement avalé.
Son petit cul se distendait au passage de ma queue et Dominique semblait y trouver un plaisir particulier car maintenant, c’est elle qui reculait pour que je puisse mieux m’enfoncer en elle.
La vision était surréaliste, de voir ma queue ainsi engloutie dans cet orifice.
Mon sexe était encore plus serré et les sensations encore plus fortes car je sentais les contractions de ses sphincters autour de ma queue.
J’allais et venais dans ce lieu de plus en plus accueillant et bien huilé.
Je sentais monter en moi encore une fois cette sensation de bien être et cette envie de plaisir partagé.
J’avais envie de jouir en elle et de déverser ma semence
Elle avait aussi compris le message car elle me dit :
Tu peux jouir dans mon cul !
Fallait pas me le dire deux fois car après quelques instants, une véritable décharge électrique m’envahit et de puissant jets de sperme inonda l’intérieur du petit cul de Dominique qui ressentit elle aussi la chaleur de mon jus.

Les efforts avaient été intenses et nous nous écroulâmes comme des bêtes.
Après nous être longuement caressés et embrassés, nous nous sommes rajustés car le temps avait passé très vite.
Il était grand temps de rentrer avec nos malheureux brins de muguet.
Moi avec mes clochettes flétries mais joyeuses.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres belle histoire , simple et efficace

j'ai pris du plaisir a la lire



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