Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile. 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile. 1
Tuperware meurt en France. Est-ce la fin des réunions à domicile ? Internet qui tue certains produits imités, ne remplacera pas la vente de certains produits par des démonstrations convaincantes; surtout lorsqu’ils font l’objet de critiques en raison de leur nature. Pensez à tout ce qui a rapport au sexe. Quoi de mieux que de voir, toucher ou expérimenter avant de décider un achat de ce type? Derrière « lingerie féminine » se cachent souvent des surprises.
Une fois par semaine, le jeudi soir après le travail je vais à l’entraînement de foot. Parfois je suis convoqué le samedi ou le dimanche après-midi pour un match avec l’équipe réserve ou l’équipe première selon la décision du coach. J’ai épousé Manon, une supportrice de l’équipe ,il y a trois ans. Le dimanche elle assiste volontiers au match de l’équipe première. Le samedi elle préfère se consacrer aux tâches ménagères : lessive, repassage. Souvent le jeudi elle assiste à des ventes en réunions. Régulièrement elle annonce :
- Aujourd’hui, chez Yvonne, on nous présentera de la lingerie pour femmes.
Ou la semaine suivante :
- Chez Juliette, des produits d’entretien.
Ou, de semaine en semaine :
- Chez Claudine, chez Germaine, chez Martine suivent des produits multiples et variés, des boîtes de conservation pour congélateur par exemple. Heureusement Marion est économe. Elle achète surtout des sous-vêtements féminins. Elle a beaucoup ri, en exhibant dernièrement sa dernière acquisition : un vibromasseur ! Je m’attendais à tout, sauf à ça.
- Regarde chéri, comme c’est drôle et si bien imité. A un détail près on dirait ta verge en érection. Rigolo, non ?
- C’est quoi ce détail ? Qui manque à ton truc ou à ma queue?
- Ah ! Excuse-moi, je l’ai mal tourné : une tête de lapin avec des oreilles relevées pousse devant. Si j’appuie sur le fond, l’ensemble vibre. Ca me chatouille les mains. Tu sens ?
- Tu l’as acheté pour la ressemblance avec moi ou pour l’utiliser, tu as besoin de ce jouet ? Je ne te suffis plus?
- La démonstratrice a demandé qui en avait. Les autres ont levé la main, pas moi. Après elle a dit qu’en moyenne, il y a deux jouets par foyer. Aussi, me suis-je sentie obligée d’en acheter un quand quatre autres filles sur sept en ont pris. Comme c’était mon premier achat, j’ai bénéficié de 50% sur le prix et elle m’a remis gracieusement les piles. Pour moins de 25 euros, j’ai évité le ridicule devant l’assistance.
- Donc tu me jettes à la poubelle ? Tes copines vont penser que ton mari a des lacunes, manque de fantaisie ou est incapable de te faire jouir. Merci de me bâtir cette réputation de bon à rien.
- Chéri, imagine que tu partes en voyage d’affaires, je pourrai, sous la douche ou dans la baignoire, penser à toi et me sentir moins seule.
- Avez-vous eu droit à une démonstration ?
- Oh! Non. Mais il y a une garantie d’un an, satisfait ou remboursé. Qu’est-ce qui te chagrine ? Si, tu fais une tête bizarre. J’ai trop dépensé?
- Il ne s’agit pas de ça. Mais je regrette que tu réserves l’utilisation de ton objet pour mes périodes d’absences. J’aimerais voir si tu as autant de plaisir avec ton Rabbit vibrant qu’avec ton mari.
- Sûrement pas, mon amour, mais Clarisse la vendeuse prétend que beaucoup d’utilisatrices apprécient la douceur au toucher et la souplesse de ce lapin. De plus ses dimensions, dix-sept centimètres de long et trois de diamètre correspondent à ce que tu me proposes habituellement. En l’utilisant je ne penserai qu’à toi
- .Trouves-tu la comparaison flatteuse ? Je me sens rabaissé au niveau d’un objet sans âme. As-tu une autre surprise ?
- Ce n’est pas une surprise, c’est un complément indispensable, un tube de lubrifiant.
- J’attends avec impatience de voir comment tu vas l’utiliser. Ce soir ?
- Oui, pour te faire plaisir, mon chéri. A condition de terminer avec toi.
Après la toilette du soir, nous rejetons drap et couverture. Marion a enfilé une nuisette sexy achetée lors d’une réunion précédente. Je ne porte que ma veste de pyjama. Avec application elle verse quelques gouttes de lubrifiant sur le corps du jouet, fait coulisser sa main sur l’imitation de sexe viril et sur l’excroissance en forme de tête de lapin. Pour affronter la comparaison je me prends en main et je m’astique le pénis à la même allure. Marion m’observe par dessous, est heureuse de ma participation, elle place son jouet à côté du mien :
- J’ai bien choisi, ils se ressemblent vraiment. Veux-tu me lubrifier les lèvres ?
- Non ! Tu es sensée utiliser le lapin un soir de grande solitude. Tu te débrouilles seule. Je suis un curieux, une caméra, je vois, je n’aide pas.
- Oh! Oh! Tu n’oublies pas de te masturber ! Bon, ne t’inquiète pas, je vais y arriver.
Elle reprend son tube, mouille l’extrémité de ses doigts, s’allonge sur le dos, remonte ses talons sous ses fesses, ouvre ses genoux et va caresser sa chatte avec douceur. C’est un geste habituel : les doigts vont et viennent en surface, de la toison pubienne au plus loin entre les fesses. Ce geste a toujours sur moi un effet réflexe; quand je vois le majeur s’immiscer entre les lèvres comme un soc et tournoyer dans le bas de la vulve, quand le souffle de Marion à ce contact devient plus fort, entre mes doigts mon sexe durcit.
C’est encore le cas ce soir. Mais cette préparation ne m’est pas destinée. Dans la main gauche Marion tient le jouet, elle approche la pointe arrondie de ses lèvres, cherche la fente, y fait glisser le dos vers le bas, remonte le sillon, s’assure que l’emplacement est bien à sa portée. Son bras remonte devant ses yeux. Elle tient la base à deux mains, trafique avec ses doigts, réveille le tremblement endormi, me sourit et d’un air décidé renvoie le corps étranger sur son sexe, éprouve l’effet des vibrations sur ses grandes lèvres. Elle s’enhardit, présente la tête à l’entrée de son vagin
- Oh ! Ça chatouille. Il faut descendre progressivement. Encore. Oh !… c’est bon, tu sais. La pointe des oreilles touche le capuchon de mon clitoris. … mais, ce n’est pas possible ! C’est trop fort !
Trop fort ? On ne dirait pas, elle enfonce l’engin au maximum et lui imprime d’instinct le mouvement habituel de va et vient d’une queue d’homme. Elle se fait l’amour, ferme les yeux sur la montée de son plaisir, se laisse surprendre par le rythme des mouvements, par leur ampleur et par la vitesse des vibrations déchaînées par ses propres doigts. Elle se met à soulever ses fesses, ses reins, elle enfonce talons et épaules dans le matelas, cherche désespérément son souffle, pousse un cri et s’effondre subitement.
Le cylindre a complètement disparu, heureusement la base est trop large pour passer dans un vagin normal. Les oreilles du lapin à la retourne écrasent le clitoris. Marion, yeux clos, souffle comme une locomotive. Ses cheveux trempés de sueur collent sur son front. J’attends qu’elle retrouve ses esprits. Dans le feu de l’action je me suis masturbé, j’ai senti un grésillement formidable, mes nerfs se sont crispés et j’ai éjaculé sur la hanche la plus proche.
-Alors, tu as vu, chéri ? C’est fort, tellement fort. J’arrête le moteur. Mais… tu es tout rouge. Mon bassin est mouillé. Tu… tu as … Oh. Comme on s’est aimé, hein !
Je baisse les yeux et je compare. Son truc à deux têtes n’a pas bougé d‘un pouce, paraît toujours aussi long et large. Ma zigounette pendouille lamentable, ne supporte plus la comparaison. Je prends le lapin, je le pointe sur le trou de ma femme, je l’enfonce, je remets le moteur en marche, je le sors doucement, je donne le mouvement. Les deux mains de Marion s’emparent du moignon de vibromasseur encore visible. Je lui dis :
- Aimons-nous encore.
Et pendant que pour la deuxième fois elle grimpe au septième ciel, je vais prendre une douche. Je suis battu sur mon terrain Marion n’a plus besoin de moi. Y a-t-il un film à la télé ?
- Mais, Jean, où es-tu ? Que fais-tu ? Tu m’as laissée seule ?
- Seule ? Avec un lapin merveilleux et imbattable!
Tu avais promis…Quoi?
Je lui montre ma déroute. Elle me regarde atterrée.
- Mais comment as-tu fait ?
- J’ai deux mains pour me branler, ça marche sans pile et l’éjaculation est garantie. Le jeus’appelle « le cinq contre un » et ça permet de se passer de femme. Si un jour tu pars en voyage d’affaires, je me ferai plaisir en pensant à toi. Et l’avantage du système est intéressant : c’est gratuit. Jusque là je pensais que tu disposais gratuitement de l’équivalent.
Marion s’en va, revient, tape le lapin sur le rebord de fenêtre. Il plie mais ne rompt pas. Elle lui arrache ses piles. Il ne tremble plus. Pour combien de temps ? Elle l’attaque au couteau. Pauvre lapin innocent, il meurt coupé en deux.
- Viens dans ma bouche, mon amour.
Deux mains, deux lèvres, une langue, beaucoup de bonne volonté et trois ans de vie commune auront raison de ma déception : ce lapin a failli me rendre impuissant. Marion a pris soin de moi et je suis reparti sans piles. Elle préfère l’odeur de l’homme et mon poids sur son corps, dit-elle.
J'en suis ravi, mais un peu inquiet. Je me croyais "bon" au lit. Si en plus des tentateurs masculins, nos femmes recourent à ces vibreurs, masseurs si efficaces, elles pourront se passer de nous pour jouir. Et puis ces trucs ne seront pas poursuivis pour harcèlement sexuel.Ajoutez la pma et la gpa. Nous devrons acheter des poupées gonflables ? Misère. Merde! Un objet à ma place, quelle humiliation
Une fois par semaine, le jeudi soir après le travail je vais à l’entraînement de foot. Parfois je suis convoqué le samedi ou le dimanche après-midi pour un match avec l’équipe réserve ou l’équipe première selon la décision du coach. J’ai épousé Manon, une supportrice de l’équipe ,il y a trois ans. Le dimanche elle assiste volontiers au match de l’équipe première. Le samedi elle préfère se consacrer aux tâches ménagères : lessive, repassage. Souvent le jeudi elle assiste à des ventes en réunions. Régulièrement elle annonce :
- Aujourd’hui, chez Yvonne, on nous présentera de la lingerie pour femmes.
Ou la semaine suivante :
- Chez Juliette, des produits d’entretien.
Ou, de semaine en semaine :
- Chez Claudine, chez Germaine, chez Martine suivent des produits multiples et variés, des boîtes de conservation pour congélateur par exemple. Heureusement Marion est économe. Elle achète surtout des sous-vêtements féminins. Elle a beaucoup ri, en exhibant dernièrement sa dernière acquisition : un vibromasseur ! Je m’attendais à tout, sauf à ça.
- Regarde chéri, comme c’est drôle et si bien imité. A un détail près on dirait ta verge en érection. Rigolo, non ?
- C’est quoi ce détail ? Qui manque à ton truc ou à ma queue?
- Ah ! Excuse-moi, je l’ai mal tourné : une tête de lapin avec des oreilles relevées pousse devant. Si j’appuie sur le fond, l’ensemble vibre. Ca me chatouille les mains. Tu sens ?
- Tu l’as acheté pour la ressemblance avec moi ou pour l’utiliser, tu as besoin de ce jouet ? Je ne te suffis plus?
- La démonstratrice a demandé qui en avait. Les autres ont levé la main, pas moi. Après elle a dit qu’en moyenne, il y a deux jouets par foyer. Aussi, me suis-je sentie obligée d’en acheter un quand quatre autres filles sur sept en ont pris. Comme c’était mon premier achat, j’ai bénéficié de 50% sur le prix et elle m’a remis gracieusement les piles. Pour moins de 25 euros, j’ai évité le ridicule devant l’assistance.
- Donc tu me jettes à la poubelle ? Tes copines vont penser que ton mari a des lacunes, manque de fantaisie ou est incapable de te faire jouir. Merci de me bâtir cette réputation de bon à rien.
- Chéri, imagine que tu partes en voyage d’affaires, je pourrai, sous la douche ou dans la baignoire, penser à toi et me sentir moins seule.
- Avez-vous eu droit à une démonstration ?
- Oh! Non. Mais il y a une garantie d’un an, satisfait ou remboursé. Qu’est-ce qui te chagrine ? Si, tu fais une tête bizarre. J’ai trop dépensé?
- Il ne s’agit pas de ça. Mais je regrette que tu réserves l’utilisation de ton objet pour mes périodes d’absences. J’aimerais voir si tu as autant de plaisir avec ton Rabbit vibrant qu’avec ton mari.
- Sûrement pas, mon amour, mais Clarisse la vendeuse prétend que beaucoup d’utilisatrices apprécient la douceur au toucher et la souplesse de ce lapin. De plus ses dimensions, dix-sept centimètres de long et trois de diamètre correspondent à ce que tu me proposes habituellement. En l’utilisant je ne penserai qu’à toi
- .Trouves-tu la comparaison flatteuse ? Je me sens rabaissé au niveau d’un objet sans âme. As-tu une autre surprise ?
- Ce n’est pas une surprise, c’est un complément indispensable, un tube de lubrifiant.
- J’attends avec impatience de voir comment tu vas l’utiliser. Ce soir ?
- Oui, pour te faire plaisir, mon chéri. A condition de terminer avec toi.
Après la toilette du soir, nous rejetons drap et couverture. Marion a enfilé une nuisette sexy achetée lors d’une réunion précédente. Je ne porte que ma veste de pyjama. Avec application elle verse quelques gouttes de lubrifiant sur le corps du jouet, fait coulisser sa main sur l’imitation de sexe viril et sur l’excroissance en forme de tête de lapin. Pour affronter la comparaison je me prends en main et je m’astique le pénis à la même allure. Marion m’observe par dessous, est heureuse de ma participation, elle place son jouet à côté du mien :
- J’ai bien choisi, ils se ressemblent vraiment. Veux-tu me lubrifier les lèvres ?
- Non ! Tu es sensée utiliser le lapin un soir de grande solitude. Tu te débrouilles seule. Je suis un curieux, une caméra, je vois, je n’aide pas.
- Oh! Oh! Tu n’oublies pas de te masturber ! Bon, ne t’inquiète pas, je vais y arriver.
Elle reprend son tube, mouille l’extrémité de ses doigts, s’allonge sur le dos, remonte ses talons sous ses fesses, ouvre ses genoux et va caresser sa chatte avec douceur. C’est un geste habituel : les doigts vont et viennent en surface, de la toison pubienne au plus loin entre les fesses. Ce geste a toujours sur moi un effet réflexe; quand je vois le majeur s’immiscer entre les lèvres comme un soc et tournoyer dans le bas de la vulve, quand le souffle de Marion à ce contact devient plus fort, entre mes doigts mon sexe durcit.
C’est encore le cas ce soir. Mais cette préparation ne m’est pas destinée. Dans la main gauche Marion tient le jouet, elle approche la pointe arrondie de ses lèvres, cherche la fente, y fait glisser le dos vers le bas, remonte le sillon, s’assure que l’emplacement est bien à sa portée. Son bras remonte devant ses yeux. Elle tient la base à deux mains, trafique avec ses doigts, réveille le tremblement endormi, me sourit et d’un air décidé renvoie le corps étranger sur son sexe, éprouve l’effet des vibrations sur ses grandes lèvres. Elle s’enhardit, présente la tête à l’entrée de son vagin
- Oh ! Ça chatouille. Il faut descendre progressivement. Encore. Oh !… c’est bon, tu sais. La pointe des oreilles touche le capuchon de mon clitoris. … mais, ce n’est pas possible ! C’est trop fort !
Trop fort ? On ne dirait pas, elle enfonce l’engin au maximum et lui imprime d’instinct le mouvement habituel de va et vient d’une queue d’homme. Elle se fait l’amour, ferme les yeux sur la montée de son plaisir, se laisse surprendre par le rythme des mouvements, par leur ampleur et par la vitesse des vibrations déchaînées par ses propres doigts. Elle se met à soulever ses fesses, ses reins, elle enfonce talons et épaules dans le matelas, cherche désespérément son souffle, pousse un cri et s’effondre subitement.
Le cylindre a complètement disparu, heureusement la base est trop large pour passer dans un vagin normal. Les oreilles du lapin à la retourne écrasent le clitoris. Marion, yeux clos, souffle comme une locomotive. Ses cheveux trempés de sueur collent sur son front. J’attends qu’elle retrouve ses esprits. Dans le feu de l’action je me suis masturbé, j’ai senti un grésillement formidable, mes nerfs se sont crispés et j’ai éjaculé sur la hanche la plus proche.
-Alors, tu as vu, chéri ? C’est fort, tellement fort. J’arrête le moteur. Mais… tu es tout rouge. Mon bassin est mouillé. Tu… tu as … Oh. Comme on s’est aimé, hein !
Je baisse les yeux et je compare. Son truc à deux têtes n’a pas bougé d‘un pouce, paraît toujours aussi long et large. Ma zigounette pendouille lamentable, ne supporte plus la comparaison. Je prends le lapin, je le pointe sur le trou de ma femme, je l’enfonce, je remets le moteur en marche, je le sors doucement, je donne le mouvement. Les deux mains de Marion s’emparent du moignon de vibromasseur encore visible. Je lui dis :
- Aimons-nous encore.
Et pendant que pour la deuxième fois elle grimpe au septième ciel, je vais prendre une douche. Je suis battu sur mon terrain Marion n’a plus besoin de moi. Y a-t-il un film à la télé ?
- Mais, Jean, où es-tu ? Que fais-tu ? Tu m’as laissée seule ?
- Seule ? Avec un lapin merveilleux et imbattable!
Tu avais promis…Quoi?
Je lui montre ma déroute. Elle me regarde atterrée.
- Mais comment as-tu fait ?
- J’ai deux mains pour me branler, ça marche sans pile et l’éjaculation est garantie. Le jeus’appelle « le cinq contre un » et ça permet de se passer de femme. Si un jour tu pars en voyage d’affaires, je me ferai plaisir en pensant à toi. Et l’avantage du système est intéressant : c’est gratuit. Jusque là je pensais que tu disposais gratuitement de l’équivalent.
Marion s’en va, revient, tape le lapin sur le rebord de fenêtre. Il plie mais ne rompt pas. Elle lui arrache ses piles. Il ne tremble plus. Pour combien de temps ? Elle l’attaque au couteau. Pauvre lapin innocent, il meurt coupé en deux.
- Viens dans ma bouche, mon amour.
Deux mains, deux lèvres, une langue, beaucoup de bonne volonté et trois ans de vie commune auront raison de ma déception : ce lapin a failli me rendre impuissant. Marion a pris soin de moi et je suis reparti sans piles. Elle préfère l’odeur de l’homme et mon poids sur son corps, dit-elle.
J'en suis ravi, mais un peu inquiet. Je me croyais "bon" au lit. Si en plus des tentateurs masculins, nos femmes recourent à ces vibreurs, masseurs si efficaces, elles pourront se passer de nous pour jouir. Et puis ces trucs ne seront pas poursuivis pour harcèlement sexuel.Ajoutez la pma et la gpa. Nous devrons acheter des poupées gonflables ? Misère. Merde! Un objet à ma place, quelle humiliation
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La première parution sur un site date de 2012 ou 2013.
En septembre 2017 vous avez pu lire une autre reprise avec Marchand d'illusions. Une base commune, des auteurs...des histoires originales
En septembre 2017 vous avez pu lire une autre reprise avec Marchand d'illusions. Une base commune, des auteurs...des histoires originales
Pourquoi ce lecteur note-t-il 8/10? Que lui manque-t-il? Sa sévérité demande des explications autres que le fait de se payer un premium. Que n'apprécie-t-il pas?
J'ai publié sur le site en août 2017 un récit d'un même genre "Un VRP particulier" qui vendait à domicile des gadgets et vêtements érotiques ou coquins... cela partait du récit qu'une amie m'avait fait de cet après-midi très chaud... La connaissant bien, je me doute qu'elle et ses copines ne se sont pas contentées des jouets... cf Le Matou libertin.
elle est censée accentvous prie de l'excuser