Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 3
- « Au moins six semaines sans ballon, et encore ! » A dit le toubib
- Et ? Demande Marion.
- Footballeur au repos, mais homme en forme quand même. C’est la cheville, pas le sexe. De ce côté-là, tu n’auras pas à te plaindre, je suis bon pour le service. Je peux marcher. Avec des béquilles au début. Donc je peux travailler, on ira regarder le foot. Rien ne change pour moi, sauf le sport et les entraînements.
- Et pour moi ?
- De quoi souffres-tu ? Tu continues tes activités ordinaires, pourquoi changer ? Bien que…
- Quoi donc ?
-Tu auras un surplus de charge à domicile. L’énergie que je ne dépenserai pas sur le terrain cherchera une autre tssue, une autre façon de s’exprimer, tu comprends ?
-Ah ! C’est-à-dire ?
- Ton mari sera… j’aurai plus envie de faire l’amour. Tu seras plus mise à contribution. Est-ce fait pour te déplaire ?
C’est tout ? Un supplément d ‘amour sera reçu avec plaisir, mon amour. Merci si les actes confirment les intentions.
Elle dit ça comme si j’allais enfin être à la hauteur. Elle vient m’embrasser. Ma main vérifie discrètement la présence d’une culotte
- Qu’est-ce que tu crois ? Je ne tiens pas à m’enrhumer. Obsédé. Ta cheville te rend cochon. Je vois avec plaisir que tu ne souffres pas de la queue. Tu veux ce soir ? Viens, moi aussi j’ai envie.
Elle a poussé sa culotte du bout du gros orteil, elle quitte sa nuisette et m’apparaît dans la splendeur de ses vingt quatre ans. Après trois années de vie de couple, je suis toujours aussi ému à la vue de ces seins plantés fièrement, en forme de fruits, marqués par deux aréoles brunes de petit diamètre rayonnant autour de leurs tétons délicats. Et j’admire le dessin harmonieux de la taille et des hanches. Coquine, Marion garde les jambes fermées. Elle aime me laisser le plaisir de redécouvrir sous les bouclettes disciplinées de son pubis le rebond du haut de sa vulve, le capuchon discret de son clitoris puis la ligne de séparation sombre de ses grandes lèvres encore assemblées.
Allongée, pied contre pied, genou contre genou, elle attend que mes mains saisissent ses chevilles ou ses mollets et ouvrent l’angle de ses cuisses. A cet instant nos yeux se fixent; dans les siens le plaisir de se livrer répond à mon envie de séparer pour voir avant d’aller embrasser son intimité frémissante. C’est l’exquis moment de l’adoration de ce qui, après les traits aimés de son visage, après la charge amoureuse de son regard velouté et après son esprit vif, la fait femme à mes yeux, c’est l’instant privilégié de ce qui reste caché aux autres et n’est connu, aimé et honoré que de moi.
Ce soir mon désir est plus fort. Le souvenir de ma sueur froide dans le vestiaire du stade lorsque j’ai confondu la voix de Liliane et la sienne rend plus claire dans mon cœur la chance d’avoir épousé Marion et non sa sœur. J’ai craint de perdre l‘amour de ma vie, à tort j’ai soupçonnée mon épouse d’infidélité : j’ai honte de mes soupçons, je suis surtout heureux de m’être trompé. Et cette consolation fait de moi un mari plus amoureux que jamais. Avec une ferveur accrue j’embrasse la bouche qui m’attend puis je me penche avec passion sur le sexe conservé, délivré du lapin jeté à la poubelle et de ses tremblements diaboliquement mécaniques.
Marion frémit au contact de mes lèvres sur sa fente, sursaute parce que ma langue décolle ses grandes lèvres pour taquiner son clitoris. Enfin repue des caresses de ma bouche et de mes doigts, ma femme m’appelle en elle. Elle m’accueille, s’accroche à moi, me serre sur elle. C’est ma femme. Sa jouissance efface toutes mes craintes, je suis bienheureux, aimé, embrassé, enlacé par celle qui m’a choisi. C’est elle, c’est moi, c’est nous. Il n’y a pas de place pour Gérard. Je ne suis pas Joseph, Marion n’est pas Liliane, même si leurs voix sont si ressemblantes.
En dehors de mes activités sportives, je mène une vie normale, je travaille, je conduis ma voiture grâce à une attelle, à pied je me déplace avec des béquilles. Au lit Marion a trouvé plus prudent de me coucher sur le dos et de prendre le rôle le plus actif. Elle déclare perfectionner son art de la fellation. Je lui laisse tout le temps nécessaire pour lécher mes bourses, parcourir mon sexe sur ses longueurs, le polir ou le masturber, en sucer le gland ou l‘engloutir enrobé de sa salive. Je savoure, je suis moins impatient d’aboutir, je me réjouis de ses jeux buccaux exécutés dans l’exubérance.
Elle galope sur mon pénis, rit de ses essoufflements, m’embrasse amoureusement pendant une pose, mène un trot réparateur et s’emballe dans un nouveau galop plein de fougue, ponctué de petits cris excitants. J’adore ce chevauchement varié dont le couronnement provoque l’éjaculation dans un vagin traversé de convulsions et l’effondrement de la cavalière. Quoi de plus doux que l’abandon de ce corps qui me couvre et mélange sa sueur à la mienne. Je referme sur elle mes bras, les pointes de ses seins chatouillent mes pectoraux. Elle est mon trésor. J’aime ce regard mouillé par l’orgasme, ce visage rougi par l’effort de tout son corps et par la montée progressive de la jouissance. Elle inverse les rôles puisqu’elle occupe une position dominante, assise ou couchée sur moi et c’est elle qui déclare en riant:
- Alors, heureux ?
Ce tacle au foot aura été une bénédiction pour notre couple. Nous faisons l’amour plus souvent, tellement plus détendus. Un jour, Marion a replié ses jambes sous la poussée de mes mains, mes yeux se repaissent de la vue de son délicieux abricot, de ce gonflement des lèvres sous la toison et de l’apparition rose des nymphes au cœur de la vulve au moment où le fruit éclot. Dans l’émotion je m’exclame:
- Que tu es belle. J’ai tellement redouté les dégâts qu’aurait pu causer l’emploi intempestif de ton Rabbit. Merci encore de l’avoir jeté.
Marion passe ses doigts dans mes cheveux.
- Je sais, mon amour. Tu es mon seul amour. Mon corps n’appartient qu’à toi. Nous n’avons pas besoin de ces gadgets. Voilà ce qu’il me faut !
Elle a saisi mon membre et entame une masturbation, prélude à l’acte apaisant.
*
* *
Ce jeudi, je reviens du boulot. Devant notre maison, Marion m’attend sur le trottoir, appuyée à la voiture de Liliane.
- Mon chéri, ma sœur vient me chercher pour une démonstration de lingerie fine. Nous sommes pressées, tu trouveras à boire et à manger. Repose-toi, surtout. Je t’aime.
Liliane évite mon regard. Elle ne me fournira pas maintenant l’explication annoncée
- Vite Marion, mes invités doivent déjà m’attendre. A bientôt Jean. Samedi peut-être.
Marion ne relève rien. Le moteur tourne, la voiture démarre, je n’ai pas pu placer un mot. Liliane ? Je n’aime pas ça. Après le cadeau empoisonné du vibromasseur à tête de lapin et surtout depuis sa conduite adultère dans le vestiaire, je n’ai plus d’estime pour cette belle-sœur fantasque. Quel nouveau piège tend-elle à sa sœur ? Réussir à dévergonder ma femme serait une justification de sa liaison avec Gérard. Être à égalité, ravaler Marion à son niveau excuserait ses égarements. Et si elle réussissait à me mettre en tort, à trahir comme elle le fait, elle jubilerait d’avoir acquis une sorte d’immunité. Je lui serais soumis.
Il est terrible de prêter de telles intentions à un membre de la famille, mais cette Liliane ne m’apportera que des mauvaises surprises si je ne suis pas vigilant. Rejoindre Marion pour la protéger serait la bonne solution. Si réunion il y a, ce devrait être chez Liliane. Si danger il y a, c’est que Joseph ne sera pas chez lui. Le couple occupe un appartement à l’étage dans la maison des parents de Joseph. Mais j’aurai l’air de quoi dans une vente de petites culottes, de gaines ou de soutiens-gorge...Mieux vaut être ridicule une fois que doublementcocu. Une petite voix me souffle :
- Fais confiance à ta femme.
Une autre petite voix me chante :
- Prends garde à toi ! Méfie-toi de Liliane. Trop de permissivité ou d’hésitation ruinera ton couple. Défends toi, si tu aimes ta femme. Ne la laisse pas corrompre par sa sœur et une démonstratrice qui ne pense qu’au gain.
J’y vais ou je n’y vais pas ? J’hésite. Avec une demi-heure de retard je me mets en route. Plusieurs voitures stationnent près du domicile de Liliane. Je suis au bon endroit. La belle-mère de Liliane soigne ses fleurs dans un jardin que je traite de magnifique, elle me reconnaît sourit de contentement sous le compliment :
- C’est toi Jean. Tu cherches ta femme ? Elle est chez sa sœur, elles tiennent une réunion de froufrous. Ces petites femmes veulent toujours séduire davantage leurs maris. Ben nous n’avions pas besoin de ça pour faire des enfants ! Elles n’ont jamais assez de petit linge ! Viens, je te fais entrer par la cave. Tu n’auras qu’à monter à l’étage.
A l’étage la porte palière s’ouvre sans bruit. Joseph est très méticuleux, astique, graisse les gonds et les serrures : tout est bien entretenu. J’entre sans bruit. Le papotage des voix féminines est interrompu par une voix mâle.
La démonstratrice est un homme. Il a une voix bien connue !
- Mesdames, chères amies, ce soutien-gorge sans bretelles, sans couture, sans armature et sans crochets, au maintien parfait va révolutionner vos vies et magnifier votre silhouette. Je rappelle que le lot de 3 Bra dans les coloris choisis est en promotion à 39,90 euros seulement au lieu de cinquante. Qui commande ? Ho! Là, quel succès ! Cet article est la star de notre réunion. Quel bonheur, aujourd’hui je fais strike dans vos seins comme au bowling.
Ces dames gloussent comme chatouillées en ce point sensible.
- Je vous félicite, et vous me remercierez. Marlène, taille?… Amandine, taille ?… Marie, taille ? Véronique, Sylvie, Georgette! Etc… Marion, quoi? Du XXL 110 ? Excuse-moi, je plaisante. Tu hésites sur la taille. Viens là. Tu permets ?
Ils se connaissent, le tutoiement est de rigueur. Les rires fusent, je jette un œil et je comprends pourquoi. Marion est coincée entre la table et celui dont j’ai immédiatement reconnu la voix. Gérard, plaqué à son dos, bras passés par-dessous, soupèse à deux mains la poitrine d’une Marion toute rouge d’être ainsi publiquement tripotée. Les autres s’amusent. Gérard fait « pouetpouet » , se concentre, lâche et reprend en main, secoue la tête. Près de la porte l’une murmure à sa voisine.
- Tu penses, elle ne connaît pas sa taille ? Ce serait la première. Elle a surtout envie de se faire tâter et caresser, la rusée.
- C’est de famille, glisse l’autre. Tu connais Liliane !
C’est vraiment une réunion de bonnes amies.
- Claudine, veux-tu approcher, mets-toi à côté de Marion, que je compare.
Gérard est en face des deux jeunes femmes, lève ses mains, les pose sur le sein de l’une, sur le sein de l’autre:
- Oui, c’est du 85 M, pour les deux. Coloris?
Marion murmure. Gérard termine ses notes, relève la tête :
- Ce succès m’encourage à vous présenter ce qu’on fait actuellement de mieux. Ainsi s’achève la première partie. Permettez-moi d’adresser mes plus chauds remerciements à notre hôtesse. Elle s’est montrée particulièrement coopérative. Grâce à elle vous avez pu comparer les soutiens-gorge traditionnels et le BRA. Au passage, comme moi vous avez vu la tenue parfaite de sa poitrine et je vous demande de l’applaudir.
Brouhaha…
- C’est vrai, elle a une poitrine de déesse, dit la plus proche de la porte.
Gérard claironne :
- Bien entendu Liliane se voit offrir un lot à sa taille en plus de celui qu’elle commande.
Après la pose et le traditionnel café accompagné de brioche, Gérard s’éclaircit la voix et chuchote, comme une confidence :
- En promotion encore je vous présente un article tout à fait exceptionnel. Mais jurez-moi que cela restera entre nous. Ma carte de représentant multi cartes pourrait m’être retirée si l’on apprenait que je l’utilise pour vendre cet article. Devinez de quoi il s’agit, allez mes belles, devinez !
- Des cassettes pornos comme il y a un mois?
- Non. Encore
- De nouveaux accessoires ?
- Comme ?
-Des menottes ou des fouets ?
- Non. Oui, toi…
- De nouveaux vibromasseurs ?
- Tu brûles. Alors ? Vous voulez voir
- Oui, oui, oui, oui !
Elles répondent avec enthousiasme. Il fait la quasi unanimité. Marion me tourne le dos, qu’a-t-elle répondu ? N'empêche que les propos des autres renforcent mon envie de savoir si Gérard se contentera de palper les seins de ma femme ou si ces deux là ont une liaison.
- Et ? Demande Marion.
- Footballeur au repos, mais homme en forme quand même. C’est la cheville, pas le sexe. De ce côté-là, tu n’auras pas à te plaindre, je suis bon pour le service. Je peux marcher. Avec des béquilles au début. Donc je peux travailler, on ira regarder le foot. Rien ne change pour moi, sauf le sport et les entraînements.
- Et pour moi ?
- De quoi souffres-tu ? Tu continues tes activités ordinaires, pourquoi changer ? Bien que…
- Quoi donc ?
-Tu auras un surplus de charge à domicile. L’énergie que je ne dépenserai pas sur le terrain cherchera une autre tssue, une autre façon de s’exprimer, tu comprends ?
-Ah ! C’est-à-dire ?
- Ton mari sera… j’aurai plus envie de faire l’amour. Tu seras plus mise à contribution. Est-ce fait pour te déplaire ?
C’est tout ? Un supplément d ‘amour sera reçu avec plaisir, mon amour. Merci si les actes confirment les intentions.
Elle dit ça comme si j’allais enfin être à la hauteur. Elle vient m’embrasser. Ma main vérifie discrètement la présence d’une culotte
- Qu’est-ce que tu crois ? Je ne tiens pas à m’enrhumer. Obsédé. Ta cheville te rend cochon. Je vois avec plaisir que tu ne souffres pas de la queue. Tu veux ce soir ? Viens, moi aussi j’ai envie.
Elle a poussé sa culotte du bout du gros orteil, elle quitte sa nuisette et m’apparaît dans la splendeur de ses vingt quatre ans. Après trois années de vie de couple, je suis toujours aussi ému à la vue de ces seins plantés fièrement, en forme de fruits, marqués par deux aréoles brunes de petit diamètre rayonnant autour de leurs tétons délicats. Et j’admire le dessin harmonieux de la taille et des hanches. Coquine, Marion garde les jambes fermées. Elle aime me laisser le plaisir de redécouvrir sous les bouclettes disciplinées de son pubis le rebond du haut de sa vulve, le capuchon discret de son clitoris puis la ligne de séparation sombre de ses grandes lèvres encore assemblées.
Allongée, pied contre pied, genou contre genou, elle attend que mes mains saisissent ses chevilles ou ses mollets et ouvrent l’angle de ses cuisses. A cet instant nos yeux se fixent; dans les siens le plaisir de se livrer répond à mon envie de séparer pour voir avant d’aller embrasser son intimité frémissante. C’est l’exquis moment de l’adoration de ce qui, après les traits aimés de son visage, après la charge amoureuse de son regard velouté et après son esprit vif, la fait femme à mes yeux, c’est l’instant privilégié de ce qui reste caché aux autres et n’est connu, aimé et honoré que de moi.
Ce soir mon désir est plus fort. Le souvenir de ma sueur froide dans le vestiaire du stade lorsque j’ai confondu la voix de Liliane et la sienne rend plus claire dans mon cœur la chance d’avoir épousé Marion et non sa sœur. J’ai craint de perdre l‘amour de ma vie, à tort j’ai soupçonnée mon épouse d’infidélité : j’ai honte de mes soupçons, je suis surtout heureux de m’être trompé. Et cette consolation fait de moi un mari plus amoureux que jamais. Avec une ferveur accrue j’embrasse la bouche qui m’attend puis je me penche avec passion sur le sexe conservé, délivré du lapin jeté à la poubelle et de ses tremblements diaboliquement mécaniques.
Marion frémit au contact de mes lèvres sur sa fente, sursaute parce que ma langue décolle ses grandes lèvres pour taquiner son clitoris. Enfin repue des caresses de ma bouche et de mes doigts, ma femme m’appelle en elle. Elle m’accueille, s’accroche à moi, me serre sur elle. C’est ma femme. Sa jouissance efface toutes mes craintes, je suis bienheureux, aimé, embrassé, enlacé par celle qui m’a choisi. C’est elle, c’est moi, c’est nous. Il n’y a pas de place pour Gérard. Je ne suis pas Joseph, Marion n’est pas Liliane, même si leurs voix sont si ressemblantes.
En dehors de mes activités sportives, je mène une vie normale, je travaille, je conduis ma voiture grâce à une attelle, à pied je me déplace avec des béquilles. Au lit Marion a trouvé plus prudent de me coucher sur le dos et de prendre le rôle le plus actif. Elle déclare perfectionner son art de la fellation. Je lui laisse tout le temps nécessaire pour lécher mes bourses, parcourir mon sexe sur ses longueurs, le polir ou le masturber, en sucer le gland ou l‘engloutir enrobé de sa salive. Je savoure, je suis moins impatient d’aboutir, je me réjouis de ses jeux buccaux exécutés dans l’exubérance.
Elle galope sur mon pénis, rit de ses essoufflements, m’embrasse amoureusement pendant une pose, mène un trot réparateur et s’emballe dans un nouveau galop plein de fougue, ponctué de petits cris excitants. J’adore ce chevauchement varié dont le couronnement provoque l’éjaculation dans un vagin traversé de convulsions et l’effondrement de la cavalière. Quoi de plus doux que l’abandon de ce corps qui me couvre et mélange sa sueur à la mienne. Je referme sur elle mes bras, les pointes de ses seins chatouillent mes pectoraux. Elle est mon trésor. J’aime ce regard mouillé par l’orgasme, ce visage rougi par l’effort de tout son corps et par la montée progressive de la jouissance. Elle inverse les rôles puisqu’elle occupe une position dominante, assise ou couchée sur moi et c’est elle qui déclare en riant:
- Alors, heureux ?
Ce tacle au foot aura été une bénédiction pour notre couple. Nous faisons l’amour plus souvent, tellement plus détendus. Un jour, Marion a replié ses jambes sous la poussée de mes mains, mes yeux se repaissent de la vue de son délicieux abricot, de ce gonflement des lèvres sous la toison et de l’apparition rose des nymphes au cœur de la vulve au moment où le fruit éclot. Dans l’émotion je m’exclame:
- Que tu es belle. J’ai tellement redouté les dégâts qu’aurait pu causer l’emploi intempestif de ton Rabbit. Merci encore de l’avoir jeté.
Marion passe ses doigts dans mes cheveux.
- Je sais, mon amour. Tu es mon seul amour. Mon corps n’appartient qu’à toi. Nous n’avons pas besoin de ces gadgets. Voilà ce qu’il me faut !
Elle a saisi mon membre et entame une masturbation, prélude à l’acte apaisant.
*
* *
Ce jeudi, je reviens du boulot. Devant notre maison, Marion m’attend sur le trottoir, appuyée à la voiture de Liliane.
- Mon chéri, ma sœur vient me chercher pour une démonstration de lingerie fine. Nous sommes pressées, tu trouveras à boire et à manger. Repose-toi, surtout. Je t’aime.
Liliane évite mon regard. Elle ne me fournira pas maintenant l’explication annoncée
- Vite Marion, mes invités doivent déjà m’attendre. A bientôt Jean. Samedi peut-être.
Marion ne relève rien. Le moteur tourne, la voiture démarre, je n’ai pas pu placer un mot. Liliane ? Je n’aime pas ça. Après le cadeau empoisonné du vibromasseur à tête de lapin et surtout depuis sa conduite adultère dans le vestiaire, je n’ai plus d’estime pour cette belle-sœur fantasque. Quel nouveau piège tend-elle à sa sœur ? Réussir à dévergonder ma femme serait une justification de sa liaison avec Gérard. Être à égalité, ravaler Marion à son niveau excuserait ses égarements. Et si elle réussissait à me mettre en tort, à trahir comme elle le fait, elle jubilerait d’avoir acquis une sorte d’immunité. Je lui serais soumis.
Il est terrible de prêter de telles intentions à un membre de la famille, mais cette Liliane ne m’apportera que des mauvaises surprises si je ne suis pas vigilant. Rejoindre Marion pour la protéger serait la bonne solution. Si réunion il y a, ce devrait être chez Liliane. Si danger il y a, c’est que Joseph ne sera pas chez lui. Le couple occupe un appartement à l’étage dans la maison des parents de Joseph. Mais j’aurai l’air de quoi dans une vente de petites culottes, de gaines ou de soutiens-gorge...Mieux vaut être ridicule une fois que doublementcocu. Une petite voix me souffle :
- Fais confiance à ta femme.
Une autre petite voix me chante :
- Prends garde à toi ! Méfie-toi de Liliane. Trop de permissivité ou d’hésitation ruinera ton couple. Défends toi, si tu aimes ta femme. Ne la laisse pas corrompre par sa sœur et une démonstratrice qui ne pense qu’au gain.
J’y vais ou je n’y vais pas ? J’hésite. Avec une demi-heure de retard je me mets en route. Plusieurs voitures stationnent près du domicile de Liliane. Je suis au bon endroit. La belle-mère de Liliane soigne ses fleurs dans un jardin que je traite de magnifique, elle me reconnaît sourit de contentement sous le compliment :
- C’est toi Jean. Tu cherches ta femme ? Elle est chez sa sœur, elles tiennent une réunion de froufrous. Ces petites femmes veulent toujours séduire davantage leurs maris. Ben nous n’avions pas besoin de ça pour faire des enfants ! Elles n’ont jamais assez de petit linge ! Viens, je te fais entrer par la cave. Tu n’auras qu’à monter à l’étage.
A l’étage la porte palière s’ouvre sans bruit. Joseph est très méticuleux, astique, graisse les gonds et les serrures : tout est bien entretenu. J’entre sans bruit. Le papotage des voix féminines est interrompu par une voix mâle.
La démonstratrice est un homme. Il a une voix bien connue !
- Mesdames, chères amies, ce soutien-gorge sans bretelles, sans couture, sans armature et sans crochets, au maintien parfait va révolutionner vos vies et magnifier votre silhouette. Je rappelle que le lot de 3 Bra dans les coloris choisis est en promotion à 39,90 euros seulement au lieu de cinquante. Qui commande ? Ho! Là, quel succès ! Cet article est la star de notre réunion. Quel bonheur, aujourd’hui je fais strike dans vos seins comme au bowling.
Ces dames gloussent comme chatouillées en ce point sensible.
- Je vous félicite, et vous me remercierez. Marlène, taille?… Amandine, taille ?… Marie, taille ? Véronique, Sylvie, Georgette! Etc… Marion, quoi? Du XXL 110 ? Excuse-moi, je plaisante. Tu hésites sur la taille. Viens là. Tu permets ?
Ils se connaissent, le tutoiement est de rigueur. Les rires fusent, je jette un œil et je comprends pourquoi. Marion est coincée entre la table et celui dont j’ai immédiatement reconnu la voix. Gérard, plaqué à son dos, bras passés par-dessous, soupèse à deux mains la poitrine d’une Marion toute rouge d’être ainsi publiquement tripotée. Les autres s’amusent. Gérard fait « pouetpouet » , se concentre, lâche et reprend en main, secoue la tête. Près de la porte l’une murmure à sa voisine.
- Tu penses, elle ne connaît pas sa taille ? Ce serait la première. Elle a surtout envie de se faire tâter et caresser, la rusée.
- C’est de famille, glisse l’autre. Tu connais Liliane !
C’est vraiment une réunion de bonnes amies.
- Claudine, veux-tu approcher, mets-toi à côté de Marion, que je compare.
Gérard est en face des deux jeunes femmes, lève ses mains, les pose sur le sein de l’une, sur le sein de l’autre:
- Oui, c’est du 85 M, pour les deux. Coloris?
Marion murmure. Gérard termine ses notes, relève la tête :
- Ce succès m’encourage à vous présenter ce qu’on fait actuellement de mieux. Ainsi s’achève la première partie. Permettez-moi d’adresser mes plus chauds remerciements à notre hôtesse. Elle s’est montrée particulièrement coopérative. Grâce à elle vous avez pu comparer les soutiens-gorge traditionnels et le BRA. Au passage, comme moi vous avez vu la tenue parfaite de sa poitrine et je vous demande de l’applaudir.
Brouhaha…
- C’est vrai, elle a une poitrine de déesse, dit la plus proche de la porte.
Gérard claironne :
- Bien entendu Liliane se voit offrir un lot à sa taille en plus de celui qu’elle commande.
Après la pose et le traditionnel café accompagné de brioche, Gérard s’éclaircit la voix et chuchote, comme une confidence :
- En promotion encore je vous présente un article tout à fait exceptionnel. Mais jurez-moi que cela restera entre nous. Ma carte de représentant multi cartes pourrait m’être retirée si l’on apprenait que je l’utilise pour vendre cet article. Devinez de quoi il s’agit, allez mes belles, devinez !
- Des cassettes pornos comme il y a un mois?
- Non. Encore
- De nouveaux accessoires ?
- Comme ?
-Des menottes ou des fouets ?
- Non. Oui, toi…
- De nouveaux vibromasseurs ?
- Tu brûles. Alors ? Vous voulez voir
- Oui, oui, oui, oui !
Elles répondent avec enthousiasme. Il fait la quasi unanimité. Marion me tourne le dos, qu’a-t-elle répondu ? N'empêche que les propos des autres renforcent mon envie de savoir si Gérard se contentera de palper les seins de ma femme ou si ces deux là ont une liaison.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Au lit, le mari retrouve l'envie de faire l'amour à sa femme. Il est bien accueilli. tout va bien. Mais la hâte de partir avec la soeur fait renaître les questions. La suite montre que le mari a bien fait de suivre et de vérifier que tout n'est pas clair : prendre les seins en main pour connaître la taille des bonnets de soutien gorge, c'est osé. Et ce vendeur ne vend pas que de la lingerie apparemment. Il y a de quoi étonner ce mari.
Ha! Les petites voix s'y mettent aussi pour faire douter!
Quand on a la main on est capable de tout mesurer