Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 6 je la croyais vertueuse... elle refusait la douleur
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Démarcheur à domicile 6 je la croyais vertueuse... elle refusait la douleur
………………….un ange passe
- Que m’a raconté ta soeur? Ta sœur ment-elle ? Accommode-t-elle la vérité ? La question ne s’adresse pas à Liliane pour l’instant. Revenons à notre sujet. As-tu reçu Gérard ici, avant moi ? Oui, non ? Ce séducteur qui n’a pas peur d’entrer chez Joseph pour s’envoyer Liliane, est-il venu chez moi en mission de reconnaissance, pour une réunion tenue secrète avec vente de jouets sexuels ou pour te câliner, pour une livraison de son sublime sirop de corps d’homme ?
- Je t’interdis de me soupçonner. Il n’est pas mon amant, il ne le sera jamais.
- Fontaine, je ne boirai pas de ton eau ? Réponse trop précipitée, mais hors sujet. Connaissait-il déjà l’appartement ?
- Tu es injuste. Oui, il est venu ici une fois. Ma sœur a voulu me le présenter. Oui je lui ai offert une bière. Il nous suivait partout, toujours une main sur l’épaule ou la hanche de « son amour ».
- Leur as-tu prêté notre lit ? As-tu protégé leurs ébats ? Y as-tu pris part ?
- Je te jure que non. Enfin, la chambre et le lit, une fois seulement. et à deux !
- J’en apprends des choses. Dans quel but ta sœur te présente-t-elle ce Gérard ? Voudrait-elle que tu tombes amoureuse de lui ? Veut-elle lui trouver une remplaçante sérieuse pour ses périodes d’indisponibilité lors de ses règles ? Sa sœur, toi, lui rendrait un petit service, assurerait un dépannage. Gérard le libertin lui a-t-il demandé de lui fournir des jeunes femmes appétissantes pour satisfaire ses grandes pulsions sexuelles ? T’es tu masturbée en les écoutant roucouler quand tu les hébergeais à mon insu? . Quand donneront-ils la prochaine représentation. Deviendras-tu actrice dans leur troupe ?
- Qu’est-ce que j’en sais ? Tu es odieux .
- Pourtant ce soir, tu devrais te poser la question. Ce soir la question devrait te tourmenter.
- Comme ça, ce soir ? Pourquoi, je ne comprends pas. Je ne vois pas… ce soir est-il particulier ?
- Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Tu as oublié les événements du jour ?, il y va de notre couple, ce soir .
- Oui, mais que dois-je inventer pour te plaire ?
- C’est facile, raconte-moi comment s’est déroulée la réunion de ce soir. Il y a matière à réflexion peut-être.
- Je veux bien. Nous étions nombreuses. Gérard a présenté une nouveauté. En réalité je l’avais déjà vue sur des sites de vente à la télé. Le premier avantage de la vente en réunion, c’est qu’on peut voir, toucher et essayer.
- Voilà, tu reviens cul nu parce que tu as essayé une petite culotte et tu as oublié de reprendre la tienne. Et moi je veux voir, toucher et essayer. Cela t’offusque. Moi ça me sidère de te toucher un sexe nu. Quelqu’un te l’a volée ta culotte? Gérard, l’autre fois, à la douche, a obtenu celle de ta sœur en cadeau pour pouvoir la humer. Lui as-tu offert la tienne pour l‘exciter? Chaque participante lui a peut-être laissé la sienne en souvenir ? J’imagine le tableau :
« Gérard, prenez la mienne, je la porte depuis huit jours, vous la reconnaîtrez à l’odeur parmi les autres. »
- Que tu peux être bête mon Jean !!! Non le niveau est meilleur. Tu me fais rire. Mais
- Mais comment as-tu perdu ta culotte ? Continue, en racontant tu découvriras comment une honnête femme peut être dépouillée de sa culotte sans s’en rendre compte. Ce n’est pas banal.
- Le deuxième avantage…
- Attends, restons sur le premier: on voit, on touche, on essaie. Quel objet as-tu vu, touché, essayé avant de l’adopter?
- Un soutien-gorge.
- Ce n’est pas une nouveauté. C’est juste un prétexte à étaler sa poitrine ! Tiens, je vois fort bien ta sœur en train d’exhiber ses gros nibards pour les faire admirer de toutes et accessoirement de son amant bandeur, pardon, vendeur.
- Chéri tu as un don. C’est arrivé comme tu le dis. Mais la nouveauté est réelle. Il s’agit d’un soutien-gorge sans couture, sans bretelle
- Tu vas le perdre comme ta culotte ! Tu finiras au commissariat si tu perds tes habits. Gérard bandait ?
- J’arrête ? …calme-toi. Ni couture, ni bretelles, ni crochets mais dans une matière nouvelle, un rêve. Et en promotion, le lot de trois pour un prix exceptionnel, moins cher qu’à la télé et sans frais de livraison. Je n’ai pas résisté, j’ai commandé
- Après avoir essayé j’espère. Les autres ont admiré ta poitrine ?
- Entre femmes où est le problème ? Mais j’étais passée dans la cuisine à cause de Gérard.
- Tu as un reste de pudeur ! Bien ma chérie. Après tout, sur les plages en été, quelques résistantes défient le soleil et le cancer du sein. Et puis on a les FEMEN dans les défilés. Tu as pris un lot, de quelle taille ?
- Du 85, ne ris pas, tu les trouves touchants, mignons, émouvants mes jolis petits seins
Je me lève, je la conduis à la table de la salle à manger, je lui cale le ventre contre le plateau en me serrant contre elle, je passe mes bras sous les siens, j’empoigne ses seins, je les malaxe, jusqu’à sentir les tétons s’ériger
- Tu connais ta taille maintenant ? Il y a des appareils de mesure ? Les mains ou la bouche de Gérard par exemple.
- Mais… drôle de question. Tu as discuté avec les premières qui sont sorties?
- Eh! Oui, ce sont des bavardes, elles étaient scandalisées par l’audace de l’homme et par la complaisance de la sœur de l’hôtesse ? Toutes ne me connaissaient pas, je leur ai simplement demandé pourquoi elles riaient si joyeusement et j’ai eu droit à un récit détaillé : Gérard frottant son érection entre tes fesses et te faisant rougir de plaisir grâce à un massage long , appliqué et simultané de ta poitrine et de ta croupe. Tout ça parce que tu prétendais ignorer ce que toute fille normale ou femme sait. Tu t’es fait remarquer. Je t’épargne les commentaires de ces jalouses, sur l’art de dissimuler l’ignorance de détails élémentaires pour se faire tripoter publiquement sans avoir à rougir.
Prêcher le faux pour connaître le vrai ? Je n’en ai pas besoin puisque j’ai vu la scène. Elle m’a suggéré l’intervention des acheteuses, je m’en sers.
- Et c’est pour acheter un lot de trois soutiens-gorge que vous avez tenu une réunion aussi longue ? Il n’avait rien d’autre à refiler contre un chèque ton Gérard?
- On a bu le café, mangé de la brioche et discuté. Ce n’est pas « mon » Gérard.
- Il a quand même couché et baisé dans tes draps. Ne serait-il pas le seul à utiliser mon pieu pour ses galipettes?
- Personne d’autre, je le jure.
- Tu as donc pour lui des égards exceptionnels. Lui, oui, les autres, non! Tu l’as à la bonne ton vendeur de lingeries et jouets à moteurs en tout genre .
- C’est le Gérard de ma sœur, pas le mien. Ne t’avise pas de raconter des sottises pareilles.
- Je sais, c’est la coutume entre sœurs: Je te prête mon lit, tu me prêteras le tien. Et pourquoi iras-tu te prélasser dans les draps de ta sœur. Ce ne sera pas avec moi, avec qui? C’est la question. On peut échanger les amants comme les lits.
Elle se renfrogne. Elle doit penser à ce qui lui est arrivé aujourd’hui chez sa sœur, sur le lit de Liliane.
- Dans la douche, l’autre jour, Gérard avait annoncé à Liliane un objet curieux, attends, un œuf vibrant, oui un œuf vibrant. Il ne l’avait pas ce soir? J’aurais aimé apprendre comment on peut faire une omelette avec un œuf vibrant. D’ailleurs ces dames riaient aussi d’en avoir vu et même d’avoir senti vibrer l’œuf dans leurs mains et, sommet de la démonstration, dans le giron d’une des sœurs « Sans Gêne ».
Marion pâlit. Elle se lève
- Je vais aux W. C. et je me rafraîchis le visage. Attends-moi, je reviens
- Que dirais-tu d’une bonne douche ? Certaines femmes se sentent sales lorsqu’elles ont eu des contacts sexuels et ne cessent de se laver espérant se refaire une virginité après un viol ou une tentative de viol.
Toute pâle à l’évocation à peine voilée de son aventure avec Gérard, Marion court aux toilettes, vomit. J’y suis allé un peu fort, mais je veux crever l’abcès et mettre fin aux initiatives de Liliane pour fournir de la viande fraîche à son amant. J’entends encore Gérard rager : « Je l’aurai ». Ce n’est pas rassurant pour l’avenir. Autant prévenir que guérir.
Marion titube, va s’asseoir et demande grâce pour ce soir. Elle est fatiguée et voudrait dormir.
Je décide d’abréger.
- Je serai bref. En réalité je suis monté à l’étage. Je suis arrivé quand Gérard prenait la mesure de tes bonnets. J’ai tout vu jusqu’à la fin et presque tout entendu. Vous êtes allés à trois dans la chambre à coucher, j’ai été contraint de me cacher dans le dressing.
- Non, ce n’est pas possible ! Alors pourquoi me tortures-tu avec tes questions puisque tu sais tout? Non, ce n’est pas possible, tu essaies de me tirer les vers du nez en jouant à monsieur « Je sais tout »
- Tu veux une preuve ? La chatte de ta sœur est rasée. En dehors du tien, je n’avais jamais vu d’aussi près un sexe de femme. Et celui de Liliane je l’ai vu masturbé par les doigts de Gérard. Lequel Gérard a préféré provoquer un écoulement de cyprine pour lubrifier le vagin où il voulait pondre l’œuf vibrant, le plus gros des deux, celui de 7,5centimètres. Il vend pourtant des tubes de lubrifiant. Ta sœur et lui se sont fait plaisir sous tes yeux pour te troubler C’est de l’invention ou bien j‘ai assisté à la scène?
- Mais alors ?
- Oui, ensuite tu as refusé la main de Gérard sur ton sexe. Cela m’a soulagé. Je passe sur les détails que tu connais aussi bien que moi. J’ai failli me jeter sur toi et sur Gérard lorsqu’il a tenté de te violer. Tu avais l’air soumise. Pourquoi l’as-tu rejeté aussi courageusement tout à coup?
- Il m’a fait terriblement mal quand il a poussé avec son gland contre mes lèvres. Je n’ai pas supporté la douleur aiguë. Cet idiot avait poussé les vibrations à fond auparavant, c’était trop violent et je l’ai repoussé instinctivement.
- J’attendais une autre réponse, conforme à la déclaration de Liliane « Je te l’avais dit, elle ne veut pas »
- Ma sœur a dit ça ? J’avais tellement peur et mal à la fois, je n’ai pas entendu. Mais ils avaient prévu… ce n’était pas un coup de sang, une pulsion brutale. Tout était calculé. Je n’en savais rien, je te le jure, mon amour.
J’aurais aimé entendre, (mais je garde ça pour moi) :
- Je l’ai repoussé par amour de toi. Je te suis fidèle, malgré tes doutes décourageants.
Si elle avait supporté le contact, j’aurais assisté à l’adultère en direct. Une douleur trop forte a rempli le rôle de la vertu. Si le séducteur avait su gérer la situation avec douceur, sans brusquer Marion, si son sexe n'avait pas fait mal par maladresse, Marion y serait passée et je serais cocu. Liliane aurait gagné des sex toys ou des sous-vêtements et aurait été heureuse de partager ses tromperies adultères avec sa soeur. Marion a eu chaud, j'ai eu chaud. Liliane a dû se démerder avec son amant dans les pommes. Elle a tout bonnement utilisé ce brave Joseph pour reconduire son amant chez sa femme.
- Que m’a raconté ta soeur? Ta sœur ment-elle ? Accommode-t-elle la vérité ? La question ne s’adresse pas à Liliane pour l’instant. Revenons à notre sujet. As-tu reçu Gérard ici, avant moi ? Oui, non ? Ce séducteur qui n’a pas peur d’entrer chez Joseph pour s’envoyer Liliane, est-il venu chez moi en mission de reconnaissance, pour une réunion tenue secrète avec vente de jouets sexuels ou pour te câliner, pour une livraison de son sublime sirop de corps d’homme ?
- Je t’interdis de me soupçonner. Il n’est pas mon amant, il ne le sera jamais.
- Fontaine, je ne boirai pas de ton eau ? Réponse trop précipitée, mais hors sujet. Connaissait-il déjà l’appartement ?
- Tu es injuste. Oui, il est venu ici une fois. Ma sœur a voulu me le présenter. Oui je lui ai offert une bière. Il nous suivait partout, toujours une main sur l’épaule ou la hanche de « son amour ».
- Leur as-tu prêté notre lit ? As-tu protégé leurs ébats ? Y as-tu pris part ?
- Je te jure que non. Enfin, la chambre et le lit, une fois seulement. et à deux !
- J’en apprends des choses. Dans quel but ta sœur te présente-t-elle ce Gérard ? Voudrait-elle que tu tombes amoureuse de lui ? Veut-elle lui trouver une remplaçante sérieuse pour ses périodes d’indisponibilité lors de ses règles ? Sa sœur, toi, lui rendrait un petit service, assurerait un dépannage. Gérard le libertin lui a-t-il demandé de lui fournir des jeunes femmes appétissantes pour satisfaire ses grandes pulsions sexuelles ? T’es tu masturbée en les écoutant roucouler quand tu les hébergeais à mon insu? . Quand donneront-ils la prochaine représentation. Deviendras-tu actrice dans leur troupe ?
- Qu’est-ce que j’en sais ? Tu es odieux .
- Pourtant ce soir, tu devrais te poser la question. Ce soir la question devrait te tourmenter.
- Comme ça, ce soir ? Pourquoi, je ne comprends pas. Je ne vois pas… ce soir est-il particulier ?
- Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Tu as oublié les événements du jour ?, il y va de notre couple, ce soir .
- Oui, mais que dois-je inventer pour te plaire ?
- C’est facile, raconte-moi comment s’est déroulée la réunion de ce soir. Il y a matière à réflexion peut-être.
- Je veux bien. Nous étions nombreuses. Gérard a présenté une nouveauté. En réalité je l’avais déjà vue sur des sites de vente à la télé. Le premier avantage de la vente en réunion, c’est qu’on peut voir, toucher et essayer.
- Voilà, tu reviens cul nu parce que tu as essayé une petite culotte et tu as oublié de reprendre la tienne. Et moi je veux voir, toucher et essayer. Cela t’offusque. Moi ça me sidère de te toucher un sexe nu. Quelqu’un te l’a volée ta culotte? Gérard, l’autre fois, à la douche, a obtenu celle de ta sœur en cadeau pour pouvoir la humer. Lui as-tu offert la tienne pour l‘exciter? Chaque participante lui a peut-être laissé la sienne en souvenir ? J’imagine le tableau :
« Gérard, prenez la mienne, je la porte depuis huit jours, vous la reconnaîtrez à l’odeur parmi les autres. »
- Que tu peux être bête mon Jean !!! Non le niveau est meilleur. Tu me fais rire. Mais
- Mais comment as-tu perdu ta culotte ? Continue, en racontant tu découvriras comment une honnête femme peut être dépouillée de sa culotte sans s’en rendre compte. Ce n’est pas banal.
- Le deuxième avantage…
- Attends, restons sur le premier: on voit, on touche, on essaie. Quel objet as-tu vu, touché, essayé avant de l’adopter?
- Un soutien-gorge.
- Ce n’est pas une nouveauté. C’est juste un prétexte à étaler sa poitrine ! Tiens, je vois fort bien ta sœur en train d’exhiber ses gros nibards pour les faire admirer de toutes et accessoirement de son amant bandeur, pardon, vendeur.
- Chéri tu as un don. C’est arrivé comme tu le dis. Mais la nouveauté est réelle. Il s’agit d’un soutien-gorge sans couture, sans bretelle
- Tu vas le perdre comme ta culotte ! Tu finiras au commissariat si tu perds tes habits. Gérard bandait ?
- J’arrête ? …calme-toi. Ni couture, ni bretelles, ni crochets mais dans une matière nouvelle, un rêve. Et en promotion, le lot de trois pour un prix exceptionnel, moins cher qu’à la télé et sans frais de livraison. Je n’ai pas résisté, j’ai commandé
- Après avoir essayé j’espère. Les autres ont admiré ta poitrine ?
- Entre femmes où est le problème ? Mais j’étais passée dans la cuisine à cause de Gérard.
- Tu as un reste de pudeur ! Bien ma chérie. Après tout, sur les plages en été, quelques résistantes défient le soleil et le cancer du sein. Et puis on a les FEMEN dans les défilés. Tu as pris un lot, de quelle taille ?
- Du 85, ne ris pas, tu les trouves touchants, mignons, émouvants mes jolis petits seins
Je me lève, je la conduis à la table de la salle à manger, je lui cale le ventre contre le plateau en me serrant contre elle, je passe mes bras sous les siens, j’empoigne ses seins, je les malaxe, jusqu’à sentir les tétons s’ériger
- Tu connais ta taille maintenant ? Il y a des appareils de mesure ? Les mains ou la bouche de Gérard par exemple.
- Mais… drôle de question. Tu as discuté avec les premières qui sont sorties?
- Eh! Oui, ce sont des bavardes, elles étaient scandalisées par l’audace de l’homme et par la complaisance de la sœur de l’hôtesse ? Toutes ne me connaissaient pas, je leur ai simplement demandé pourquoi elles riaient si joyeusement et j’ai eu droit à un récit détaillé : Gérard frottant son érection entre tes fesses et te faisant rougir de plaisir grâce à un massage long , appliqué et simultané de ta poitrine et de ta croupe. Tout ça parce que tu prétendais ignorer ce que toute fille normale ou femme sait. Tu t’es fait remarquer. Je t’épargne les commentaires de ces jalouses, sur l’art de dissimuler l’ignorance de détails élémentaires pour se faire tripoter publiquement sans avoir à rougir.
Prêcher le faux pour connaître le vrai ? Je n’en ai pas besoin puisque j’ai vu la scène. Elle m’a suggéré l’intervention des acheteuses, je m’en sers.
- Et c’est pour acheter un lot de trois soutiens-gorge que vous avez tenu une réunion aussi longue ? Il n’avait rien d’autre à refiler contre un chèque ton Gérard?
- On a bu le café, mangé de la brioche et discuté. Ce n’est pas « mon » Gérard.
- Il a quand même couché et baisé dans tes draps. Ne serait-il pas le seul à utiliser mon pieu pour ses galipettes?
- Personne d’autre, je le jure.
- Tu as donc pour lui des égards exceptionnels. Lui, oui, les autres, non! Tu l’as à la bonne ton vendeur de lingeries et jouets à moteurs en tout genre .
- C’est le Gérard de ma sœur, pas le mien. Ne t’avise pas de raconter des sottises pareilles.
- Je sais, c’est la coutume entre sœurs: Je te prête mon lit, tu me prêteras le tien. Et pourquoi iras-tu te prélasser dans les draps de ta sœur. Ce ne sera pas avec moi, avec qui? C’est la question. On peut échanger les amants comme les lits.
Elle se renfrogne. Elle doit penser à ce qui lui est arrivé aujourd’hui chez sa sœur, sur le lit de Liliane.
- Dans la douche, l’autre jour, Gérard avait annoncé à Liliane un objet curieux, attends, un œuf vibrant, oui un œuf vibrant. Il ne l’avait pas ce soir? J’aurais aimé apprendre comment on peut faire une omelette avec un œuf vibrant. D’ailleurs ces dames riaient aussi d’en avoir vu et même d’avoir senti vibrer l’œuf dans leurs mains et, sommet de la démonstration, dans le giron d’une des sœurs « Sans Gêne ».
Marion pâlit. Elle se lève
- Je vais aux W. C. et je me rafraîchis le visage. Attends-moi, je reviens
- Que dirais-tu d’une bonne douche ? Certaines femmes se sentent sales lorsqu’elles ont eu des contacts sexuels et ne cessent de se laver espérant se refaire une virginité après un viol ou une tentative de viol.
Toute pâle à l’évocation à peine voilée de son aventure avec Gérard, Marion court aux toilettes, vomit. J’y suis allé un peu fort, mais je veux crever l’abcès et mettre fin aux initiatives de Liliane pour fournir de la viande fraîche à son amant. J’entends encore Gérard rager : « Je l’aurai ». Ce n’est pas rassurant pour l’avenir. Autant prévenir que guérir.
Marion titube, va s’asseoir et demande grâce pour ce soir. Elle est fatiguée et voudrait dormir.
Je décide d’abréger.
- Je serai bref. En réalité je suis monté à l’étage. Je suis arrivé quand Gérard prenait la mesure de tes bonnets. J’ai tout vu jusqu’à la fin et presque tout entendu. Vous êtes allés à trois dans la chambre à coucher, j’ai été contraint de me cacher dans le dressing.
- Non, ce n’est pas possible ! Alors pourquoi me tortures-tu avec tes questions puisque tu sais tout? Non, ce n’est pas possible, tu essaies de me tirer les vers du nez en jouant à monsieur « Je sais tout »
- Tu veux une preuve ? La chatte de ta sœur est rasée. En dehors du tien, je n’avais jamais vu d’aussi près un sexe de femme. Et celui de Liliane je l’ai vu masturbé par les doigts de Gérard. Lequel Gérard a préféré provoquer un écoulement de cyprine pour lubrifier le vagin où il voulait pondre l’œuf vibrant, le plus gros des deux, celui de 7,5centimètres. Il vend pourtant des tubes de lubrifiant. Ta sœur et lui se sont fait plaisir sous tes yeux pour te troubler C’est de l’invention ou bien j‘ai assisté à la scène?
- Mais alors ?
- Oui, ensuite tu as refusé la main de Gérard sur ton sexe. Cela m’a soulagé. Je passe sur les détails que tu connais aussi bien que moi. J’ai failli me jeter sur toi et sur Gérard lorsqu’il a tenté de te violer. Tu avais l’air soumise. Pourquoi l’as-tu rejeté aussi courageusement tout à coup?
- Il m’a fait terriblement mal quand il a poussé avec son gland contre mes lèvres. Je n’ai pas supporté la douleur aiguë. Cet idiot avait poussé les vibrations à fond auparavant, c’était trop violent et je l’ai repoussé instinctivement.
- J’attendais une autre réponse, conforme à la déclaration de Liliane « Je te l’avais dit, elle ne veut pas »
- Ma sœur a dit ça ? J’avais tellement peur et mal à la fois, je n’ai pas entendu. Mais ils avaient prévu… ce n’était pas un coup de sang, une pulsion brutale. Tout était calculé. Je n’en savais rien, je te le jure, mon amour.
J’aurais aimé entendre, (mais je garde ça pour moi) :
- Je l’ai repoussé par amour de toi. Je te suis fidèle, malgré tes doutes décourageants.
Si elle avait supporté le contact, j’aurais assisté à l’adultère en direct. Une douleur trop forte a rempli le rôle de la vertu. Si le séducteur avait su gérer la situation avec douceur, sans brusquer Marion, si son sexe n'avait pas fait mal par maladresse, Marion y serait passée et je serais cocu. Liliane aurait gagné des sex toys ou des sous-vêtements et aurait été heureuse de partager ses tromperies adultères avec sa soeur. Marion a eu chaud, j'ai eu chaud. Liliane a dû se démerder avec son amant dans les pommes. Elle a tout bonnement utilisé ce brave Joseph pour reconduire son amant chez sa femme.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et Marion n'a toujours pas précisé comment elle a perdu sa culotte?
S'il y a une responsable c'est Liliane, la soeur qui a tendu le piège, manipulée par son amant. Gérard est le coupable.
l’assommer n'aura pas suffit. il va revenir, Jean doit l'attaché et lui mettre un œuf vibrant dans le cul. ça le calmera peut-être. Je suis une femme, mais je ne crois pas que je céderai à un homme comme celui-la.
Les faits sont accablants. A la place de Jean je la ficherais à la porte avant la livraison du samedi
Un interrogatoire torture l'épouse et la mène aux aveux. Il y a juste de quoi effrayer le mari déçu d'apprendre que Marion s'est défendue par peur de la douleur plus que par amour de lui.
Voir, toucher, essayer: tout est là, avec une interprétation différente pour Marion et pour Jean.Comme l'épouse évite de révéler ce qui s'est passé, malgré la pression du mari, celui-ci va lui apprendre qu'il a assisté à l'application de "voir, toucher essayer" par Gérard. La conversation devient torture pour chacun des époux. Le doute subsiste après les aveux forcés: Gérard dans son lit, Gérard prenant les mesures, Gérard abusant de l'oeuf, tentant de pénétrer une Marion qui n'a pas envie de parler de cette tentative: c'est Trop de complaisance pour le séducteur. Et pourquoi ces mots qui ne viennent pas? Vertueuse parce que Gérard s'y est mal pris, Marion s'enfonce. Et Joseph!
J'attends avec impatience la venue de Gérard livreur de la commande au domicile. Comment va il être reçu. Jean va être obligé de renouveler sa méthode pour éloigner le coucou qui s'est juré d'être l'amant de sa femme. Et de le dissuader de recommencer. Routard 83