Titre de l'histoire érotique : drôles de rencontres (2 sur 5)
Récit érotique écrit par Magic2310 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2005 dans la catégorie A dormir debout
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Titre de l'histoire érotique : drôles de rencontres (2 sur 5)
Ma simple vue est obscène.
Outre les nombreuses gaffes commises jeune et alors sans expérience dans la dissimulation de mon anatomie, plusieurs me sont arrivées adulte et beaucoup ont été cocasses, mouvementées ou simplement terribles.
Toutes ont fini de ma même manière.. Aucune n’est banale toutefois.
Mon dentiste était un vieux monsieur, rondouillard.. mais son assistante plutôt gironde et délurée. On dirait une « blonde » aujourd’hui.. même si je n’apprécie pas trop.
Dès le premier rendez vous, allongé sur le fauteuil, en m’installant elle a pu avoir une idée de mon secret. Mais elle n’en était pas sûre alors. Simplement un soupçon, quelque chose qui n’allait pas..
Le dentiste m’a ausculté, se penchant sur moi et laissant libre son assistante de me mâter plus à loisirs. A chaque fois que le médecin se relevait, je surprenait son regard posé sur mes parties. Son visage exprimait une certaine stupeur. Je n’ai pas eu d’érection la première fois.
Mais le volume était important et on voyait l’équivalent d’une canette dans mon pantalon.
Elle s’occupait également de prendre les rendez vous et d’accueillir les clients.
Elle me raccompagna ce jour là et me laissa sur la pas de la porte, me regardant partir discrètement.
Au rdzv suivant, et dès mon arrivée au cabinet, elle reprit son examen visuel. Un véritable scanner. Elle ne se gênait pas pour me regarder me dandiner avec une érection naissante dans le salle d’attente. Elle ne me regardait jamais le visage.. seulement mon entre jambe. Sans apparemment manifester la moindre gêne ou timidité. Cette situation m’a beaucoup excité et rapidement la situation est devenue incontrôlable. J’ai beaucoup apprécié la revue « Elle » pour son format protecteur.. décidément..
Sur le fauteuil du dentiste, en m’installant, elle a manœuvré les réglages pour me placer plus à plat et donc plus exposé. J’ai senti qu’elle était très excitée. Elle oubliait la moitié de ce que lui disait le médecin tant son attention était occupée. Ses yeux étaient grand ouverts et le haut de ses joues rouges. Elle resta pendant toute la durée des soins derrière le dentiste, tantôt rangeant les ustensiles sur la tablette. Elle s’arrangea deux ou trois fois pour s’approcher plus de moi, un plateau à la main. Son coude vint m’effleurer juste au niveau du genou et écraser mon gland qui, s’il n’avait pas été attaché solidement, lui aurait sauté à la figure… (attention le plateau ! )
Je ne comptais pas pour elle. Seul le plaisir de ses yeux, l’éveil de ses fantasmes l’intéressait. Un disque dur qui enregistrait tout pour passer en boucle plus tard dans sa tête, dans l’intimité de sa solitude.. J’ai pourtant essayé de conclure… Elle a simplement fait mine de ne pas comprendre ce que je voulais, froide et désintéressée. Femmes.. quand nous comprendrions nous ?
En partant, j’ai fais exprès de fouiller une de mes poches pour lui offrir un dernier petit plaisir... j’y prenais goût et son sans gêne avait fait contagion. Elle ne me raccompagna pas.
Mes dents son saines maintenant. Mais sait-on jamais..
Outre les nombreuses gaffes commises jeune et alors sans expérience dans la dissimulation de mon anatomie, plusieurs me sont arrivées adulte et beaucoup ont été cocasses, mouvementées ou simplement terribles.
Toutes ont fini de ma même manière.. Aucune n’est banale toutefois.
Mon dentiste était un vieux monsieur, rondouillard.. mais son assistante plutôt gironde et délurée. On dirait une « blonde » aujourd’hui.. même si je n’apprécie pas trop.
Dès le premier rendez vous, allongé sur le fauteuil, en m’installant elle a pu avoir une idée de mon secret. Mais elle n’en était pas sûre alors. Simplement un soupçon, quelque chose qui n’allait pas..
Le dentiste m’a ausculté, se penchant sur moi et laissant libre son assistante de me mâter plus à loisirs. A chaque fois que le médecin se relevait, je surprenait son regard posé sur mes parties. Son visage exprimait une certaine stupeur. Je n’ai pas eu d’érection la première fois.
Mais le volume était important et on voyait l’équivalent d’une canette dans mon pantalon.
Elle s’occupait également de prendre les rendez vous et d’accueillir les clients.
Elle me raccompagna ce jour là et me laissa sur la pas de la porte, me regardant partir discrètement.
Au rdzv suivant, et dès mon arrivée au cabinet, elle reprit son examen visuel. Un véritable scanner. Elle ne se gênait pas pour me regarder me dandiner avec une érection naissante dans le salle d’attente. Elle ne me regardait jamais le visage.. seulement mon entre jambe. Sans apparemment manifester la moindre gêne ou timidité. Cette situation m’a beaucoup excité et rapidement la situation est devenue incontrôlable. J’ai beaucoup apprécié la revue « Elle » pour son format protecteur.. décidément..
Sur le fauteuil du dentiste, en m’installant, elle a manœuvré les réglages pour me placer plus à plat et donc plus exposé. J’ai senti qu’elle était très excitée. Elle oubliait la moitié de ce que lui disait le médecin tant son attention était occupée. Ses yeux étaient grand ouverts et le haut de ses joues rouges. Elle resta pendant toute la durée des soins derrière le dentiste, tantôt rangeant les ustensiles sur la tablette. Elle s’arrangea deux ou trois fois pour s’approcher plus de moi, un plateau à la main. Son coude vint m’effleurer juste au niveau du genou et écraser mon gland qui, s’il n’avait pas été attaché solidement, lui aurait sauté à la figure… (attention le plateau ! )
Je ne comptais pas pour elle. Seul le plaisir de ses yeux, l’éveil de ses fantasmes l’intéressait. Un disque dur qui enregistrait tout pour passer en boucle plus tard dans sa tête, dans l’intimité de sa solitude.. J’ai pourtant essayé de conclure… Elle a simplement fait mine de ne pas comprendre ce que je voulais, froide et désintéressée. Femmes.. quand nous comprendrions nous ?
En partant, j’ai fais exprès de fouiller une de mes poches pour lui offrir un dernier petit plaisir... j’y prenais goût et son sans gêne avait fait contagion. Elle ne me raccompagna pas.
Mes dents son saines maintenant. Mais sait-on jamais..
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