Titre de l'histoire érotique : En terrain miné - histoire érotique

2 - Il faisait de plus en plus chaud dans ce sous-bois, j’avais les jambes coupées d’avoir tant donné pour me libérer de cette chose énorme. Ma rondelle me faisait un peu mal et j’étais en sueur, je reculais tant bien que mal les narines prises par l’odeur forte de ma création. Soudain j’entendis quelqu’un qui approche assez rapidement, j’essaye de me planquer un peu vu que j’ai le cul à l’air et que la situation est pour le moins embarrassante. Trop tard me voilà nez à nez avec une femme plutôt grande perchée sur son vélo, rouquine avec un air très hautain. D’un regard rapide elle balaye la situation et me fixe avec ténacité, ne sachant quoi faire j’essaye de récupérer mon short mais il est bien trop loin. « Bouge pas sac à merde » m’hurle-t-elle !!! Elle descend de son vélo et me colle une grande baffe direct. « Qu’est ce que tu fou là tu es dans une propriété privée ici c’est mon domaine et tu viens chier sur mes terres ! » et par elle me balance un coup de pied sur la cuisse qui me fait aussitôt tomber à terre. « Tu vas me payer ça espèce de porc je vais te dresser, tu vas comprendre ce qu’il en coûte de venir par ici !». Elle remonte sur son vélo, et m’ordonne d’en faire autant je veux récupérer mon short elle me dit que je n’en ai pas besoin pour ce que je vais subir je peux très bien partir à poil. On commence à s’enfoncer dans la forêt de plus en plus dense, j’ai super mal aux burnes qui frottent sur la selle, putain quel bordel ! Elle me suit juste là derrière en me donnant les directions sur un ton sec, puis on arrive sur une petite clairière avec une cabane sorte d’abri de chasse. Elle ouvre la porte et me pousse à l’intérieur, c’est assez sombre et plutôt sale, un grand banc, quelques chaises et des tables, une sorte de canapé pourri, et du bordel en tout genre, elle me projette sur le canapé et me dit d’attendre elle ressort et ferme à clé. Je suis prisonnier de cette cinglée en pleine forêt avec ma bite à l’air et ma rondelle bien défoncée super ! je commence à baliser. Elle revient elle s’est changée et porte une espèce de combinaison intégrale super moulante en latex noir avec une ouverture sur ses gros nibards impressionnante, elle est sacrément moulée la garce, elle a mis des talons haut brillant très provocateur genre des trucs de pute. Elle arrive sur moi et m’attrape les burnes à pleines mains en serrant très fort : « Alors espèce de saloperie tu vas jongler et tu vas prendre ton pied quand je t’aurais bien dressé tu deviendras un bon sac à foutre ! ». Elle me tire les couilles de façon à me faire venir sur le sol, elle s’assoie sur moi et m’écrase, elle déchire le tee-shirt qui me restait et me ligote au pied de la table. J’ai les bras attachés et elle est plutôt balaise, elle se trémousse sur mon torse les cuisses bien écartées, elle détache des pressions dans sa combinaison et se retrouve avec sa chatte et son cul entièrement rasé sur mon corps, elle se déplace et vient sur mon visage où elle écrase ses grosses lèvres charnues sur ma gueule en remuant comme une malade, en un rien de temps je commence à sentir sa mouille abondante avec une odeur forte qui s’en dégage. Elle est en transe et n’arrête pas de m’insulter en hurlant qu’elle va faire de moi son esclave, elle m’empêche de respirer, elle frotte son con baveux sur mon nez, mes yeux, mon front et ma bouche – j’ai la bite qui est au beau fixe prête à exploser je tente de sortir ma langue pour la fourrer dans cette chatte démoniaque, elle hurle de plaisir et se baise littéralement sur ma langue en m’ordonnant d’aller plus en dedans. « Bouffe connard, bouffe moi cette putain de chatte, bouffe la moi plus vite, plus vite, lime la moi avec ta langue !!! » Elle est insatiable, elle m’inonde la tronche de sa jutte de femelle, quelle salope ! Elle se déplace un peu et me fourre son anus sur la bouche, « Allez vas y petite chienne lèche moi le trou de balle fourre moi ta putain de langue dans le cul !!! » ce que je fais avec plaisir son odeur est forte mais agréable j’empale ma langue dans son fion elle rugit comme une chienne en chaleur, elle s’attrape les seins et fait sortir ses tétons qu’elle massacre du bout de ses doigts. Elle me choppe la tige et me branle en me découvrant le gland avec une force, elle me secoue le poireau d’une façon si frénétique je suis vraiment tombé sur une malade du sexe. Elle me crache sur la bite, et vient ensuite me mordiller le gland de plus en plus fort, j’étouffe de nouveau pris par son cul qui n’arrête pas de me couper le souffle tant elle s’appuie sur ma bouche. N’en pouvant plus je lui balance mon foutre en plein tronche, ce qui la fait rentrer dans une colère rouge ! Elle se relève et me donne deux, trois coups de pied. « Ah c’est comme ça tu lâches ta purée sans que je te l’autorise ! c’est ce qu’on va voir petite pute ! »….