Titre de l'histoire érotique : Entre le pont du Carrousel et le pont Royal : l’amour sur les quais de Seine avec mon épouse. - histoire érotique

L’anniversaire de Marc et Jeanne sur les bords de la Seine sur une péniche près du pont des Arts rive gauche, face au Louvre. On est invités.
Chantal porte une jupe noire sur des bas noirs Dim-up. Il fait chaud, on est en août et une simple veste de tailleur noire fermée de deux boutons couvre ses épaules et sa poitrine, nues de tout sous-vêtement. Elle est très belle et sexy comme je l’aime, même si la rigueur de la jupe, pas très courte à mon goût, rappelle son coté réservé, sévère et bourgeois.
Quand elle danse, sa veste baille et on peut sans effort voir un mamelon brun au milieu d’un sein blanc. Chantal a des admirateurs.
Au milieu de la fête, je l’invite à faire un tour sur les quais. Une idée derrière la tête ! Dehors, il fait encore très chaud, alors qu’il est presque minuit ; c’est samedi, il y a du monde au dessus, sur la rue, même si en bas près de l’eau, les quais sont peu fréquentés. On marche vers le pont du Carrousel. Je la tiens par l’épaule. Je glisse ma main sous la veste et me saisit d’un sein nu. Je défais un, puis les deux boutons de la veste du tailleur. Elle se laisse faire ! C’est déjà extraordinaire. Ses deux seins nus apparaissent bien visibles dans leur blancheur, contrastant avec le noir du tissu, à la lumière des lampadaires. On peut les voir de partout car on marche bien au milieu du quai. Je bande ! Un convive qui regagne la péniche s’approche et vient vers nous. Chantal referme les pans de la veste sans la reboutonner. On le croise, un mot et on continue notre chemin. Il a vu sinon deviné.
Quelques pas plus loin, on se cache derrière les autos en stationnement et je lui enlève sa culotte que je mets dans ma poche. Puis, je lui remonte sa jupe, la découvrant jusqu’à la taille. Son ventre et ses fesses sont nus. Elle porte ces bas qui tiennent seuls ce qui rajoute à la beauté du spectacle. Je l’appuie contre un arbre et je sorts ma bite que je frotte contre son ventre. J ai ouvert la veste et lui caresse les seins. Je dégage ses épaules pour ajouter à sa nudité en cet endroit. Plus elle est nue en ce lieu public, plus elle est exposée et offerte à un regard voyeur, plus je suis excité. Plus la femme est nue, plus elle est offerte. Je lui dégage encore plus les épaules amenant la veste au niveau de la taille. Le torse dénudé, la jupe remontée, elle est quasiment nue !
Elle est excitante exhibant son ventre, ses fesses, ses épaules et sa poitrine. Je la retourne me colle derrière elle, lui maintient les mains dans le dos pour la montrer au monde entier. Ainsi, elle fait face à la Seine et les quais du Louvre de l’autre côté sont au spectacle. Un arbre, sur le côté, est tout près de nous. Elle dégage ses mains, les posent sur le tronc, recule ses pieds et se penche en avant. En cambrant les reins, elle m’offre sa superbe croupe blanche bien éclairée par le lampadaire pas très loin. Alors sans ménagement, je la pénètre, face aux péniches et au Louvre et je la baise comme un fou. Je vais très vite à jouir surtout placé ainsi derrière elle alors que j’ai bien ouvert complètement sa veste pour bien montrer qu’elle est complètement nue. Je pelote à pleines mains ses nichons tandis qu’à quelques pas de nous des passants avancent sans nous voir. Quand j’ai fini de me déverser en elle, elle remet sa culotte, se rajuste et on retourne danser à la fête.
En franchissant la passerelle assez haute et suspendue qui conduit à la péniche, je sens le regard du portier noir se poser lourdement sur Chantal, et plus précisément dans l’échancrure de son tailleur pour essayer de voir sa poitrine. On la devine facilement nue sous le vêtement noir. Quand elle passe à son niveau, près de lui, sa grande taille lui autorise une vue plongeante directe sur les seins.
Il ne néglige pas non plus ensuite de jeter un regard sur ses jambes quand elles s’élèvent sur les planches instables de la passerelle.
On passe la soirée à danser et Chantal est belle et radieuse, elle ne manque pas de cavaliers qui n’hésitent pas à la coller pendant les slows.
En partant, sur le pas de la porte de la péniche, Marc nous remercie. Il est en compagnie de deux amies, une jeune femme et une femme plus âgée. Marc leur présente Chantal. Derrière nous, mais lui faisant face, le grand noir, assiste à la scène. Alors, soudain Marc s’approche de Chantal et défait rapidement le bouton du haut de sa veste et se saisissant des bords du vêtement, l’ouvre et dévoile la poitrine en pleine lumière, à la vue de tous. S’adressant à la femme plus âgée, il lui confirme, comme elle le pressentait, que Chantal est bien nue sous son vêtement et qu’elle a de bien jolis seins. Chantal, surprise, ne fait rien pour se dégager et pendant quelques secondes, ses seins blancs restent exposés à la vue de tout l’entourage. C’est d’un érotisme très fort. Je croise à ce moment le regard du noir qui ne rate rien du spectacle, heureux de voir ce qu’il avait convoité tout à l’heure. Puis Marc constatant la passivité de mon épouse, se met carrément à lui peloter les seins. Plusieurs convives se sont approchés et regardent rigolards la scène irréelle. Chantal se laisse faire quelques minutes puis referme en riant sa veste de tailleur.
On s’en va. Je suis aux anges
Marc a créé là une situation qui m’a donné par la suite plusieurs fois l’occasion d’une masturbation.
Le désert des quais et cette ballade m’ont donné une idée que je devais réaliser quelques jours plus tard avec un inconnu. Je vous raconterais.
Je n’ai pas d’images de cette soirée mais je peux vous en montrer d’autres. Votre mail.
AL