Titre de l'histoire érotique : Escort T-girl le temps d'un week-end
Récit érotique écrit par Alexandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Alexandra ont reçu un total de 153 884 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2017 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 403 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Escort T-girl le temps d'un week-end
J'ai pris l'habitude de m'organiser régulièrement un petit week-end 100% sexe au cours duquel je loue une chambre d'hôtel dans laquelle peuvent me rejoindre les coquins qui auraient envie de "mieux me connaître".
C'est à Liège que je pose mes valises, car en général je ne me rends jamais dans cette région, tout simplement parce qu'il n'y a aucun club intéressant.
Jusqu'à présent, je me limitais à une journée de "dur labeur" mais j'ai la chance d'avoir fait connaissance de personnes qui sont très enthousiastes à l'idée de me revoir lors de chacune de mes visites. Ceci me constitue un petit noyau dur d'habitués et, rien qu'avec eux, ça me remplit déjà une journée complète.
C'est la raison pour laquelle j'ai décidé cette fois-ci de consacrer un week-end entier à cette activité.
Je prendrais possession de la chambre le samedi en début d'après-midi pour la libérer le lundi matin, qui était un jour férié.
Je devais rencontrer au total 8 personnes à l'hôtel, et j'avais également programmé des "activités" pour la soirée du samedi et du dimanche.
Le week-end s'annonçait très chargé.
C'est vers 13h50 que j'arrive à l'hôtel. Je peux prendre possession de la chambre dès 14h.
Arrivée à l'accueil, la réceptionniste m'informe que, suite au long week-end, l'hôtel est complet, les femmes d'ouvrage sont débordées et... ma chambre ne sera pas prête avant 14h30 !!!
Ca commence déjà très fort ! Mon premier rencard est prévu à 15h et je dois encore me raser certaines parties du corps, m'occuper de ma toilette intime, me maquiller, m'habiller, mettre la chambre en ordre. Enfin voilà, vous l'avez compris : bonjour le stress !
Je contacte mon premier invité qui est, comme les autres prévus ce jour-là, un habitué.
Je lui explique la situation en lui demandant de repousser notre rencontre à 15h30 mais ça ne lui convient pas vraiment. C'est justement parce qu'il avait quelque chose de prévu vers 16h qu'il m'avait demandé de passer en premier.
Je trépigne sur le parking, observant la femme d'ouvrage qui prend tout son temps pour remettre à neuf la chambre juste à côté de celle qui m'a été attribuée.
Je l'interpelle pour lui expliquer que j'ai un rendez-vous et que j'ai absolument besoin de la chambre. Elle semble enfin réaliser l'urgence de la situation et vers 14h30 je peux finalement profiter pleinement de l'espace qui va me servir tout au long du week-end.
Je pare au plus pressé : hygiène, rasage, maquillage. Je tente de garder la chambre relativement ordonnée, je ne commence pas à éparpiller mes fringues partout et je bats mon record de vitesse pour la préparation : je suis prête en 40 minutes.
Mon invité arrive à 15h10 et il se déshabille dès la porte de la chambre fermée.
Rapidement, nous nous retrouvons allongés et je m'affaire à donner du volume à son sexe de la plus douce des manières. Lorsqu'il a atteint une taille qui me semble raisonnable, nous passons aux choses sérieuses et c'est en levrette qu'il me prend. C'est ma première queue de la journée, elle n'est ni trop petite ni trop grosse, un calibre parfait pour me mettre en train. Après quelques minutes, nous interrompons la pénétration pour un petit 69. Alors que nous sommes au summum de l'excitation, j'entends quelqu'un actionner la serrure de la porte d'entrée.
Je suis un peu affolée : "Qu'est ce que c'est ??"
"... baragouinage incompréhensible..." puis silence
Nous nous apprêtons à reprendre notre activité lorsque, une fois de plus, on essaye de s'introduire dans la chambre.
Il est hors de question que j'ouvre la porte pour manifester mon mécontentement, ça risquerait de faire foirer tout mon week-end si on découvre la vraie nature de ma présence dans l'hôtel.
En appui contre la porte, je tente de me faire comprendre : "Ecoutez, merci de ne plus me déranger, tout va très bien, je n'ai besoin de rien, la chambre est faite !"
Enfin, nous nous retrouvons au calme. Mais en attendant, le petit oiseau de mon partenaire, apeuré, s'est réfugié au fin-fond de son nid, il est tout petit et tout flasque.
Heureusement que je sais m'y prendre pour redonner de la vigueur aux plus timorés. Quelques coups de langue bien placés et le voici de retour, au meilleur de sa forme. Néanmoins, je ne vais plus l'accueillir dans la chaleur de ma grotte intime et nous terminerons la rencontre par une pipe "au finish" et une bonne dose de sirop au fond de ma gorge.
Mon 2ème rendez-vous du jour est une nouvelle connaissance. Du moins c'est ce que je pensais mais, une fois arrivé, l'homme m'informe que nous nous sommes déjà rencontrés dans différents endroits, notamment au club Z et aux journées organisées dans le brabant wallon.
Il semblerait même que nous ayons "joué" ensemble à ces occasions mais l'homme n'en est pas sûr à 100%.
"Comment ça, tu es en train de me dire que je t'ai peut-être sucé et que tu ne t'en souviens pas ?? On n'oublie jamais une pipe d'Alexandra !!" Oui je sais, je peux être prétentieuse par moments ;-)
Nous discutons de choses et d'autres mais il vient un moment où il faut rentrer dans le vif du sujet car je ne peux accorder qu'une heure de coquineries par personne.
L'homme se met à l'aise et je découvre un sexe qui me semble être de taille assez modeste mais par contre il bande super-dur, peut-être aussi grâce au cock-ring en métal qui enserre ses testicules.
Après une courte fellation, la queue est bien dure et je demande à l'homme si je peux lui mettre une capote (traduisez "as-tu envie de me baiser ?"), ce qu'il accepte. Nous tentons une pénétration en position d'Andromaque (moi à califourchon sur lui) et ça fonctionne très bien, d'autant qu'il sait comment faire pour donner du plaisir de cette manière : plutôt que de me laisser donner le rythme, il prend appui sur ses talons et donne de violents coups de reins vers le haut, enfonçant sa queue bien profondément en moi.
Je suis ravie de constater que j'ai affaire à un connaisseur. Il me propose ensuite de me prendre en levrette au bord du lit, et là encore il me prouve que ce n'est pas la première fois qu'il baise un cul. Je me cambre bien pour lui permettre d'aller au plus profond et, aussi bien pour lui que pour moi, le plaisir suit.
Nous terminerons par une éjaculation en bouche, la 2ème de la journée.
Voilà un bon élément que j'espère revoir lors de l'une de mes prochaines visites, au cours de laquelle je ne manquerai pas de lui restituer le cockring qu'il a oublié en partant.
Il est déjà 17h30 lorsqu'arrive mon partenaire suivant.
Je le connais pour l'avoir déjà rencontré plusieurs fois lors de mes visites précédentes à Liège.
De plus, en dehors de ces rencontres, nous restons en contact régulier via des sites où nous entretenons notre "sex-friendship".
Sur l'un de ces sites, il a vu des photos de moi avec une perruque rouge et il sait également que je possède une tenue de soubrette. Il m'a demandé de l'accueillir ainsi vêtue et de ne pas oublier de prendre avec moi mon "gag-ring", un anneau métallique qu'on place dans la bouche pour empêcher de pouvoir la fermer.
Je vais le sucer d'abord sans anneau, puis avec. Le fait de le porter, le fait d'être forcée à garder la bouche ouverte alors qu'une grosse queue fait des va-et-vient dans la gorge, tout cela vous fait saliver énormément et la bave s'écoule abondamment sur la couette. Tout cela est fort excitant, même pour moi, qui me surprend à sentir mon petit clito durcir. Après quelques minutes, mon complice de jeu m'enlève l'anneau et continue sa séance de "face-fuck" avant de jouir au fond de ma bouche. Je me régale en avalant toute sa semence.
Ceci termine déjà ma journée de "consultations". En soirée, j'étais attendue à partir de 19h chez un couple H/F d'amis libertins qui habitent à 20 minutes de mon hôtel. Le temps de me refaire une beauté et de remplacer mon uniforme de soubrette sexy par des vêtements un peu plus "casual", et me voici en route. J'arriverai avec quelques légères minutes de retard, et je passerai là une soirée comme je les aime, mélange de plaisirs des sens et de plaisirs gustatifs. Mon retour à l'hôtel se fera aux alentours de 1h du matin.
Après une bonne nuit de sommeil, c'est une longue journée qui m'attend. J'ai pas mal de rendez-vous prévus en ce dimanche ensoleillé. Ce qui m'inquiète un peu, c'est que parmi ceux-ci, je reste sans nouvelle de 3 personnes. Je commence la journée en leur envoyant des mails ou des texto's à ceux qui m'ont donné leur numéro de portable.
J'attends mon premier "patient" à 11h mais lorsque je le contacte pour vérifier si c'est toujours ok pour lui, il me répond qu'il préfèrerait venir 1h plus tôt, à 10h du matin. Il est déjà 8h30 et j'ai envie de prendre mon temps pour me préparer. J'aurais aussi apprécié de prendre un petit déjeuner, mais il insiste tellement que je finis par accepter ce changement d'horaire. Pas grave, je prendrai mon petit déjeuner plus tard.
Je connais déjà cet homme pour l'avoir rencontré il y a quelques années à une soirée Translips à Anvers. Je me souviendrai toujours à quel point j'avais été impressionnée en le voyant arriver d'abord, carrure de rugbyman, corps couvert de tatouages et ensuite lorsque j'avais ôté son slip et qu'un serpent en avait jailli ! Honnêtement, j'ai déjà rencontré de nombreux sexes dans ma vie, mais celui-là est réellement impressionnant tant par la taille que par le calibre.
Je savais donc à quoi m'attendre mais j'avais une petite crainte pour la pénétration.
Lorsque l'homme arrive, je le reconnais instantanément. Il fait partie de ces personnes qu'on n'oublie pas même si on ne les a vues qu'une seule fois. Il me semble qu'il a encore plus de tatouages que lors de notre première rencontre. Il m'embrasse et ôte ses vêtements. Ce faisant, il me montre le bracelet électronique à sa cheville et m'explique que c'est la raison pour laquelle il désirait avancer l'heure de notre rendez-vous : il n'a la permission de sortir de chez lui que jusque midi. Je ne l'interrogerai pas quant à la raison pour laquelle il a eu des problèmes avec la justice, ce n'est pas mon affaire et de plus, il est hyper réglo avec moi et c'est tout ce qui m'importe. Mais maintenant que je suis informée de cette situation particulière, je suis d'autant plus excitée car c'est la première fois que je vais me faire baiser par un repris de justice !
Après l'avoir sucé, il me propose de me prendre. Je lui exprime mes doutes quant à la faisabilité, bien que nous l'avions déjà fait à Anvers, mais il me rassure en certifiant que tout ira bien. Et de fait, je suis très étonnée de constater avec quelle facilité nous arrivons à nos fins ! Il faut croire que j'en ai très très envie.
Je suis à 4 pattes sur le lit et il se positionne derrière moi, son gros sexe en érection. Il place le gland à l'entrée de ma chatte de trav, il exerce une petite poussée mais sans forcer, un peu comme s'il donnait avec sa queue un bisou à ma rosette qui, en réaction, va se détendre et s'ouvrir comme une fleur. Ensuite, toujours dans cette position, il donne des petits coups de queue rapides et répétés et, comme part enchantement, ce sexe qui me semblait impraticable se retrouve au meilleur des endroits : dans mon cul de petite salope.
Ce cul, mon partenaire va le baiser pendant quelques minutes puis je vais reprendre le sexe en bouche en espérant qu'il me donne son jus mais l'homme est trop stressé. Il ne veut surtout pas rentrer en retard et se voir pénaliser. Je suis compréhensive et je le laisse prendre congé de moi seulement 30 minutes après son arrivée.
Puisqu'il est arrivé et parti plus tôt que prévu, j'ai un "trou" dans mon planning. Il est à peine 10h30 et mon prochain visiteur ne doit pas se pointer avant 12h30.
C'est ici que je bénis l'inventeur de la 4G. A peine mon tatoué est-il parti que je reçois une toute nouvelle réaction à l'annonce que j'avais publiée pour me trouver de nouveaux candidats : "homme 50a, corps athlétique, disponible ce dimanche si tu es à Liège"
Je lui réponds aussitôt : "Je suis à tel hôtel, je propose ceci, j'ai une dispo pour toi à 11h". Une pareille convocation, si précipitée, je n'y crois pas un instant mais lorsqu'il me demande comment je suis habillée, je prends quand même la peine de lui répondre.
"OK, j'arrive" !!
Je n'y crois toujours pas mais lorsqu'à 11h on frappe à la porte, je ne peux que me réjouir ! C'est la première fois que je booke un rencard et qu'il se concrétise en moins d'une demi-heure !
La description qu'il m'avait donnée de lui correspond en tous points à l'homme qui se tient face à moi. Crâne rasé, un corps sans un gramme de graisse et musclé sans excès.
Il m'explique que c'est la première fois pour lui avec une trav. OK, je sais dès lors que je dois y aller mollo mollo, sans précipitation et étape par étape.
Je commence bien sûr par une fellation, en lui indiquant que mon corps est à lui, qu'il peut en faire ce qu'il désire et qu'il peut bien entendu toucher et caresser les zones qui l'attirent, l'excitent ou l'intriguent. Il n'en fallait pas plus pour qu'il se décide à laisser balader ses mains sur mes fesses et sur mon sexe qu'il ne va pas tarder à prendre en bouche ! Et bien, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude, il me semble quand même savoir ce qu'il désire. Nous finirons par nous retrouver en 69. Je vais ensuite lui enfiler une capote avant de m'empaler sur son sexe, en position d'andromaque. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises avec lui puisqu'il me fait part de son fantasme de se faire pénétrer. Bien entendu, je ne peux personnellement rien faire pour lui, mais je ne me déplace jamais à l'hôtel sans l'un ou l'autre petit joujou. Je lui propose donc de le goder, tout doucement et il accepte. Je l'invite à se mettre en position et, avant d'utiliser le joujou, je le travaille un peu avec 2 doigts. Ne voyant pas ce que je fais, il pense que la pénétration est déjà effective et je lui explique qu'on en est loin. Lorsque j'estime qu'il est prêt, je positionne le gode (calibre 3 ou 3,5) au bon endroit et hop ! Je frappe un bon coup sec pour qu'il s'enfonce complètement ! Hihi, ce n'est bien entendu pas la manière dont j'ai procédé ! Au contraire, j'y ai été très doucement, sans brusquer et surtout en conseillant à l'homme de tenter de contrôler lui-même la pénétration. Il ne prendra que le quart du joujou dans son intimité mais ça lui aura permis de découvrir de nouvelles sensations.
Il est à peine 11h30 lorsqu'il prend congé après avoir joui dans ma bouche, visiblement ravi de cette nouvelle expérience.
Le coquin suivant doit me rejoindre à 12h30. Initialement programmé à 10h du matin, il ne m'avait plus donné de nouvelle suite à mes rappels et j'avais par conséquent pris l'initiative de le déprogrammer pour donner sa chance à quelqu'un d'autre. Peu de temps après, il m'avait envoyé un message dans lequel il s'excusait de son silence prolongé et m'invitait à le "recaser" dans mon planning, si un créneau se libérait. Il a donc eu beaucoup de chance car j'ai effectivement eu une annulation à un horaire qui lui convenait.
C'est un jeune homme qui frappe à la porte à l'heure convenue. Casquette de baseball vissée sur le crâne, lunettes de nerd, je n'ai pas encore eu l'occasion de rencontrer quelqu'un comme lui jusqu'à présent. Il m'informe que, pour lui aussi, c'est une grande première. Mon 2ème baptême du feu, coup sur coup ! Ca me fait toujours bizarre d'être la première à initier quelqu'un au sexe avec une trav. C'est une lourde responsabilité qui m'incombe puisque, de cette expérience, l'homme gardera un souvenir particulier (on se souvient toujours de sa première fois) qui lui donnera envie de poursuivre sur cette voie si j'arrive à être convaincante et qui le dégoûtera peut-être à tout jamais si je ne le suis pas.
Comme toujours dans pareille situation, je prends le parti de rester moi-même et de mettre le partenaire à l'aise. On discute un peu des attentes et des pratiques de chacun avant de se lancer à corps perdu vers l'inconnu. Je propose au jeune homme de s'allonger et de me laisser faire. Il ôte le bas, mais garde son T-shirt, ses lunettes et, plus étonnant, sa casquette de baseball. OK, je ne vais pas me formaliser pour si peu. Je me mets à l'oeuvre, frôlant son gland du bout de la langue pour, quelques secondes plus tard, le prendre en bouche. J'ai la bonne surprise de le sentir prendre du volume sous l'effet de mes caresses. Je pivote un peu de sorte à me placer perpendiculairement au corps de l'homme, ce qui lui permet de laisser ses mains se balader à leur guise sur la partie la plus charnue de mon corps, que j'ai pris soin de largement découvrir, ma jupe étant totalement retroussée sur mes hanches. La technique a fait ses preuves par le passé et elle est une fois de plus couronnée de succès puisque je sens le contact d'abord timide, puis plus décidé des doigts qui caressent ma peau nue. Bientôt, le sexe de l'homme atteint son érection maximale et je l'informe que s'il veut aller plus loin, j'ai en ma possession tout le matériel nécessaire.
Et c'est avec enthousiasme qu'il accepte mon offre. Une fois le caoutchouc en place il passe derrière moi et me prend en levrette. Pour une première fois, il se débrouille pas mal du tout mais, comme souvent, le port de la capote entraîne une débandade contre-productive.
Je décide de la lui ôter pour l'aider à retrouver un peu de vigueur grâce à mes lèvres et ma langue. Lorsqu'il est à nouveau prêt, il a envie de tester une autre position. Le missionnaire ne fonctionne pas bien, alors je lui propose de faire "ça" debout, devant le miroir. Cette position, à cet endroit, va s'avérer être une bonne idée puisque l'excitation va grimper encore d'un cran. Il bande assez dur pour retenter la position du missionnaire, avec succès cette fois. Après quelques minutes, il me signalera être à 2 doigts de jouir et c'est une fois de plus dans ma bouche que je récolterai le jus.
Au final, une rencontre très positive qui ne restera peut-être pas un one-shot. L'avenir nous le dira.
Après cette matinée très chargée, je me retrouve à présent pleine de doute quant à la suite.
J'attends quelqu'un à 13h30 et une autre personne à 15h30 ainsi qu'un 3ème à 17h30 mais personne ne me répond lorsque je tente l'envoi d'emails ou de sms. Au fur et à mesure que le temps passe, au plus ça sent mauvais. Pourtant, lors de nos échanges de mails, ces personnes semblaient être de vrais gentlemen qui avaient même demandé à passer plus de temps avec moi, histoire de ne pas précipiter les choses. Il est regrettable de constater qu'une fois encore j'ai été victime de fantasmeurs qui prennent leur plaisir en faisant perdre le temps des personnes sérieuses.
Ces 3 personnes sont à présent répertoriées avec toutes les autres qui m'ont déçues dans mon livre noir intitulé "Branleurs de clavier à éviter comme la peste".
Heureusement pour moi, vers 14h30 je suis contactée par un habitué qui sait que je suis présente dans la région, qui pensait ne pas être libre, mais qui finalement peut passer me voir vers 16h30 pour un "quickie". Ca me va très bien car autrement je vais devoir passer tout l'après-midi enfermée dans cette chambre à ne rien faire alors qu'il fait exceptionnellement beau en ce dimanche de fin avril.
Ponctuel comme à son habitude, il ne traîne pas à se mettre à l'aise, c'est à dire complètement nu. Il a un corps vraiment svelte et musclé. Il doit pratiquer du sport très régulièrement. C'est déjà notre 3ème rencontre et je sais qu'il aime me prendre. Je commence par l'exciter en engloutissant sa queue dans ma bouche et en lui prodiguant une pipe dont j'ai le secret. Rapidement, son sexe durcit et le moment est venu pour lui de goûter à mes fesses, après avoir enfilé une capote. Je suis à 4 pattes sur le lit et lui se tien debout au pied de celui-ci. Ses mains se posent sur mes hanches et il introduit sa queue, pas trop épaisse mais assez longue, dans mon intimité. Je le sens bien et je me cambre au maximum, les fesses bien offertes à ses coups de boutoir. Il me demande ensuite de m'avancer un peu sur le lit de sorte à ce qu'il puisse lui aussi s'y installer, tout en restant derrière moi. Il va encore me baiser en levrette pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'il lâche sa semence dans la capote, au fond de mon cul.
Il ne sera resté en ma présence que 20 à 25 minutes mais je suis ravie qu'il ait pu passer.
La personne suivante qui doit me rejoindre, c'est encore un habitué. Et c'est avec lui que je vais terminer ma journée. A chaque rencontre, nos rapports deviennent plus intimes, nos étreintes plus passionnées. Ce n'est pas, sexuellement parlant, mon partenaire le plus fougueux mais avec lui, ça m'importe peu car quelque chose de différent s'est développé entre nous, au fil du temps. Je suis d'ailleurs persuadée que pour lui aussi, nos retrouvailles sont chaque fois source de beaucoup de plaisir, et il ne manque jamais de me le faire comprendre en apportant une bouteille de champagne bien frais. Je vais l'accueillir en tenue assez sexy et de nouveau avec ma perruque rouge et nous allons passer un peu plus d'une heure à nous embrasser, nous caresser, nous sucer mutuellement. Je lui ferai d'ailleurs une surprise en pratiquant sur lui l'une de mes spécialités : la pipe au champagne : vous buvez une gorgée de liquide bien frais et pétillant, vous gardez le breuvage en bouche et hop, vous enserrez le sexe de l'homme qui se retrouve plongé dans un élément très particulier qui ne peut laisser indifférent. Ensuite vous pouvez soit avaler le champagne et poursuivre la fellation de manière traditionnelle, soit, en embrassant votre partenaire, vous lui transmettez le champagne dans lequel baignait sa queue quelques secondes plus tôt. C'est pour cette solution que j'ai opté, sachant pertinemment que mon partenaire adore les French kisses. Nous allons aussi un peu nous détendre et papoter de choses et d'autres, presque comme un vrai couple. Et c'est toujours en couple qu'il m'invitera au restaurant dans le centre de Liège. Nous avions convenu cela au préalable et, bien entendu, avant de quitter la chambre, je change de perruque pour quelque chose de moins voyant que le rouge. Je troque également ma mini-jupe en simili cuir contre une jupe rouge plus "casual".
Après un court trajet en voiture, nous nous garons près de l'Hôtel de Ville de Liège, non loin du restaurant Amon Nanesse ("Chez Agnès", en wallon liégeois). Je parcours la centaine de mètres qui nous sépare du resto en traversant le vaste parking perchée sur des talons hauts d'une dizaine de centimètres, prenant soin de ne pas me vautrer sur les pavés irréguliers en passant devant les terrasses qui grouillent de monde par ce beau temps.
La patronne du restaurant ne peut dissimuler sa surprise lorsque nous franchissons le seuil et je pense que si nous n'avions pas réservé, elle aurait prétexté qu'il n'y avait plus de place. Manque de chance pour elle, nous avons pris nos précautions et on nous installe à une petite table pour 2, juste à côté de l'entrée. L'endroit est pittoresque, décoré à l'ancienne, c'est un établissement qui met à l'honneur le folklore de la région, et qui propose sur sa carte une belle variété de spécialités culinaires locales.
Je vais opter pour un Toast Charlemagne et les célèbres "Bolets de Liège", sortes de grosses boulettes de viande hâchée, servies avec des frites maison, de la salade et une sauce au sirop de Liège caramélisée. Très goûtu, mais pas vraiment recommandé si, comme moi, vous tentez de surveiller votre poids.
Mais ce soir, au diable le régime, je n'ai pas mis le nez dehors de la journée et je veux profiter du moment présent en charmante compagnie.
Nous allons terminer notre repas en faisant honneur au Chef puisque ce sont des assiettes vides qui repartent en cuisine.
Un petit café pour terminer, et mon chevalier servant me raccompagne à l'hôtel.
Il est à peine 22h, nous ne faisons pas d'after dans un sauna ou autre comme nous l'avions envisagé lors de l'une de nos conversations. Le coquin n'habite pas Liège et il a encore de la route à faire. Quant à moi, après cette longue journée, je vais m'allonger une fois de plus sur le lit, mais cette fois-ci je serai seule, et sous la couette, bien au chaud. J'ai grand besoin de récupérer de ce week-end qui me laissera, malgré les quelques annulations, un excellent souvenir !
C'est à Liège que je pose mes valises, car en général je ne me rends jamais dans cette région, tout simplement parce qu'il n'y a aucun club intéressant.
Jusqu'à présent, je me limitais à une journée de "dur labeur" mais j'ai la chance d'avoir fait connaissance de personnes qui sont très enthousiastes à l'idée de me revoir lors de chacune de mes visites. Ceci me constitue un petit noyau dur d'habitués et, rien qu'avec eux, ça me remplit déjà une journée complète.
C'est la raison pour laquelle j'ai décidé cette fois-ci de consacrer un week-end entier à cette activité.
Je prendrais possession de la chambre le samedi en début d'après-midi pour la libérer le lundi matin, qui était un jour férié.
Je devais rencontrer au total 8 personnes à l'hôtel, et j'avais également programmé des "activités" pour la soirée du samedi et du dimanche.
Le week-end s'annonçait très chargé.
C'est vers 13h50 que j'arrive à l'hôtel. Je peux prendre possession de la chambre dès 14h.
Arrivée à l'accueil, la réceptionniste m'informe que, suite au long week-end, l'hôtel est complet, les femmes d'ouvrage sont débordées et... ma chambre ne sera pas prête avant 14h30 !!!
Ca commence déjà très fort ! Mon premier rencard est prévu à 15h et je dois encore me raser certaines parties du corps, m'occuper de ma toilette intime, me maquiller, m'habiller, mettre la chambre en ordre. Enfin voilà, vous l'avez compris : bonjour le stress !
Je contacte mon premier invité qui est, comme les autres prévus ce jour-là, un habitué.
Je lui explique la situation en lui demandant de repousser notre rencontre à 15h30 mais ça ne lui convient pas vraiment. C'est justement parce qu'il avait quelque chose de prévu vers 16h qu'il m'avait demandé de passer en premier.
Je trépigne sur le parking, observant la femme d'ouvrage qui prend tout son temps pour remettre à neuf la chambre juste à côté de celle qui m'a été attribuée.
Je l'interpelle pour lui expliquer que j'ai un rendez-vous et que j'ai absolument besoin de la chambre. Elle semble enfin réaliser l'urgence de la situation et vers 14h30 je peux finalement profiter pleinement de l'espace qui va me servir tout au long du week-end.
Je pare au plus pressé : hygiène, rasage, maquillage. Je tente de garder la chambre relativement ordonnée, je ne commence pas à éparpiller mes fringues partout et je bats mon record de vitesse pour la préparation : je suis prête en 40 minutes.
Mon invité arrive à 15h10 et il se déshabille dès la porte de la chambre fermée.
Rapidement, nous nous retrouvons allongés et je m'affaire à donner du volume à son sexe de la plus douce des manières. Lorsqu'il a atteint une taille qui me semble raisonnable, nous passons aux choses sérieuses et c'est en levrette qu'il me prend. C'est ma première queue de la journée, elle n'est ni trop petite ni trop grosse, un calibre parfait pour me mettre en train. Après quelques minutes, nous interrompons la pénétration pour un petit 69. Alors que nous sommes au summum de l'excitation, j'entends quelqu'un actionner la serrure de la porte d'entrée.
Je suis un peu affolée : "Qu'est ce que c'est ??"
"... baragouinage incompréhensible..." puis silence
Nous nous apprêtons à reprendre notre activité lorsque, une fois de plus, on essaye de s'introduire dans la chambre.
Il est hors de question que j'ouvre la porte pour manifester mon mécontentement, ça risquerait de faire foirer tout mon week-end si on découvre la vraie nature de ma présence dans l'hôtel.
En appui contre la porte, je tente de me faire comprendre : "Ecoutez, merci de ne plus me déranger, tout va très bien, je n'ai besoin de rien, la chambre est faite !"
Enfin, nous nous retrouvons au calme. Mais en attendant, le petit oiseau de mon partenaire, apeuré, s'est réfugié au fin-fond de son nid, il est tout petit et tout flasque.
Heureusement que je sais m'y prendre pour redonner de la vigueur aux plus timorés. Quelques coups de langue bien placés et le voici de retour, au meilleur de sa forme. Néanmoins, je ne vais plus l'accueillir dans la chaleur de ma grotte intime et nous terminerons la rencontre par une pipe "au finish" et une bonne dose de sirop au fond de ma gorge.
Mon 2ème rendez-vous du jour est une nouvelle connaissance. Du moins c'est ce que je pensais mais, une fois arrivé, l'homme m'informe que nous nous sommes déjà rencontrés dans différents endroits, notamment au club Z et aux journées organisées dans le brabant wallon.
Il semblerait même que nous ayons "joué" ensemble à ces occasions mais l'homme n'en est pas sûr à 100%.
"Comment ça, tu es en train de me dire que je t'ai peut-être sucé et que tu ne t'en souviens pas ?? On n'oublie jamais une pipe d'Alexandra !!" Oui je sais, je peux être prétentieuse par moments ;-)
Nous discutons de choses et d'autres mais il vient un moment où il faut rentrer dans le vif du sujet car je ne peux accorder qu'une heure de coquineries par personne.
L'homme se met à l'aise et je découvre un sexe qui me semble être de taille assez modeste mais par contre il bande super-dur, peut-être aussi grâce au cock-ring en métal qui enserre ses testicules.
Après une courte fellation, la queue est bien dure et je demande à l'homme si je peux lui mettre une capote (traduisez "as-tu envie de me baiser ?"), ce qu'il accepte. Nous tentons une pénétration en position d'Andromaque (moi à califourchon sur lui) et ça fonctionne très bien, d'autant qu'il sait comment faire pour donner du plaisir de cette manière : plutôt que de me laisser donner le rythme, il prend appui sur ses talons et donne de violents coups de reins vers le haut, enfonçant sa queue bien profondément en moi.
Je suis ravie de constater que j'ai affaire à un connaisseur. Il me propose ensuite de me prendre en levrette au bord du lit, et là encore il me prouve que ce n'est pas la première fois qu'il baise un cul. Je me cambre bien pour lui permettre d'aller au plus profond et, aussi bien pour lui que pour moi, le plaisir suit.
Nous terminerons par une éjaculation en bouche, la 2ème de la journée.
Voilà un bon élément que j'espère revoir lors de l'une de mes prochaines visites, au cours de laquelle je ne manquerai pas de lui restituer le cockring qu'il a oublié en partant.
Il est déjà 17h30 lorsqu'arrive mon partenaire suivant.
Je le connais pour l'avoir déjà rencontré plusieurs fois lors de mes visites précédentes à Liège.
De plus, en dehors de ces rencontres, nous restons en contact régulier via des sites où nous entretenons notre "sex-friendship".
Sur l'un de ces sites, il a vu des photos de moi avec une perruque rouge et il sait également que je possède une tenue de soubrette. Il m'a demandé de l'accueillir ainsi vêtue et de ne pas oublier de prendre avec moi mon "gag-ring", un anneau métallique qu'on place dans la bouche pour empêcher de pouvoir la fermer.
Je vais le sucer d'abord sans anneau, puis avec. Le fait de le porter, le fait d'être forcée à garder la bouche ouverte alors qu'une grosse queue fait des va-et-vient dans la gorge, tout cela vous fait saliver énormément et la bave s'écoule abondamment sur la couette. Tout cela est fort excitant, même pour moi, qui me surprend à sentir mon petit clito durcir. Après quelques minutes, mon complice de jeu m'enlève l'anneau et continue sa séance de "face-fuck" avant de jouir au fond de ma bouche. Je me régale en avalant toute sa semence.
Ceci termine déjà ma journée de "consultations". En soirée, j'étais attendue à partir de 19h chez un couple H/F d'amis libertins qui habitent à 20 minutes de mon hôtel. Le temps de me refaire une beauté et de remplacer mon uniforme de soubrette sexy par des vêtements un peu plus "casual", et me voici en route. J'arriverai avec quelques légères minutes de retard, et je passerai là une soirée comme je les aime, mélange de plaisirs des sens et de plaisirs gustatifs. Mon retour à l'hôtel se fera aux alentours de 1h du matin.
Après une bonne nuit de sommeil, c'est une longue journée qui m'attend. J'ai pas mal de rendez-vous prévus en ce dimanche ensoleillé. Ce qui m'inquiète un peu, c'est que parmi ceux-ci, je reste sans nouvelle de 3 personnes. Je commence la journée en leur envoyant des mails ou des texto's à ceux qui m'ont donné leur numéro de portable.
J'attends mon premier "patient" à 11h mais lorsque je le contacte pour vérifier si c'est toujours ok pour lui, il me répond qu'il préfèrerait venir 1h plus tôt, à 10h du matin. Il est déjà 8h30 et j'ai envie de prendre mon temps pour me préparer. J'aurais aussi apprécié de prendre un petit déjeuner, mais il insiste tellement que je finis par accepter ce changement d'horaire. Pas grave, je prendrai mon petit déjeuner plus tard.
Je connais déjà cet homme pour l'avoir rencontré il y a quelques années à une soirée Translips à Anvers. Je me souviendrai toujours à quel point j'avais été impressionnée en le voyant arriver d'abord, carrure de rugbyman, corps couvert de tatouages et ensuite lorsque j'avais ôté son slip et qu'un serpent en avait jailli ! Honnêtement, j'ai déjà rencontré de nombreux sexes dans ma vie, mais celui-là est réellement impressionnant tant par la taille que par le calibre.
Je savais donc à quoi m'attendre mais j'avais une petite crainte pour la pénétration.
Lorsque l'homme arrive, je le reconnais instantanément. Il fait partie de ces personnes qu'on n'oublie pas même si on ne les a vues qu'une seule fois. Il me semble qu'il a encore plus de tatouages que lors de notre première rencontre. Il m'embrasse et ôte ses vêtements. Ce faisant, il me montre le bracelet électronique à sa cheville et m'explique que c'est la raison pour laquelle il désirait avancer l'heure de notre rendez-vous : il n'a la permission de sortir de chez lui que jusque midi. Je ne l'interrogerai pas quant à la raison pour laquelle il a eu des problèmes avec la justice, ce n'est pas mon affaire et de plus, il est hyper réglo avec moi et c'est tout ce qui m'importe. Mais maintenant que je suis informée de cette situation particulière, je suis d'autant plus excitée car c'est la première fois que je vais me faire baiser par un repris de justice !
Après l'avoir sucé, il me propose de me prendre. Je lui exprime mes doutes quant à la faisabilité, bien que nous l'avions déjà fait à Anvers, mais il me rassure en certifiant que tout ira bien. Et de fait, je suis très étonnée de constater avec quelle facilité nous arrivons à nos fins ! Il faut croire que j'en ai très très envie.
Je suis à 4 pattes sur le lit et il se positionne derrière moi, son gros sexe en érection. Il place le gland à l'entrée de ma chatte de trav, il exerce une petite poussée mais sans forcer, un peu comme s'il donnait avec sa queue un bisou à ma rosette qui, en réaction, va se détendre et s'ouvrir comme une fleur. Ensuite, toujours dans cette position, il donne des petits coups de queue rapides et répétés et, comme part enchantement, ce sexe qui me semblait impraticable se retrouve au meilleur des endroits : dans mon cul de petite salope.
Ce cul, mon partenaire va le baiser pendant quelques minutes puis je vais reprendre le sexe en bouche en espérant qu'il me donne son jus mais l'homme est trop stressé. Il ne veut surtout pas rentrer en retard et se voir pénaliser. Je suis compréhensive et je le laisse prendre congé de moi seulement 30 minutes après son arrivée.
Puisqu'il est arrivé et parti plus tôt que prévu, j'ai un "trou" dans mon planning. Il est à peine 10h30 et mon prochain visiteur ne doit pas se pointer avant 12h30.
C'est ici que je bénis l'inventeur de la 4G. A peine mon tatoué est-il parti que je reçois une toute nouvelle réaction à l'annonce que j'avais publiée pour me trouver de nouveaux candidats : "homme 50a, corps athlétique, disponible ce dimanche si tu es à Liège"
Je lui réponds aussitôt : "Je suis à tel hôtel, je propose ceci, j'ai une dispo pour toi à 11h". Une pareille convocation, si précipitée, je n'y crois pas un instant mais lorsqu'il me demande comment je suis habillée, je prends quand même la peine de lui répondre.
"OK, j'arrive" !!
Je n'y crois toujours pas mais lorsqu'à 11h on frappe à la porte, je ne peux que me réjouir ! C'est la première fois que je booke un rencard et qu'il se concrétise en moins d'une demi-heure !
La description qu'il m'avait donnée de lui correspond en tous points à l'homme qui se tient face à moi. Crâne rasé, un corps sans un gramme de graisse et musclé sans excès.
Il m'explique que c'est la première fois pour lui avec une trav. OK, je sais dès lors que je dois y aller mollo mollo, sans précipitation et étape par étape.
Je commence bien sûr par une fellation, en lui indiquant que mon corps est à lui, qu'il peut en faire ce qu'il désire et qu'il peut bien entendu toucher et caresser les zones qui l'attirent, l'excitent ou l'intriguent. Il n'en fallait pas plus pour qu'il se décide à laisser balader ses mains sur mes fesses et sur mon sexe qu'il ne va pas tarder à prendre en bouche ! Et bien, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude, il me semble quand même savoir ce qu'il désire. Nous finirons par nous retrouver en 69. Je vais ensuite lui enfiler une capote avant de m'empaler sur son sexe, en position d'andromaque. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises avec lui puisqu'il me fait part de son fantasme de se faire pénétrer. Bien entendu, je ne peux personnellement rien faire pour lui, mais je ne me déplace jamais à l'hôtel sans l'un ou l'autre petit joujou. Je lui propose donc de le goder, tout doucement et il accepte. Je l'invite à se mettre en position et, avant d'utiliser le joujou, je le travaille un peu avec 2 doigts. Ne voyant pas ce que je fais, il pense que la pénétration est déjà effective et je lui explique qu'on en est loin. Lorsque j'estime qu'il est prêt, je positionne le gode (calibre 3 ou 3,5) au bon endroit et hop ! Je frappe un bon coup sec pour qu'il s'enfonce complètement ! Hihi, ce n'est bien entendu pas la manière dont j'ai procédé ! Au contraire, j'y ai été très doucement, sans brusquer et surtout en conseillant à l'homme de tenter de contrôler lui-même la pénétration. Il ne prendra que le quart du joujou dans son intimité mais ça lui aura permis de découvrir de nouvelles sensations.
Il est à peine 11h30 lorsqu'il prend congé après avoir joui dans ma bouche, visiblement ravi de cette nouvelle expérience.
Le coquin suivant doit me rejoindre à 12h30. Initialement programmé à 10h du matin, il ne m'avait plus donné de nouvelle suite à mes rappels et j'avais par conséquent pris l'initiative de le déprogrammer pour donner sa chance à quelqu'un d'autre. Peu de temps après, il m'avait envoyé un message dans lequel il s'excusait de son silence prolongé et m'invitait à le "recaser" dans mon planning, si un créneau se libérait. Il a donc eu beaucoup de chance car j'ai effectivement eu une annulation à un horaire qui lui convenait.
C'est un jeune homme qui frappe à la porte à l'heure convenue. Casquette de baseball vissée sur le crâne, lunettes de nerd, je n'ai pas encore eu l'occasion de rencontrer quelqu'un comme lui jusqu'à présent. Il m'informe que, pour lui aussi, c'est une grande première. Mon 2ème baptême du feu, coup sur coup ! Ca me fait toujours bizarre d'être la première à initier quelqu'un au sexe avec une trav. C'est une lourde responsabilité qui m'incombe puisque, de cette expérience, l'homme gardera un souvenir particulier (on se souvient toujours de sa première fois) qui lui donnera envie de poursuivre sur cette voie si j'arrive à être convaincante et qui le dégoûtera peut-être à tout jamais si je ne le suis pas.
Comme toujours dans pareille situation, je prends le parti de rester moi-même et de mettre le partenaire à l'aise. On discute un peu des attentes et des pratiques de chacun avant de se lancer à corps perdu vers l'inconnu. Je propose au jeune homme de s'allonger et de me laisser faire. Il ôte le bas, mais garde son T-shirt, ses lunettes et, plus étonnant, sa casquette de baseball. OK, je ne vais pas me formaliser pour si peu. Je me mets à l'oeuvre, frôlant son gland du bout de la langue pour, quelques secondes plus tard, le prendre en bouche. J'ai la bonne surprise de le sentir prendre du volume sous l'effet de mes caresses. Je pivote un peu de sorte à me placer perpendiculairement au corps de l'homme, ce qui lui permet de laisser ses mains se balader à leur guise sur la partie la plus charnue de mon corps, que j'ai pris soin de largement découvrir, ma jupe étant totalement retroussée sur mes hanches. La technique a fait ses preuves par le passé et elle est une fois de plus couronnée de succès puisque je sens le contact d'abord timide, puis plus décidé des doigts qui caressent ma peau nue. Bientôt, le sexe de l'homme atteint son érection maximale et je l'informe que s'il veut aller plus loin, j'ai en ma possession tout le matériel nécessaire.
Et c'est avec enthousiasme qu'il accepte mon offre. Une fois le caoutchouc en place il passe derrière moi et me prend en levrette. Pour une première fois, il se débrouille pas mal du tout mais, comme souvent, le port de la capote entraîne une débandade contre-productive.
Je décide de la lui ôter pour l'aider à retrouver un peu de vigueur grâce à mes lèvres et ma langue. Lorsqu'il est à nouveau prêt, il a envie de tester une autre position. Le missionnaire ne fonctionne pas bien, alors je lui propose de faire "ça" debout, devant le miroir. Cette position, à cet endroit, va s'avérer être une bonne idée puisque l'excitation va grimper encore d'un cran. Il bande assez dur pour retenter la position du missionnaire, avec succès cette fois. Après quelques minutes, il me signalera être à 2 doigts de jouir et c'est une fois de plus dans ma bouche que je récolterai le jus.
Au final, une rencontre très positive qui ne restera peut-être pas un one-shot. L'avenir nous le dira.
Après cette matinée très chargée, je me retrouve à présent pleine de doute quant à la suite.
J'attends quelqu'un à 13h30 et une autre personne à 15h30 ainsi qu'un 3ème à 17h30 mais personne ne me répond lorsque je tente l'envoi d'emails ou de sms. Au fur et à mesure que le temps passe, au plus ça sent mauvais. Pourtant, lors de nos échanges de mails, ces personnes semblaient être de vrais gentlemen qui avaient même demandé à passer plus de temps avec moi, histoire de ne pas précipiter les choses. Il est regrettable de constater qu'une fois encore j'ai été victime de fantasmeurs qui prennent leur plaisir en faisant perdre le temps des personnes sérieuses.
Ces 3 personnes sont à présent répertoriées avec toutes les autres qui m'ont déçues dans mon livre noir intitulé "Branleurs de clavier à éviter comme la peste".
Heureusement pour moi, vers 14h30 je suis contactée par un habitué qui sait que je suis présente dans la région, qui pensait ne pas être libre, mais qui finalement peut passer me voir vers 16h30 pour un "quickie". Ca me va très bien car autrement je vais devoir passer tout l'après-midi enfermée dans cette chambre à ne rien faire alors qu'il fait exceptionnellement beau en ce dimanche de fin avril.
Ponctuel comme à son habitude, il ne traîne pas à se mettre à l'aise, c'est à dire complètement nu. Il a un corps vraiment svelte et musclé. Il doit pratiquer du sport très régulièrement. C'est déjà notre 3ème rencontre et je sais qu'il aime me prendre. Je commence par l'exciter en engloutissant sa queue dans ma bouche et en lui prodiguant une pipe dont j'ai le secret. Rapidement, son sexe durcit et le moment est venu pour lui de goûter à mes fesses, après avoir enfilé une capote. Je suis à 4 pattes sur le lit et lui se tien debout au pied de celui-ci. Ses mains se posent sur mes hanches et il introduit sa queue, pas trop épaisse mais assez longue, dans mon intimité. Je le sens bien et je me cambre au maximum, les fesses bien offertes à ses coups de boutoir. Il me demande ensuite de m'avancer un peu sur le lit de sorte à ce qu'il puisse lui aussi s'y installer, tout en restant derrière moi. Il va encore me baiser en levrette pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'il lâche sa semence dans la capote, au fond de mon cul.
Il ne sera resté en ma présence que 20 à 25 minutes mais je suis ravie qu'il ait pu passer.
La personne suivante qui doit me rejoindre, c'est encore un habitué. Et c'est avec lui que je vais terminer ma journée. A chaque rencontre, nos rapports deviennent plus intimes, nos étreintes plus passionnées. Ce n'est pas, sexuellement parlant, mon partenaire le plus fougueux mais avec lui, ça m'importe peu car quelque chose de différent s'est développé entre nous, au fil du temps. Je suis d'ailleurs persuadée que pour lui aussi, nos retrouvailles sont chaque fois source de beaucoup de plaisir, et il ne manque jamais de me le faire comprendre en apportant une bouteille de champagne bien frais. Je vais l'accueillir en tenue assez sexy et de nouveau avec ma perruque rouge et nous allons passer un peu plus d'une heure à nous embrasser, nous caresser, nous sucer mutuellement. Je lui ferai d'ailleurs une surprise en pratiquant sur lui l'une de mes spécialités : la pipe au champagne : vous buvez une gorgée de liquide bien frais et pétillant, vous gardez le breuvage en bouche et hop, vous enserrez le sexe de l'homme qui se retrouve plongé dans un élément très particulier qui ne peut laisser indifférent. Ensuite vous pouvez soit avaler le champagne et poursuivre la fellation de manière traditionnelle, soit, en embrassant votre partenaire, vous lui transmettez le champagne dans lequel baignait sa queue quelques secondes plus tôt. C'est pour cette solution que j'ai opté, sachant pertinemment que mon partenaire adore les French kisses. Nous allons aussi un peu nous détendre et papoter de choses et d'autres, presque comme un vrai couple. Et c'est toujours en couple qu'il m'invitera au restaurant dans le centre de Liège. Nous avions convenu cela au préalable et, bien entendu, avant de quitter la chambre, je change de perruque pour quelque chose de moins voyant que le rouge. Je troque également ma mini-jupe en simili cuir contre une jupe rouge plus "casual".
Après un court trajet en voiture, nous nous garons près de l'Hôtel de Ville de Liège, non loin du restaurant Amon Nanesse ("Chez Agnès", en wallon liégeois). Je parcours la centaine de mètres qui nous sépare du resto en traversant le vaste parking perchée sur des talons hauts d'une dizaine de centimètres, prenant soin de ne pas me vautrer sur les pavés irréguliers en passant devant les terrasses qui grouillent de monde par ce beau temps.
La patronne du restaurant ne peut dissimuler sa surprise lorsque nous franchissons le seuil et je pense que si nous n'avions pas réservé, elle aurait prétexté qu'il n'y avait plus de place. Manque de chance pour elle, nous avons pris nos précautions et on nous installe à une petite table pour 2, juste à côté de l'entrée. L'endroit est pittoresque, décoré à l'ancienne, c'est un établissement qui met à l'honneur le folklore de la région, et qui propose sur sa carte une belle variété de spécialités culinaires locales.
Je vais opter pour un Toast Charlemagne et les célèbres "Bolets de Liège", sortes de grosses boulettes de viande hâchée, servies avec des frites maison, de la salade et une sauce au sirop de Liège caramélisée. Très goûtu, mais pas vraiment recommandé si, comme moi, vous tentez de surveiller votre poids.
Mais ce soir, au diable le régime, je n'ai pas mis le nez dehors de la journée et je veux profiter du moment présent en charmante compagnie.
Nous allons terminer notre repas en faisant honneur au Chef puisque ce sont des assiettes vides qui repartent en cuisine.
Un petit café pour terminer, et mon chevalier servant me raccompagne à l'hôtel.
Il est à peine 22h, nous ne faisons pas d'after dans un sauna ou autre comme nous l'avions envisagé lors de l'une de nos conversations. Le coquin n'habite pas Liège et il a encore de la route à faire. Quant à moi, après cette longue journée, je vais m'allonger une fois de plus sur le lit, mais cette fois-ci je serai seule, et sous la couette, bien au chaud. J'ai grand besoin de récupérer de ce week-end qui me laissera, malgré les quelques annulations, un excellent souvenir !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alexandra
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique récit par le détail :)) bravo ma belle Alexandra
Kisses
Geraldine
Kisses
Geraldine