Titre de l'histoire érotique : Faites de moi votre sex-toy ! (partie 2) - histoire érotique

Résumé de la partie 1 : Alexandra est au ciné X/sex-shop depuis un peu plus d'une heure au cours de laquelle est n'a pas arrêté de se faire baiser... Une petite boisson et hop, on y retourne !

Cette seconde session va être aussi intense que la première. Je suis la seule T-girl présente et il semblerait que je plaise à la majorité des hommes qui se sont donné la peine de venir. Je ne vais pas m'en plaindre, loin de là.
Je retrouve un jeune homme qui était déjà là le mois dernier. Je sais que son truc à lui c'est de me sucer avec l'espoir d'arriver à me faire jouir dans sa bouche. Je veux bien tenter l'expérience, le mois dernier ça avait bien réussi, j'en avais hurlé de plaisir.
Nous reprenons position au même endroit que la première fois et je m'abandonne à sa caresse buccale. Mais très vite d'autres hommes s'approchent de nous et je sais que ça risque d'intimider mon partenaire qui n'est pas habitué à la pratique du sexe en groupe. De plus, j'ai un peu de mal à bander aujourd'hui, ça ne lui facilite pas les choses. Je lui propose donc de marquer une pause et de refaire une tentative plus tard.

C'est à présent à moi de sucer, un mec m'offre sa queue. Le gars n'est vraiment pas un apollon, il me fait un peu penser à Laurent Ourgnac à l'époque de "Mon incroyable fiancé". Rajoutez à ça le fait qu'il est mal rasé, son look peu soigné et qu'il porte des lunettes à gros foyer. Bon ben, allons-y quand même pour la sucette. Heureusement ça ne va pas durer longtemps avant qu'il ne jouisse, son jus dégoulinant sur le matelas du lit.

Aujourd'hui, je n'ai pas encore exploré le coin où trône le fauteuil gynéco. Ce n'est pas faute d'envie mais plutôt faute de temps. Lorsque j'y arrive, je constate qu'il est tout déréglé : les étriers sont rabaissés, la partie inférieure du fauteuil est inclinée à 30°, empêchant les hommes de prendre position entre mes jambes... Il faut tout remettre en place mais la mécanique, ce n'est vraiment pas mon fort. Ca se saurait si je m'appelais Miss Bricola ! Je demande de l'aide et 2 hommes viennent à mon secours. Une fois satisfaite par les nouveaux réglages, je m'installe sur le fauteuil et, comme je l'espérais, les hommes approchent. Un arabe en survêt de sport semble très intéressé mais un peu timide. Je lui fais signe de se rapprocher pour que je puisse le sucer. Il ne me facilite pas la tâche, refusant de baisser son pantalon, il en extirpe uniquement son sexe, qui, de surcroît, n'est pas très long. Dans ma position, je me fais presque un torticolis pour pouvoir le prendre en bouche. L'homme va quand même réussir à me baiser sur le fauteuil quelques minutes plus tard (du moins je pense que c'était lui, cet épisode reste un peu confus, il aurait très bien pu s'agir de quelqu'un d'autre). Ce dont je suis sûre par contre c'est que pendant qu'on me baise, je vois arriver une tête connue : un amant que j'ai déjà rencontré à plusieurs reprises, notamment ici-même, mais aussi à l'hôtel et même chez mon amie travestie Mona. Sans trop y croire, je lui avais annoncé que je serais présente aujourd'hui et, à ma grande surprise, il a fait le déplacement depuis Liège. J'en suis ravie. Lorsque l'arabe a terminé sa besogne entre mes fesses, mon ami s'approche, ôte sa grosse doudoune (il faisait encore un peu froid ce jour là), et sans ménagement, il prend possession de mon cul avec son sexe bien dur. Là, ça ne rigole plus. Le mec d'avant me baisait à une allure pépère mais à présent on parle d'un tout autre rythme ! A titre de comparaison, imaginez un petit train touristique à vapeur et un TGV... Tout est dit ! Voilà une partie de baise intense qui débute, ça claque et ça fait du bien par où ça passe, j'en gémis de plaisir. Mais je connais mon bonhomme, je sais qu'il est du genre à tout donner rapidement la première fois... mais la session suivante ne met pas longtemps à arriver. Aussi, lorsqu'il s'éloigne après avoir joui, je suis sûre de le revoir bientôt.
Je sors de cette petite pièce et je vais voir ce qu'il se passe dans les salles de cinéma. Il y en a 2 : une à tendance hétéro et l'autre à tendance gay.
Je me souviens que lors de ma toute première visite ici, c'est dans la salle "gay" que je me suis posée et je ne l'ai pas regretté puisque je fus assaillie de toutes parts par de belles queues en érection. Mais depuis quelques temps, lorsque je pointe le bout de mon nez à l'entrée de ces salles, au mieux je récolte un coup d'oeil furtif entre 2 scènes du film projeté. Alors je ne m'attarde pas. En bonne chasseuse, je sais qu'il est inutile d'attendre le gibier là où il n'est pas. Par contre, je repère un jeune homme dans l'une des cabines. Il est à moitié nu, une simple serviette de bain nouée autour de la taille. C'est sans nul doute quelqu'un qui a payé pour avoir accès à l'espace jacuzzi. Je m'approche de lui et ma main frôle innocemment (si si...) son torse. Il n'en faut pas plus pour que nous partions à la découverte de nos corps respectifs. Il n'arrivera malheureusement pas à me prendre. Comme souvent, c'est l'application du préservatif qui va gâcher le plaisir et qui le fera débander.
Pas grave, ça arrive plus souvent qu'on ne le croit. Je propose alors au jeune homme qui aime me sucer de refaire une tentative. Il est partant bien sûr. Tentative qui s'avèrera aussi infructueuse que la précédente, même je suis à 2 doigts de jouir à un moment, mais il manquait un petit quelque chose d'indéfinissable pour que l'explosion ne s'enclenche.

C'est au moment où j'explique à mon suceur que visiblement je ne pourrai pas lui offrir mon sirop aujourd'hui que l'arabe sportif refait une apparition. Je comprends qu'il a de nouveau envie de moi et je ne me fais pas prier pour prendre la position. La levrette devrait bien lui convenir et en effet, ça fonctionne pas mal. Je ne peux que me l'imaginer, car dans ma position je ne le voyais pas vraiment (et de plus il fait assez sombre dans cette alcôve), mais le fait de le savoir en train de faire un effort physique habillé de la tête aux pieds en training, ça m'a fait un peu sourire. En voilà un pour qui le "sport en chambre" n'est pas qu'une expression pleine de sous-entendus.
La partie de baise ne sera pas très longue mais il sera immédiatement remplacé par... mon ami de Liège ! Et oui, je vous avais bien dit qu'il repasserait par là ! Une fois de plus, pas besoin de le sucer pour qu'il bande comme un âne. Il me saute dessus et me baise comme s'il n'avait plus fait ça depuis des années. Il me le dira plus tard, il adore mon cul et il regrette de ne pas avoir l'occasion de le croiser plus souvent. Moi aussi je le regrette car j'aime vraiment bien la manière dont il s'en occupe.

Enfin, une accalmie se profile à l'horizon. Lorsque je regarde l'heure qu'il est, je me rends compte que dans moins d'une heure je suis attendue pour un repas familial ! Il est grand temps pour moi de prendre congé. Je salue les patrons et, au moment de sortir, voilà qu'arrive un jeune homme qui m'avait promis de venir mais qui a été retardé à cause du boulot. Je sens qu'il a envie que je rebrousse chemin et que j'entame une nouvelle "partie" dans les alcôves mais la raison me dit que ce ne serait pas une bonne idée et je résiste à la tentation, à son grand désarroi.

Moins d'une heure plus tard, je suis à table, sous mon apparence masculine cette fois, entouré de ma belle-famille. La journée fut éreintante, et je me mets à somnoler et même à rêver un peu. Tout à coup, je me redresse en sursautant, conscient que j'étais occupé à mimer dans mon endormissement une fellation. Heureusement, personne ne semble l'avoir remarqué... Je pensais pourtant avoir suffisamment sucé au cours de cette après-midi !

Vivement la suivante :-)

FIN.